Voici donc le début de 2 roses pour deux Hommes (le titre reste pour l'instant provisoire) inspiré de Twilight qui appartient bien sur à la très grande Stephenie Meyer. Pour l'instant 7 chapitres sont écrits mais j'attends de voir les premières impressions. J'accepte toute critique sauf celle non constructive (la petite croix rouge en haut. Merci.).
J'espère que cela vous plaira et merci de mettre vos avis plus loin. =D
Chapitre 1.
Déjà deux années.
Cela faisait deux ans que nous n'avions plus de nouvelles de ma cousine. Du jour au lendemain, elle avait disparu, sans un mot, sans aucune explication. Certaine personne pensait qu'elle était morte, d'autre qu'elle avait fugué, mais pour allé ou ? Je me rappelle comme si c'était hier, nous étions si proches elle, ma sœur et moi. Elle devait avoir vingt-cinq ans aujourd'hui. Ses affaires, vêtements et meubles n'avaient pas bougé depuis. Je quittai la cuisine, en déposant ma tasse de café sur le plan de travail. Je n'étais pas rentré dans sa chambre depuis que la police avait essayé de trouver des indices. Pourtant ce matin, j'ouvris sa porte. Son odeur était toujours présente, son parfum à la rose rouge baigné toute la pièce. Je m'installai sur son sofa et pris sa veste préféré. Une goutte d'eau apparu soudain sur le gilet.
_ Qu'est-ce que tu fais là ? dit ma sœur en s'arrêtant devant la porte.
_ J'en sais rien sincèrement. Mais j'ai pas pu m'en empêcher aujourd'hui.
_ Je sais. Elle me manque aussi.
Ma sœur s'assis à côté de moi et me pris dans ses bras. Je fondis en larmes, cela faisait bien longtemps que cela n'était pas arrivé. Elle me serra fort contre elle, et bien qu'elle ne dépassait pas mon épaule, elle su me réconforter avec ses mots et ses gestes.
Alice avait deux ans de plus que moi, pourtant on l'avait toujours prise pour la plus jeune. Même encore aujourd'hui alors qu'elle avait vingt-quatre ans. J'adorais tous d'elle. De sa coupe aux cheveux noirs un peu folle, ses yeux bleus azur profonds, son teint a la couleur crème, jusqu'à sa joie de vivre démesuré. Elle faisait des études de stylisme et moi de photographie. La mode avait toujours était le péché mignon d'Alice. Rien qu'à voir son dressing j'en avais le tournis.
Je me rappelai qu'aujourd'hui elle devait se faire une journée à Seattle à faire les boutiques.
_ C'est bon, laisse-moi. Vas-y, après il y aura trop de monde sur la route. Tu m'appelles en arrivant s'il te plaît. Lui dis-je en me reculant. Il est déjà huit heures.
_ Tu es sur que tu vas tenir le coût. Je peux rester si…
_ Non, la coupais-je. La nouvelle collection n'attend que toi. De toute façon je dois passer à la réserve.
_ Bon. Tu peux venir avec moi aussi.
_ Alice. Tu sais très bien que je n'aime pas faire les boutiques et surtout avec toi.
_ T'en aurais bien besoin. Regardes comment tu t'es habillé aujourd'hui. Un sac à patate aurait beaucoup plus la cotte que toi.
Elle se leva, me fit une bise sur mon front en un geste tendre. Puis partie. Je savais que je ne la verrai pas avant se soir, chez Charlie.
A mon tour je me levai, pour quitter cette chambre pleine de souvenirs. Je fermis la porte et alla chercher mes clés de voiture. Installé sur mon siège, je fis démarrer mon antique Chevrolet rouge à plateau. Sur le chemin de la plage, je pensai au passé si heureux que nous avions eu peu avant que ma cousine ne s'évanouisse dans la nature.
Deux ans plus tôt.
J'étais installée sur le canapé du salon à zapper les chaînes de la télévision, pendant qu'Alice parlé au téléphone avec une amie sur un certain défilé de Paris, ou je ne sais trop quoi, nous étions un samedi après-midi.
La porte s'ouvrit brusquement sur une Rosalie sautant de joie. Alice et moi-même lâchâmes se que nous étions en train de faire pour nous retourner sur notre cousine.
_ Vous allez jamais me croire se qui viens de m'arriver ! Je crois que je vais exploser tellement c'est fou.
_ Raconte. Raconte. Ajouta une Alice aussi folle que la première.
