Là, je crois que je vais être plus dans mon style d'écriture : le sérieux. Cette histoire n'est pas vraiment dramatique, mais mon vrai style d'écriture n'est pas dans les blagues. Enfin, j'espère que vous aller apprécier. On verra bien! (je me mets à parler comme Gollum! ^__^) je doit dire que l'intro est un peu longue, alors ne vous fier pas le dessus, mais lisez jusqu'au bout, s'il vous plait! Le début ressemble un peu au chapitre : LE MIROIR DE GALADRIEL, mais c'est normal, puisque c'est là que tout commença...

Chapitre premier
Lothlorien

La Moria. Endroit sinistre, sans lumière. Dans des temps plus anciens, les Nains l'avaient construite, et y avaient trouver beaucoup de choses utiles. Mais la richesse de la Moria ne venait pas de l'or, ou des joyaux, comme ceux qu'on retrouvait dans les autres mines, non, sa richesse venait du mithril. Cette substance permettait de fabriquer des cottes de maille très dispendieuses, aussi légères qu'une plume, mais plus dures que les écailles d'un dragon.

Bilbon Sacquet avait une cotte en mithril, que le Nain Thorin lui avait offerte, pour les loyaux services que le hobbit lui avait rendu, à lui, et aux siens. Bilbon avait fait preuve d'un grand courage, très rare, chez les hobbits. Car rare étaient ceux qui osaient quitter leur petit pays, mais s'ils revenaient vivants, ils étaient désormais perdus de réputation chez les leurs.

Pourtant, Bilbon n'avait pas vraiment perdu la réputation que lui avait léguer ses parents, Bungon Sacquet et Belladonna Touque. Car de son voyage, il n'était pas revenu bredouille. Il avait rapporté de la Montagne Solitaire une grande richesse. Mais aussi, en apportant le bonheur avec lui, il avait aussi emmené le malheur.

Dans la caverne de Gollum, une créature immonde qui fut autrefois un hobbit du Grand Fleuve Anduin, Bilbon avait trouvé un anneau. Sans trop s'en soucier, il l'avait mit dans sa poche, et avait continuer son chemin dans une totale obscurité. Peut de temps après, il était arriver à un lac. C'est là que demeurait Gollum.

Bilbon fit un pari avec la créature : si jamais il gagnait une partie d'énigme, Gollum devait lui montrer la sortie. Par contre, si le hobbit perdait, Gollum pouvait fait ce que bon lui semblait. Durant leur discussion, Bilbon avait révélé par inattention le nom de Sacquet, et ce fut pourquoi Gollum le poursuivit pendant de longues années, sans par contre le retrouver, bien qu'il eu trouver l'héritier de Bilbon, Frodon Sacquet. Mais nous parlerons de lui plus tard.

Bilbon fini par gagner en posant une question à Gollum : « Qui a-t-il dans ma poche? » ce à laquelle la créature immonde ne pu répondre. C'est à ce moment que Gollum se rendit compte de la disparition de son : « précieux » il comprit soudain l'étrange question de Bilbon : ce qu'il y avait dans la poche du hobbit était SON PRÉCIEUX! Furieux contre le pauvre monsieur Sacquet, il le prit en chasse.

Bilbon dû courir pour lui échapper. Pourtant, il trébucha, et Gollum passa à côté de lui, sans le voir. Bilbon crut au début à une chance miraculeuse, mais il se rendit bien vite compte il possédait un anneau magique.

Il revint dans la Comté, et ne parla à personne de son anneau jusqu'à ce qu'il adopte Frodon, et qu'il en fasse son héritier. À l'époque Frodon Sacquet était au début de la vingtaine, donc, loin d'être adulte. Quelques années passèrent encore, jusqu'à ce que Bilbon décide de quitter la Comté. Il légua tout à Frodon, même son anneau.

Ce fut 17 ans plus tard, alors que Frodon était presque âgé de 50 ans, que Gandalf le Gris découvrir que l'anneau magique qui appartenait maintenant à Frodon, était en fait l'Anneau Unique, forgé dans les flammes de la Montagne du Destin par Sauron, le Seigneur des Ténèbres.

Frodon fut alors contraint de quitter sa Comté natale pour aller à Fondcombe. Il parti avec ses amis Sam, Merry et Pippin. Ils surmontèrent ensemble bien des difficultés avant d'arriver à Bree, où ils rencontrèrent Aragorn, fils d'Arathorn, Rôdeur, et descendant d'Isildur, celui qui enleva l'Anneau du doigt de Sauron.

Avec ce nouveau compagnon, ils partirent rapidement vers Fondcombe, étant poursuivit par les Esprits Servants de l'Anneau. Une nuit, les Compagnons se firent attaquer par ceux-ci, et Frodon en fut gravement blessé à l'épaule gauche. Finalement, alors que tout espoir semblait perdu, Glorfindel, un Elfe de Foncdombe, arriva pour les aider. Étant encore poursuivit par les Nargûls, ils pressèrent le pas, mais se firent tout de même bientôt rattraper.

