Note : Les personnages de Fire Emblem ne m'appartiennent en aucun cas.

Rated : " T " car parfois violence verbale, et futures scènes de Yaoi.

Couple : Tibarn/Reyson. Pairing que j'affectionne depuis que j'ai fini Path of Radiant il y a de ça presque 5 ans.

Bien le bonjour à tous le monde ! Ça faisait bien longtemps que je n'avais pas posté ! Oh ne désespérez pas, quand il s'agit de Tibarn et Reyson, je finirais toujours mon travail ( Oui oui, même The Kid of Sky aura un ending un jour ! ) En attendant, je vous propose de lire cette nouvelle fic dont j'apporte un soin particulier sur le style, bon ou mauvais. Excusez les quelques fautes d'inattention, je corrigerai au possible !

Synopsie : L'histoire se passe deux années avant l'implication dans la guerre de Daien. Je suppose ici que Naesala subissait déjà des contraintes vis-à-vis des humains.

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Les ordres étaient fais pour être donnés et exécutés. D'un côté comme de l'autre, le poids des responsabilités pouvait tirailler l'exécutant, ou l'exécuteur, et bien souvent un nombre inimaginable de problèmes pouvaient résulter d'un seul et unique ordre. En temps normal, il était au libre arbitre des gens que de choisir la nature de l'ordre, s'il était bon ou mauvais, ou bien d'obéir à ce même ordre ou non. Et Naesala n'avait de cesse que de se dire cette même chose : il avait le choix. Il pouvait se dérober à ces ordres, fuir l'autorité qui tentait depuis trop longtemps déjà de le soumettre, et se détacher pour toujours de ces plans plus odieux et égoïstes de jours en jours auquel il se devait de participer.

Mais malheureusement pour lui, il n'avait pas d'autre option. Ses choix étaient trop limités pour qu'il puisse faire ce qu'il lui plaisait. Il ne pouvait jurer que par deux choses : soit il tuait, soit il se tuait. Et pas seulement lui. Lui, et tout son peuple. Cela devenait trop horrible pour le Kilvas, trop lourd de conséquence, trop abominable à porter seul, définitivement seul … Ces humains le manipulait à leur guise, lui donnait le pire travail qu'il pouvait jamais faire, le poussait au bout de ses capacités, aussi bien physiques que mentales. Mais les ordres étaient les ordres, et si ils n'étaient pas correctement effectués, ses amis pouvaient mourir dans des souffrances peu ordinaires. Alors il devait se battre encore un peu. Attendre que ses commanditaires baissent leur garde, et frapper vite et fort, leur enlever à jamais la possibilité de faire d'un autre Laguz leur marionnette docile, quitte à ce qu'il en perde la vie …

Naesala grogna ouvertement lorsqu'entra dans son bureau l'humain avec qui il avait rendez-vous ce jour là. Assis dans un fauteuil de velours marine assortit à ses ailes, le Kilvas dû rapidement se rappeler à l'ordre en voyant l'expression peu satisfaite de son visiteur. Alors il se leva, joignant son geste par un simple salut, puis baissa l'échine en s'écartant de quelques pas du bureau. L'homme ne changea pas d'expression, et vint le plus naturellement du monde prendre place devant l'immense bureau du Corbeau, d'où il dirigeait administrativement son royaume. C'était une habitude humaine que de se croire tout puissant, alors Naesala le laissait se croire maître des lieux sans pour autant lui même le considérer comme son souverain. Question de protocole, il fallait flatter l'ego de ces pourritures pour ne pas trop se faire taper sur les doigts. Mais ce jour là, le Corbeau savait qu'il allait passer un mauvais quart d'heure. Alors il se contenta de passer sa main dans ses cheveux, et de sourire.

" - Qu'est ce que j'apprends, Naesala ?

- Je ne sais pas. Quoi donc ?

