Il y a quelques mois j'ai commencé à lire cette histoire qui avait été traduite par une des personnes de ce site. Malheuresement celle-ci c'est arrété de la traduire depuis maintenant 2 ans ... Beaucoup de personnes aimaient cette histoire. Donc je suis allez la cherchez et j'ai tentez de la traduire.

Voilaaa on retourne un peur dans le passé et dans nos souvenirs

MORE THAN MEMORIES - PLUS QU'UN SOUVENIRS Ch. 19 (nous avions laissés Hermione et Ron assez joueur)


Maintenant plus qu'intrigué et plus qu'un peu allumé par la nature autoritaire et la détermination d'Hermione, Ron sortit de la douche et pris la serviette qu'Hermione lui tendait. Il se sécha rapideament séchage et enveloppa la serviette autour de sa taille, essayant d'ignorer le fait qu'elle 'était extremmement duveteuse et rose clair.

"Je dois me rhabiller ?" lui demanda-t-il alors que Hermione sortait de la salle de bain.

"Je pense que ce serait un effort inutile," dit-elle du vestibule. "Mais n'hésite pas si tu le veux vraiment."

Ron sauta l'étape du rhabillage et suivi Hermione dans sa chambre portant seulement la serviette rose. Hermione avait tiré une chaise et l'avait mise au pied de son lit.

"Assied toi là." Elle montre la chaise, en parlant très sérieusement, comme si elle apprenait une classe. "Maintenant il y a des règles spécifiques à ce jeu qui doivent être suivies."

"Bien," dit Ron avec hésitation, assis sur la chaise, en cambrant un sourcil. "Quelles sont les règles ?"

"Tu peux parler," expliqua-t-elle debout quelque peu modestement dans le petit espace entre la chaise et le lit, pensant que son corps ferme était assez près pour qu'il sente son parfum floral. "Mais tu ne peux pas toucher."

"Je ne peux pas te toucher ?"demanda Ron, se sentant un peu déconcerté. "Quel sorte de jeu est-ce ?"

"Ou toi-même,"continua-t-elle, avec un regard toujours très hautain. Le flux à ses joues était revenu avec une vengeance. "Aucun contact de n'importe quelsorte ... jusqu'à ce que j'en décide autrement."

Ron ri d'elle. Il ne voulait pas ruiner le jeu d'Hermione, mais il ne pouvait pas vraiment faire autrement. "Devrais-je t'appeler maîtresse ?"

Hermione fronca les sourcils. "Pourquoi le fairais-tu ? As-tu une sorte de fétichisme d'enseignant ?"

Ron lui fronca les sourcils en arrière, jusqu'à ce qu'il se soit rendu compte qu'elle associeait lae mot maîtresse avec une Directrice d'une école ou quelque chose de ce genre, ce qui était plutôt drôle pour Ron qui lui avait de ce mot une définition entièrement différente. Il était facile d'oublier que Hermione était toujours plutôt naïve quand il était sujet de sexe, considérant que chaque fois qu'il avaient été ensemble ce fut extrêmement hardi et sans complexes. Même leur première fois, cela avait été Hermione qui avait fait le premier mouvement, elle qui avait insisté pour que Ron fasse l'amour avec elle.

Ron savait maintenant que sa hardiesse était plus du au fait que c'était une femme entêtée, confiante a utilisé son savoir plutôt que quelqu'un qui était drôlement calé en matière d'hommes et lde sexe. Il avait été avec des femmes qui connaissaient le pouvoir, elles avaient pris des hommes et les avaient utilisé à leur avantage. L'honnêteté innocente d'Hermione et sa hardiesse faisaient toujours appel chez Ron beaucoup plus que l'expérience. Il avait espéré qu'elle ne l'avait jamais perdu.

"Oublie-ca," dit-il, secouant sa tête avec un sourire. "Je commence à penser que tu a développé une sorte de contrôle."

Elle souria espièglement. "Je pense que tu pourrais avoir raison," dit-elle en froncant les sourcils, soudainement nerveuse comme si une pensée venait de lui traverser l'ésprit. C'est mal ?"

