Auteur : Aubépine
Disclamer : Y sont pas à moi.
Note : J'évoque des éléments d'une autre fic de ma conception, « Je m'appelle Vanité en ton honneur ». Résumé :
- Donc…Alexander Franz était un alchimiste de grand talent et ami perdu de vue du colonel Mustang mais il a malheureusement pécher de vanité en voulant tenter une transmutation humaine non pas pour ressusciter quelqu'un mais pour créer un être entièrement nouveau. Résultat, il s'est retrouvé décérébré et une homonculus nommée Vanity est apparue.
- Il avait aussi une fille, Emma, qui n'était qu'un bébé à l'époque et qui considère Vanity à la fois comme sa grande sœur et un peu comme sa mère.
- Vanity a la particularité de pouvoir donné la vie, car c'était là le but d'Alexander Franz : Créer un être nouveau capable de se reproduire…d'une certaine façon, il a réussi.
- Dante s'intéresse à l'enfant que Vanity va mettre au monde et le séquestre mais nos cher héro viennent à son secours.
- Le bébé est une petite fille qui s'appelle Tamaris. Le père n'est autre que Greed mais Vanity ne semble pas disposée à se mettre en ménage avec lui.
-Wrath a quitté la bande des sept après que Sloth l'ait repoussé, parce qu'elle en avait marre de ses gamineries et a rejoint la petite famille que s'est composé Vanity, qui s'est marié avec Armstrong.
Note : En fait, tout les personnages que je crée ou presque sont apparenté entre eux. J'ai même dessiné des arbres généalogique (les liens pour les voir sont sur mon profil).
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« La petite Lune, pierre mystérieuse, est souvent assimilée par les esprits les moins érudits à la célèbre Pierre philosophale. Cependant même si par beaucoup de ses propriété, elle s'en rapproche, tant par sa nature réelle que par son apparence elle est en radicalement différente »
- Je le prends !
La jeune employée de la bibliothèque perchée sur sa grande échelle à roulette, leur tendit le livre dont elle venait de lire un extrait. Alphonse le prit et le déposa au sommet de la pile déjà imposante d'ouvrage qu'ils avaient récoltés. Ils avaient eu de la chance de tombé sur une jeune fille serviable, qui avait aussitôt tout mis en œuvre pour leur dénicher un maximum d'ouvrage sur leur sujet au milieu des étagères poussiéreuses alors qu'elle souffrait de toute évidence d'un vertige monstrueux à la simple idée de monter sur l'échelle.
- Je crois qu'on en a assez pour commencer à travailler.
Elle se laissa glisser jusqu'au sol, épuisée. Elle était plutôt petite et fort menue, les cheveux noirs coupés très court et d'immenses yeux sombre. Elle avait l'air d'une petite souris nerveuse, surtout dans l'uniforme austère de la bibliothèque.
- Tiens, ce n'est pas bientôt ta pause ? Lui demanda Edward qui finissait par connaître par cœur les horaires des lieux.
- Si, dans dix minutes.
- On t'invite à boire un verre pour te remercier.
- Ce…Ce n'est….Ce n'est vraiment pas la peine !
- On insiste. Dit Alphonse.
- Bon…Bon, d'accord.
- Très bien ! On va déposer tous ces livres et on te rejoint.
Les deux frères Elric s'éloignèrent tandis qu'elle remettait un peu d'ordre dans les livres inintéressants qu'ils avaient déplacés.
- Elle est gentille. Fit Alphonse.
- Ouais, très.
- Et elle a l'air de s'y connaître un peu en alchimie…au moins la théorie.
- Ouais, c'est vrai….Faut dire qu'en bossant au milieu de tout ces bouquins.
- Et elle est plutôt mignonne. Glissa insidieusement le cadet.
- Euh…Ah, bon ? Tu trouves ?
- Edward…
- Eh ! Va pas t'imaginer n'importe quoi !!!
- Moi, je m'imagine rien ! Je regarde c'est tout !
Des chuchotis furieux de la part des autres usagé de la bibliothèque leur intimèrent de parler moins fort. Ils déposèrent leurs trouvailles sur la table de la salle de travail particulière à laquelle ils avaient droit du fait de leur statut d'alchimistes d'état. La jeune fille les attendait devant l'entrée. Elle n'avait pas ôté son uniforme, jugeant que ça n'en valait pas la peine pour une demi-heure de pause et avait juste revêtu un lourd manteau de laine noir par-dessus.
