Titre: Elle tu l'aimes

Auteur(e): Pepette-chan

Disclaimer: Ba malheureusement les personnages ne m'appartiennent pas ... mais à M.K.

Rating: M ! (Je préfères, puisque c'est assez explicite ! )

/!\ YAOI /!\ RELATION HOMME/HOMME ! Donc si vous n'aimez pas, ne lisez pas ! Vous êtes prévenus !

Pour les autres : Bonne Lecture ;)


Toujours cette sonnerie. Toujours la même. Toujours le même jour. Toujours les mêmes pas. Toujours cette tempête en moi. Toujours cette porte. Toujours ce grincement. Toujours cette lenteur. Toujours ton regard derrière. Toujours toi.

J'aime ce regard. J'aime ton regard. J'aime l'avoir posé sur moi. J'aime ce sourire infime. J'aime ton approche. J'aime ce vide qui se comble. J'aime ton touché. J'aime cette chaleur sur ma joue. J'aime cette peau douce. J'aime ce visage si proche. J'aime ces yeux. J'aime le désir qui les envahi. J'aime ces lèvres. J'aime leur envie. J'aime ce goût. J'aime ce contact. J'aime ce baisé. Je t'aime.

Tu finis par me relâcher, et nous rentrons enfin dans l'appartement. Tu t'installe dans le fauteuil, celui qui t'es réservé. Toujours élégant, quoi que tu fasses, quoi que tu dises. On te dit beau, le village t'admire, moi je te trouve juste magnifique. Là, face à toi, dans mon canapé, je suis subjugué. Comment peut-on être aussi éblouissant. Je me lève pour nous chercher de quoi boire. Dans la cuisine j'essaie de me calmer mais je sens ta présence. Tu es là, derrière moi, je le sens. Ton aura m'envahi. Ton odeur me rend fou. Mon cœur s'affole à ton approche. Je me retourne, pour t'admirer, encore et toujours. Tes yeux sont devenus brûlant de désir. Et pourtant, tu ne t'approche pas plus. Tu hésites, je n'ose pas. Cela fait 6 mois que nous ne nous étions pas vu. Moi parti en mission, toi resté au village. Nous reprenons notre habitude aujourd'hui. Tu m'as tellement manqué. Lorsque ce jour de la semaine arrivait, je te voulais près de moi, mais j'étais en mission. Mais aujourd'hui c'est différent. Je suis revenu hier, et aujourd'hui est notre jour.

Tu te rapproches de-nouveau, nos mains se frôlent, maladroites. Les tiennes remontent vers mon visage. Tu trembles, tu hésites, tu oses. Tes lèvres se posent sur les miennes en un doux baisé, tendre et délicat. Je savoure le goût de tes lèvres, celle que tu m'as offertes à l'entré. J'en suis accroc, oh oui, tu es ma drogue. Tu te recul, attendant ma réaction. Tu es encore plus beau avec cet air sans défense, juste à attendre mon accord, avec une peur que tout se termine. Mais jamais, jamais je ne te repousserais, parce que c'est moi qui dépends de toi. Si tu savais comme tes mains me brûlent, posées ainsi sur mon visage. Ton regard m'aspire dans un puits sans fond. Et j'y plonge sans hésiter, et fond sur tes lèvres dans un baisé passionné. Tu m'as manqué, à en mourir.

Tu me soulèves, m'emportant dans un autre univers, notre univers. Mon lit nous accueil, tu me poses si tendrement. Ton regard me dévore au point que tu sembles voir à travers mes vêtements. Tu approches tes mains délicatement vers mon tee-shirt, le soulevant avec une lenteur calculé. Même si je sais que tu t'impatientes, tu continues ce petit jeu que tu as l'habitude de jouer avec moi. Tu embrasse mon ventre avec tendresse, tout en remontant en même temps que tu soulèves mon haut. Mon corps s'abandonne totalement entre tes mains. Des frissons de bonheur m'envahissent à chacun de tes baisés. Tu finis par enlever mon haut, et le tien aussi. Tu t'allonge sur moi, en me brûlant de ta peau sur la mienne. J'aime tant ce poids sur moi, tout comme ces battements aussi rapides que les miens.