Ron haussa les épaules. "Ca ne me dérange pas. Pourquoi pense-tu que je me suis mis à genoux hier ? J'ai eu besoin de toi pour entrer dans le jeu et il n'y a rien qu'Hermione Granger aime plus qu'être autoritaire et avoir le contrôle."

"Moi, est-ce que nous ne sommes pas rusés ?" dit Hermione timidement. "Pour quelqu'un qui semblait quelque peu peu sûr de sa capacité de fonctionner tout à l'heure dans la douche tu agis un peu trop suffisament maintenant."

"Je n'étais pas peu sûr," dit Ron sur la défensive, quoiqu'en réalité il savais qu'elle avait absolument raison. "Va-tu commencer ce jeu ou non ? Nous avons vraiment une contrainte de temps. Le soleil va finir par se lever et je ne veux pas être assis ici dans une serviette rose quand il fera jour."

"Oh, cela me rappelle," dit Hermione, tournant autour de la chaise et allant à sa porte de chambre. Elle la ferma à clé pris sa baguette et jeta un sort sur la porte. Quel charme c'était, Ron n'a pas su le reconnaître parce qu'elle l'avait fait muettement.

"À tout hasard si Philip se réveille." dit-elle à Ron.

Ron n'aimait pas l'idée d'un charme d'Amortissement même si il était un peu allumé par l'idée que Hermione ai pensé que cela eu été nécessaire.

"Et si quelque chose arrive à l'extérieur de la pièce ? Nous ne serons pas capables de l'entendre."

"C'est juste une voie," dit Hermione, sa voix lourde avec l'irritation. "Nous serons toujours capables d'entendre si les Mangemorts décident soudainement de commencer une attaque."

"Ce n'est pas vraiment quelque chose avec lequel je plaisante," dit Ron sérieusement.

"Le fait d'être Aurors a fait de toi et Harry des paranoïaque"dit-elle." Il y a des jours où je pense qu'Harry pourrait profiter des années de thérapie et plus quelques doses de breuvage magique d'anti-anxiété. Je me rend compte que tu n'es pas loin derrière lui. "

"Tu ne pense pas que j'ai mes raisons pour être si paranoïaque ?" lui demanda Ron. "Nous avons vu la merde que même la dose la plus forte de breuvage magique d'anti-anxiété ne pourrait pas nous la faire oublier. Si tu avais vu ce qu'une attaque de Mangemorts peux causer, tu n'en parlerais pas - même sarcastiquement."

Hermione soupira avecexaspération. "laissons tomber. Comme tu as dit, nous avons vraiment une contrainte de temps."

"Okay," dit Ron, se sentant plus qu'un peu frustré pour une multitude de raisons. "Parce que je commence à avoir besoin d'une cigarette."

"Tu sais tu ne devrais pas vraiment fumer. C'est mauvais pour toi et je déteste que Philip vous vois fumer toi & Harry. Les études montrent que les enfants de fumeurs-"

"Le jeu, Hermione," lui a dit Ron,. "Ou je vais avoir besoin du whisky pour aller avec la cigarette. Tu me rends fous ici."

"Désolé, désolé, je ne te donnerais pas de leçon." Elle soutena ses mains et ensuite comme après y avoir pensé elle ajouta, "non pas tout de suite de toute façon."

"Merci beaucoup."

"Bien." Hermione respira à fond. "Tu te rapelles des règles ?"

"Je ne suis pas idiot. Il y en avait seulement deux. Entretien bien, mais aucun contact de n'importe quel sorte. Je l'ai obtenu."

Hermione se raidi. "tu sais, tu ne m'aides pas vraiment."

"Comment ? Je suis assis ici passionné et en attente, d'amour," dit Ron, incapable de cacher son petit sourire satisfait en se voûtant dans la chaise et en croisant ses bras sur sa poitrine nu. "Tu n'es pas nerveuse, n'est-ce pas ?"

