bonjour! ceci est ma premiere fic alors je vous demande d'être cléments... (lol) nan, bon, plus serieusement c'est une fic sur ce que je pense qu'il devrai (ce que je voudrai en fait) qu'il se passe dans le volume 7... pour ceux qui connaitraient cette chanson, l'histoire n'a ( à la base en tout cas parce que je ne l'ai pas finie) aucun rapport avec la chanson "la suite, le milieu, la fin" de la Grande Sophie, quej'adore, c'est simplemment parce que c'est ce qu'est cette fic: la suite, le milieu et la fin...
pour les fans des couples R/He ; Ha/G ; Re/T et Fr/A vous allez être servis... mais surtout pour le couple Hermione/Ron ne me dites pas que j'expedis ça trop vite parce que je pense que six ans passés à se courir après c'est assez pour qu'il se passe (enfin) quelque chose...
bon, sinon les trucs abituels:
Disclamers: rein ne m'appartiens, je fais ça parce que ça m'amuse et c'est tout...
petit résumé du chapitre: à la fin de l'enterrement de Dumbledorre, Ron et Hermione se retrouvent seuls dans le train... Hermione dort et Ron la regarde...
1-Après l'enterrement…
A la fin de l'enterrement de Dumbledore, malgré l'effondrement général, tous les élèves se dirigèrent vers les calèches qui les ramèneraient à la gare de Poudlard, guidés par les quelques professeurs en état de marcher, pendant que les autres personnes présentes se dirigeaient d'un pas traînant vers leurs portoloins respectifs. Des sanglots retentissaient dans le cortège, certains élèves devaient en soutenir, voir porter d'autres. Ron portait Hermione qui pleurait tellement qu'elle était incapable de marcher, Harry avait rejoint Neville, Luna et Dean pour les laisser seuls. Le rouquin murmurait des mots de réconfort à l'oreille de son amie tandis que celle-ci sanglotait silencieusement sur son épaule, les bras sérés autours de son cou. Ils montèrent dans une calèche où étaient déjà assis Harry, Neville, Dean et Luna, aucun d'eux ne parlait ; pour une fois, Luna n'avait pas un air rêveur mais infiniment triste, elle fixait le bout de ses chaussures de ses yeux à présent vides, Neville, assis à côté d'elle ne semblait plus avoir peur d'elle, il avait les yeux rouges et gonflés, il reniflait et avait le regard dans le vide. Harry, en face de Ron et d'Hermione avait les sourcils froncés, il fixait les montagnes d'un air furieux ; Dean avait la tête baissée et titillait sa cravate trempée des larmes de Parvati qui était partie avec sa famille, il respirait bruyamment. Ron caressait toujours les cheveux d'Hermione dont les sanglots s'étaient taris et qui reniflait bruyamment, le rouquin avait aussi beaucoup pleuré et avait les yeux rouges et gonflés, il regardait Harry avec un air inquiet, il craignait que son ami ne fasse une bêtise en fonçant tête baissée sans avoir pris le temps de réfléchir.
A leur arrivée à la gare, Hermione s'était endormie, Ron dût donc la porter à nouveau jusqu'à un compartiment vide, ce qui ne fût pas long puisque la plupart des élèves étaient repartis avec leurs parents. Le rouquin ouvrit la porte du compartiment avec son pieds et déposa délicatement la jeune fille sur la banquette de droite avec pour coussin son pull qu'il avait enlevé et roulé en boule. Après avoir jeté à Hermione un regard attendri, Ron ressorti pour aller chercher leurs bagages. Il s'assit ensuite sur la banquette d'en face, à côté de Pattenrond qui ronronnait bruyamment. Le rouquin regardait Hermione dormir, elle était magnifique, il aurait pût rester des heures à la détailler pendant des heures, ses cheveux bruns en bataille, son nez en trompette, ses délicates petites mains, tout chez elle était magnifique. Il l'aimait, il aimait Hermione, pas comme il aimait Harry, pas comme sa meilleure amie, il l'aimait plus que ça, seulement il avait toujours mis ses comportements excessifs sur le dos de l'amitié, sa jalousie et sa possessivité, il pensait tout simplement que c'était comme avec Ginny, juste pour la protéger, seulement, depuis le début de l'année, il avait commencé à prendre conscience de le portée de ses sentiments.
Hermione fût réveillée par un Coquecigrue surexcité un peu après le passage du chariot de friandises, l'oiseau se mit à voleter autours de sa tête en poussant des hululements joyeux. A première vue, Ron dormait mais quand il entendit la jeune fille bouger il ouvrit les yeux, se redressa et lui sourit faiblement.
-Alors, demanda-t-il d'une voix sereine, bien dormi ?
Hermione s'étirât et bailla avant de répondre :
-oui, merci… mais comment je suis arrivée là ? je ne me souviens pas être montée dans le train… je ne me souviens que de l'… j'ai pleuré sur ton é… la fin de sa phrase mourut sur le bout et elle rougit.
-tu t'es endormie dans la calèche alors je t'ai porté jusqu'ici et je suis sorti chercher nos bagages.
-ah, merci… murmura Hermione en rougissant à l'évocation du moment où elle avait pût se trouver dans ses bras, sentir son odeur, toucher ses cheveux et entendre sa voix grave lui murmurer des paroles de réconfort, lui assurant que ça irai, qu'ils s'en sortiraient. Soudain, Pattenrond la sorti de sa rêverie en essayant de monter sur ses genoux et quand elle se rendit compte que Ron l'observait, elle rougit encore plus et se cacha derrière Pattenrond qu'elle soulevât pour le poser à côté d'elle. Quand elle réapparut, Ron souriait tristement, il paraissant avoir mûrit prématurément, il n'était plus le même rouquin timide, insouciant et maladroit qu'elle avait rencontré dans ce même train six ans auparavant, mais elle ne l'en aimait que plus.