Nous nous tenions toutes dans l'entrée debout à attendre enfin le début de son récit. Je devais dire que voir Rosalie joyeuse c'était extrêmement rare de puis son histoire abominable avec son fiancé, elle souriait très rarement. C'était même à cause de son histoire qu'elle avait voulu tous quitter, sa famille, ses amis de New York pour venir s'installer avec ma sœur et moi dans un appartement à Forks. Elle essayée de vivre normalement, elle avait trouvé un job de vendeuse dans un magasin de vêtements. Elle se reconstruisait tout doucement.
_ Ce matin j'étais parti faire mon footing sur la route à côté de la forêt comme toujours. Il y a jamais personne, que très peu de voiture, pourtant se matin j'ai senti que quelqu'un me regardait. Puis je me suis arrêté à côté du Lac comme toujours pour me reposer. J'étais tranquillement installé sur un banc quand, je ne sais d'où, y à un mec qui a apparu de nulle part. Bon sur le coup j'ai hurlé parce qu'il m'avait fait peur puis il m'a dit que tout allé bien, il c'est présenté puis on a commencé à parler.
Elle décrivit son récit comme si elle y été encore. On s'installa dans la cuisine, sur les tabourets autour du comptoir.
_ J'avais jamais vu un mec aussi beau, je veux dire j'en ai déjà vu des pas mal, mais lui il a un côté dur avec son physique des plus impressionnant mais il a une tendresse dans ses yeux nuit noirs… Mais je m'égare, on a discuté tous le reste de la journée. Il n'est pas du coin. Il est juste là avec un de ses frères apparemment pour la montagne ou la chasse enfin il ne doit rester là que deux jours. Il habite en réalité l'Alaska avec sa famille.
_ Mais, excuse-moi si je te coupe, mais pourquoi t'es si heureuse ? La coupais-je.
_ He bien… Je pense que j'ai eu un coup de foudre. Depuis Royce je suis jamais ressorti avec un homme parce que je n'avais pas confiance. Mais là, au premier mot qu'il a dit, au premier regard qu'il à posé sur moi, j'ai su qu'il était pour moi. C'est bizarre mais on a parlé pendant au moins huit heures sans s'arrêter ou même sans être mal à l'aise. C'était comme si j'avais enfin retrouvé ma place sur la planète. C'est difficile à expliquer mais je suis tous simplement bien en sa présence.
_ Waouh ! Et, tu vas le revoir bientôt ? Demanda Alice tout excitée.
_ Se soir. Il m'a invité à un resto à Port Angeles.
_ C'est trop bien je vais pouvoir te pomponner, va falloir que j'aille dans mon dressing te chercher une de mes robes. Ho ! On prendra une de tes paires d'escarpins et...
Alice continua son monologue debout en tournant autour de nous sous les yeux d'une Rosalie toute souriante. Mais n'était-ce pas trop précipité ? Elle ne connaissait rien de ce type. Mais, elle affirmait avoir trouvé l'amour.
_ Tu es sur de toi, je veux dire vous n'allez pas un peu vite ?
_ Bella. Je n'ai jamais été aussi sur de moi de toute ma vie, et ce n'est qu'un rencard.
Alice prit Rosalie par sa manche et l'emmena sous la douche afin qu'elle soit plus présentable. De mon côté je restai sur mon tabouret à tourner ma cuillère dans mon café refroidi. J'étais partagé. D'un côté j'étais fière, contente pour elle cela faisait si longtemps qu'elle n'était pas sorti avec quelqu'un ou même qu'elle est cette étincelle dans ses yeux bruns. Mais, si cette soirée ou même aventure ce finissait mal, en sortirait-elle encore plus fragile qu'elle ne l'était aujourd'hui ? J'avais peur qu'elle ne souffre d'avantage…
Après une heure à faire le ménage dans la cuisine, je vis sortir une Alice toute épuisé mais fière d'elle et une Rosalie plus qu'éblouissante. Elle portait une robe jusqu'au corps, elle était noir du haut du genou jusqu'en bas de la poitrine à partir de là elle était blanche jusqu'aux manches. Le haut de sa tenue était légèrement ouverte afin de dévoilé sa poitrine bien généreuse. Rosalie avait été toujours la plus belle d'entre nous trois. Mais se soir Alice, avait su la rendre dés plus séduisante. Ses longs cheveux blonds étaient attachés en une queue de cheval très haut perchés. Son maquillage était simple, juste du rouge vif sur ses lèvres. Un long collier pendait le long de son cou, et une paires de chaussures agrémentait le tous. D'ailleurs ses chaussures me disaient quelques choses.