- Ne fais pas l'innocent, imbécile ! Je t'avais demandé d'intercepter ces navires de marchandises du duc de Sirias, et voilà que ce sont ces bâtards de Phoenicis qui arrachent mon butin ! Qu'as-tu à répondre à ça ?

- Je vous l'ai déjà dis. Mes troupes n'affrontent pas les Faucons. Nous n'avons aucunes chances contre eux, et même bien organisés, ces raids contre les navires de Begnion sont dirigés par Tibarn, contre qui vous même vous ne pouvez rien. "

L'humain ria. D'un rire gras, sonore et hautain. Le Laguz aux plumes noires ferma les yeux. C'était très mauvais signe, à la fois pour lui, pour son peuple, et pour ses voisins Faucons.

" - Tu me fais rire, Naesala, toi et ton incompétence ! Après tout, tu n'es qu'un sous-humain. Rien est impossible pour moi, tu le sais. Et si je voulais exterminer ces sales Faucons, je le ferais en une nuit, comme nous avons fait avec ces bons à rien de Hérons de Serenes. Mais tu sais aussi comme je suis occupé, n'est ce pas ? "

Naesala ria à son tour, mais ultérieurement. Ce saindoux de porc, occupé ? Grotesque ! C''était le genre d'humain qui se prélassait à longueur de journées dans ses châteaux pompeux à ne jurer que par ses biens, comptant ses écus tous les soirs, et se payant les services d'autrui pour gérer ses problèmes. Ca le dégoûtait profondément. Depuis plusieurs mois maintenant il commençait à avoir un dégoût viscérale pour ces individus sans une once de morale, qui tuaient qui passait là au mauvais moment, et se perdaient dans la boisson, les plaisirs de la chair, l'or et les futilités. Néanmoins, à la question de l'homme, le Kilvas hocha lentement la tête.

" - Bien. Alors maintenant mon petit Naesala, ta cervelle d'oiseau va devoir sérieusement cogiter à la façon dont tu vas t'y prendre pour que plus jamais, ces vaut rien de Phoenicis n'empêche un détournement de navire. "

Naesala se tût face au délicat problème. Heureusement pour lui, c'était rare qu'il n'ait pour mission de piller un navire qui soit susceptible d'intéresser par la même occasion les Faucons. Une chance, il pouvait donc être plus prudent.

" - Mais tu dis que ces ennuis sont causés par cet arriviste de Roi Faucon, hein ? C'est ennuyeux ça, très ennuyeux. "

Il y eut un silence pesant. Et un sourire carnassier se dessina sur les lèvres de l'humain. Un sourire horrible, de démence pure, mêlé à un regard luisant de porc qui aurait trouvé l'idée du siècle.

" - Et bien il n'y a pas à réfléchir mon petit Naesala ! C'est bien simple : ta prochaine mission sera de nous débarrasser de ce gêneur. Assassine le Roi Faucon, et notre problème est réglé définitivement. "

Naesala se sentit manquer d'air. Comme si sa gorge venait d'anticiper la scène à venir. Lui, tuer Tibarn ? C'était impossible, il n'avait pas suffisamment de force, d'expérience de combat, et Tibarn n'était pas le moins dénué de ruse et de tactique de tous les Laguz. Il essaya de garder son sang-froid.

" - Tuer Tibarn déclencherait la colère des Faucons, et c'est la guerre qui …

- Et alors ? C'est ton problème si ces sous-humains TE déclarent la guerre ! Après tout, c'est normal, c'est bien le Roi des Corbeaux qui aura tué le souverain Faucon.

- … Vous voulez tous nous tuer …

- Quelle importance ? Vous n'êtes bon qu'à être nos esclaves, qu'est ce que vous demandez de plus ? Je te paye, Naesala, et c'est un luxe. Tu devrais moins te plaindre !

- Je me fiche de cet argent, je ne gagne pas d'ors en tuant les miens !

- Très bien ! Alors tu ne seras pas payé en liquide pour ce travail. Que veux-tu ?

