Résumer :

Tyler est un jeune homme de 19 ans qui cache de multiple secrets. Sa vie n'a jamais été rose. La solitude est devenue au fil des années une compagne pour lui.

Dylan, lui, est un nouveau professeur de français âgé de 23 ans. Il file le parfait amour avec Asley depuis plus de trois ans. Il a tout l'amour qu'il désire de ses amis.

Tyler et Dylan ont deux vies diamétralement opposées. Pourtant tout va chercher à les unir. Et plus particulièrement un passé qui leur est presque commun. Une relation ne peut, cependant, pas être envisagée à cause de leurs statuts prof / élève.

Bienvenue dans le jeu incontrôlable des sentiments... et du plaisir.


Hey hey, comme promis voici la fiction dont je vous ai parlé sur mon autre fiction ^^.

Celle-ci est écrit par deux personne, moi et mon amie. Nous sommes tous les deux Sterek et nous écrivons tous les deux alors quoi de mieux qu'écrire ensemble une histoire "Sterek".

Les noms de Stiles et Derek son leur vrai prénom, Dylan O'Brien et Tyler Hoechlin, j'espère que ça ne va dérangé personnes ^^. Tous les personages autres que Dylan et Tyler on été inventés, mise appart Chris, pour Chris Wood (Ouais je suis un fan et alors ? ;))

Les chapitres sont écrit 1/2 par moi, et l'autre partie c'est mon amie. Sauf que c'est moi qui les publies vu qu'elle n'a pas FF. Nous esperons que ça vous plaira !

Aussi, j'ai mis M pour un risque de lemon à venir ^^, je pense pense que ça va faire des heureuses/heureux x) Ca sera mon tous premier donc j'espère ne pas vous décevoir quand il sera écrit ^^'.

Je vous laisse sur le prologue écrit pas mon amie je signerais Anaïs pour elle et Hobrien pour moi, voilà vous êtes informé du principal.

Bonne lecture !


PROGLOGUE


La ville de Phoenix dans l'Arizona semble calme, malgré les bruits des derniers automobilistes qui rentrent chez eux. Moi, c'est Tyler, je fais 1 mètre 83, j'ai les cheveux noirs et les yeux verts. J'ai 19 ans.

Je suis plutôt de nature distante et froide. Depuis maintenant plus de quatre ans je m'efforce de garder un mur qui me coupe de tout sentiments.

J'ai peur de l'abandon car plusieurs événements de ma vie on fait que je ne donne plus ma confiance à quiconque.

Je suis devenu par la suite un ado " sans coeur ". C'est comme ça que les camarades me surnommaient au collège.

Je suis un être solitaire qui a pour seule compagnie un Husky du nom de Urban.

Demain est le jour de rentrée. Ma dernière année en tant que lycéen. Je n'ai absolument pas envie de revoir des têtes si familières et arrogantes.

Je n'avoue jamais ce que je ressens mais plus les heures passent et plus le stresse monte. Certaines personnes que je vais revoir demain sont à l'origine de mon mal être.

J'ai un secret que je m'efforce de garder. J'en ai honte. Et ces personnes sont malheureusement au courant, dont Blake et Megane. Les personnes qui me donne des envies de meurtres par moments.

Je me retiens juste de ne pas leurs coller mon poings dans leurs jolis petits visages bien trop beau à mon goût. Je suis bien trop gentil et je sais par expérience que cela me perdra un jour.

Ce faisant tard, au alentour de 22h30 je décide de rentrer à mon appartement situé non loin du parc ou je me situe.

Je vis seul. Aucune attache, aucune émotion, aucune destruction.

Tout ce qui me sert à vivre, je le dois à la fortune de mes parents. Ou plutôt à leurs héritage.

Ils sont tout les deux morts dans le crash d'un avion d'une compagnie de New-York. Ils revenaient tout deux d'Afrique ou ils avaient travaillés en tant que bénévoles pour aider les populations les plus démunis.

Mais malheureusement tout ne c'est pas déroulé comme prévu. Un des moteurs à explosé en plein vol. Enfin c'est ce que les boîtes noirs on indiqués. L'avion n'ayant plus aucun moyen de stabilisation, car cette explosion a entraînée pas mal de dégâts, c'est craché dans l'océan. Ne laissant aucune chance aux passagers de l'avion ainsi qu'à mes parents.

Cela date d'il y a quatre ans. J'avais quinze ans.

Je ne voulais pas être traîné de foyers en foyers, j'ai fais ce qui était totalement illégal. J'ai payé des gars pour qu'ils me produisent de fausses cartes pour que je puisse être considéré comme majeur au yeux de la loi. Je n'en suis absolument pas fière mais c'était la seule solution que j'ai trouvé de plausible. Encore heureux je ne me suis jamais fais prendre même si plusieurs fois j'ai bien failli me faire prendre.

