Hey hey. Comme vous pouvez le constater je reviens avec une nouvelle fiction (que j'écrirais en même temps que la suite de Keep Me Alive que je n'ai bien évidemment pas laissé tomber et dont le prochain chapitre va arriver très prochainement), différente des autres puisque celle-ci n'inclu pas le Quinntana mais un OC de ma création que vous pourrez découvrir tout au long de cette histoire. En espérant qu'elle vous plaira ! Comme toujours, n'hésitez pas à faire part de votre ressenti en reviews ! Bonne lecture :)

J'arpentais les sinistres couloirs de ce lycée dans lequel j'étais scolarisée depuis deux ans maintenant. Le lycée William McKinley à Lima, dans l'Ohio. Je détestais par-dessus tout cette école de loosers, cette ville de loosers. Je me demandais sans cesse pourquoi j'avais la malchance de vivre dans ce trou paumé et pas à N.Y ou à L.A. Après tout, je méritais grand.
Je m'appelle Quinn Fabray, et j'ai 17 ans. Je suis capitaine des Cheerios, les Cheerleaders de McKinley menée par la grande et tyrannique coach Sue Sylvester. Je tenais à mon titre plus que tout, c'est lui qui m'avait mené en haut de la pyramide hiérarchique, c'est grâce à lui que mes deux amies et moi-même régnons sur toute l'école. Personne n'ose s'élever contre nous, personne n'ose bouger ne serait-ce qu'un cil en notre présence. Ils savent que tous ceux qui ont essayé avant eux n'en sont pas sortis sans représailles. C'est la dure loi du Lycée. Ce sont les Cheerleaders et les Footballers qui y font la loi. C'est ainsi depuis des générations et ça ne semble pas près de changer. Je suis également croyante et présidente du club d'abstinence. En soit, une fierté pour mes parents, Russel et Judy Fabray. Ils avaient toujours voulu que je donne le meilleur de moi-même. Surtout mon père. Il ne supporte pas que je n'excelle pas dans tout ce que j'entreprends. D'après lui, je me dois d'honorer la famille Fabray en étant toujours la meilleure et en étant quelqu'un de fort. Il pense que pleurer est un déshonneur car pour lui on ne doit pas être faible dans la vie. C'est dans ces valeurs que j'ai été éduquée et que je suis devenue celle que je suis aujourd'hui. Et je n'ai aucuns regrets.
Ce jour-là, comme à mon habitude j'étais avec mes deux meilleures amies : Santana Lopez et Brittany S. Pierce. J'avais fait leur connaissance lors de ma première année ici et le courant était tout de suite bien passé entre nous. Brittany était une jeune fille de 17 ans, blonde aux yeux bleus, considérée comme plus grande que la moyenne des filles de ce lycée, et d'une gentillesse débordante. En fait, c'est ce que certains qualifierait de sa simplicité d'esprit qui selon moi la rendait aussi attachante. On ne pouvait pas hausser le ton sur elle, c'était impossible. Tout le monde aimait Brittany. Surtout Santana qui était sa petite amie depuis plusieurs mois maintenant. San, c'était tout le contraire de Britt. Une Latina au tempérament de feu qui n'hésitait pas à envoyer en enfer tous ceux qui osaient se mettre en travers de sa route. On la surnommait Snixx. Et moi, j'étais Ice Queen. A nous trois, nous formions l'Unholy Trinity, un redoutable trio craint de tous. Même si, il y a eu quelques inconscients qui ont osés se dresser contre nous quand mes deux meilleures amies ont officialisées leur relation. Mais, ils n'avaient pas mis bien longtemps à retourner se faire oublier après des représailles bien méritées.

Je faisais mine d'écouter ce que Santana était en train de grommeler en direction d'un élève qui baissa la tête en passant près de nous. Vous vous demandez peut-être si j'éprouve des scrupules à me comporter comme une garce ? Et bien non. J'avais bataillé pour arriver où j'en étais et je n'avais pas l'intention de faire cesser mon règne. Je sursautai quand mon amie claqua des doigts devant mon visage pour me faire réagir, visiblement, j'avais perdu le fil.