- Ma liberté. Vous et les autres sénateurs vous n'êtes que des …

- Tsh ! Fais attention à ce que tu dis, Naesala.

- … Des enfoirés. "

Un cri terrible déchira le demi silence du château. Et immédiatement, le Roi des Corbeaux blanchit, serrant les dents, fermant les yeux. C'était insoutenable que de vivre avec cette épée de damoclès au dessus de la tête. Un innocent, encore, venait de périr.

Le grand Laguz brun croisa les bras sur sa large poitrine à demi nue que sa chemise beige laissait entrevoir. Il souriait. Un sourire franc, qui lui donnait, malgré sa carrure impressionnante, un air dégagé et sympathique. Tibarn avait beau avoir l'allure d'un soldat aguerri avec toutes ces cicatrices sur sa peau, sa taille frôlant les deux mètres de haut, et son regard d'or indomptable, il n'en restait pas moins un Laguz de bon caractère et d'un physique de tombeur avec moult groupies à ses trousses. Bien sûr, il avait aussi les mêmes défauts récurant liés à son instinct mi animal, bien sûr, s'il était arrivé jusqu'au rang de souverain, ce n'était pas pour rien. Tibarn était fort, très fort, peut être même le plus fort des trois clans Oiseaux réunis. Enfin, ce n'était sûrement pas Reyson qui pouvait dépasser la force, l'agilité et la rapidité du Roi Faucon, et ô grand jamais il n'irait le défier en combat singulier. Comment le pourrait-il ? En temps que Héron, il pouvait à peine se défendre de lui même, alors combattre Tibarn …

Le jeune Prince continua d'observer en silence son compagnon, Roi et ami depuis le balcon de ses appartements. Accoudé nonchalamment à la balustrade, il feignait de respirer un peu d'air marin. Mais du coin de l'oeil, il regardait intensément le Faucon, avec derrière la tête l'idée de savoir pourquoi ce dernier s'était absenté aussi longtemps du château. Il n'avait pas voulu que le Serenes l'accompagne. Et en cette simple phrase, Reyson avait deviné, ou presque, ce que pouvait bien être allé faire le Roi. Tibarn était seul face à la mer. Chose rare, car un Laguz de son rang ne se déplaçait quasi jamais sans être accompagné. Mais visiblement, en cette fin de soirée, il avait laissé Ulki et Janaff et s'était faufilé jusque sur les falaises sans la moindre escorte. Le Prince n'avait pourtant pas retrouvé son ami par hasard. La seule coïncidence était que ses appartements donnaient dans la même direction que la position du grand brun, si Reyson observait son ami ce soir là, c'était bien grâce à ses pouvoirs Hérons. Il avait sentit l'aura de Tibarn dans les parages et intrigué, s'était arrangé pour le surveiller de loin. Il ne se sentait pas gêné sur ce point là, épier le Phoenicis, ce n'était pas la première fois qu'il le faisait. Il ne savait trop pourquoi, mais observer ainsi Tibarn … C'était devenu pour lui un petit plaisir. Il avait l'occasion d'étudier son comportement, ses réactions, ses habitudes, et il savait à présent déceler plusieurs états d'esprits chez son Roi qu'il ne laissait paraître que très peu. Un jeu. Oui, il considérait un peu son admiration pour le Laguz comme un jeu. Il voulait comprendre, et apprendre. Retenir leçon de ses gestes, étudier son style de combat, sa façon de mener bataille, ou même ses relations politiques. C'était une envie chez lui, ressembler à Tibarn, être fort, comme lui, influent, et respecté et non plus chétif et surprotégé comme il l'était … Il voulait protéger sa nouvelle famille, rendre la pareille à ses amis qui avaient risqué leur vie pour lui et son père et pouvoir enfin se débarrasser de son incessant sentiment de faiblesse qui le tiraillait jours comme nuits

Reyson remis une de ses mèches de cheveux blondes derrière son oreille en soupirant, quittant du regard son ami au loin visiblement plongé dans ses pensées. L'air était frais, et le soleil en déclin ne faisait pas remonter la température. Alors le Serenes rentra dans sa chambre et attrapa une veste plié sur une chaise. Le temps de l'enfiler, lorsqu'il retourna sur le balcon, Tibarn avait déjà disparu. Surpris de ne plus le voir alors qu'il sentait toujours son aura, le Prince pencha la tête sur le côté, perplexe.

