NDA : Salutations les geeeens !
Je poste cet espèce de prologue juste comme ça pour le plaisir. En fait, j'ai écris une petite suite, mais j'ai déjà deux fictions en cours donc bon, je suis pas sûre de poster souvent pour celle-ci car ce n'est pas du tout ma fiction principale ! D'ailleurs à la base c'est un OS. BREF. Dîtes-moi ce que vous en pensez, si je dois continuer ou pas ! Voilà voilà ! Je vous laisse lire, on se retrouve en bas ! ENJOY. (Je parle trop. J'en suis consciente.)
Disclaimer : Tout appartient à J.K.R, déesse sur Terre.
La passion, la passion est un grand mot. Un mot fort. Un mot sauvage. Un mot brutal. Un mot doux. Un mot d'amour. Un mot de haine.
La passion entraine les tourments et la souffrance. Et lorsque celle-ci est trop forte, elle entraine parfois la folie.
Hermione Granger/Patiente AZBG6, chambre 201. Institut Robertson, section psychiatrie.
« La passion, la passion… » Ne cessait de répéter la jeune fille, assise en tailleur au milieu d'une pièce blanche, ayant pour seuls mobiliers un lit, un bureau et une chaise. Elle se balançait d'avant en arrière, ses mains lui bouchant les oreilles.
La patiente AZBG6 était arrivée il y a de ça un mois. Pourquoi ? Pour avoir tenté de mettre un terme à sa vie. Ou bien pour avoir tenté de faire taire sa douleur.
Elle n'était pas docile, il avait fallu plusieurs hommes en blancs, les infirmiers, pour l'amener à sa chambre le premier jour. Dès que l'un d'eux lui attrapait le bras ou autre un partie de son corps, elle le griffait, mordait ou lui crachait à la figure.
Mais après une dose de tranquillisant, elle était restée sage comme une image, sans expression, les yeux embrumés.
« Et voilà Hermione ! Ta nouvelle maison ! » Lui avait lancé joyeusement le docteur Delarte, Giuseppe Delarte, comme l'indiquait son badge. Un italien, avait pensé Hermione.
La nouvelle pensionnaire avait marmonné quelques paroles inintelligibles. Jamais cette prison pour fous ne serait sa « maison ».
« AZBG6 ! Déjeuner ! » Cria un infirmier à travers l'épaisse porte de métal. Il y avait une chatière, par laquelle il fit passer un plateau. Hermione qui se trouvait face à la fenêtre, pivota. Encore de la purée infâme et un steak semblable à de la semelle de chaussure.
« Ma nouvelle maison hein ? Laissez-moi rire ! Je suis humaine ! J'ai un nom et un prénom vous savez ! Et si vous pouviez éviter de me parler comme à un chien espèce d'ours sans cervelle ! » Hurla la jeune fille en retour.
Elle était lucide et elle le savait. Les médecins aussi, mais il y avait des moments d'absence, d'espèce de skyzophrénie. Les docteurs utilisaient cette excuse pour la garder. Et quelques fois, ils la droguaient lorsqu'il y avait des inspections. Dans ces moments, elle ne connaissait plus son propre prénom. Elle ne faisait que gazouiller quelques paroles que personne ne prenait le temps de déchiffrer. Pour les regards extérieurs, la Grande Hermione Jane Granger, meilleure amie de Harry Potter, n'était plus que l'ombre d'elle-même. Même pour ses (ex-) meilleurs amis. La jeune femme avait un réel problème, mais pas celui dont tout le monde la croyait souffrante.
Hermione se releva, s'étira et elle avança vers les barreaux de sa fenêtre. Le soleil brillait, les oiseaux chantaient, dehors se trouvait l'homme dont elle s'était éprise.
L'homme pour lequel elle avait tué, celui pour qui elle avait tout donné, pour qui elle avait menti. Cet homme qui l'avait emmené dans cet asile de fous, l'abandonnant avec sa solitude. Ces mensonges la rongeaient de l'intérieur, elle y pensait si souvent qu'elle finit par y croire. Elle avait voulu mettre un terme à cette masquarade en se suicidant de manière moldue. Hermione leva les yeux vers le soleil, cette lumière aveuglante lui rappelant ces cheveux blonds qu'elle avait effleurés du bout des doigts. Puis elle inspecta le ciel qui n'arrivait pas à se décider entre le bleu ou le gris aujourd'hui comme ces yeux dans lesquels elle s'était tant de fois perdue. La jeune fille ferma les yeux laissant le peu de soleil lui réchauffer la peau. Puis elle pensa à ces fines lèvres au goût divin.
Drago Malefoy était le fruit défendu. Et elle avait voulut le goûter. Maintenant, elle s'en mordait les doigts.
NDA : Je ne sais pas ce que vous en avez pensé. Est-ce assez clair ? Enfin oui, c'est normal si vous n'avez pas trop compris pourquoi elle est dans cet hôpital. (C'est le but, je vous rassure ! :D). Mais si vous avez trouvé ça trop embrouillé, faites m'en part ! Dois-je mettre la suite en ligne ? Avez-vous aimé ? Ou pas du tout ?
Dîtes-moi tout avec ce petit bouton magique REVIEW, ça ne prends pas beaucoup de temps un petit mot. OU un grand hein hohoho. Mais ça fait très, très plaisir. Voilà ! Bonne nuit ! Ou journée hein :B.