Santana : Hé ho Blondie, t'es encore parmi nous là ?

J'hochai la tête nonchalamment.

Quinn : Ouais, ouais. Tu disais ?

Son regard se tinta d'interrogation et s'assombrit relativement, sa propriétaire étant visiblement froissée par mon manque flagrant de concentration.

Santana : Je disais qu'on allait être en retard au Glee Club si tu ne t'activais pas un peu ! Mais visiblement tu as décidé de la jouer tortue jusqu'au bout.

Le Glee Club… Rien qu'à ses mots je dû retenir l'envie de cogner le premier passant. Je ne supportais pas ce stupide club de Loosers dans lequel nous étions contraintes d'aller depuis un peu plus d'un mois maintenant. L'ultime punition, qui était considéré par le proviseur comme une punition éducative et intéressante. Je préfèrerais récurer les chiottes de ce foutu lycée pendant le reste de l'année scolaire que de remettre les pieds là-bas une fois de plus. Coach Sylvester avait bien essayé de le convaincre de nous donner une autre sanction mais celui-ci s'était montré catégorique : c'était ça ou nous étions renvoyées. La raison ? Une bagarre qui a éclaté à la cafétéria entre Santana et des Skanks, une bande de jeunes rebelles paumés. Bagarre dans laquelle Brittany et moi nous étions retrouvées, pour défendre la Latina.
Le Glee Club, c'était la chorale du Lycée, et celle-ci renfermait tous les pires loosers de l'école. Tout le monde se moquait d'eux et leur envoyait des slushies à la figure. Nous y compris. Mais depuis une semaine, j'étais inquiétée par quelque chose de plus grave. San et Britt semblait prendre goût à aimer là-bas, et je n'aimais pas trop ça. Enfin, je réglerais cette histoire si cela va trop loin. Il est hors de question que l'on devienne comme eux. Pas alors que nous sommes les reines de ce bahut.

Je répondis à la Latina d'un air blasé.

Quinn : Ouais, sûrement. Je m'arrêtai. Hé merde. J'ai oublié un truc, continuez sans moi, je vous rejoins au club des ratés.

Santana roula des yeux en râlant et lâcha avant de partir avec sa petite amie en direction de la salle de chant.

Santana : Comme tu veux. On trouvera une excuse pour bouclettes.

Bouclettes, c'était William Schuester, le professeur du Glee Club, qui était également le pseudo prof d'Espagnol (il parlait aussi bien espagnol que j'étais gentille). Il était plutôt cool, mais il avait cette foutue manie de nous faire des pseudos leçons de morales philosophiques pour un rien. En plus du fait de nous faire pousser la chansonnette.

Je fis demi-tour et rebroussai chemin tant bien que mal jusqu'à mon casier, jusqu'à ce qu'un élève me bouscule si violemment que le choc me jeta littéralement dans le décor, faisant ressortir ma part sombre de mes entrailles en une fraction de seconde.

Quinn : C'est quoi ton putain de problème ?!

L'élève en question se tourna vers mois avec un de ces regards assassins qui vous ferait vous faire dessus. Au vu de l'uniforme qu'il portait, il s'agissait visiblement d'un joueur de football que je n'avais encore jamais vu auparavant, et qui par conséquent venait d'arriver. Il devait mesurer un bon mètre 80, brun aux yeux verts, mal rasé et une arrogance indescriptible ornant son visage d'homme des cavernes. Sur le dos de son uniforme était inscrit ce qui semblait être son nom. Jon.

Jon : T'as vraiment du cran de l'ouvrir, traînée.

