Kingdom clos, reprise des personnages créés par Volazurys et ses co autrices Laemia; Elerina, Mia Suzuki-sama et Xialdene

Chapitre premier Le Supérieur, en tout ? C'est ce qu'on va voir !

Voici ce que ces demoiselles ont dit de lui, j'espère que la mise en situation vous paraîtra appropriée !

Xemnas : Le supérieur. En tout : taille endurance dominance. Sa souplesse et sa rapidité au combat ne sont pas que des légendes… Je peux vous assurer qu'au lit, c'est carrément délicieux ! Notre cher supérieur aime aussi passer du bon temps à son bureau, qu'on s'occupe de lui par en dessous ou qu'il s'occupe de vous par au dessus, en envoyant valser les rapports pour éviter que des tâches suspectes tombent dessus, cela va de soi. Et à force de tenir toutes ses épées en main, il a acquis une certaine expérience pour quelques techniques très complexe de Kamasutra

Aucuns des personnages cités ne sont mon invention, je n'ai fait que la mise en situation o/

Il est tard, les portes se ressemblent toutes dans l'univers feutré et pourtant derrière l'une d'elle m'attend mon expérience du soir. Le cœur battant fortement je sais très bien à quoi m'attendre, après tout cela fait plus de six mois que j'attend ce jour là. Oui six mois vous me direz c'est excessif mais il est tellement demandé. Et enfin ce soir je pourrais me faire mon idée.. Pour l'occasion j'ai fait tellement d'effort que j'ai peur d'en avoir fait de trop, la robe noire, simple et fluide qui dévoile une courbe de jambe à chaque pas, les dessous qui ne sont pas trop osés mais en dentelle fine. Il paraît qu'il adore cette matière, je ne voulais pas gâcher la soirée par une bavure en coton. La soie du bustier me gratte légèrement le buste, étrange que cela ne m'arive que maintenant, je l'ai pourtant enfiler il y a plusieurs heures déjà.

Mes cheveux sont attachés avec une simple double baguette, j'espère que la simplicité dans laquelle ils retomberont quand il la retirera lui plaira. Je ne me qualifie pas de femme fatale, j'ai des rondeurs et je les assume, mes hanches sont pleines et ferme, mes fesses rondes et agréable à agripper, au moins il y a de matière pour ça ! Je ne suis pas comme les stars dans les magasines, mais j'espère simplement qu'il ne s'arrête pas à la vision d'un corps qui n'affiche pas les standard de beauté actuels. Enfin la porte numéro une. Ma respiration se bloque et lentement ma main s'approche du battant. Je n'ai pas le temps de frapper, la porte s'ouvre devant un torse plus que parfait et étrangement je ressens une envie de fuir subite. Comme si ce que je m'apprête à faire n'est pas bien. C'est faux, car je suis libre mais de me retrouver devant le fait de ma folie me grise, l'adrénaline se répandant dans mon corps rapidement alors qu'il ouvre le battant un sourire à faire tomber dans les pommes les cardiaques.

- Miss Grenier je présume ? * Seigneur … Il a toujours ce regard qui vous retire les vêtements rien qu'à vous fixer ?

- Je humm .. Oui c'est bien moi..

Mince ma voix s'est enraillée, je n'arrive même pas à me reconnaître dans ces quelques mots prononcés avec hésitation… il ouvre le battant et me laisse pénétrer son espace, mais j'ai du me tromper, cela ressemble plus à un bureau qu'à une chambre. Est ce qu'il y a un entretien avant afin de clarifier ce qui se fait ou pas ? Mes joues rosissent malgré moi en le regardant se déplacer derrière le meuble de bois de chêne. Il me fait signe de m'asseoir mais interromps mon geste de me placer sur un siège en face du sien, montrant ses genoux. Là mes joues reprennent des couleurs, ma respiration s'accélère légèrement alors que je pose mon sac sur le côté et accède à son désir en m'installant timidement sur lui. Il me sourit et entoure ses bras autour de moi en tirant un dossier qu'il doit apparemment traiter, je comprend alors qu'il veut me mettre à l'aise, tout en me rendant désireuse de bien plus. Ses bras frôle mon buste par moment alors qu'il semble tout à fait concentré, moi je ne sais plus quoi faire. Rester immobile ou enclencher le premier pas ? On frappe soudain à la porte et je le vois quelque peu ennuyer, lentement je lui souris et me laisse descendre de ses jambes pour me glisser sous le bureau. Un petit rire répond de mon audace alors qu'il défait quelques crans de son pantalon sans me pousser à m'approcher. Simplement comme une invitation. Je n'ai jamais fait ce genre de choses mais je prend mon courage et approche lentement mes mains de l'endroit découvert en partit.