Tu reprends ton parcours sur mon corps. Tu y laisse des traces de ton passage. Ces marques sont là pour dire que je t'appartiens. Mais pas besoin, je suis tout à toi, corps, cœur et âme. Tu me rends fou, je suis prisonnier de tes bras comme de mon amour pour toi. Mais tu sembles vouloir m'envoyer au septième ciel, car je sens une de tes mains se faufiler dans cet endroit qui t'es réservé. Les sensations que me provoque cette intruse me submergent. Je m'agrippe aux draps, car je sais que je n'ai pas le droit de te laisser une seule marque. Même si je le pouvais, je ne le ferais pas, je ne voudrais en aucun cas abîmer cette peau si belle. Cette main commence à s'activer, mon pantalon tombe, tout comme mon boxer. Tu commences à perdre patience, je te reconnais bien là. Ton visage quitte mon torse pour redescendre au niveau de mon membre. Je me prépare à ta douce attaque. Mes jointures sont blanches à force de serrer les draps. Je peux sentir ton souffle au près de mon intimité. Tu semble vouloir me faire languir, et tu y arrives si bien. Je n'en peux plus, mais je ne bouge pas. Je suis à ta merci. Fais tout ce que tu veux de moi, je suis à toi. Et sans prévenir, je sens l'entre de ta bouche envelopper mon désir. Je n'ai pu retenir un cri de surprise. Si je n'avais pas su me contrôler, je n'aurais pas pu me retenir. Je suis encore plus profond dans notre univers, où seul toi et moi y vivons. Tes mouvements se fond de plus en plus intense, je sens la délivrance. Je fais un petit mouvement du bassin pour te faire comprendre que je ne peux plus et pourtant tu ne fais pas comme d'habitude. Aujourd'hui tu restes, tu continues jusqu'à ce que je ne puisse plus et me déverse en toi. J'ai honte, toi qui ne supportes pas cela. Et pourtant tu te redresses, ancrant tes yeux dans les miens avec toujours ce désir incroyable. Tu sembles satisfait. Tu ne semble pas m'en vouloir. Je suis heureux.

Tu t'allonges de-nouveau sur moi. Tu m'embrasses à pleine bouche, avec fougue. Tu me prouves par ce baisé passionné que je t'ai manqué, aussi. Je te sens te redresser, alors j'ouvre les yeux que j'avais fermés lors de notre échange. Tes doigts sont tendu vers moi, je comprends le message et les engouffres dans ma bouche, avec envie. Je te veux.

Après ma tâche terminée, tu les retires et les diriges vers mon intimité. Pendant que tu en fais pénétrer un, tu m'embrasses encore. Je fonds littéralement contre toi, contre cette chaleur que tu m'offres. Je n'en peux plus, sens m'en apercevoir, tu avais déjà enfourné 3 doigts. Tu vois à quel point je suis perdu dans ce plaisir que tu m'offres. Je sens très vite le manque dans mon intimité. Je sais ce qui va suivre. J'attends ce moment depuis que je suis parti pour cette mission. Nous allons redevenir un tout. Je te sens te presser contre moi, toujours ton corps contre le mien. Je veux me retourner, pour te faciliter l'accès, mais tu ne veux pas. Tu me prends dans tes bras, me serrant encore plus fort à chaque instant. Et puis, tu me pénètres, d'un coup. Je cris de douleur, et tu me resserres entre tes bras. Tu es si attentionné. Je peux sentir ta respiration saccadé près de mon oreille. Tes muscles sont tendu, tu es à bout et pourtant tu patientes, tu ne veux pas me bousculer. Mais moi je veux plus, alors je me déhanche et tu comprends. Ton corps entame une danse des plus envoûtantes. Tu t'es redressé pour mieux m'envoyer loin dans notre univers. Les yeux mi-clos, j'admire ta beauté en cet instant. Tu es si beau. Tes coups de reins sont de plus en plus forts et je sens que je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps. Tu m'agrippes et m'installes sur tes genoux. Jamais tu n'as été aussi doux avec moi. Ton contact me rend fou, mes pensées se perdent dans tes yeux. Je ne peux plus, je viens entre nous deux et tu ne tardes pas à suivre.

Nous retombons l'un sur l'autre. Tu te décales sur le côté toujours en me tenant fermement contre toi. Je suis si heureux en cet instant. Je m'endors rapidement, enveloppé dans cette chaleur qui m'est indispensable…

Le jour filtre à travers ma fenêtre, il me réveil. Je m'étire dans ce lit que nous avons partagé cette nuit. Mais je sais que tu n'es plus là, tu es reparti. Je me lève donc seul, comme chaque matin. Mon rituel est toujours le même : toilette, petit déjeuné, brossage de dents, douche. Mais aujourd'hui j'ai envie de manger à Ichiraku, alors lorsque je sors de ma douche, je m'habille et sors de mon petit appartement. J'aime ce temps ensoleillé. Il permet de me réchauffer lorsque je marche dans les rue de Konoha. Dans l'allée principale je te vois. Tu t'approches de moi, avec ta démarche féline. Je ne vois que toi mais pas pour très longtemps car Sakura se fait vite remarquer. Et je prends conscience alors que tu la tiens par la taille, tendrement, avec amour. Parce que oui, elle tu l'aimes autant je crois, que moi j'ai besoin de toi…


Je ne sais pas si je devrais faire une suite... j'ai une idée mais j'ai peur de me lancer dans une longue histoire ! :S Vous en pensez quoi?