Je ne comprenais pas vraiment d'où venaient ces paroles et ce comportement qu'il avait envers moi. Avant de me rappeler que depuis quelques jours, certaines pourritures que nous n'avions pas encore identifiées avaient pris un malin plaisir à répandre des rumeurs à mon sujet. Je n'eus le temps de me relever que je le vis s'approcher dangereusement de moi d'un air furieux, visiblement décidé à en découdre. Je sentis pour la première fois une vague de peur m'envahir, j'étais tétanisée par l'aura malsaine que dégageait mon agresseur et je fermai les yeux, prête à recevoir les coups qu'il allait me porter.
Mais au lieu de ça j'entendis un gros fracas et quand je rouvris les yeux, cette brute épaisse avait été projetée dans les casiers sur sa droite.

? : T'as pas honte d'agresser les gens ?

Je tournai les yeux vers cette voix qui ne m'était pas du tout familière et sursautai en tombant presque nez à nez avec une fille que je n'avais elle non plus jamais vu auparavant. Ce qui faisait beaucoup de nouveaux visages en une journée. J'en venais presque à me demander si je n'étais pas en train de rêver. Mais la douleur que me procura le pincement que je venais d'effectuer sur mon bras me signifia que j'étais bel et bien éveillée. Elle ne ressemblait à aucune des filles que j'avais rencontrées jusqu'ici à McKinley. Elle était plutôt grande, une bonne tête de plus que moi, de longs cheveux noirs et des yeux verts qui semblaient à cet instant être prêts à détruire quiconque se mettrait en travers de son chemin. Je pense que ce qui me frappa le plus était le fait que ses bras étaient entièrement recouverts de tatouages, ce qui laissait penser qu'elle était au moins âgée de 18 ans. Elle portait une longue robe noire descendant jusqu'à ses mollets, sur laquelle était dessiné des esquisses de fleurs blanches. Elle portait également ce qui semblait être des rangers militaires. Son visage paraissait renfermé et en colère. Elle aurait facilement pu être prise pour une skanks si elle n'était pas aussi bien habillée et aussi propre sur elle. Le fameux Jon se releva tant bien que mal, un rictus de haine déformant son visage.

Jon : T'es qui toi ? Et tu te prends pour qui ? Je te jure que je vais te tuer.

? : Vas-y, viens. Je t'attends.

Elle appuya ses paroles d'un petit sourire narquois en direction de celui qui lui faisait face, renforçant visiblement la colère de celui-ci à en juger du rouge qui avait assailli son visage ainsi que son expression qui s'était faîte de plus en plus menaçante. Un attroupement s'était formé autour de nous alors que j'étais toujours assise par terre, adossée au casier, n'osant pas vraiment me redresser au vu de l'affrontement qui se préparait. Je ne comprenais définitivement plus rien de ce qui était en train de se dérouler devant mes yeux. Personne n'osait bouger, ils étaient tous en train d'observer la scène, quelques murmures s'échappant dans le silence pesant. Jon avança d'un coup, propulsant son poing en direction de l'inconnue qui ne vacilla pas. Je fermai les yeux instinctivement pour ne pas voir le coup. Mais la suite se déroula très vite. Personne n'eut le temps de comprendre ce qui se passait que le gorille de l'équipe de foot se retrouva à genoux, la main sur son entrejambes. Elle ne l'avait visiblement pas raté. Il lui proféra des menaces de mort qu'elle ne prit même pas la peine d'écouter et il s'éloigna avec une douleur apparente sur le visage.

Je levais les yeux vers ma « sauveuse » qui arriva à ma hauteur. Elle me tendit une main que j'acceptais pour me relever. Je me retrouvai nez à nez avec elle. Ne sachant pas vraiment comment réagir.

? : ça va ?

Une partie de moi aurait voulu lui répondre et la remercier de m'avoir évité un visage tuméfié et un séjour à l'hôpital, mais Ice Queen n'étais pas de cet avis. C'est donc ma part sombre et mon égo surdimensionné qui parlèrent à ma place.