-mes parents m'ont dit qu'en de pareilles circonstances, dit-il soudain, toi et tes parents, vous devriez venir chez nous pour plus de sécurité, tes parents devraient arriver à peu près en même temps que nous à la gare. Comme mes parents ont insisté pour que Fred et George reviennent à la maison tu dormira dans ma chambre avec Ginny, je dormirai dans la chambre de Fred et George avec eux et Harry quand il arrivera, tes parents prendrons la chambre de Ginny.
-ah… euh… d'accord… répondit Hermione prise au dépourvu.
Elle se détourna et se mis à caresser son chat, elle se sentait mal à l'aise avec ce nouveau Ron, sur de lui, mûre et calme, elle n'avait plus d'influence sur lui. Ron, quant à lui, était amusé par la gêne d'Hermione, il avait l'impression de se voir dans un miroir.
Le rouquin alla s'asseoir à côté de la jeune fille qui se sentit rougir jusqu'aux oreilles. Il prit sa main et la regarda dans les yeux.
-Hermione, il faut qu'on parle… maintenant, parce qu'avec ce qu'il va se passer, on aura peut être plus l'occasion de le faire…
-bien, alors vas-y… dit Hermione qui avait retrouvé son assurance en voyant celle du rouquin disparaître.
-et ben… euh… commença-t-il en rougissant, je… voila, dit-il en reprenant son sérieux, 'Mione, je veux dire, Hermione, je t'aime… je t'aime depuis bientôt six ans et je ne m'en suis rendu compte que très récemment, mais maintenant, je sais et je ne peux plus garder ça pour moi.
Hermione ouvrit de grands yeux et Ron de détourna. La jeune fille avait envie de sauter de joie, elle voyait enfin son rêve se réaliser.
-Oh, Ron, dit-elle en souriant, les larmes aux yeux, Ron, je… moi aussi…
Le rouquin se retourna et Hermione lui sauta au cou, elle déposa un long baiser sur ses lèvres et ce fût à Ron d'ouvrir de grands yeux.
-Ron, lui murmura-t-elle au creux de son oreille, moi aussi je t'aime, je t'aime depuis presque six ans maintenant…
Et elle se remit à l'embrasser, Ron forçat la barrière de ses lèvres qui n'opposèrent aucune résistance, elle se leva sans rompre le contact et s'assit à califourchon sur les genoux du rouquin. La jeune fille perdit ses mains dans la chevelure flamboyante de Ron tandis que celui-ci descendait ses mains le long de son dos pour arriver à ses fesses. Ils étaient à présent debout et Hermione enleva son T-shirt à Ron, caressant sont torse musclé du bout de ses doigts, celui-ci mis ses mains sur son ventre et défit les boutons de sa chemise qu'il envoyât valser dans le porte bagage mais quand il s'attaqua à son soutient gorge elle l'arrêta et murmura à son oreille :
-pas maintenant… pas ici…
Ron poussa un grognement de frustration et déposa un baiser dans le cou de la jeune fille avant de se reculer et de remettre son T-shirt, le souffle court. Hermione se mis sur la pointe des pieds pour récupérer sa chemise, la remit et essaya tant bien que mal de remettre ses cheveux en place puis s'assit en face de lui, il la fixât avec des yeux avides pendant un long moment et elle lui rendit son regard.
Au bout d'un moment, Hermione demanda :
-Harry…?
-je pense qu'il a besoin de réfléchir, seul… répondit Ron avec air grave, mais j'ai peur qu'il ne fasse une bêtise pendant qu'il sera seul à Privet Drive.
-moi aussi j'ai peur pour lui… avoue la jeune fille, mais on ne peut pas le forcer à être prudent, tu le connais… et maintenant que Dumbledorre n'est plus là… elle baissa les yeux et le rouquin lui prit la main, maintenant qu'Il n'est plus là, on ne peut pas être sur que Harry fera ce qu'on lui dira…
-c'est bien pour ça que j'ai peur… je ne suis même pas sur qu'il écouterai Lupin… même si en quelques sorte c'est son seul lien avec sa famille à part les Dursley…
-je ne sais pas si je tiendrai le coup, dit la jeune fille d'une voix tremblante après quelques minutes de silence, je ne sais pas si nous tiendrons le temps de la guerre, j'ai peur Ron, dit-elle en commençant à pleurer, j'ai peur pour toi, j'ai peur pour Harry, j'ai peur pour ma famille, pour la tienne, pour nos amis, j'ai peur pour tout le monde… j'ai tellement peur…
Ron se leva et s'accroupit en face d'elle, la main dans laquelle il tenait celle d'Hermione quelques secondes auparavant caressait à présent la joue de la jeune fille. Elle lui sourit faiblement et se jeta dans ses bras pour pleurer sur son épaule, Ron lui caressât tendrement les cheveux en essayant de l'apaiser.
Hermione se réveillât dans les bras de son beau rouquin qui s'était, lui aussi, endormi et n'osa pas le réveiller. Il respirait paisiblement et paraissait aussi innocent qu'un nouveau-né. La jeune fille dégagea une de ses mains de l'étreinte de Ron et se mit à caresser sa joue en souriant tendrement, puis elle déposa un baiser sur les lèvres du rouquin et alla s'installer sur la banquette en face de lui après l'avoir installé plus confortablement.
