FICHE TECHNIQUE :
Titre : Deux Ex Machina
Genre : Cyberpunk - Fantasy
Barème de Censure : Int. –18 ans.
Indices de Censure : Violence explicite, Gore, Sexualité explicite, sexualité textuelle, nudité, thèmes sur les substances illicites et bien d'autres encore…
RESUME :
Un futur proche, un monde plongé dans une nuit éternelle.
Amnésique, orphelin et sans aucun lien apparent avec ce monde, Link est un de ces parias qui a eu l'insigne honneur de figurer en tête de liste des élèves sélectionnés pour intégrer la Méga-Université Internationale de Lutte-Anti-Terroriste (MUILAT), une école officielle de l'ONU chargée de faire de lui le must des agents de lutte contre le crime armé. C'est aussi le premier être de cette terre à recevoir les bienfaits de la nano-technologie et non plus de la magie. Tout semble fait pour que le monde entier ait les yeux rivés sur lui. Dans ce monde au bord du gouffre et de l'implosion, Link tente alors de mener sa barque, pris en étau entre les différences possibilités que lui offre son avenir :
Un chef d'entreprise possédant la plus grande multinationale de la santé du monde, accessoirement terreur et chef (ou « protecteur bienveillant ») des parrains de la Mafia Internationale et adepte de la magie noire.
Une industrielle de l'ingénierie, bombe sexuelle complètement timbrée, cible principale de tous les directeurs d'asiles de la planète, experte en élevage de chevaux, amatrice de belles motos et grande buveuse de lait et son garde du corps elfique, prêtre fanatique et ultra-violent amateur de citations religieuses entre deux fusillades avec son « Purificateur Calibre 20 ».
Une aristocrate coincée et fleur bleue, pétrie de grands rêves et animée d'une volonté de libérer le monde au moyen de visions prophétiques et détenant apparemment un terrifiant secret.
Un hacker Zora anarchiste et punk dans l'âme qui apprécie les détournements de fonds au sein des bourses et de faire tourner en bourrique le gouvernement par de fausses lettres de menaces de mort.
Une caserne de flics composée de joyeux drilles aux C.V aussi raffinés que leurs livres de blagues potaches et qui, entre deux signatures de P.V, louent leurs services en tant que mercenaires sur Internet pour arrondir leurs fins de mois.
Un bar branché, noyau autour duquel se rassemblent tous les électrons (supposés ou qui se disent) libres de cette ville où entre deux conversations secrètes s'échangent les plus grand secrets du monde.
La chaîne de T.V du gouvernement en place, spécialiste dans la lobotomisation de ses bienheureux et chanceux spectateurs et la propagande exacerbée du régime qui doit subir les attaques de pirates informatiques et l'éveil de conscience de certains de ses employés.
Tout cela au sein d'une mégalopole de plusieurs dizaines de millions d'habitants dans laquelle coexistent Elfes, Hobbits, Orcs, Hyliens, Fées, Gorons, Magiciens, Prêtres, Sorciers, Gerudos, Kokiris, Monstres et autres créatures mythiques ou non. Ajoutez à tout cela un immense réseau de métro souterrain peuplé de créatures ignobles, d'espions et ingénieurs dauphins génétiquement modifiés et d'une base souterraine aussi étendue que technologiquement à la pointe. Puis une quantité extraordinaire de haute technologie et de magie au service d'une dictature qui met sous surveillance ses humbles concitoyens et les garde dans une constante morosité et apathie.
C'est un monde sinistre, loin de toute image idyllique que ses habitants ont pourtant espéré s'en faire lorsqu'ils décidèrent de le construire il y a de cela bien des siècles. Et pourtant un espoir subsiste : l'hypothétique chute du monde, l'apocalypse finale qui devrait ramener les pendules à l'heure et permettre de renouer avec l'ancien monde : la mythique Hyrule. La solution se trouve peut-être dans la Triforce, ce programme informatique mythique splitté en trois fichiers et envoyés dans l'infinité du net afin que seuls les plus intelligents puissent y accéder. La légende veut que son possesseur soit capable de remodeler le monde à sa manière, tant son contenu est riche. Depuis ce jour, une lutte d'influence et de pouvoir est engagée afin de déterminer le sort du monde. Cyber-crime, fusillades en règles, débats politiques, tentatives d'assassinats, courses-poursuites en voiture, infiltrations, manipulations des médias, tout est bon pour remporter la victoire dans un monde qui ne sait plus où trouver ses repères mais garde malgré tout l'espoir de les définir un jour.