Quinn : J'aurais très bien pu me démerder sans que tu n'interviennes. Ne t'attends pas à ce que je te remercie ou à ce que je me sente redevable envers toi. Et à l'avenir n'empiète plus sur mon espace vital sous peine de le regretter. Tu ne sais pas qui je suis et ce dont je suis capable…

Elle ria en roulant des yeux, visiblement très apeurée par ma mise en garde…

? : Calmos Blondie, je n'ai pas l'intention de rester comme un petit chien derrière ton cul et de jouer les gardes du corps pour toi. Je ne supporte simplement pas l'injustice, j'aurais fait pareil pour n'importe qui d'autre. Ne croit pas que tu es spéciale ou quelque chose dans ce goût-là. Et je me fiche de savoir qui tu es. Pour moi tu ne vaux pas plus que qui que ce soit.

Sur ces mots, elle tourna les talons mine de rien et s'en alla, me laissant complètement abasourdie. Premièrement, personne ne m'avait jamais tenu tête de la sorte, deuxièmement, jamais personne ne s'était permis de me parler comme elle venait de le faire ce qui me troubla légèrement. Et troisième chose, mais pas des moindres, avant ce jour, jamais une autre personne que Santana ne m'avait surnommé Blondie. C'est donc légèrement déboussolée que je me dirigeai vers la salle de chant, sous les chuchotements des élèves encore présents qui avaient assisté à toute la scène. Je soupirai et quand j'arrivais enfin dans la salle après ce qui me parut une éternité, je fus accueilli par les reproches de Mr Schuester, visiblement passablement irrité par mon retard.

Mr Schuester : Je peux savoir où tu étais passé ? Tu as 20 minutes de retard ! Tu as des engagements à tenir, et ta présence ici en fait partie Quinn. Tu ne peux pas te permettre de venir quand bon te semble.

Je me laissai tomber sur une chaise près de mes deux amies sans même prendre la peine d'écouter la remontrance de mon professeur. Ce qui ne sembla pas lui plaire.

Quinn : Je serais arrivée à l'heure si un primate de l'équipe de foot n'avait pas décidé de m'agresser en chemin. Et si vous ne me croyez pas vous n'avez qu'à aller faire un tour dans les couloirs. Je pense qu'il y avait assez de commères présentes pour valider mes propos.

Son visage changea du tout au tout et je peux presque jurer qu'il se mit à blêmir. Je sentis le regard lourd de questions de San sur moi.

Mr Schuester : C'est une chose très grave Quinn ! Il faut que tu ailles en parler au proviseur pour que des mesures soient prises.

Je sentis maintenant le regard de tous mes pseudos camarades du Glee Club sur moi malgré leur silence pesant qui resta le même. Je soupirai longuement.

Quinn : Vous savez aussi bien que moi qu'il ne fera rien à part donner une leçon de morale. Ce qui ne l'empêchera pas de recommencer si c'est ce qu'il projette. De toute façon je ne suis pas sûre qu'il puisse recommence de sitôt vu que Wonder Woman a volé à mon secours et ne l'a pas raté.

Il voulut argumenter d'avantage mais je lui fis comprendre que ce n'était pas nécessaire et il laissa tomber en soupirant avant de commencer à présenter son cours pourri.
Santana s'approcha de mon oreille et chuchota.

Santana : C'est qui, ta Wonder Woman ?

Je repensais à cette étrange nana sortie de nulle part et racontai discrètement la scène à mon amie qui fut presque autant choqué que moi pendant la scène.

Santana : On va lui faire la fête à ce mec. Il ne s'en tirera pas comme ça. Et cette fille ? Elle t'a vraiment appelé Blondie et elle a réellement osé te tenir tête en plus d'avoir battu à elle seule ce malade ? Elle n'a pas froid aux yeux. Faudra que tu me la présente. Voir si elle ose tenir tête à Snixx.

Un sourire apparu sur mon visage à ces mots. Santana prenait toujours ma défense quoi que je lui dise. C'était une véritable amie comme on en voit rarement. Je relevai la tête et lui donnai un petit coup de coude discret, lui désignant l'encadrement de la porte d'un vague signe de tête.