"Je ne suis pas nerveuse," dit-t-elle défensivement.

"Bien, parce que il n'y a pas besoin de l'être. Croit moi quand je dis qu'il n'y a rien que tu ai fait qu'il me revienne en mémoire."

"Tu y pense souvent, n'est-ce pas ?" demanda Hermione railleusement alors qu'elle commencait à déboutonner sa blouse.

"En respirant seulement," dit Ron, sa voix un peu enroué parce qu'il pouvait voir les bords du soutien-gorge d'Hermione.

Un petit sourire apparu sur ses lèvres et elle sembla trouver le courage dont elle avait manqué auparavant car elle rejeta sa blouse. Presque par réflexe, Ron s'est étendu et l'a attrapé avant qu'elle n'atteigne le sol.

Il la porta à son visage, inhalant son parfum parce qui lui rappelait tant de souvenirs. Elle portait toujours le même parfum qu'elle avait utilisé à l'école. C'était celui qui lui était curieusement familier mais il n'arrivait pas à savoir pourquoi le parfum tirait toujours sur son coeur.

"Tu es étranges, Ron."

"Je sais" dit-t-il , laissant tomber la blouse à ses genoux. "J'aime ton odeur."

"Va-tu sentir ma culotte aussi ?" Demanda-t-elle comme elle avait ouvert la fermeture éclair de sa jupe noire conservatrice.

"La pensée n'est pas désagréable," dit Ron honnêtement. "Pourquoi, me laisserais-tu ?"

"Non," dit Hermione en riant.

"Alors je suppose que je ne suis pas," dit Ron, ne semblant pas trop déçu parce que la jupe d'Hermione était tombée au plancher, le laissant autrement occupé. Il remarqua que sa culotte et soutien-gorge était assemblés et étaient tous les deux faits de lacet noir. Il n'avait jamais vu Hermione que dans des sous-vêtements simples, blancs, de coton et la lingerie devant lui le réveilla plus qu'il avait jamais pensé possible Il pointa du doigt ses vêtements, agitant sa main de son soutien-gorge à sa culotte et lui arquant un sourcil. "Agréable. As-tu porté ca pour moi ou te sentais-tu juste crépus ce matin ?"

"Peut-être un peu des deux," a répondu Hermione, avecce petit sourire satisfait.

Les sourcils de Ron montèrent. "Tu as pensé que j'allais voir ta culotte ?"

"Je ne pense pas que j'étais hors de propos après ce qui est arrivé hier. Tu-vas me dire que la pensée n'a pas traversé ton esprit ?"

Seulement chaque seconde depuis qu'il s'était réveillé ce matin, mais Ron n'allait pas le faire savoir. "Il se pourrait que oui - de temps en temps."

Hermione se regarda, comme si incertaine de son choix dans des sous-vêtements. "Aime-tu vraiment vraiment ?"

"Beaucoup," Ron dit honnêtement. "Et sachant que tu les as mis avec la pensée que je pourrais les voir me plais encore plus."

"Tu veux que je les garde ou je les enlèvent ?"

Ron se pencha en avant, commençant à jouer ce jeu. Il l'étudia de près, la rendant un peu nerveuse, il le savait, mais il ne pouvait pas l'aider. Le soutien-gorge était coupé d'une manière qui soulevait les seins d'Hermione, les faisant renverser presque sur les bords de dentelle. Sa culotte était coupée haut, beaucoup plus haut qu'autre chose il l'avait vue dans et ils ont posé ses cuisses bien faites, faisant ses jambes sembler plus longs

"Gardes-les," dit-t-il, considérant toujours la proposition. L'observation de Hermione complètement nu n'était pas sans mérite, mais il aimait vraiment les sous-vêtements. Il ne lui ai pas arrivé de voir quelque chose si ouvertement sexy d'autant que les vêtements portés par Hermione, sont toujours très le conservateur. "Ouais, gardes-les certainement." Alors comme la pensée lui vient après coup il ajouta, "pour le moment."

Elle inclina la tête, prenant un souffle profond. "Bien".