Le cheval blanc de Glorfindel emmena Frodon jusqu'au Gué de Fondcombe. C'est la que les dernières forces du hobbit déclinèrent, et il s'évanouit. En tentant à leur tour de traverser le Gué, les Cavaliers furent emporter, et leurs chevaux noyés.

À Fondcombe, Frodon fut soigné, et le Conseil d'Elrond fut aussitôt organisé. Il en fut décider qu'une Compagnie de neuf marcheurs partirait pour le Mordor afin de détruire l'Anneau. Frodon se proposa pour être le Porteur de l'Anneau. Huit autres compagnons furent choisis : Peregrïn Touque, Meriadoc Brandebouc, Samsagace Gamegie, Aragorn, Gimli de la Montagne Solitaire, Legolas de la Forêt Noir, Boromir de Gondor, ainsi que Gandalf le Gris.

La petite Compagnie commença son long périple en fin de l'Avant Noël (décembre) et il ne devait finir qu'en fin du mois de Rethe (mars). Essayant d'abord de passer par la Trouée du Rohan, ils testèrent ensuite le haut Col de Caradras. Ayant échoué une nouvelle fois, ils se résignèrent à passer par les sombres Mines de la Moria. C'est là qu'ils perdurent leur Guide, Gandalf, qui tomba dans l'Ombre. La Compagnie était serte chagrinée, mais il fallait continuer jusqu'au Pays de Lothlorien. Ayant été accueillis par la Dame Blanche, Galadriel, et par le Seigneur Celeborn, ils demeurèrent quelques temps dans ce beau Pays qu'était la Lorien. C'est là que notre histoire commença.

La nuit tombait sur la Lorien. Les étoiles se levèrent, et Eärendil se mit à luire avec force, éclairant quelque peu la sombre nuit qui s'étendait sur le monde, et faisait renaître l'Espoir perdu dans le c?ur des certains. Frodon était assit sur le bord de l'eau, contemplant le reflet de la Lune qui se reflétait sur la surface lice du lac.

Il entendit des bruits de pas derrière lui. Même en Lorien, il ne se sentait en sécurité. Il ne l'était nul part, d'ailleurs. Il avait toujours l'impression que Sauron le cherchait, déployant toute sa force ténébreuse afin de le trouver et de le corrompre au mal et à la haine.

Les bruits de pas, n'était pourtant pas très fort, semblaient résonnés et en devenir assourdissant dans sa tête. Le hobbit se retourna vivement, et fut soulager de voir le visage bienveillant de Sam.

-Je vous cherchais, dit Sam. mais si je vous dérange, vous n'avez qu'à le dire, je partirais.

-Non, dit Frodon. Tu ne me déranges pas. Tu peux rester, si tu le souhaites.

Sam s'assit à côté de son maître. Ils restèrent un moment silencieux, puis Sam rompu le silence.

-Pourquoi ne dormez-vous pas? Demanda-t-il

-Je ne puis trouver le sommeil, Sam, répondit Frodon. Même si je suis à bout de force. Il me cherche, et je n'arrive à être tranquille. Je sais qu'en Lorien les armés du Seigneur Ténébreux ne peuvent entrer, mais j'ai tout de même peur. Peur de se qui pourrait arriver, si j'échouais.

-Je suis certain que vous allez réussir, monsieur Frodon, dit Sam, tentant de le réconforter. Pensez à tout ces Grandes Gens qui on accomplit tant de prodiges pour ce monde. Beren, Luthien, Eärendil, Elwing, Elfe ou Homme. Certains n'ont pas eu une belle fin, comme Turïn et sa jeune s?ur Niniel, qui se sont suicidé. Ou comme leur pauvre mère, Morwen, qui est morte près de leur tombe. Mais ils avaient toujours gardé l'espoir qu'un jour, un monde meilleur viendrait. J'en conviens que nous ne sommes pas digne de l'honneur qu'on leur accorde, mais si eux on accomplit tant de belles choses, nous aussi, nous le pouvons. Vous le pouvez.

-En effet, dit une voix douce derrière eux. Si vous détruisez l'Anneau, vous rentrerez dans l'histoire, et serez honorés. Mais vous le serez aussi si vous échouer, bien que si cela doit se produire, il n'y aura gère le temps de raconter des histoires. Mais venez, je dois vous montrer quelque chose.

Les deux hobbits se retournèrent, et virent debout devant eux la Dame Galadriel, plus resplendissante que jamais. C'est long cheveux de la couleur de l'or pur lui descendaient jusqu'à la taille, et ses yeux d'un bleu profond inspiraient en même temps la crainte et le respect, car elle était puissante et sage parmi les Elfes.