NOTE DE L'AUTEUR :
Avant Diabolus Ex Machina, avant même Symphonie Nocturne, il y avait Recherche Héros Désespérément. Ca remonte à onze années de cela, c'est dire que ca ne me rajeunit pas mais ce fut ma toute première fanfiction jamais pondue. D'ores et déjà je voulais couper directement avec la tradition du « allez je vais faire le roman de Ocarina of Time tiens ». Amateur d'expérimentations diverses et variées déjà à cette époque (et que la plupart de mes lecteurs ont pu constater avec Diabolus), j'avais eu l'idée toute bête de transposer Zelda dans le monde moderne. A Paris plus exactement. Le premier jet était un fantasme de fan car, comble du sort, je figurai moi-même en tant que personnage et témoins des aventures abracadabrantesques de Link et Compagnie.
Naturellement Malon, mon égérie, avait un rôle principal. Son caractère était là aussi plus déluré que d'ordinaire. Transformer Malon en éternelle potiche avec les mains croisées, je l'ai déjà dit, ca n'était pas mon truc déjà à l'époque. Diabolus résulte d'une volonté de voire comment une femme innocente pouvait changer, un genre d'études psychologique. Dans la présente histoire, Malon possède naturellement ce caractère. Je ne sais pas encore si je dois considérer qu'il s'agit des « descendants » ou tout simplement d'un simple « monde parallèle ». D'un côté le coup de la descendance avec tous les enfants qui ressemblent à leurs aïeux est, sinon tout sauf crédible, du moins vu et revu. De l'autre, le coup du monde parallèle a tendance à virer le côté « officiel » de la fanfiction. Certes Zelda a testé la chose avec Majora's Mask. Je pense tout simplement qu'il vaut mieux considérer que cet épisode se déroule longtemps, très longtemps après le Zelda que nous connaissons.
C'est également l'occasion de taper un coup dans un genre que j'ai décidé de me créer : la Cyberpunk Fantasy. J'adore la Fantasy (je WoWotte à mes heures perdues) mais j'adore aussi la science-fiction notamment Cyberpunk. Plutôt que d'écrire deux romans, je préfère mélanger les genres et advienne que pourra. J'ai déjà dans la tête de nombreuses images où les extérieurs poisseux et incendiés par les lumières des néons laissent placent à des intérieurs en imitations médiévales où des gorons armés de pétoires (fabrication maison) côtoient des gangs de féministes Gérudos en tenue de cuir.
Si Diabolus Ex Machina possède un ton profondément sombre, entrecoupé parfois de quelques tentatives d'alléger cela, la présente histoire possède au contraire un ton beaucoup plus second degré et décalé. Je ne veux pas sombrer dans la parodie facile mais j'aimerais mélanger dans un même moule la violence noire et l'humour absurde, l'horreur et le burlesque, un réalisme cruel et le plus improbable des surréalismes que ce soit dans les situations ou les dialogues. A l'heure où Diabolus approche de la Troisième Partie, j'ai besoin de voir Zelda sous un autre angle. C'est un projet que j'avais depuis toujours mais que j'ai de nombreuses fois hésité à reprendre. L'énorme travail de Diabolus ainsi que mon quotidien d'étudiant y sont naturellement pour quelque chose. Reste qu'à force de cogiter et cogiter, les idées me sont venues naturellement. Pas de grands chapitres sous la mains mais plein d'images et de lignes de dialogues, d'images et de scènes en tête qui n'attendent que de jaillir. N'étant pas encore décidé sur la nature des évènements de l'histoire à long terme, je ne vais pas séparer cette histoire en différentes parties afin d'éviter par la suite tout souci de corrections. Cela pourrait se faire ultérieurement.
J'ai également une pensée toute particulière pour Paris 200XX mon autre grand roman, moins avancé que Diabolus à l'heure actuelle, mais dans lequel j'ai également tout mis, une histoire qui n'a rien à voir avec Zelda mais où un clone de Malon tient le rôle principal. La présente histoire pourrait être considéré comme un pont entre mes deux œuvres. Cependant elle n'aura aucun lien avec la présente histoire.
Par contre…la proximité du titre avec Diabolus Ex Machina n'est pas innocente.
Qu'on se le dise !
Et sur ce chers lecteurs je terminerai cette petite introduction en vous souhaitant le train-train habituel : joie, amusement et dépravation à la lecture de ces lignes. En soulignant que toute critique, bonne comme mauvaise mais avant tout CONSTRUCTIVE, est la bienvenue. Et plus simplement en espérant que vous apprécierez cette nouvelle expérience.
Très amicalement,
L'auteur.
;-)
NOTE : Pour ceux qui auraient lu la précédente forme de Deus et s'étonneraient de sa totale restructuration, pas d'inquiétude ! J'ai en effet découvert un nouveau style d'écriture et les chapitres qui en ont découlé ont entièrement déstructuré le roman. J'ai donc pris soin de tout reprendre afin de fournir un roman bien moins confus et mieux maîtrisé.
D'avance je présence mes excuses à Lira Elera et Gorgoth si leurs reviews ont été effacées. J'ose espérer que la nouvelle forme de Deus leur conviendra mieux.
Merci ! N'oubliez pas le guide !
