Auteur : Alita 19

Dislaimer : les personnages appartiennent à JK Rowling.

Rating R

Pairing HP/DM

vega264 : attention à ce que tu dis devant Alita, elle est capable de relever n'importe quel défis ! (tout comme toi t'inkiète pas je le sais lol) bisouuuuuus

Note de l'auteur : Une petite fic pour un essai. Je ne sais pas si je vais réussir ce yuri parce que à vrai dire je n'ai jamais essayé mais bon je dois ça à vega. Oh fait, je suis la seule sur le site à faire en français et en R une Hermione/Pansy ouahouuuu jinogure c tro bien ! mdr par contre ya un auteur ken a fait une en G je crois ke je v aller lire ce que ça donne lol

Titre : Je suis à elle

Chapitre 1 : Seule

Hermione se leva. Il n'était que deux heures du matin mais, les yeux grands ouverts, cela faisait plus de trois heures qu'elle essayait de dormir. En vain. Elle mit donc une robe de chambre et descendit dans la salle commune. Tout était calme.

Elle alla s'asseoir dans le canapé, plongea les yeux dans les flammes qui dansaient dans l'âtre et, remontant ses genoux, elle posa sa tête dessus.

Cela faisait quelques jours déjà qu'elle avait du mal à s'endormir. Beaucoup de choses avaient changées cette année : elle et ses amis étaient à présent en septième année et Harry avait, l'année précédente, échappé une fois de plus à Lord Voldemort, Ron lui avait avoué ses sentiments. Et aujourd'hui, Ron et Harry étaient distant avec elle. En fait, le trio n'était plus le trio. Ron restait avec ses frères, Harry restait toujours seul et elle… elle, elle passait son temps en cours ou à la bibliothèque, ce qui en faisait rire plus d'un.

Hermione se retourna soudain en entendant la porte s'ouvrir. Harry rentra, la tête baissée, silencieux. Mais il du sentir la présence de son amie car il releva rapidement les yeux et la regarda, étonné.

"Heu, bonsoir."

"Bonsoir, Harry."

Et Harry se dépêcha de remonter à son dortoir.

Hermione poussa un soupir et se tourna à nouveau vers les dernières braises qui crépitaient dans un sursaut désespéré. Elle était désolée de ce qui arrivait au groupe qu'elle et ses amis avaient formé en première année. Mais on ne pouvait empêcher les choses d'évoluer.

Oh ! oui. La vie n'était faite que d'embûches et certaines n'étaient pas surmontables. Une larme coula malgré elle le long de sa joue pour venir s'échouer au coin de sa bouche entrouverte sur sa souffrance.

Et elle y repensa alors qu'elle ne s'y attendait plus. Elle se souvint de ce jour où, assise tranquillement sur un banc dans la Grand Salle, elle avait reçu la lettre du ministère de la magie qui lui apprenait que…

Hermione cacha son visage derrière ses mains dans un geste las. Elle était forte, elle le savait, mais jusqu'à quel point ? Perdre sa mère à 16 ans… Etait-ce être forte que de supporter en silence la douleur lancinante que cela incrustait dans la chair de la poitrine ?

Hermione n'en pouvait plus. Elle passait ses journées seule, elle passait ses nuits seule, et son père refusait qu'elle arrêta ses études quelques temps pour se remettre. Il devait avoir raison, cela ne servait à rien de rester chez soi, enfermé dans un monde qui, finalement, n'était pas vraiment le sien. Ici au moins, elle pouvait travailler. Et il y avait le professeur Mac Gonagall aussi qui était là en cas de problème.

Mais jamais elle n'avait encore osée aller la voir pour lui parler d'autre chose que des cours. Elle avait bien remarqué que cela peinait la directrice de sa maison et elle aurait voulu aller lui dire que ce n'était pas de sa faute, qu'elle ne pouvait juste pas parler à l'un de ses professeurs. Aller voir un psychologue ? Elle y avait pensé mais elle n'en avait pas besoin. Elle était mal mais rien qui ne soit de l'ordre d'un psychologue. Et puis, comment expliquer que sa mère avait été tuée par un puissant sorcier qui voulait régner sur terre ? Aller voir l'équivalent d'un psychologue dans le monde sorcier ? Il en était hors de question, et jamais elle ne pourrait parler de ce qui lui trottait réellement dans la tête et par conséquent, cela n'aurait servit à rien.

Les yeux dans le vague, elle sentit que ce soir là, la crise était plus forte que d'habitude. Elle appelait ses insomnies des crises. Parfois, elle dormait parfaitement, d'autres fois, elle avait l'impression que jamais elle ne réussirait à s'endormir.

Mais là, c'était différent. Elle sentait son estomac écrasé sous le poids de la douleur qui venait doucement à elle, en elle. C'était la douleur qu'elle avait ressentie lorsqu'elle avait appris la terrible nouvelle. Et sa gorge se serra. Elle pensa à Ron. Peut-être aurait-elle du lui dire oui lorsqu'il lui avait proposé, il y avait quelques semaines de ça, d'aller au bal avec lui. Elle aurait eu quelqu'un à qui parler aujourd'hui. Mais non, elle ne pouvait décidément pas. Elle n'éprouvait absolument rien pour lui. Et rien que l'idée d'avoir un jour à l'embrasser la révulsait presque.