Arrivé devant mon immeuble, je monte les quelques étages qui me sépares de mon appartement. Un fois rentré, je retire la laisse de Urban et pars prendre une douche bien froide qui a le don de détendre tous les muscles de mon corps.

Une fois fini je pars me coucher et essaye de m'endormir du mieux que je peux.

Je me réveille le lendemain sous les bruits de mon réveil. Je cogne une main dessus pour le faire taire. J'entrouvre un il mais le referme aussitôt à cause de la lumière qui filtre à travers mes rideaux transparents.

Je me lève à contrecur, enfile des sous vêtements un short kaki ainsi qu'un simple tee-shirt blanc et mes éternel basquets noirs.

C'est certe le jour de la rentrée mais je n'ai aucunement envie de m'habiller bien comme tous les autres.

Je sors rapidement Urban et le donne ensuite à ma sympathique voisine. C'est bien la seule qui m'est proposée de garder Urban. Elle doit avoir la trentaine et est mère au foyer. Je dois avouer que cela me rassure de ne pas laisser Urban à des inconnus ou tout seul chez moi.

Je prends mes clés de voiture et mon sac de cours, ferme ma porte à clé et descend en direction de ma grosse Mercedes noir. Plus précisément celle de mon père.

Elle m'apaise quelque peu car j'ai l'impression de sentir encore sa présence dans l'habitacle. Je ne suis pas fou. Évidement que je sais qu'il est mort mais c'est comme si le propriétaire hantait cette voiture.

J'allume le contact du véhicule et démarre en direction du lycée qui est situé à environ vingt minutes en voiture de mon appartement.

Je la gare sur le parking du lycée, prends mon sac et me dirige vers les affiches situés dans le hall du lycée affichés au murs.

Les élèves me regardent comme si j'avais la peste. Jai maintenant l'habitude et fais comme si de rien n'était. Les personnes seul dans le lycée son considéré comme des être à pars. C'est malheureux mais c'est comme ça. On ne peut pas changer la stupidité et l'immaturité de certains par de l'intelligence. Ils ne connaissent tout bonnement pas ce mot.

Je cherchais rapidement mon nom et mon prénom sur les fiches de terminales. Je les trouvaient enfin. J'étais apparemment avec un nouveau professeur dénommé M. O'Brien. Son nom ne me disais rien.

Je me dirige ensuite vers ma salle indiqué. Visiblement une salle de français. Une voix que je ne connaissais que trop bien me héla :

- Je pensais qu'avec toutes les menaces que tu as reçu l'année dernière, tu aurais quitté le lycée. Je vois que ce n'est pas le cas pour mon plus grand plaisir, me dit Blake.

Je décide de ne pas répondre à ses piques. Je sais qu'il serait bien trop heureux de sa victoire et je voulais aucunement le laisser gagné.

Je reprends la marche jusque ma salle. Mais ils décide de me hélé encore une fois.

- Hoechlin ramène ton jolie petit cul par ici je dois te parler.

Je ne l'écoute toujours pas. Une fois arrivé à ma salle, je souffle. Mais ce fut de courte de durée car je le vis dans mon champs de vison.

- Tu as perdu ta langue Hoechlin ? Comme tu as perdu tes parents il y a quatre ans, me dit-il avec une pointe de sarcasme.

Je ne pus réprimer mes pulsions que lui décoche mon poing droit dans la mâchoire. Sous la violence de mon poing il s'écroule par terre en geignant comme une fille. J'avoue que le voir en position de faiblesse me donne la plus grande satisfaction qui fut de courte durée.

- Je ne connais pas encore votre nom mais je sais que vous allez dès à présent vous rendre chez le directeur afin de vous expliquez, me dit une voix que je ne connaissais pas.

Et la ce fut le drame. Ses yeux couleur noisettes me transperçaient de toute part. Je fais mine de n'avoir rien à faire de ce qu'il me disait mais c'est plus fort que moi. Mes yeux restent fixés face à lui. Je ne sais pas pourquoi.

- Ne me le faite pas répéter deux fois monsieur... dit-il.

Il laisse sa phrase en suspend pour que je puisse y répondre.

- Hoechlin, répondis-je.

- Hé bien monsieur Hoechlin votre première journée débute plutôt pas mal. Très jolie entrée en matière, me dit-il.

Il tape dans ses mains de façon ironique. Il se tourne vers un fille qui avait clairement une tête de première de classe.

- Tu pourrais les emmener chez le directeur s'il te plaît ? lui demanda-t-il.

Elle sourit de toute ses dents et acquiesce.

-Au passage, je suis votre professeur principal. Monsieur O'Brien, se présenta-t-il.

Je ne lui réponds et en passant devant Blake qui était encore par terre, je lui lance un léger " va te faire foutre " en lui présentant mon majeur en tout discrétion ce qui lui provoqua encore plus de colère envers ma personne.

Je sens que cette année va être très mouvementée.

FIN DU PROLOGUE

-Anaïs