Elle leurs tourna le dos, et leurs fit signe de la suivre. Les deux hobbits marchèrent derrière elle, se demandant ce que la Dame Elfe voulait leur fait voir. Elle les conduisit dans une clairière. Au milieu, il y avait un miroir. Galadriel se tourna vers eux.

-Voici le miroir de Galadriel, dit-elle d'une voix profonde. Le miroir peut dévoiler un grands nombres de choses : des choses qui furent, des choses qui sont, des choses qui ne se sont pas encore passées, et... des choses qui pourrait bien arriver, si on ne fait pas le bons choix. (elle se tourna vers Frodon) voulez-vous regardez dans le miroir?

Frodon ne répondit pas. Quel que soit son avenir, il était certainement tellement ténébreux qu'aucuns miroirs de vision ne pourraient le dévoiler. Galadriel se tourna vers Sam :

-Et vous, dit-elle. Voulez-vous regardez?

-oui, dit Sam. je voudrais savoir ce qui se passe par chez nous.

Sam se pencha sur le miroir. Soudain, au moment où Frodon s'en attendait le moins, Sam se jeta par en arrière en poussant un cri aigu. Pourtant, quand il lui demanda ce qu'il avait vu, Sam ne voulu répondre. Galadriel se tourna à nouveau vers Frodon.

-voulez-vous regarder dans le miroir?

Frodon ravala sa salive, et se pencha à son tour sur le miroir. Des visions horribles lui apparurent aussitôt. Il vu bientôt un pays dévasté par la guerre, avec les millions d'esclaves qui travaillaient péniblement dans des champs. Il poussa un cri, mais c'était tellement affreux qu'il ne pouvait en détourner le regard. Lentement, son visage livide s'approcha de la surface du miroir.

-Ne touchez point à cette eau! Lui dit Galadriel.

Mais c'était trop tard. Quand le visage du hobbit entra en contacte avec l'eau, tout se mit à tourner autour de lui. Sam poussa un petit cri et tenta de se précipiter vers son maître, mais Galadriel le retint. Quand la lumière eu disparue, Frodon n'était plus visible. Sam couru jusqu'au miroir et toucha la surface. Rien ne se passa.

-C'est trop tard, dit la Dame Blanche. Maintenant, il ne pourra compte que sur lui-même pour sortir de la vision. Il devra trouver comment faire, et devra affronter des épreuves difficiles. Mais je sais qu'il pourra réussir. J'ai confiance en lui.

Sam approuva d'un signe de la tête et tourna ses yeux bruns vers le miroir, sans pourtant cesser d'être inquiet pour Frodon.

*****

Frodon se réveilla, couché par terre. Il avait énormément mal à la tête, et ses cheveux bruns foncés virevoltant dans le vent. Il se redressa cahin- caha sur son séant, et regarda se qu'il y avait autour de lui. C'était le même pays dévasté qu'il avait vu dans le miroir. Serait-il revenu au temps où la dernière alliance des hommes et elfes combattait le Pays Noir?

Son regard bleu se posa sur ceux qui travaillaient dans les champs, et il faillit pousser un cri. C'était des hobbits! Ils étaient tous habillés de la même façon : tunique jaunâtre avec des pantalons usés par les intempéries. Il se regarda lui-même : il était aussi habillé comme eux, mais avait un sac sur le dos.

Un cor sonna et tout les hobbits se dirigèrent vers le village, escortés par des orques. Soudain, un orque se tourna dans sa direction.

-hey! Toi, là bas! Cria-t-il à son intention.

Frodon ne lui répondit pas. Il resta figé sur place, tremblant de frayeur. L'orque se dirigea vers lui, et fit claquer son fouet en haut de sa tête. Il le souleva par le col de sa tunique, et le secoua vivement.

-qu'est-ce que tu fais? Tu désertes? Tout le monde dans le village à 5 heures, ordres du maître! Aller, si tu ne veux pas tâter de mon fouet!

Frodon rejoignit péniblement la rangée d'esclaves, tout en se posant des questions. Une voix connue s'adressa à soudain à lui :

-Vous n'auriez pas dû essayer de partir. Il aurait pu vous tuer.

Frodon se retourna vers la hobbit qui c'était adressé à lui. C'était Sam.

À suivre......

Voilà, voilà! C'était le premier chapitre! Je me vous garanti pas que les autres vont être aussi long, mais c'est probable. Je suis consciente que la scène du miroir de Galadriel ressemblait quelque peu à celle où Harry se retrouve dans les souvenirs de Dumbledore, mais je ne m'en suis rendue compte qu'après l'avoir écrit... Alors, si vous voulez me faire plaisir, aller m'envoyer une petite review!!! Merci d'avance! Et dites-moi : vous aimez mieux quand j'écris sérieux, ou bien en niaisant?