"Bon," dit Ron, espérant avancer le jeu.

"Ouais," dit-elle, ses yeux évitant les siens, elle regarda le plafond, l'habilleur, le lit, ses doigts découvrants contre ses cuisses. "Okay, bon."

Ron attendu, inclinant sa tête et étudiant Hermione. Quand le silence commenca à devenir lourd il a demanda, "on joues toujours ?"

"J'élabore mon plan! Donnez-moi une seconde."

"Excellent," soupira-t-il.

Il attendu beaucoup plus longtemps qu'une seconde. En fait, ca ressemblait à plusieurs minutes et il ne pouvait pas s'empêcher de regarder sa montre comme une distraction. Il n'était pas aussi nerveux qu'Harry, mais le silence et rester assis immobile n'avait jamais été son fort.

"Ne le fais pas!"

"Que ?" dit-il, tournant son attention en arrière d'elle. "qu'est ce que je fais ?"

"Tu as regardé ta montre!" dit-elle, ses mains sur ses hanches.

"cela va t-il contre les règles ?" demanda-t-il, incapable de cacher un sourire. "Je ne pense pas qu'il était. Je me rappelle les règles, vu qu'il y en avait seulement deux."

"Tu me rends nerveuse à bouger dans ton siège comme ça!"

Ron soupira, sa tête tombant en arrière dans la frustration comme si il parlait au plafond. "Hermione, je vais être honnête, tu dois travailler sur ta stratégie de jeu un peu."

Elle râla. "Tu es difficiles."

"Ouais, je suis difficile," dit-t-il, regardant toujours le plafond. Il souleva sa tête, soupirant d'exaspération. "tu ne veut pas juste sauter le jeu et le faire ?"

"Oh, c'est beau, Ron," dit Hermione, le regardant d'un air incrédule. "Casanova n'a rien sur toi."

Ron fit une grimace. "Qui est Casanova ?"

"Oublie-le!" dit Hermione, ses mains toujours sur ses hanches. "Tu es aussi romantique qu'un flobberworm!"

"Je suis juste tess règles" essaya-t-il de dire, la frustration faisant sa voix plus qu'un peu aiguisé. "C'est ton jeu, Hermione."

"J'ai dit que tu pouvais parler. Tu pourrais essayer de dire quelque chose de romantique. Ca ne te turais pas."

Ron ri. "Quelque chose de romantique ? Ouais, bien ? Um..." ... "Comment une poésie ?"

"Oui," dit Hermione dans la surprise, se redressant avec espoir. Elle le regarda fixement,

Ron ne pouvait pas l'aider, il avait doublé avec le rire. "Oh Merlin, elle pense que je connais une poésie d'amour ?" Il essaya de regagner son souffle, maiséchoua désespérément. Il souleva sa tête, totalement hystérique.

"Tu es folle."

Hermione roula des yeux, dans accès de colère de frustration. "Tu es vraiment désespérés, n'est-ce pas ?"

Ron suffoca. "Aimez la poésie" un un "-un - et tu pensais que j'étais s-serieux."

"Cela commence à m'irriter, Ronald," lui dit Hermione,

"Je suis désolé," ri-t-il. "Vraiment, je suis," haleta-t-il, saisissant on estomac il souleva sa tête pour la regarder. "Peut-être as tu besoin d'un type comme Gildroy Lockhart. Je parie qu'il connaissait des poésies d'amour."

Hermione haleta..

C'était trop pour Ron. C'était le stress de ces derniers jours,

Elle sauta sur lui comme un tigre fâché, giflant à ses épaules. "tu as juste ruiné mon jeu entier!"

"Il n'y avait aucun jeu," dit-t-il, riant toujours et essayant de faire dévier les coups d'Hermione parce qu'elle frappait avec force. "Avance-toi - une poésie. C'est drôle comme la merde."

"Ne jure pas! C'est ma maison." Il n'y a aucune grossièreté permise "," dit-elle, attaquant toujours sa poitrine et ses bras en ponctuant chaque mot.