_ Alice tu n'as pas osé. Mes chaussures!
_ Ca va Bella. C'est pas comme si elle allé monter une montagne avec. Et puis j'ai de trop petit pieds pour qu'elle puisse les mettre. Elle te les rendra. Me répondit Alice avec moue dont je ne pouvais résister longtemps, et elle le savait. Zut alors…
_ Bon très bien. Puisque je n'ai pas le choix.
_ Merci. Bon je vais devoir vous abandonner. Rosalie vint nous enlacer chacune notre tour, puis prit la voiture d'Alice, et parti.
Aujourd'hui
Elle n'avait plus jamais donné de vie depuis. La police n'avait pas pu retrouver se mystérieux jeune homme, puisque Rosalie ne nous avez pas dit son nom, ni même son prénom.
En un temps record, j'arrivai devant la maison de Jacob. Nous devions passer la journée ensemble. Jake était mon meilleur ami depuis des années. Je le considéré comme ma seconde famille, bien que lui attendais plus de ma part.
Je coupais le contact de ma camionnette et mis un pied à terre.
_ Bella ! Cria une voie familière.
Déjà j'étais dans ses bras monstrueusement forts et ne touchés plus le sol.
Il faisait partie de la réserve indienne Quileute. Jacob du haut de ses vingt ans mesuré deux mètres, il possédait une musculature à en faire envié plus d'un, même un athlète ressemblait à une brindille à côté de lui. En comparaison à moi il avait un teint halé. Ses cheveux de jais étaient longs et lui arrivés à mis épaules.
Alice m'avait dit plusieurs fois « Laisse-lui une chance. Il en crève d'envie. Et ça ne te ferait pas de mal de sortir avec quelqu'un pour une fois. » Mais je n'arrivais pas à le voir autrement qu'un petit frère adoptif.
_ Alors ? Qu'est-ce que tu veux faire? Et ne me dit pas se balader au bord de la plage, je sens plus mes jambes.
_ Pourquoi ? T'as encore des poussé de croissance à ton âge ? Plaisantai-je.
_ Haha ! Très drôle. Non j'ai voulu repeindre mon garage hier, et je me suis cassé la gueule. Me répondit-il le plus sérieusement possible.
Pourtant j'explosai de rire rien que d'imaginer la scène. La journée se déroula tranquillement. Nous occupâmes la matinée à essayer de peindre son garage, bien que cela finassâmes en bataille de peinture rouge et noir. Je fis à manger le midi pour lui et son père qui nous avez rejoins après que nous nous soyons débarbouillés. L'après-midi passa sans que je pense à la date d'aujourd'hui. Pourtant un sms d'Alice me ramena à la réalité.
« Arrivé chez papa. On t'attend depuis une demi-heure. Alors à moins que tu ne sois morte ou dans le lit de Jake ramènes tes petites fesses roses ici ! »
Je me levai du canapé, et arrêtai le dvd que Jacob m'avait forcé à regarder avec lui, alors qu'il c'était endormit depuis un moment déjà. Il était installé sur l'autre côté du canapé, la bouche ouverte avec une légère goutte de bave qui dépassait de sa lèvre. Il ressemblait à un bébé en train de faire un beau rêve dans cette position. Je me penchai pour lui faire une bise sur sa joue quand il tourna brusquement sa tête. Il ouvrit brusquement les yeux et nous nous fixâmes pendant se qui me paru une éternité dans la même position, avant que je me recule avec rapidité de lui, avant de me cassé la figure dans la table basse derrière moi.
_ Bella ! Tu vas bien ? dit-il en se précipitant vers moi.
_ Oui, ne t'inquiète pas. Je suis désolé je ne voulais pas te réveillé. Déclarai-je en me relevant avec difficultés.
_ Tu peux me réveillé quand tu veux de cette façon là. Sourit-il.
_ Je dois rentrer. Alice viens de me biper, je n'avais pas vu l'heure tourner.
_ D'accord, je te raccompagne si tu veux ?
_ Non, ça va aller. Je ne sais peut être pas marcher correctement, mais je sais conduire.
Je le quittai sur cette phrase, plus pressé de rentrer que jamais. Mais comment pouvais-je bien avoir pu l'avoir embrassé ? Peut-être qu'il oublierait. Peut-être que ça ne voulait rien dire. Après tout c'était arrivé par malchance.