" - Bonsoir Reyson. "

La voix familière derrière le Héron ne l'empêcha pas de sursauter violemment, se retournant en un quart de seconde vers la source de son effroi. Là, appuyé contre le battant de la grande porte du balcon, Tibarn sourie au jeune Serenes. Et c'est soulagé que le Laguz aux plumes blanches rendit un timide sourire au grand Faucon.

" -Tibarn … Tu … Tu m'as fais peur. "

- Désolé. Je ne voulais pas, mais tu m'es passé sous le nez sans me voir. "

Une fois encore, Reyson pencha la tête sur le côté, d'incompréhension. Avait-il était si distrait qu'il n'avait ni vu ni entendu le Phoenicis se glisser dans ses appartements ? Il le croyait à peine. Mais comprenant le regard surpris du blond, le Roi Faucon, d'un léger coup d'épaule, se redressa de sa position et jeta un oeil derrière lui.

" - J'ai été un peu trop rapide pour toi. Mais tu devrais faire plus attention Reyson, on ne sait jamais.

- Mis à part toi, qui pourrait avoir idée de passer par le balcon ? Jusqu'ici, tous le monde a préféré frapper à la porte pour me voir.

- Mmh, parce qu'en plus il faut être annoncé ? "

Ils échangèrent un regard amusé. Mais tous les deux n'éprouvaient pas tout à fait la même chose en fixant le regard de l'autre. Reyson avait, malgré son physique délicat, tendance à montrer du caractère et dans ses yeux d'un vert émeraude du plus magnifique se reflétait plus souvent la détermination et le désaccord que la sensibilité et la soumission. Tibarn n'en était pas moins caractériel, et de son regard doré, puissant et profond il était capable de rendre mal à l'aise n'importe qui d'un seul regard un peu amère. Mais l'effet contraire était aussi tout à fait possible. Et entre eux, c'était une autre expression qui se dessinait sur leur visage.

Le regard amusé du Faucon laissait plutôt paraître un léger côté attendrit que le Serenes avait appris à déceler, mais l'expression de son ami le troublait. Le fixant du regard, Reyson prenait alors sur lui pour ne pas paraître déstabilisé, et avec un sourire de nouveau timide, il le regardait amicalement. Mais il y avait une chose qui les troublait tous les deux, une seule. Une fois leur regard croisé, une fois qu'ils fixaient chacun les yeux de l'autre, ils pouvaient rester planté ainsi plus d'une minute, le sourire aux lèvres. Aucun ne comprenait pourquoi ils étaient si fasciné, si absorbé dans la contemplation d'un simple regard. Peut être leur respect réciproque forçait une certaine admiration. Tibarn aimait le regard franc et luisant du Héron. Il avait vu son ami pendant longtemps avec des expressions comme la peur, le doute, la gêne, la fatigue, ou même le désespoir. Le regarder changer peu à peu de regard avait réveillé en lui un engouement nouveau, une sorte de plaisir à contempler le travail qu'avait fournie le Serenes pour s'adapter à sa nouvelle vie. De son côté, Reyson avait depuis toujours admiré le regard de son Roi. Il n'y lisait jamais peur ni inquiétude, il brillait toujours dans ses yeux la bravoure, le courage et la force. Tant d'expression qui fascinaient le Prince, le doré de ses pupilles donnant un côté sauvage à ce Laguz qui se battait pour sa liberté et celle des siens, y compris pour lui.

