Chapitre 1 : Merci Figgins.

Santana Lopez pianota sur les touches de son téléphone portable dans le bureau du principal. Elle était une habituée de cette pièce maintenant, mais contrairement à Rachel Berry - cette fille agaçante au gros nez qui faisait partit de tous les clubs chiants – elle, elle ne venait pas de son plein grès.

- Mademoiselle Lopez, soupira le principal indien.

Santana releva la tête vers son proviseur qui avait visiblement l'air d'espérer. Elle soupira et remis son téléphone dans la poche de sa veste de cheerleaders.

- Je suppose que vous savez pourquoi vous vous trouvez une nouvelle fois dans mon bureau, dit-il avec son accent indien.

L'adolescente croisa les bras et s'enfonça dans sa chaise. Quelle perte de temps, bien sur qu'elle savait ce qu'elle faisait là. Elle n'était pas complètement abrutit.

Elle attrapa son sac à dos et sortit son paquet de chewing gum à la menthe, elle en attrapa deux qu'elle commença à mâchouiller devant le proviseur sans prêter attention à ce qu'il lui disait.

Elle savait déjà ce qu'il allait lui dire de toute façon, qu'elle s'était battu plusieurs fois cette semaine, qu'elle avait taguée un mur du lycée et qu'elle s'était fait exclure de cours un nombre incalculable de fois, et blablabla…

- Donc, vous serez collé tout les vendredis pendant un mois.

- Quoi, s'exclama Santana. Vous n'avez pas le droit !

Le vendredi soir était son moment préféré, le seul moment cool de toute la semaine. Il y avait toujours des fêtes avec de super ambiance et c'était aussi les moments ou elle sortait avec un de ses (nombreux) rencards. Et puis c'était le début du week end quoi !

Le téléphone fixe du proviseur se mis à sonner, il fit signe à Santana de patienter et décrocha. Santana croisa les bras et se mis à soupirer pour montrer son mécontentement tandis que l'indien parlait au téléphone.

- Oui Madame Pierce, je comprends mais pour le moment aucun élève ne s'est proposé pour donner des cours de soutiens en espagnol.

Le proviseur fixa alors Santana, de beaucoup trop prêt à son gout. Elle eu un mouvement de recul et regarda le principal avec ses grands yeux noirs, elle savait ou il voulait en venir.

Comme elle était hispanique, forcément elle savait parler espagnol, c'était cliché. Totalement vrai, mais cliché quand même.

Il ouvrit le dossier de Santana qui était posé sur son bureau et tourna plusieurs pages. Santana savait parfaitement qu'il était entrain de regarder ses notes en espagnol. Et malheureusement pour elle, c'était la matière ou elle avait les meilleures résultats, peu être même l'un des meilleures résultats de son lycée.

Elle était rebelle (garce était plus approprié) certes, mais ça ne voulait pas dire qu'elle n'était pas intelligente pour autant.

- Excusez-moi une seconde madame Pierce.

Il mit sa main sur le combiné de téléphone pour ne pas que l'interlocutrice – madame Pierce – entende.

- Mademoiselle Lopez, j'ai un marché pour vous, commença t'il d'un sourire malicieux.

Santana s'arrêta même de mâcher son chewing gum en attendant, elle aurait accepté n'importe quoi tant que ce n'était pas le vendredi soir.

- Vu vos brillants résultats en espagnol, et comme nous avons absolument besoin de l'argent que nous donnes la famille Pierce pour payer les sauces de la cantines en échange de cours pour leur fille…

Santana remua sur sa chaise en attendant le verdict. Même si elle s'attendait à ce qui allez suivre.

- Je vous propose de donner des cours de soutiens en espagnol à la place de la colle. C'est mieux que la colle, non ?

- Ok, mais à une condition, pas le vendredi, marchanda la brune. Sinon je pense que les sauces vont disparaître de cet établissement.

Le principal réfléchis longuement, il sortit un chiffon et commença à lustrer la plaque avec son nom gravé dessus : Principal Figgins.

- Hum… Marché conclu, accepta l'homme.

Il tendit sa main droite à l'hispanique qui la serra fermement. Il prit un post it et inscrit l'heure et l'adresse à laquelle Santana devrait donner son cours de soutien. Santana l'attrapa et le fourra dans son sac à dos avant de partir pendant que Figgins reprenait Madame Pierce au téléphone pour lui annoncer la bonne nouvelle.

En sortant elle fonça aux toilettes se laver les mains car le contacte des mains de Figgins avait embaumé les siennes de son eau de Cologne Drakkar Noir.

Elle avait obtenu ce qu'elle voulait, encore une fois.


