Titre : Chapitre 1 : Un sauvetage Inattendu.

Bonjour, je suis nouvelle sur le site, bien qu'avoir lu beaucoup de fanfiction sur ce support internet. Je ne suis pas parfaite dans mon écriture et j'essaye au maximum de corriger mes fautes impardonnables ! À vous la suite ^^

Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas et sont l'unique propriété de Justin LIN. Le personnage de Jenifael Soran est de ma création. Cette suite de Fast and Furious 6 ne suit pas le cours de l'histoire : Han reste avec l'équipe et ne part pas pour Tokyo et Gisèle ne meurt pas.

Rating : Cette histoire est une relation Yuri (FxF) donc homosexualité féminine. Les homophobes ne sont pas acceptés sur cette page et sont prié de lire les fanfictions de Dom et Letty ou Brian et Mia si cela leur chante. – La relation exposée ici est Gisèle Harabo et Jenifael Soran.

Résumé : Gisèle, après avoir sauté du pick-up accroché à l'avion pour sauver Han, perd connaissance mais est toujours en vie. Lorsqu'un motard s'approche d'elle, une seringue d'adrénaline à la main et lui injecte le produit, elle revient à elle et semble connaître la personne sous le casque noir mat. Elle l'enlace avant de sombrer dans le sommeil.

Chapitre 2 en formation


Le tarmac était en feu. Au bout de la piste, un avion-cargo brûlait et se consumait en une épaisse fumée dans le ciel nocturne. Les crépitements cachaient largement le bruit d'un moteur, à deux kilomètres de là. Un motard, entièrement habillé de noir et chevauchant un bolide aussi sombre que lui, roulait feux éteints en direction d'un corps. Il arrêta son véhicule, mit la béquille, descendit et se précipita vers la femme sur le sol. Il s'agenouilla et ouvrit la veste légèrement ensanglantée de Gisèle pour trouver le moindre pouls. Il sentit une faible vibration et soupira sans bruit, rassuré. Il ouvrit une petite mallette ronde qu'il portait à la ceinture et en sortit une seringue en métal rempli d'adrénaline. Il amena le tube d'aluminium sous son casque et le décapuchonna avec ses dents. L'agent du Mossad semblait morte tant sa respiration était lente. L'aiguille apparue dans le poing ganté du motard tandis que l'embout en plastique tombait sur le sol. Il ouvrit la veste entière et écarta les dernières barrières qui obstruaient le cœur de la brune, regarda un instant une faible décoloration blanche linéaire à l'endroit où il allait piquer, puis enfonça immédiatement la tige en métal dans l'organe. Le produit contenu s'injecta dès qu'il eut pressé un bouton noir sur le côté du cylindre. Gisèle ouvrit instantanément les yeux et prit une grande inspiration, très vite suivie d'autres plus rapides. Le casqué garda sa main sur la jugulaire de l'israëlienne pour mesurer son activité tout en gardant le visuel sur le visage de sa protégée. Elle tourna légèrement sa tête vers son sauveur et se vit dans sa vitre. Elle fronça légèrement les sourcils en voyant son reflet dans la visière du casque et fixa ensuite le cou de cet inconnu, qui pour elle l'était de moins en moins. Elle passa sa main sur la carotide de l'étranger et sentit une chaîne. Elle l'exposa à la faible luminosité dont elle disposait et glissa doucement vers le pendentif qui tirait le métal vers le bas. Elle le sortit de l'ombre et se trouva bouché bé lorsqu'elle le découvrit. C'était un corbeau en or blanc aux détails parfaits, il avait un cristal de diamant jaune taillé en guise d'œil. Elle le caressa et releva brusquement ses yeux bruns sur la glace noire, où elle savait deux billes dorées la détailler.

- Jen' ? Dit-elle faiblement en sentant son interlocuteur réagir très légèrement par une douce pression sur son cou.

Gisèle l'enlaça d'un coup et la serra aussi fort qu'elle le pu. La démasquée répondit à l'étreinte de son ex-coéquipière, la serrant doucement tout en récupérant le capuchon de sa seringue. Elles restèrent quelques minutes dans les bras l'une de l'autre, la brune bercée par les caresse de son amie dans son dos. L'israëlienne s'endormit très rapidement dans ses bras, l'occasion de la transportée dans un lieu sûr. Elle la souleva sans difficultés et l'amena vers sa moto. Des sangles étaient accrochées sur les poignées pour servir de ceinture de sécurité. Elle les lui accrocha, enfourcha à son tour la deux roues puis attacha une autre sangle autour d'elles. Gisèle dormait profondément et ne pouvait permettre qu'il lui arrive encore quelque chose. Elle démarra et accéléra lentement pour éviter toute secousse. Les deux femmes partirent dans la nuit, sans un bruit.

Quelques heures plus tard, Le soleil se levait sur la piste défoncée par l'accident. Le brasier venait d'être éteint et quelques fumées s'échappaient encore de la carcasse métallique. Obbs examinait la scène et constata les dégâts. La paperasse n'avait jamais été son fort, et encore moins aujourd'hui en voyant tout ce qu'il devrait marquer dans son rapport. Il avait appris de Dominique qu'un membre de son équipe était mort à deux kilomètres environ de l'épave. Les scientifiques ratissaient l'endroit sur cinq cents mètres depuis déjà dix minutes. L'un d'eux leva la main et appela le chef de l'opération. Une faible trace de sang colorait le macadam d'une teinte rouge foncé. Le sang était déjà coagulé depuis quelques heures. Il en recueilli un échantillon tandis qu'un autre à ses côtés découvrit un cheveu marron clair ondulé et l'enferma dans un petit sachet. Obbs était sceptique. Gisèle était bien là, mais elle s'était volatilisée. Elle avait fait une chute de plusieurs mètres et aurait dû être inconsciente, donc dans l'incapacité de se déplacer. Plus troublant encore, elle n'avait aucun moyen de se déplacer si elle avait repris conscience. Quelqu'un l'avait aidé, ou enlevé, et l'avait fait comme s'il n'était jamais rien arrivé. L'agent Neves s'approcha du mastodonte regarda la scène.

- Le membre de l'équipe de Dominique aurait dû être là, dit-il gravement. Celui qui l'a enlevé était un pro, il n'y a rien à en tirer.

- Pas de trace de pneus, ni de gazole, pas même de l'huile, réfléchie à voix haute Elena. Il n'a pas dû l'enlever, conclu-t-elle.

- Pourquoi cette observation ? demanda interloqué le géant.

- Quelqu'un sur le point d'enlever une personne est bourré d'adrénaline. Il va se dépêcher de la ramener chez lui, et s'il se dépêche, il fait des erreurs. Une trace de pneu parce qu'il a freiné ou démarré trop vite, des fibres de ses vêtements ou même de ses cheveux sous le coup de la rapidité de ses mouvement, remarqua-t-elle.

- Alors celui qu'il l'a enlevé savait gérer son stress et confiner l'adrénaline pour se concentrer sur ses actes, nota-t-il.

- Ou alors il ne l'a pas enlevé, émit-elle.

- Soit Gisèle connaissait son sauveur et ne l'a pas privé de l'emmener avec lui, soit elle était inconsciente, mais dans tous les cas, nous aurons de ses nouvelles, conclu Obbs.

Ils firent quelques pas en direction d'un hummer de couleur gris métallisé quand Elena s'arrêta quelques instants. L'agent masculin se retourna et la détailla pour comprendre ses intentions.

- On doit prévenir Dominique que Gisèle est encore en vie, On doit la retrouver Obbs, formula-t-elle.

- On va le faire, et on va la retrouver, Dit-il de manière sûre.


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