"Tu veux ma mort!" cracha-t-il, perdant espoir en sa protection de la colère d'Hermione. "Umph! Merlin, tu donnes de ces coup de poing!"

Elle lui donna un coup de poing encore plus dur pour toute réponse et retrouva ensuite la raison et tomba à côté de lui, respirant durement. "Je suis folle avec toi," grinca-t-elle, tournant sa tête pour le regarder fixement. "Je suis vraiment furieuse, Ronald."

"Je sais. J'ai des marques qui le prouve," dit-t-il, se tournant vers elle avec un sourire. Elle lui rendit son sourire avec une lumière éblouissante. "Allons, c'est un peu drôle."

"Non, ca ne l'est pas," dit-t-elle détournant sa tête.

Il se roula sur son côté, se penchant pour voir son visage. "Je pense que tu souries."

"Descend de moi" dit-elle, le repoussant loin. "Ce n'est pas drôle, pas du tout."

Ron craqua de nouveau, s'étranglant de nouveau comme si il avait essayé de retenir le rire. "Allons, ne sois pas un bâton dans la boue," dit-t-il, "Rit avec moi, Hermione. J'aime ton rire."

Hermione était silencieuse pendant une seconde, avant qu'elle ne se soit tournée pour le regarder. "tu l'aimes ?"

Il inclina la tête, étudiant son visage. "Ouais, je l'aime."

Elle lui donna un sourire timide. "Je suppose que l'on pourrait le considérer un peu drôle."

"Oui, on pourrait," dit-t-il riant de nouveau.

"Tu sais, Ron," dit Hermione, se retournant et le considérant. "tu es en réalité tout à fait pleins d'esprit."

"Des remerciements, Hermione," dit-t-il, lui secouant sa tête "J'ai toujours été plein d'esprit. Je suis heureux que tu l'ai finalement remarqué."

Elle lui dit le fixant toujours. "L'Esprit prend l'intelligence."

"Il le fait maintenant ?"

"Il le fait," dit-elle, elle se roula sur son dos et diriga son doigt vers le pli entre ses yeux. "Je pense que tu es en réalité un homme très intelligent, tu le sais su ?"

"WOW," dit-t-il incapable de s'arrêter de lui sourire. "L'Esprit et l'intelligence, mais tu ne m'épouse toujours pas. Qu'est ce qu'une fille pourrait vouloir de plus?"

"L'amour," chuchota-t-elle.

Ron inclina la tête comme pour laissé la main d'Hermione glissé de ses cheuveux à sa joue. "C'est beaucoup, Hermione. Les blessures comme celle la ne guérissent pas si facilement que ça. Ce que tu m'as fais m'a vraiment vraiment bléssé."

"Je n'ai pas voulu dire çà," grinca-t-elle.

"Je sais," soupira-t-il. Il ferma ses yeux se laissant bercer par les doigts dans ses cheveux. Il était extrêmement fatigué. Il avait la moitié de sa tête pour juste demander à Hermione si elle voulait tout sauter et s'endormir. "Désolé j'ai ruiné ton jeu."

Hermione ri, ce qui l'étonna. "C'est mieux. Je ne suis pas le type sexy, séduisant, je suppose."

"Je pense que tu es autant sexy que séduisante," dit Ron, ouvrant ses yeux en lui sourirant. "Beaucoup même."

Hermione rayonna en accrochant ses doigts dans les cheuveux de Ron. Elle n'eu pas à tirer durement pour apporter ses lèvres près d'elle, si près qu'ils partageaient le même air. "Sautons le jeu," respira-t-elle.

Il étudia son visage, un sourire se formant sur ses lèvres. "Je pense que c'est un plan brillant."

"Je suis bon à ceux-là," lui a-t-elle chuchoté, en souriant.

"Ouais, je sais."

Ne désirant plus attendre, Ron se pencha et captura ses lèvres.