- Au fait, comment tu t'appelles ?
- Cassis Franz.
- Franz ?
- Oui, pourquoi ?
- Rien…on a entendu parler d'un Alexander Franz mais c'est sûrement un hasard.
- C'est mon cousin.
- Vraiment ?
- Ben, oui…Le fils de mon oncle…Euh…Ca m'étonne pas qu'on parle de lui, c'est un alchimiste incroyable…
- Oui…en fait…
Edward ne savait pas comment lui dire que son cousin était mort en tentant une transmutation humaine. Ils voyaient encore Vanity de temps en temps. Elle était heureuse depuis son mariage et elle s'occupait bien de ses mômes. Ils allèrent s'installé dans le café le plus proche et commandèrent des boissons rafraîchissantes.
- Alors t'es la cousine d'Alexander Franz ? T'es aussi doué que lui ?
- Euh…peut-être pas…en fait , ça m'intéresse…venue travaillée à Central…Les livres…
Elle but précipitamment un gorgée de sa limonade pour cacher sa gène et avalant un peu de travers , fut prise d'une quinte de toux.
- Eh ! Ca va ? Pas besoin d'être aussi nerveuse.
- Je sais mais je peux pas m'en empêcher.
- Tu es venues travailler à Central pour les livres , donc.
- Oui…Mes parents m'ont donné de quoi vivre mais pour le matériel de mes recherches , je dois travailler.
- Ouais , j'imagine que c'est pas simple…Si tu veux , tu peux essayer de passer les examens pour devenir alchimiste d'état…Tes recherches seraient payées par l'armée.
- J'y…je n'y tiens pas…Je pas sure d'être capable…et puis , on exigerait des résultats et…j'ai reçu un héritage , il y pas longtemps. Le père d'Alexander est mort. Je sais pas pourquoi il a penser à moi.
- C'est comme tu veux.
- Merci pour le verre mais je dois y aller…
- Ta pause n'est pas terminée.
- J'ai quelque chose à faire.
- Ben , d'accord…On se reverra sûrement…
- Oui , sûrement.
Elle sortit , ramenant son manteau autour d'elle.
- Donc récapitulons…Très gentille , s'y connaît en alchimie , mignonne.
- Si elle te plait tant , fait lui la cours !
- Je crains que mon armure ne me facilite pas la tâche. Et puis , ce n'est pas de moi qu'il est question…Tu es l'aîné , après tout.
- Grrr…
- Pas la peine de grogner. C'est pas comme si j'avais dis que t'étais si petit que…
- QUI EST-CE QUI EST PETIT ?
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Bon , voilà , l'autre qui se mettait à gueuler et son petit frère qui se marrait comme une baleine . Envy soupira reposant ses jumelles et étirant ses jambes engourdies d'être resté trop longtemps au même endroit. Comment vous l'aurez compris , il se retrouvait , une fois n'est pas coutume , à espionner les deux frères alchimistes , au lieu d'aller les découper en fines rondelles comme il en aurait eu envie. Surtout depuis que ces deux …Bip…de ses fesses avaient aidé l'autre connasse de Vanité et ce sale morveux de ses …Bip…de Wrath à s'échapper.
Et où étais passé l'autre gros plein de soupe ! Il était censé resté sur le toit ! Bon sang , il était vraiment intenable et on aurait dit que Lust ne faisait plus rien pour le calmer. Pourvu qu'il ne fasse pas trop de bêtise.
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Cassis Franz était retourné dans la bibliothèque et s'était installée dans un coin entre deux étagère , pour finir son livre du moment. Elle se demandait pourquoi ces deux garçon s'intéressaient autant à la petite Lune. Elle pourrait peut-être en discuté avec eux. Ils avaient l'air très gentils.
Une ombre s'abattit sur elle. Cassis releva lentement la tête , priant pour que ce ne soit pas sa supérieure qui ne supportait pas de la voir lire au travail. Elle pourrait lui objecter que c'était sa pause mais ce serait quand même embêtant. Ce n'était pas sa supérieure mais un gros bonhomme à l'allure enfantine qui la regardait en souriant. Elle se releva précipitamment. Pas qu'elle ait peur mais elle trouvait gênant d'être assise par terre devant un inconnu.