Santana sortit de sa voiture, on était mardi, et Santana devait commencer à donner son cours de soutien aujourd'hui. Elle observa la maison quelques instants. Elle était assez spacieuse et mignonne avec une jolie clôture blanche.

Elle marcha sur le petit sentier de caillou blanc qui menait jusqu'à la maison des Pierce. Elle appuya sur la sonnette qui fit un joli petit bruit mélodieux.

Maintenant elle s'attendait à voir une famille parfaite qu'on voit sur les magasines, et qui ont l'intérieurs de la maison qui ressemble à celles des Barbies.

Une petite fille ouvrit la porte, elle avait de jolis cheveux blonds et était vêtu uniquement de rose.

Mini Barbie, pensa Santana.

- Bonjour, petite chose rose, essaya t'elle de dire gentiment.

Elle n'aimait pas beaucoup les enfants, ça pleurés trop et s'était idiot.

Une femme apparut devant l'encadrement de la porte, elle était tout aussi blonde que la petite fille. Elle ramena l'enfant contre elle avec son bras et souri gentiment à Santana.

- Bonjours, tu dois être Santana, je suis Katherine Pierce, mais appelle moi Kate, demanda la femme.

- Santana, dit simplement la latine de sa voix roque.

Katherine lui tendis la main et Santana la serra. La petite fille la regardait toujours, trop.

- Oh et voici Madison, ajouta Katherine de sa voix enjouer.

L'enfant souri fièrement à Santana qui pu voir les nombreux troues sur la dentition de l'enfant.

Katherine laissa entrer l'hispanique, la maison était presque comme Santana l'imaginé : spacieuse, tout droit sortit d'un magasine et sentait agréablement bon le citron.

Il y avait plusieurs vases ou autres décorations qui avaient l'air d'avoir beaucoup de valeur. Puck aurait rêvé être ici pour voler discrètement un objet et le revendre pour s'acheter de l'alcool.

Madame Pierce conduit Santana jusqu'à l'étage et ouvrit une des nombreuses portes du grand couloir à moquette grise.

- C'est là, dit Katherine en poussant Santana dans la pièce.

La chambre avait un vieux papier peint bleu avec des grosses fleures rose et quelques petits oiseaux.

Un grand lit blanc trônait la pièce et une jeune fille tout aussi blonde que les deux autres membres de la famille Pierce jouait avec un chat obèse.

- Brittany, Santana est venue te donner ton cours de soutien.

La dite Brittany releva la tête vers sa mère. Santana cligna plusieurs fois des yeux, jamais elle n'avait vu Brittany dans son lycée. Pourtant elle avait cru repérer tout le monde.

Brittany pris son chat dans les bras, et s'avança vers sa mère et Santana. Katherine embrassa rapidement sa fille et lui rappela qu'elle devait partir à un rendez-vous pour sa petite sœur.

Katherine et Madison partirent laissant Brittany et Santana seule. Brittany reposa son chat et observa pour la première fois Santana. Santana était mal à l'aise quand les yeux bleus azure de la blonde se posèrent sur elle. Pourtant elle n'était pas le genre de personne à être intimidé par quelqu'un. C'était elle qui régnait au lycée, elle qu'on craignait.

- J'aime bien ta tenue, tu l'as acheté ou, demanda Brittany.

Sa voix était douce, tout comme son visage. C'était d'ailleurs l'adjectif qui la qualifié le mieux : douce.

- Heu... C'est une tenue de cheerleader, il faut faire partit de l'équipe si tu veux l'uniforme.

- Oh.

Santana longea le lit qu'elle effleura du bout de ses doigts. Le gros chat, s'approcha de Santana et se frotta contre les jambes de l'hispanique. Elle vérifia que Brittany ne regardait pas dans sa direction et donna un gros coup de pied dans le chat.

Elle n'aimait pas les animaux non plus.

Sur le bureau, les cahiers, crayons et livres d'espagnols étaient déjà installés. Santana s'assis sur une des deux chaises en osier blanc. Brittany était toujours debout, entrain de farfouiller dans une de ses boites colorés.

- Brittany, tu viens, demanda Santana.

- Hum, humm…

Brittany referma sa boite quelle remis sous son lit, et s'installa prêt de Santana.

- Donc, commença l'hispanique. Qu'est ce que tu sais dire en espagnol, Brittany ?

Elle n'avait jamais donnée de cours, mais elle pensait que commencer par savoir le niveau de Brittany était la meilleure chose à faire pour débuter.

- Gato, dit fièrement Brittany. C'est Lord Tubbington qui me l'a dit, ça veux dire chat.