Ron était de bonne humeur. Il avait bien dormi, bien mieux que les nuits passées. Il a pratiquement rebondi du lit, mais était prudent de ne pas réveiller Hermione, parce qu'elle avait besoin de sommeil. Il savait qu'elle avait eu autant de nuits blanches que lui et il n'aimait les cernes sous ses yeux.

Il avait pensé qu'il serait agréable de faire cuire le petit déjeuner, parce qu'il était plus qu'un cuisinier, mais le fourneau d'Hermione l'effraya un peu. Sa machine à café a fait aussi, donc il consenti au thé et quelques biscuits qu'il avait trouvé dans son placard.

Philip n'était pas encore debout, donc Ron s'était assis à l'extérieur pour boire son thé, fumant une cigarette et cette fois, ne s'inquiétant pas sur tout. Il aurait du se douter que c'était trop bon pour durer.

Il reconnu le hibou avant qu'il n'ait atterri, un grand, beau hibou masculin neigeux qui avait engendré plus que quelques bébés avec Hedwige. Il le regarda monter en flèche à travers le ciel, volant aisément malgré le long voyage qu'il avait évidemment achevé.

"Hé, Roméo," dit-il comme le hibou s'était posé sur la rampe du balcon d'Hermione. "Qu'est-ce qu'il y a ?"

Pour toute réponse, Roméo souleva sa pate, posant la lettre attachée. Ron gémi, mais pris la lettre avec obéissance. Comme son propriétaire, Roméo pourrait devenir furieux s'il pensait que vous ne lui prêtiez pas attention.

"Merlin" dit Hermione, ouvrant la porte de balcon. "Quel beau hibou. J'ai pensé qu'elle était Hedwig pendant une seconde."

Roméo ébouriffa ses plumes, évidemment insultées. Il était un hibou très fier, comme son propriétaire. "C'est Roméo. Le petit ami d'Hedwig en quelque sortes."

Hermione haleta. "Je ne savais pas qu'Harry avait un mâle ?"

Ron se tourna vers elle et souri. "Il n'en a pas. C'est le hibou de Ginny et ils ont tous les deux une sortede douleur dans le cul. Aïe!"

Ron secoua sa main, regardant lugubrement la morsure que Roméo venait de lui faire. "Je saigne, toi petit de sh-"

"Que ca te serve d'exemple!" dit Hermione, en liant sa robe de chambre et enn sortant sur le balcon. Elle se pencha vers l'animal de compagnie pour mieux voir sa tête. "Hé bien, tu es de ses grands, & attachant hibou. C'est un Très bel en effet."

Ron roula ses yeux. Il suca son doigt pendant une seconde, tressaillant toujours de la morsure. Il saisi la lettre de la table et retourna à l'intérieur. Philip était finalement éveillé et il bondi quand il vit le hibou à l'extérieur.

"Oiseau!" cria-t-il courant à la porte de balcon. "Grand oiseau!"

"Il mord, matelot," dit Ron, Il montra son doigt à Philip comme la preuve "Regardes-le."

"Oh," dit Philip, étudiant le doigt de Ron avec de larges yeux "Mauvais oiseau"

"Aucune puérilité," dit Ron, faisant une grimace. "Regarde-le, il ne se snt même pas coupable."

Philip se retourna vers les portes vitrées pour regarder Roméo, qui roucoula des soins que lui portait Hermione. "Il ne mord pas maman."

"C'est que Roméo aime les femmes," dit Ron et ria sous cape. "Le mâle typique, c'est ce qu'il est. Il a presque enlevé la main de ton oncle Harry une fois. Ne s'est même pas soucié qu'Harry était celui qui lui a acheté. Il a des yeux seulement pour la Tante Ginny, c'est qu'un..."

"Tante Ginny!" dit Philip, avec une adoration épaisse de sa voix. "Tante Ginny aujourd'hui!"

"Toi aussi huh ?" Ron a ri.

"Ginny est très agréable, tu devrait le savoir, Ron," dit Hermione alors qu'elle rentrait dans la pièce. "Elle a une si belle prestance. Tu as de la chance d'avoir une telle soeur."