- Bon…Bonjour… Puis-je vous aider ?
Le sourire du bonhomme s'élargit encore. Elle jeta un coup d'œil à sa montre. Sa pause était presque terminée.
- Hum…Si vous avez besoin de quelque chose , vous n'avez qu'à m'appeler. Je m'appelle Cassis. Dit-elle en s'éloignant.
Il la suivit. Elle fit mine de ne pas s'en rendre compte mais quand il l'attrapa par le bras , elle fut bien obligé de le regarder.
- Oui ?
- Cassis est beau.
Elle sourit. Elle se dit que ce n'était qu'un gosse en fait.
- Merci mais je suis une fille alors il faut dire « Cassis est belle ».
- Cassis est belle !
- Et toi , comment tu t'appelles ?
- Gluttony !
- Gluttony ? Contente de rencontrer , Gluttony. Est-ce que tu pourrais me lâcher ? Il faut que je travail.
Il libéra son bras de sa grosse pogne à contrecoeur.
- Si tu as envie d'un livre , tu n'as qu'à me le dire et je t'aiderais à le trouver…
Il fit oui de la tête mais ne précisa pas quel genre de livre il voudrait. Elle l'emmena dans la partie réservée aux enfants , pensant qu'il y trouverait plus vraisemblablement quelque chose de son niveau.
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Envy sentit sa mâchoire s'affaisser légèrement , lorsqu'il retrouva Gluttony assis dans un cercle d'enfant , en train d'écouter une fille qui lisait des contes de fée. L'homonculus de la gloutonnerie l'aperçut et le rejoint l'air tout déçu.
- Tu t'en vas ? Demanda la fille. Tu ne veux pas connaître la fin de l'histoire ?
Gluttony lança un regard suppliant à Envy , qui se dit que comme ça le gros plein de soupe ne serait pas trop dans ses pattes.
- Oh ! Ca va ! Reste donc écouter ces conneries ! La connaît la fin de l'histoire ! Ils se marièrent et ils eurent beaucoup de sale moutard aussi cons que leur parents.
Cassis regarda ce grossier personnage fagoté comme un palmier, quitter la section enfant d'un air éberlué , avant de reprendre le récit là où elle l'avait laissé. Il valait mieux que sa supérieure ne la trouve pas là , sinon elle allait râler que son boulot c'était pas de faire la lecture aux enfants . Même si , en fait , elle n'était pas en tort, vu qu'elle était là pour aider les usager , sans que soit préciser leurs âges.
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Aubépine : Eh , oui ! Me revoilà ! A ceux qui aurait lu « Je m'appelle Vanité en ton honneur » , enchanté de vous revoir ! Et aux autres , bienvenus !
Edward : Et la voilà repartie…Pff…D'abord c'est quoi ces histoire de « Petite Lune ». Où t'as trouvé une idée aussi débile ?
Aubépine : Eh ! Je te permet pas ! J'ai fait des recherches sur l'alchimie ! J'ai même emprunté des bouquins à la bibliothèque et la Petite Lune est une légende tout à fait sérieuse…euh…Une légende sérieuse…Je crois que je viens de dire une phrase nonsensique.
Edward : Tout ce que tu dis est nonsensique.
Aubépine : Mézzant !!!
Envy : Bon sang , je croyais qu'on en avait fini avec cette histoire à la con !
Aubépine: T.T !
Alphonse: Moi , j'aime encore assez bien.
Aubépine « les yeux qui brillent » : C'est vrai ?
Alphonse « regarde quelque chose derrière l'auteuse »: Euh…Je crois que je vais aller…euh…Au revoir !
Aubépine : Mais quel mouche le pique ?
: Le genre qui font boumboum.
L'auteuse se retourne et devient toute blanche.
Kimblee : Je t'ai retrouvé ! Tu ne m'échapperas pas cette fois !
Aubépine : Au secours !!!!!! Si vous voulez que Kimblee m'explose , laissez une rewiew et tapez un 1 , si vous voulez que je m'en sorte in extremis et que je poste le deuxième chapitre , laissez une rewiew et tapez 2 , si vous vous en contrefoutez , laissez une rewiew quand même.
Cassis Franz : Euh…Dé…Désolée de vous dérangez….Mais quelqu'un pourrait-il me dire ce que je viens faire dans cette histoire ?