Santana hocha positivement la tête pour l'encourager.

- Et quoi d'autre ?

- Rien.

Santana mis sa main sur son front n'osant pas regarder les yeux brillants de la blonde qui l'a fixé.

- Même pas salut, s'exclama t'elle.

- Non.

Brittany se releva d'un coup et se dirigea vers sa chaine hifi.

- Tu ne veux pas plutôt écouter de la musique, l'espagnol ça m'ennui…

Brittany commença à bouger au son de la musique. Elle avait l'air vraiment douée, et encore le mot était faible. C'était comme si elle était née pour danser.

Brittany s'approcha de Santana et lui tendis la main comme pour l'inviter à danser. Santana plissa des yeux. Elle était venue lui donner un cours de soutien, et cette fille qu'elle connaissait depuis seulement quelques minutes lui proposait de danser à la place.

Santana inspira un grand coup avant de prendre la main de Brittany. De toute façon, elle devait remplir un cota d'heure avec Brittany, pas un cota de réussite.

La peau de Brittany était aussi douce que celle d'un bébé. Elle resserra plus fort la main de l'hispanique avant de l'attirer contre elle. Leurs corps s'harmonisant parfaitement l'un l'autre au rythme de la musique.

A la fin de la chanson, Brittany relâcha les mains de Santana et s'écroula sur son lit.

- Pourquoi tu ne t'inscris pas chez les cheerleaders Brittany, tu es vraiment douée.

C'était si rare que Santana fasse des compliments en temps normal. Brittany mis ses mains sur son ventre et repris sa respiration.

- Je ne sais pas. Je ne sais pas comment se passe les inscriptions.

- Elles sont terminés. Mais je peux demander au Coach Sue de t'accepter, son bute étant de gagner elle ne pourra pas refuser un talent comme toi dans son équipe.

Brittany se releva du lit et fit un grand sourire à Santana.

- J'aimerais bien, oui, dit-elle doucement.

Santana remarqua le poster du Secret de Charlie, ça devait probablement être le film favori de Brittany.

Bizarrement Santana avait envie d'apprendre plein de chose au sujet de Brittany. Cette fille l'intriguait beaucoup.

Santana s'assis sur le fauteuil ou l'horrible chat reposait paisiblement une ou deux minutes auparavant.

- Comment ça ce fait que je ne t'es jamais vu avant au lycée, demanda curieusement Santana.

- Moi je t'est vu, plusieurs fois. Tu jetais du soda sur un mec robot en fauteuil, alors j'ai décidais de me faire petite quand je te croise, parce que je croyais que tu étais méchante.

Santana déglutit, elle savait qu'elle était intimidante, mais de la à faire peur à des filles comme Brittany, ce n'était pas ce qu'elle souhaitait.

- Mais quand je t'est vu entrée dans ma chambre, tu avais l'aire différente. Même vraiment cool, et finalement tu l'est, ajouta plus joyeusement Brittany.

La latine sentit soudainement son téléphone vibrer dans sa poche.

« Coucou Santan, demain. Toi, moi. Chez moi. – Puckerman »

- C'est qui, demanda Brittany en s'approchant de Santana.

Santana ne dit rien, ce n'était pas ses affaires après tout. Brittany s'assis sur l'accoudoir droit de son fauteuil, sa jambe tombait sur celle de Santana.

- Un gars, tu ne dois pas connaitre, dit finalement Santana.

- Dit toujours.

- Noah Puckerman.

- Le mec à crête ?

Santana hocha la tête, sa jambe collé à celle de Brittany l'a mettait quelque peu mal à l'aise (encore une fois).

- Je vois…

Brittany se releva et porta un chewing gum à la fraise jusqu'à ses lèvres.

- C'est ton petit ami, demanda t'elle.

Ce qu'elle pouvait être curieuse.

Santana ne savait pas vraiment quoi lui répondre. Disons que Puck était plutôt son plant cul. Ils étaient amis, et se disaient ensembles parfois, même si chacun d'eux couchés avec d'autres.

Au fond elle aimait Puck, mais uniquement comme un ami.

- Oui, répondis-t-elle pour ne pas rentrer dans les détails.

Brittany fronça les sourcils et une pointe de tristesse pu se lire sur son visage.

Ça faisait légèrement peur à Santana, Brittany avait t'elle le béguin pour Puck pour réagir ainsi ? Ou pire, Brittany était t'elle attirait par elle ?

- Je dois t'avouer un truc, Santana, dit tristement Brittany.

Elle prit la main de Santana une nouvelle fois. C'était comme si une décharge électrique venait de passer dans son dos au contacte des mains douces et chaudes de la blonde.