"Ouais," dit Ron sèchement et s'assis à la table pour lire sa lettre. "Elle peut être une douleur réelle aussi."

"Tante Ginny aujourd'hui!" dit Philip, toujours scotché à l'idée. "Jeu!"

"Oh, non pas aujourd'hui, mon coeur," dit Hermione en allant dans la cuisine et en se mettant à fouiller. "Je sais que j'ai quelques douceur pour le hibou par ici."

Philip bondi et courra dans la cuisine derrière Hermione. "Je veux lui donner à manger à l'oiseau!"

"Bien sûr," dit Hermione, sa voix brillante. "Nous allons lui donner de l'eau, aussi."

"Yay! Oiseau!"

"C'est un hibou. peut tu dire le hibou ?" dit Hermione de sa voie d'enseignante.

"Hibou!"

"Hibou."

"Hibou!"

Ron leva les yeux de sa lettre, regardant en fronçant les sourcils Hermione. "Hibou ?"

"Le Hibou en français," dit Hermione, marchant devant lui avec un bol d'eau.

Philip était sur ses talons, portant un sac de douceur pour hibou en chantant, "le Hibou. Hibou. Oiseau. Oiseau. Hibou."

Ron secoua sa tête et continua à lire. En entendant l'excitation de Philip de l'extérieur, il cria. "Ne laisse pas ce rat trop grand mordre Philip!"

"Il doit être habitué aux enfants. Il est doux,"le rassura Hermione du balcon. "Comment va ton doigt ?"

"Toujours saignement."

"Jetes-y un charme guérissant avant que cela te fasse des cicatrices."

Ron rejeta la lettre et jeta un charme guérissant sur son doigt. Il soupira, se penchant en arrière dans la chaise et passa les deux mains par ses cheveux et nettoya à fond à son visage dans la frustration. En décidant de ne pas penser à la lettre, il s'est levé et s'est appuyé contre la porte ouverte, observant Philip alimentant Roméo.

Hermione s'est tournée vers Ron, souriant dans le bonheur véritable. "Il est beau ce hibou, tu ne pense pas ?"

"Je pense que tu es belle," dit-t-il, lui rendant son sourire. Les cernes sous ses yeux étaient parties et elle semblait très fraîche confrontée et radieuse ce matin, avec ses cheveux toujours sauvages du sommeil et ses joues roses par le froid.

Hermione s'est tourné de lui, mettant une boucle perdue derrière son oreille. Ses joues roses ont obtenu une nuanceplus rose et elle haussa les épaules. "Mes cheveux sont un désordre."

"Je sais" dit Ron et a soutenu le regard quand Hermione s'est tournée vers lui "J'avais beaucoup d'amusement à t'aider à les embrouiller."

Hermione a ri. "tu es mauvais."

"Seulement quand tu veux que je le sois," résista-t-il.

Hermione roula des yeux et revient au hibou. Elle pris une douceur du sac que Philip tenait.

"Quelle était la lettre ?" Elle demanda alors que Roméo manga la douceur de sa main ouverte. "Mauvaises nouvelles ?"

"Vous allez le rendre malade," dit Ron, inclinant sa tête en observant Philip alors qu'il donnait à Roméo deux douceurs immédiatement. "L'Enfer mange ces choses jusqu'à ce qu'il vomisse. Il ne (connaît pas ses limites. Ginny garde les douceurs cachés des enfants parce qu'elle se fait toujours avoir pour nettoyer le hibou malade."

"Ewwww!" dit Philip se tournant vers lui dans l'horreur.

"Je sais," dit Ron, tirant une grimace. "Je ne le nettoie pas, n'est-ce pas ?"

"Yuck!" dit Philip, correspondant au regard horrifié de Ron avec un de son propre. "Maman peut le nettoyer!"

Hermione pris le sac de douceur de Philip. "Je pense qu'il a eu assez pour le moment."

"Une décision sage," dit Ron, prenant le sac à son tour. "Si tu me montrais comment marche le fourneau je pourrais faire le petit déjeuner."