Un long moment s'écoula, tous deux n'ayant pas vraiment conscience du temps qu'ils mettaient à étudier leur expression réciproque. Tout ce qu'ils savaient, c'était qu'ils éprouvaient beaucoup de fierté.

" - Humph … Euh … Tibarn … ? "

Le grand Faucon se réveilla de son admiration ultérieur et tourna d'instinct la tête vers la voix nouvelle. Il y trouva, du côté des appartements de Reyson, Janaff, debout sur sa gauche, abordant un air un peu gêné.

"- Err, désolé de vous dérangez, mais comme vous n'avez pas l'air de m'avoir entendu ... "

Tibarn laissa échapper un bref soupir, tendis que le Héron commençait sérieusement à se dire qu'il devrait être plus attentif à son environnement. Mais cette fois ci, il avait une excuse, car son Roi lui même n'avait pas entendu venir le Faucon.

" - Oui Janaff ?

- On aurait besoin de ton aide heu … Dehors. "

Le nouveau venu pesait ses mots, et le brun ne mit pas dix secondes à deviner le sujet de sa visite. Il leva d'ailleurs les yeux au ciel, déconcerté par la présence d'esprit de son ami, sans parler de sa discrétion. Certes, il était parvenu à le surprendre, mais sa façon d'annoncer les choses étaient plus que douteuses.

Et Tibarn ne pût manquer l'air peu convaincu que lui lançait Prince Héron. Pas besoin de mots. Il savait d'avance qu'il brûlait d'envie de lui demander pourquoi il était si important que sa Majesté aille faire un tour dehors, mais le jeune Laguz savait tout aussi bien que sa question resterait sans réponse. Ce fût au tour de Reyson de pousser un soupir, sonnant comme une marque de lassitude. Le Serenes se détourna d'ailleurs immédiatement des deux autres, allant prendre place près de la fenêtre. C'était étrange. Étrange de voir combien Reyson s'était fait une raison : quand Janaff parlait à son Roi en bégayant, c'était que l'affaire qui les concernait ne devait pas arriver jusqu'à ses oreilles de Héron. D'ordinaire pourtant, le blond n'était pas du genre à se laisser écarter de la sorte, bien au contraire, il insistait. Mais il y avait à présent dans son regard émeraude un fond d'amertume. Il était vexé, probablement, de ne pas pouvoir savoir ce que ces deux là fabriquaient. Tibarn le savait.

Et ce soir là, en voyant le Prince accoudé au rebord l'oeil dépité, mordant une de ses mèches dorées, il sût qu'il devait lui parler de ses agissements une bonne fois pour toute. Ne rien cacher à son ami ne pouvait qu'être la marque de sincérité la plus honorable qu'il ne lui ait jamais faite. Alors il se le jura, être franc valait mieux que mentir. C'est ainsi que ses bottes noirs et blanches crissèrent de nouveau sur le parquet ciré du petit salon réservé à son protégé, lui faisant relever la tête par la même occasion. Et de ses yeux magnifiques, il lui promit ultérieurement, la main sur sa lourde ceinture, qu'il allait lui dire.

" - Reyson, si ça ne te fait rien, j'aimerai te voir dans mon bureau d'ici une demi-heure. "

Le Prince afficha une mine surprise, étudiant avec plus d'intérêt l'expression droite de son Roi sans pour autant déceler le fond de sa pensée. Généralement, quand Tibarn avait quelque chose à lui dire, il le faisait. Sans prendre en compte le lieu ou le moment. Mais ce soir là, il le convoquait bel et bien pour un entretien, et c'était une première. Feignant la discipline, il hocha lentement la tête. En réalité, il ressentait en lui une immense impatience.

" - J'y serai. "

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Note de l'auteur : Voilà pour le premier chapitre ! Le second est en cours, mais j'aimerai bien quelques encouragements. ;)