- J'ai vue ton copain entrain d'embrasser une autre fille dans les toilettes, je suis vraiment désolée, avoua t'elle sincèrement.

Santana se détendis soudainement. Brittany était triste de lui apprendre ce qu'elle savait, c'est tout.

- Ce n'est pas grave Brittany, ne t'en fait pas. Mais merci de me l'avoir dit.

Quinn aurait hallucinée si elle avait vu sa meilleure amie aussi gentille, avec une fille qu'elle connaissait à peine en plus.

Brittany se remis sur l'accoudoir du fauteuil et enroula ses bras autours de la taille de Santana qui un légé mouvement de recul.

Elle était un peu surprise. Jamais personne ne ce serait permis de lui faire un câlin, comme ça, alors qu'elles venaient de la rencontrer.

Mais bizarrement, Santana appréciait Brittany. Elle était spontanée et apporté de la bonté dans ce monde puant.

Une mèche de cheveux blonds se posa sur la joue de Santana. Même ses cheveux sentaient une odeur adorablement sucré.

- Je dois y aller, mes parents doivent m'attendre pour le dîner.

Santana se releva brutalement et pris son sac sous le regard perplexe de Brittany.

- A demain alors, dit doucement Brittany.

Mais Santana avait déjà refermée la porte de la chambre.


Le lendemain, Santana marcha la tête haute dans les couloirs du lycée. Les autres lycéens se poussaient pour la laisser passer et certains la regardait avec peur.

Elle aimait cette pression qu'elle avait sur les autres…

Jusqu'à ce qu'elle repense à ce que Brittany lui avait dit hier, une boule se forma alors au creux de son estomac.

Elle n'était plus sur à présent de vouloir être cette personne.

Quand elle tourna dans le couloir suivant pour aller à son casier, elle vit deux lycéens avec leurs vestes de foot qui encerclaient une fille.

C'était Azimio et Karofsky qui devaient très certainement s'en prendre à Rachel.

- Non s'il vous plait, pas sur mon visage !

Santana qui était entrain d'ouvrir son casier, le referma brutalement et s'approcha rapidement prêt des deux garçons.

C'était bien ce qu'elle pensait.

Brittany était contre les casiers d'un air terrifié, ses bras couvrant son visage. Elle tremblait légèrement et une larme coula le long de sa joue.

Les garçons riaient à gorge déployés avec leurs slushies dans les mains.

- Hey ! Qu'est ce que vous lui faites, demanda Santana d'un ton dure.

Une micro lueur d'espoir passa dans les yeux de Brittany quand elle vu Santana.

- Cette fille est folle, elle parle de licorne dans notre cours d'anglais, a emmenée son chat en cours la semaine dernière, commença Karofsky.

- Et elle vient de dire que nous sommes gros, finis Azimio.

- C'est vrai, dit tout bas Brittany en replaçant ses bras devant son visage.

Santana gloussa, malgré qu'elle soit dans une mauvaise posture Brittany s'accablait encore plus.

Azimio leva son poing vers le visage de Brittany. Santana lui attrapa instinctivement le bras et le fixa avec ses grands yeux sombres.

- Arrête, cracha t'elle. Tu ne va quand même pas taper une fille !

Elle serra de toute ses forces le poigné du garçon, elle n'était pas bien grande et musclé mais elle avait énormément de force.

- Hey oh Lopez, depuis combien de temps tu défends les losers maintenant, ricana Karofsky.

- Ta gueule.

Elle lâcha le bras d'Azimio et tira Brittany vers elle. Elle mit sa main derrière son dos et l'emmena jusqu'aux toilettes des filles.

Elle sortit une petite bouteille d'eau de son sac à dos et la tendis à Brittany qui bu une petite gorgée.

- Merci, murmura-t-elle.

- J'ai parlais au Coach toute à l'heure, elle est d'accord pour te faire passer un essai.

- Merci Sanny…

Personne ne lui donnée des surnoms, sauf ses parents et grands-parents.

Mais Sanny lui plaisait bien après tout.

Brittany lui pris le petit doigt et l'enroula dans le siens. Une vague de chaleur traversa le ventre de Santana.

Elle remercia le ciel d'être hispanique et donc de ne pas rougir car elle était certaine qu'elle serait couleur tomate à cet instant.

Brittany tira Santana vers le couloir, leurs petits doigts toujours enlaçaient.

Quelques élèves regardèrent bizarrement la grande (pétasse) Santana Lopez, qui marchait dans les couloirs son doigt emboîtait dans celui de la simplette Brittany Pierce.