Il dit lentement d'entrer à la personne qui ouvre la porte avant de commencer une discussion tout à fait professionnelle sur les derniers revenus du club. Sans s'émouvoir de mes mains timides qui s'hasardent sur le sous vêtement, il poursuit sans sourciller l'entretien avec un de ses subordonné. Lequel je pense que je ne le saurais jamais, j'étais bien trop occupée à me débattre dans les plis du tissu pour en extraire l'impressionnante épée de ma folie de ce soir. Mes doigts hésitent puis s'avance sur la hampe, la caressant doucement, je surprend un léger frémissement dans la voix de Xemnas, cela m'indique que je suis sur la bonne voie donc je poursuis. C'est étonnamment doux et chaud, un léger parfum musqué emplis rapidement le dessous du bureau alors que ma bouche salive. Est ce que je peux ? Un nouvel écart de ses jambes me faisant plus de place m'incite à tester et je m'approche alors, mon souffle créant des frissons sur la peau mise à nue. Je goûte alors doucement, cherchant à définir le goût de ce que je viens d'engloutir, je me fais gourmande, léchant la sucette qu'on m'offre alors que je sens la respiration de son propriétaire s'accélérer. Il commence à devenir distrait dans sa conversation, semblant buter sur des mots quand je croque tendrement le bout. Je remarque les petites sacoches dessous et posant une main sur la hampe je viens lentement lécher celles-ci avant de les aspirer avec curiosité.

Cette fois l'interlocuteur se fait mettre à la porte de façon simple et direct, je cesse donc mes activité en croisant le regard provocateur de mon partenaire. D'un simple mouvement de bras il me relève après avoir envoyé les occupant précédent de son bureau au sol pour m'installer à leur place. Mes joues rosirent de nouveau, mes pommettes vont finir par avoir le coloris d'un homard à force. Il sourit et me montre mon œuvre, le présentant devant moi avec un haussement de sourcil comme si c'était de ma faute. Je lui rend une moue amusée, s'il ne voulais pas jouer il n'aurais pas créé ce genre d'endroit, je décroise donc mes jambes lentement, dévoilant celle du côté fendu jusqu'à la cuisse. Son regard se focalisant rapidement dessus, son sourire s'agrandissant, d'un mouvement il pose ses bras autour de mon corps, m'enfermant dans la prison de ses bras, repoussant la robe qui remonte alors que nos corps rentre subtilement en contact. L'énormité de la chose me semble ne pas convenir pour mon intérieur étroit, mais la sensation est envoûtante. Nos regards ne se quittent pas pendant qu'il glisse une main dans mon dos pour atteindre la fermeture éclair la faisant descendre lentement entraînant du même coup la chute des bretelles de mon vêtements sur mes bras. Il prend son temps, comme quand on dévore un gâteau du regard pour le savourer ensuite lentement. Le tissu ne descend pas plus, arrêté dans sa course par ma poitrine, et pour ne pas bouger de trop il penche la tête pour aider le tissu à glisser sur mon corps en le saisissant avec ses dents. Son souffle sur ma peau me fait frissonner de plus belle, mes mains agrippant le bord du bureau pour ne pas basculer en arrière.