Hermione se leva, rageant contre elle-même, pas même fichu de trouver un ami.

Elle remonta dans son dortoir et, après avoir maudit les filles qui partageaient la chambre avec elle, elle se recoucha dans son lit. Seulement, elle se tourna et se retourna dans son lit des heures durant, ne trouvant pas le sommeil réparateur qui aurait adouci sa vie le temps d'un rêve.

Puis arriva le moment où elle entendit le réveil sonner. Elle se leva à demi, défigurée par la nuit qu'elle venait de passer, et regarda autour d'elle ses camarades qui se réveillaient elles-mêmes peu à peu, sortant de leur merveilleux sommeil et se racontant déjà le fabuleux rêve qui – oh ! mon dieu ! – avait été interrompue par cette satanée sonnerie.

Hermione ne dit pas un mot et alla à la salle de bain où elle prit une douche brûlante qui ne lui fit aucun bien. Elle s'habilla, comme tous les matins, elle descendit à la Grande Salle seule, comme tous les matins, et alla en cours sans adresser la parole à quiconque, comme tous les matins. Et comme tous les matins, personne ne lui demanda si elle allait bien, personne ne la retint par le bras, personne ne s'intéressa à elle.

Alors, elle écouta le cours de Madame Chourave, se concentrant sur le moindre mot que son professeur disait pour éviter que ses pensées ne divaguent. Les cours de la matinée se passèrent relativement bien par rapport à ce qu'Hermione s'attendait après la nuit qu'elle avait passée. A midi, assise à la table des griffondors, elle remarqua que Harry gardait les yeux baissés, les joues légèrement rouges (heu désolé g pa pu m'en empêcher pour ceux qui me connaissent déjà je pense qu'ils auront compris pourquoi Harry rougit (tirage de langue et clin d'œil en bonne et due forme mdr)).

Hermione fronça les sourcils, ne comprenant pas ce qui prenait à son ancien meilleur ami. Mais elle ne s'y attarda pas. Et elle se dépêcha de manger pour pouvoir poser une question au professeur Rogue avant son cours.

Depuis la mort de sa mère, Rogue acceptait bien des choses venant de la jeune fille. Oh ! bien sûr, si elle lui posait une question, cela ne devait en aucun cas être en public. Il ne le lui avait pas précisé mais Hermione était loin d'être idiote et elle avait bien compris que jamais il n'accepterait de se montrer compréhensif devant ses autres élèves.

Elle se dépêcha donc de se diriger vers la salle de potion.

Mais en arrivant dans le couloir des cachots qui donnait sur cette fameuse salle, elle entendit une voix outrée.

"Non, mais il me prend vraiment pour une idiote !"

"Veuillez vous calmez, mademoiselle Parkinson."

"Ah ! non alors, je ne me calmerais pas ! Moi ! Le demander en mariage devant tout le monde ! Et puis quoi encore ?"

Hermione s'arrêta à quelques pas de la porte de sa salle de cours, abasourdi par ce qu'elle entendait. Bien sûr, elle ne comprenait pas grand-chose de ce qu'il se passait, mais Pansy n'avait pas la même voix que d'habitude et cela suffit à la sidérer.

"Il en est or de question, vous entendez ?"

"Mademoiselle Parkinson !"

Hermione retint son souffle lorsqu'elle vit la serpentarde (heu là g besoin de vous : ça se dit ? ou je doi garder serpentard pour le reste de la fic ?) sortir de la salle d'un pas assuré. Celle-ci fit à peine deux pas avant de s'apercevoir qu'elle se dirigeait droit sur Hermione et elle se figea soudain.

"Granger !"

Pansy avait l'air étonné mais surtout elle n'avait pas l'air de trop savoir comment réagir. Et c'est sans doute parce qu'elle ne voulait pas montrer sa gêne qu'elle fut plus hostile encore que d'habitude.

"Plus je te vois et mieux je comprends pourquoi tu es seule", fit-elle sérieuse et sévère, en faisant glisser son regard d'abord sur le visage de la jeune griffondor puis sur ton son corps.

Et elle s'en fut d'un pas rapide.

Hermione resta plantée à sa place, ne comprenant pas du tout ce qu'il venait de se passer. Et elle regarda Pansy s'éloigner, ses cheveux qui tombaient en cascade dans son dos se balançant légèrement sur la cadence du pas de la jeune serpentarde.

Elle s'aperçu alors que Rogue venait de passer la tête hors de sa salle.

"Vous voulez, mademoiselle Granger ?"

"Heu, oui, je… j'aimerai vous poser une question à propos de la potion que l'on va étudier aujourd'hui, la potion attrape-tout."

Rogue ne pu empêcher un demi sourire d'étirer ses lèvres : Hermione Granger était certainement la seule de ses élèves à deviner ce qu'ils allaient étudier le jour même.

Et voilà bon ba dite moi si je continu ou si vraiment c'est trop nul et que ça vaut pas la peine ke je me lance dans les yuri ! mdr ba voilà, à vous de voter et éléminez… (roulement de tambour) le maillon faible ! ptdr oulà fo ke je me repose moi allez à plus à tous et merci si vous avez lu !