En sentant les regards se poser sur elles, Santana se replaça une mèche de ses cheveux, tout en fixant le sol. Ses joues lui brûlaient horriblement le visage.

Brittany marchait avec élégance et légèreté, faisant légèrement virevolter sa robe rose pale, Santana, elle, avait l'impression d'être une grosse vache qui marchait d'un pas lourd à coté d'un joli cheval. C'était peu être bizarre, mais c'est comme ça qu'elle se sentait.

- On déjeune ensembles, proposa Brittany.

Santana hocha bêtement la tête, en essayant de garder sa respiration normale. Brittany lui procurait des sensations inconnu jusque là.

- J'me sens bien avec toi Santana, avoua Brittany en tournant sa tête vers la brune.

- J'me sens bien avec toi aussi, dit doucement Santana.

Finalement, elle remerciait le Principal de lui avoir fait rencontrer Brittany.


Maribel Lopez posa le plat de poulet sur la table. Son mari s'installa à la table tout en continuant de feuilleter le journal.

- Santana dois pourtant dîner avec nous ce soir, songea Maribel.

Ricardo posa son journal dans un coin de la table avant de mettre sa main sur l'épaule de sa femme.

Santana était leur fille unique. Maribel avait mis des années avant de réussir à tomber enceinte de Santana, quand elle était née Maribel avait tout de suite était hyper protectrice envers sa fille.

Maribel avait toujours peur pour sa fille, malheureusement pour elle, Santana était une vraie tête brûlé.

- Tu crois qu'elle a encore eu des ennuis, s'inquiéta-t-elle.

La porte d'entrée claqua et Santana apparut dans la salle à mangé. Elle jeta son sac devant l'escalier et s'avança vers sa mère pour lui faire la bise.

- Mija ou était tu, demanda Madame Lopez.

- Chez Puck, répondis Santana avant de s'asseoir à la table.

Maribel hocha la tête avant de servir du poulet à sa fille. Pour ses parents, Puck était officiellement son petit-ami.

Son téléphone vibra dans sa poche, c'était un texto de Brittany.

Elles avaient mangée ensembles au lycée, elles avaient fait plus ample connaissance. Santana savait désormais que Brittany était arrivée cette année dans l'Ohio – avant elle vivait au Texas –, que son chat prenait une très grande place dans sa vie et qu'elle était fan de dessin animée ainsi que des frères Scott.

Santana lui avait parlée du lycée, de ses entraînements de cheerleaders, et de ses dernières vacances.

Quinn était arrivée et avait demandée d'un ton peu aimable qui était Brittany et pourquoi elle traînait avec Santana.

Quinn s'était assis avec elles, Brittany avait eu l'air de beaucoup l'aimer. Quinn en revanche avait plutôt l'air de la trouver bizarre mais elle n'avait rien dit et n'avait pas était méchante, donc c'était déjà un bon début, non ?

« Bonne nuit ! »

Santana fronça les sourcils. Il était juste 20 heures et Brittany lui souhaitait bonne nuit.

« Déjà ? »

- Santana n'envoie pas de texto à table, grogna son père.

Santana rangea son portable et se mordis l'intérieur de la joue gauche quand son téléphone vibra une nouvelle fois.

- Qui c'était, demanda curieusement Maribel.

- Tu ne connais pas, je l'est rencontrée hier.

- C'est la fille à qui tu donne des cours de soutien ?

- Ouais, répondis Santana la bouche pleine.

Santana pris un peu de riz qu'elle mangea à toute vitesse.

- Je peux sortir de table ?

- Déjà, s'exclamèrent ses parents en même temps.

Santana roula des yeux. Elle les trouvait si chiant à vouloir jouer à la famille parfaite.

- Va-y, accepta Maribel.

Ricardo lança un regard à sa femme. Il n'approuvait pas tout le temps sa façon d'élever leur fille, parfois il trouvait Maribel beaucoup trop peu autoritaire.

Santana monta dans sa chambre, les mures étaient foncés, mais décorés avec gout. Ses draps sentaient toujours bon la lessive, puisque sa mère les changés tout les jours.

Elle s'affala sur son grand lit et repris son téléphone.

« Désolée, c'est Lord T. qui a envoyé ce message. »

Santana souri une fois de plus bêtement, cette fille la surprendrait toujours elle en était sur.


A la base j'avais pas prévu de publier ce début de fiction... Mais finalement vu que ma 1er longue fiction est presque terminé j'me suis dit pourquoi pas... Donc voila j'pense que NORMALEMENT ce seras une petite fiction de 10 chapitres environ...

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