Ceci est ma première fic, alors dites-moi sincèrement ce que vous en penser, toutes critique est constructive !
Alors rien ni personne ne m'appartient !
C'est un slash, alors si ça ne vous plaît pas, vous n'auriez pas cliqué sur l'histoire.
Et s'il y a un changement dans le rating je préviendrais au début du chapitre.
Derek Hale/Scott MacCall
Avec en fond : Stiles/Danny / Jackson/Lydia / …
UA, ici les loups et les humains cohabitent sans trop de problème (enfin si on évite de sortir les soirs de pleine lune tous va bien!) mais y risque d'y avoir des méchants ! (attention, il y aura peut-être un Mpreg ! Mais ce n'est pas sûr du tout, tous dépend comment avance!)
Au départ, ces vacances d'été devaient être une sorte de « retour aux sources » pour Scott McCall et sa mère, en effet, ils avaient prévu de passer de paisible et reposante vacance dans le chalet de ces grands-parents jusqu'au jour où :
-« JE SUIS QUOI !, non mais vous n'êtes pas sérieux, c'est une blague ? Hein ? Pitié dites-moi que c'est une blague ?! »
La jolie petite voie de Scott ne résonne dans toutes les montagnes qui entourent le chalet des dit grands-parents.
Mais revenons un peu en arrière quelque semaine avant ce « charmant » éclat de voix. Le dernier jour de cours pour tous les jeunes de Beacon Hills High, jusqu'à cette date tout allait pour le mieux pour Scott McCall, 16 ans depuis quelques mois, co-capitaine de l'équipe de crosse de son lycée, des amis sur lesquels il peut compter et en couple avec Alison Argent, enfin c'est ce qu'il pensait, quand tous fut chamboulé.
Alors que la dernière journée de cours venait de toucher à sa fin, au moment où tous se séparèrent, Alison demanda à Scott de la suivre un peu plus loin.
« -Alors, prête pour ces vacances avec ta famille ? La France, non ? » Commença-t-il, tout souriant.
« -Oui et c'est justement de ça dont je voulais te parler, je me disais que peut être pour ces vacances on pourrait faire une « pause » !
-Comment ça ? Une pause ? Tu veux dire qu'on arrête nous deux.
-Pas que l'on arrête, arrête, mais plutôt disons que l'on se laisse une certaine ... comment dire, marge de manœuvre, il faut que tu comprennes que l'on sera à des milliers de kilomètre l'un de l'autre et on ne sait jamais, beaucoup de choses peuvent se passer en deux mois ! Mais c'est juste au-cas-où ! Tu comprends ce que je veux dire ?»
A ce moment précis de la conversation, Scott se demandait s'il n'était pas tombé dans une dimension parallèle, sa petite-amie, enfin future ex-petite-amie le larguait « au cas où » !
« -En gros, tu me largues pour avoir l'esprit tranquille « au cas où », quoi ?, une occasion se présente ? »
« -Je ... » commença-t-elle, mais Scott la coupa de suite.
-Non, en fait, ne dit rien, mais par contre ne vient surtout pas me voir ou même me parler en septembre ! Non mais sérieusement c'est du délire ! » Scott ne s'était pas rendu compte que plus, il avançait dans sa phrase plus sa voix monter, attirant ainsi l'attention de ces amis.
Ne permettant pas à Alison de répondre, il lui tourna le dos et partit. Passant devant ces amis, il lâchât un « on se voit toujours demain ? », ce à quoi tous acquiescèrent, « bon à demain, alors ! ». Ils regardèrent leurs ami qui partait comme un fou et ils n'avaient aucune idée de ce qu'il venait de se passer, ignorance illustrer par Stiles et son « Quelqu'un a compris quelque chose ? », suivi par la négation des autres. Pendant ce temps, Alison était parti rejoindre son père, qui venait d'arriver sans aucun mots pour eux.
Arrivez chez lui, il passa devant sa mère, lançant un « salut », avant d'aller s'enfermer dans sa chambre et repenser à ce premier jour de vacance plus mouvementer que prévu.
Ce n'est que quand sa mère vient toquer à ça porte, lui disant qu'elle partait pour son quart, qu'il vit l'heure et compris qu'il s'était assoupie. Dans la soirée, il repensa à toute cette histoire et en fin de compte, c'était son orgueil et non son cœur, qui avait été le plus touché. Il se rappela alors, les mots de son grand-père quand il lui avait dit qu'il était « amoureux », « tu n'as que 16 ans, jeune homme, tu crois être amoureux, revient dans quelques années et on en reparlera ». Plus que quelque jour et il pourra lui dire qu'il avait raison ... comme toujours et puis maintenant il allait, lui aussi, pouvoir profiter de ces vacances !
Un peu plus tard, après un dîner sur le pouce, il remonta dans sa chambre pour commencer à rassembler les affaires qu'il allait amener chez ses grands-parents.
j'espère qu'il n'y aura pas trop de faute, désole si il y en a trop !