Quinn : Pas besoin de chercher bien loin, elle est là.

Santana ne dit plus un mot, son visage affichant une expression renfermée et indéchiffrable, comme si elle était en train de réfléchir. Je voulu lui poser la question mais Mr Schuester s'était tourné vers notre invitée mystère au vu de tous les regards perdus.

Mr Schuester : Ah tu es là ! Parfait, entre !

Elle avança d'un pas nonchalant et s'arrêta aux côtés du professeur tandis que le visage de Santana devenait de plus en plus énigmatique.

Mr Schuester : Je vous présente notre nouvelle recrue, elle vient d'arriver à McKinley et elle a exprimé le désir de se joindre à nous !

Rachel, la diva du groupe se tortilla sur la chaise, apparemment peu confortable avec le fait qu'une nouvelle personne puisse potentiellement lui voler la vedette. Rachel, était définitivement la personne la plus insupportable que j'avais rencontré jusqu'ici. Elle pensait que le monde tournait autour de sa personne et que tout lui était dû sous prétexte qu'elle était talentueuse en chant.

Rachel : Elle ne passe pas d'audition ?

Le professeur soupira en roulant des yeux.

Mr Schuester : Rachel, tu connais la règle, qui veut entrer au Glee Club, entre au Glee Club.

L'adolescente marmonna dans sa barbe et croisa les bras sur sa poitrine, ne faisant pas du tout réagir qui que ce soit. Enfin c'est ce que je pensais avant que l'inconnue n'envoie une pique dans la face de Rachel.

? : Tu n'as quand-même pas envie que je te mette hors circuit dès la première chanson ?

Son ton sarcastique ne manqua pas de faire rire l'assemblée, même Mr Schuester ne put se résoudre à la reprendre, visiblement soulagé discrètement par le fait que quelqu'un ose enfin remettre la Diva à sa place. Mais la façon de parler et de se comporter de cette mystérieuse inconnue n'était pas sans rappeler une certaine Latina au tempérament de feu. D'ailleurs, cette dernière devint de plus en plus pâle, comme si elle avait vu un fantôme. Je commençais réellement à m'inquiéter de cette réaction que je ne comprenais pas du tout. Le professeur sembla remarquer son malaise puisqu'il l'interrogea.

Mr Schuester : Est-ce que tout va bien Santana ?

La nouvelle venue se figea à son tour en posant les yeux sur mon amie. Mais que diable se passait-il ? Personne dans la salle ne semblait comprendre ce qui se passait sous leurs yeux, à l'instar de moi-même. Quand d'un coup, après plusieurs dizaines de secondes de silence pesant Santana se leva et se jeta sur la personne qui lui faisait face. Et quand je dis qu'elle se jeta sur elle, ce n'était pas pour la frapper, non, elle se jeta littéralement dans ses bras. Me laissant de plus en plus perplexe.

Santana : Bon sang j'étais tellement persuadée que c'était toi… ça fait tellement longtemps que je ne t'avais pas vu, t'as pas idée comme tu m'as manqué.

OK. Donc, Santana la connaît, je répète, Santana la connaît. Visiblement très bien même.

Mr Schuester : Vous vous connaissez ?

Merci Captain Obvious !

Santana : Oui, c'est Faith, ma meilleure amie d'enfance. On se connait depuis nos 4 ans, on a grandi ensembles puis on s'est perdues de vue pour des raisons indépendantes de notre volonté

Tout le monde écarquilla les yeux. Ne comprenant toujours pas ce qui se passait.

Faith : C'est bon de te revoir San.

Cette dernière serra Santana dans ses bras, l'air vraiment émue par ces retrouvailles. C'était assez touchant et j'en trouverais presque la scène attendrissante. Mais… Attendez… ça veut dire que… J'ai menacé la meilleure amie de San ? Oh mon dieu, elle va me tuer.