Il descend la robe autant qu'il le peut et place ensuite ses mains sous mes fesses pour en me soulevant la faire chuter au sol. Je ferme les yeux rapidement, j'ai peur de son regard sur mon corps, pourtant dès que ses lèvres touchent ma peau je me tend. Je veux voir mais je ne le veux pas, sentir seulement son souffle et sa langue parcourir les espaces dénudés me rend folle, mon dessous s'humidifiant. Je deviens rouge de honte, Je sais que c'est naturel mais j'ignore s'il apprécie ou pas les effluves féminines. Mon esprit se déconnecte totalement quand ses mains se posent sur mon buste et commence leur exploration sur la dentelle. Je sers à m'en incruster les doigts dans le bois le bureau, le souffle de Xemnas remontant dans mon cou et chuchotant ce qu'il allait me faire tout en me racontant combien il appréciait mes rougeurs. Ses doigts resserrent leurs prises et malaxe maintenant ma poitrine plus que consentante, ses lèvres s'emparent des miennes avec douceur d'abord puis avec une violence presque animale qui me laisse sans souffle. Je rouvre brièvement les yeux en le sentant s'éloigner, l'observant retirer ses vêtements devenus inutiles, admirant son corps si parfait. Puis il revient, écartant mes jambes lentement avant de s'agenouiller. Je comprend ce qu'il veut faire, mais je n'ai pas le temps de l'en empêcher que déjà sa bouche se plaque sur moi, m'arrachant un cri de plaisir et de surprise. Ses dents écartent le tissu avant de plonger entre mes lèvres, quand est ce que j'ai basculé sur le bureau je en sais plus, mes doigts sont emmêlés dans ses cheveux, le tirant et le poussant ne sachant plus si je veux qu'il cesse ou continue. Les souvenirs deviennent flous alors qu'il explore mon intérieur de trop de manière pour que je ne puisse toutes les décrire. Puis c'est l'extase, mon corps qui tremble, qui déverse son plaisir, qui s'écroule sur le bureau.

Mon souffle est rapide, je fixe le plafond alors que je ne me rappelle plus quand j'ai monter mes jambes sur le bois. Je fais un effort et essaie de le regarder, lui grand, puissant qui s'approche, collant son corps au mien, ses lèvres embrasse mes genoux, remonte le long de la cuisse pour se perdre sur mon ventre, taquinant mon buste pour venir finalement s'échouer sur les miennes, m'embrassant longuement tout en plaquant nos bassins ensemble. Je sens la hampe dure et forte, c'est vrai, il n'a pas encore pu se soulager, elle est protégée, en effet sécurité oblige. Il attend un signe de moi, que mon corps soit prêt de nouveau, mais avec ces simples effleurements sur moi je le désire déjà de nouveau ardemment. D'un mouvement de hanche je le guide vers moi, d'un mouvement de rein il s'enfonce, m'arrachant de nouveau un cri suivit de nombreux autres. J'oublie à ce moment là tout, Sora qui m'en voudra sûrement, Riku qui ne voudra peut être plus me parler. Mais je ne regrette rien, mes cheveux roux ondulent au rythme que m'impose mon partenaire, ses lèvres s'emparent de miennes pour me faire taire, ou me prendre mon souffle, plus rien ne m'importe vraiment. Puis de nouveau des accélérations, mon corps se tend, mes jambes se resserrent dans son dos, une de ses mains soulève mon fessier, il s'enfonce vite et fort dans mon corps, puis s'immobilise soudain, un instant après que je ne vois de nouveau plus rien prise dans un feu d'artifice que je ne contrôle pas.