J'arrivai enfin chez Charlie, encore empourpré. La voiture de patrouille de mon père était garé dans l'allée, derrière il y avait la Ford KA d'Alice. Puisque Rose avait disparu avec la BMW d'Alice, il avait bien fallu lui en repayé une. Charlie vivait seul depuis que ma sœur et moi avions quitté le nid. Mais on lui rendait visite le plus souvent possible. Tous les samedi soir c'était dîner chez lui, depuis la disparition de Rosalie.
Je passais près de la voiture de Lilice, et je pu voir qu'elle avait bien dépensé son argent du mois. Son coffre explosé. J'ouvris enfin la porte d'entrée, et pus constaté que le désordre habituel de Charlie était toujours présent, ainsi que l'odeur de la bâtisse. Cela sentait toujours le bois de cheminée et la lavande.
_ Quand même ! Tu comptais rentrer quand nous mourrions de faim ! Rouspéta Alice depuis le divan du salon.
_ Non. C'est simplement que je n'ai pas vu l'heure tourné, et Jake ne voulait pas me lâcher temps que je n'avais pas vu son débile de film d'action.
_ C'est bon Alice laisse ta sœur. Comment vas-tu Bella ? Me demanda mon père en m'enlaçant dans l'entrée du salon.
Il était toujours le même que dans mon enfance. Une moustache au dessus de ses lèvres. Les cheveux noirs qu'Alice possédait aujourd'hui. Moi j'avais obtenue ses yeux marron. Il n'avait pas enlevé sa tenue de services de Chef de police.
_ Je vais bien papa. Bon je vais aux fourneaux puisqu'apparemment je suis une indigne fille. Répliquai-je.
Je tournai le dos à mon père et ma sœur qui tirait stupidement la langue. Je préparai une tarte à la tomate. Quand je tournis mon visage vers une photo accrochait sur le frigo par un aimant que Charlie avait pris le jour ou Rosalie avait décidé de s'installer avec nous. Elle nous représentait nous, devant la maison de Charlie. Alice à gauche sur la pointe des pieds afin de ne pas être encore une fois la plus petite, elle souriait bêtement. Rose était à droite, le regard lointain. Quand à moi, je me tenais au centre enlacé par mes deux amies, regardant l'objectif avec un demi-sourire. Je n'entendis pas la présence de mon père dans mon dos jusqu'à se qu'il me caresse tendrement ma joue comme à une enfant qu'on aurait essayé de consoler.
_ Ma puce. Je peux faire à manger si tu veux. Je sais quel jour nous sommes. Je n'ai pas oublié. Alors laisse.
_ Papa. On c'est très bien toi et moi que tu ne sais pas faire à manger. T'es même pas capable de réchauffer une boîte de pâtes. Reniflai-je.
_ Et ! Dit-il en se reculent pour mieux me voir. Tu sais que je pourrais t'arrêter pour outrage à un agent de police.
_T'en ai même pas capable papa. Dit Alice sur le pas de la porte. Moi oui. Mais pas Bella. Elle a toujours était ta chouchou.
_ C'est que mademoiselle est jalouse. Vas plutôt mettre la table au lieu de dire des bêtises. Ordonna mon père.
_ Bien chef !
La soirée se déroula sans problèmes. Mon père nous raconta qu'il avait arrêté un type cette semaine dans un tel état d'ivresse qu'il avait était obligé de l'amener à l'hôpital au lieu de le garder en salle de dégrisement. Alice nous raconta sa journée riche en évènements, d'après elle. Elle avait du faire des coudes et des pieds pour s'acheter une paires de ballerines qu'elle désiré. Elle rajouta qu'elle avait acheté un haut et un jeans pour Charlie ainsi que plusieurs vêtements pour moi. Je leurs raconta ma journée avec Jacob, ainsi que ma semaine à l'école. J'omis de leurs dire mon stupide baiser avec Jake. Alice aurait sauté au plafond en disant qu'il été temps. Et j'en été sur Charlie aurait été ravie aussi. Le père de Jake, Billy Black, était le meilleur ami de mon père depuis mon enfance.
Nous rentrâmes enfin chez nous. J'arrivai la première pour prendre un bon bain pendant qu'Alice rangea tous ses paquets.
La journée toucha à sa fin. Alice et moi étions en train de voir notre série préférée quand soudain elle sursauta.
_ J'ai complètement oublié de t'en parler. Comme c'est bientôt les vacances, en qu'on va avoir deux mois à ne rien faire j'ai eu une idée de voyage. Que dirais-tu de partir en Italie ?
