Ce jour-là, il n'y avait pas eut qu'une seule mort.
Un unique et fort sentiment déclencheur ; une peur affolante, immédiate, et tout ne fut que péchés, que calvaire. Ce jour-là, à Intense, combien de litres de sang avaient étés versé ? Assez pour cacher épaissement, et rapidement le sol, d'un macabre tapis désagréable, insupportable au toucher, à cause de sa froideur provoquant des frissons à quiconque entrait en contact avec, pâteux et flasque. Ainsi que son odeur épouvantable, au senti de fer rouillé, d'acre. Qu'importe la personne, sa vue ne pouvait la laisser complètement indifférente, la laissant éprouver ne serait-ce que de l'étonnement.
Ignorant la douleur qui lui lacérait le ventre, l'écœurante matière vermeille qui avait repeint à ses couleurs sa tenue et son visage crispé sous le coup d'une souffrance qui devenait insoutenable, il balayait les environs de son iris d'un profond et tourmenté vert aigue-marin. L'homme, bien que dans un état accablant, alertant, prenait garde à rester debout_tant bien que mal_ en appuyant son corps qui paraissait si lourd pour ses pieds, sur le mur le plus prés. Son attention, elle, se pointa subitement sur une once de bleuet, qui se détachait du funeste tableau. Deux prunellesscintillantes, d'une lueur dont milles et une émotions se battaient afin de s'en accaparer.
Leur tueur, l'avait vraisemblablement fait de sang froid. Et nul doute sur son identité, qui était connue par les survivants du camp allié ainsi que par la mort elle-même.