Son souflle est court à lui aussi, il se retire lentement, je ne peux m'empêcher de gémir, mon corps est à la fois comblé et languissant. Je n'ai plus de force et il semble le comprendre, il me redresse comme une poupée de chiffon et me retire mes dessous. Puis il me soulève, poussant une porte il dévoile une salle de bain digne d'un palace. La douche est immense, il n'a même pas besoin de me reposer au sol pour y entrer, refermant les portes avant de me lâcher finalement. Je le regarde les yeux encore partiellement hagard, il prend du savon et commence à laver mon corps, lentement, doucement, je ferme les yeux trouvant dans ce moment un instant de repos. Ou presque, il frôle mes zones hérogènes les stimule parfois de nouveau juste pour entendre mes nouveaux gémissements, puis il me susure de me retourner. Docile je lui obéis et fixe le mur, me tenant aux rampes d'inox alors qu'il commence à nettoyer ma croupe. Ses mains sont fermes, elle malaxe la peau longuement, glisasnt entre les demoiselles pour venir effleurer l'entrée, testant mes réactions. Je ne sais même plus comment dire non et il le sait, collant mon corps à la paroi glacée il commence à chercher l'entrée, la trouvant, la taquinant jusq'au moment ooù il se glisse doucement à l'intérieur. D'un doigt puis deux, le savon aide bien, mes gémissements le guide aussi, puis il se retire après avoir cisaillé pour préparer l'entrée. Je sais ce qui vient, je la sent ensuite contre mon corps,, se frayant un chemin déjà tracé, puis elle m'emplie de nouveau, m'arrachant un cri de douleur cette fois, c'est trop gros, trop puissant pour ce côté là. J'essaie de le repousser mais sa main se glisse contre l'autre entrée et la masse. La douleur reflux, doucement le plaisir revient, il glisse ces doigts et je les sens frôler la parois adverse, il entame ensuite des mouvements de va et vient et mes cri redeviennent de plaisir. Je me noie presque dans les sensations qu'il me procure, puis cela devient de nouveau rapide, bestial, sa main libre remonte sur ma poitrine, la torture, la soupèse, puis se glisse sur mon cou, me tournant la tête pour qu'il vienne boire mes cris incompréhensibles, pénétrant toujours mon corps avec vigueur. Sa main quitte mon cou son devoir accomplie et vient soulever une de mes jambes, augmentant l'angle, m'arrachant de nouvelles preuves auditives.

Puis la délivrance encore une fois, je sens le liquide emplir mon corps, c'est vrai que de ce côté là nul besoin de protection. Je tremble de nouveau, incapable de bouger quand je le sens se retirer. Il est autant à cours de souffle que moi, nos salives se mêlent de nouveau, je me retourne pour pouvoir mieux échanger ce baiser, mes doigts glissent sur son corps doucement, voulant emporter un souvenir tactile de ce moment. Il se colle alors de nouveau à moi, soulève mes jambes ne me donnant le choix que de m'accrocher à son cou et je le fixe. Je ne comprend pas son regard alors que je le sens se glisser encore une fois en moi. Je rougis, je ne veux pas qu'il le fasse, et pourtant j'accompagne ses mouvements. On peut bien un peu tant qu'il ne se répand pas au dernier moment. Les sensations sont multipliées, son corps laboure le mien de nouveau coups de reins puissant alors que je l'embrasse a pleine bouche pour étouffer mes cris. Il va chercher loin, je le sens, ses coups sont presques brutaux, mon buste claque au sien autant que nos bassins claquent l'un contre l'autre. L'eau nous noient dans le plaisir une nouvelle fois, du moins moi, lui je crois qu'il s'est retiré pour faire sur mon ventre. Mais je n'en suis pas sure.

J'ai presque perdue connaissance, ses mains expertes lavent mon corps, le caresse presque avec tendresse, je le nettoie de mon côté maladroitement, les sens brouillés de sensations. Il le sait, il rit, se moque gentiment de moi en me mordillant le cou, mais je ne proteste pas, je n'en ai jamais eu la force avec lui. Il me sèche, en fait de même avec lui avant d'enfiler de nouveau vêtements, je me faufile alors hors de la salle de bain. J'enfile maladroitement mes affaires, me pressant pour le regarder lui tout prêt. Je sais que mon temps est écoulé, j'en profite un peu, après tout ce n'est que pour une fois. Je reprends mon sac, va vers lui et lui dépose un baiser furtif sur les lèvres avant de filer vers la porte sans me retourner. Je le sais je suis accro à cet endroit, mes amis peuvent me blâmer autant qu'ils le veulent, je sais que je reviendrais au Kingdom Clos.