Le vent souffle et fais rouler ses longs cheveux nostalgiques.

Il la voit pour la première fois depuis si longtemps, si longtemps.

Il voit son sourire désolé, son sourire heureux en même temps. Il voit ce sourire qui n'avait jamais changé, même après tant de temps. Il voit qu'elle voudrait partir, mais qu'elle ne peut pas sortir. Qu'elle aurait aimé plus de temps. Qu'elle aurait aimé passer plus de temps avec lui. Qu'il aurait aimé passer plus de temps avec elle. Qu'il aurait aimé faire plus pour elle, pour lui. Qu'il n'aurait pas dû agir de la sorte, qu'il aurait dû lui montrer ce qu'il ressentait. Qu'il aurait dû briser ce cœur de pierre qui le possédait, pour être heureux, avec elle. Qu'elle est désolée de l'avoir laissé, seul. Qu'elle voit. Qu'il s'en veux.

Il voit qu'il se déteste. Tellement.

« Je suis morte. Je suis désolée. »

Elle sourit et rit. Elle s'en veux. Terriblement.

Il la voit fragile, affaiblie, jamais de cette manière.

Il voit qu'il veux s'approcher pour la réconforter, lui dire que ce n'est pas grave.

Il voit qu'il veux faire tant de choses mais qu'il ne peut pas.

Il voit qu'elle est seule. Qu'il aimerait tant être à ses côtés.

« Doit-on faire nos adieux ? »

Non. Non. Non.

Il voit qu'une larme coule sur sa joue.

Il voit que des larmes souhaitent s'enfuir de ses yeux.

Qu'il est … faible.

'Ne dis pas des choses aussi tristes, ne pars pas' qu'il crie silencieusement.

Mais déjà elle s'éloigne.

Mais déjà elle disparaît.

Mais déjà, voilà la réalité.