Hermione l'air étonné dit, "Ca serait très agréable."

"Yeeap," dit Ron en fermant la porte derrière Philip. "Parce que je suis affamé."

"Tu n'as pas très bien manger depuis que tu es arrivés ici," observa Hermione. "Je suis heureux de t'entendre avoir faim."

"Avec une vengeance," a-t-il dit, étonné Hermione avait raison, il n'avait pas beaucoup mangé. "Je pourrais manger un cheval."

"Alors allons t'enseigner comment travailler aux fourneau."

Le fourneau d'Hermione n'était pas vraiment différent une fois qu'il avait attrapé le coup de main. En réalité il aimait passé du temps à étudier les unités électriques lorsque il faisait des saucisses et des oeufs. Il n'était pas vraiment sûr qu' ils chauffent sans feu, mais il était néanmoins fasciné.

"Vas-tu me dire ce que la lettre dit ?" demanda Hermione lorsqu'elle bondi sur le comptoir pour le regardé cuisiner.

Ron hésita, se tournant pour la regarder par dessus son épaule. "Je dois aller à la maison."

"Pourquoi ?" demanda Hermione, et Ron avait le plaisir d'entendre la déception de sa voix.

"Juste aujourd'hui," l'a t-il rassurée. "J'espérais que vous pourriez venir avec moi."

"Vraiment ?"

Ron reveint à ses saucisses & ses oeufs. "Ouais, je ne veux pas quitter Phillip."

"Oh," dit Hermione, le mal évident de sa voix. "Bien, tu n'as pas besoin de moi pour cela."

"En fait si," dit-t-il, se retournant de nouveau. "Les jumeaux ont été suspendus de l'école. Je ne peux pas parler avec Harry et veiller sur Philip en même temps."

"Harry ?"

"Harry et Hannah. Les jumeaux que j'ai mentionné auparavant. Les jumeaux de Ginny," dit Ron, en s'ébouriffant sa main les cheveux encore une fois. "Harry a été suspendu pour s'être battu et Hannah a refusé de rester à l'école sans lui. Donc ils les ont renvoyé à la maison."

"Pourquoi se battait-il ?" demanda Hermione sonnant compatissante.

"Qui sait ?" dit Ron, secouant sa tête. "Ce n'est pas la première fois qu'il est suspendu. Je dois rentrer à la maison avant que Ginny ne l'étrangle de ses mains nues. Elle l'a juré si cela arrivait de nouveau."

"Pourquoi le suspendre juste pour s'être battu ?" demanda Hermione, déconcerté. "Toi et Harry vous avez participez à des baggares à l'école & vous n'avez jamais été suspendus pour autant."

"Il a tiré un couteau sur l'enfant." Ron tressailli, détestant le dire à haute voix. Hermione ne compris pas. Évidemment, aucun n'avaient fais ça à Poudlard. Harry portait un couteau qui parfois l'avait sortie d'une mauvaise situation. Ron avait porté un couteau aussi et il avait sauvé sa vie plus qu'une fois. "Je pense que ça rend les gens un peu nerveux. Les couteaux tuent les gens."

Hermione inclina la tête, avant qu'elle ne chuchote, "les baguettes magiques aussi."

"Très vrai," accorda Ron.

"Je vais prépare Philip et moi-même," dit Hermione, descendant d'un bond du comptoir. "Nous pouvons manger le petit déjeuner avant d'allez au Ministère."

Ron inclina la tête s'étira pour saisir son bras "Merci, Hermione."

Elle souri. "C'est normal."

"Cependant, j'apprécie," dit-t-il, se sentant un peu inconfortable. "Je sais que tu avais probablement du travail à faire; quelque chose de plus important que mon truc familial."

"C'est bon" dit-t-elle , debout sur ses orteils lui donner un baiser rapide avant qu'elle ne le laisse dans la cuisine.

Ron toucha ses lèvres après qu'elle soit partie. Il s'est rendu compte alors qu'elle adoucissait sa colère, parce qu'il ne pouvait pas s'empêcher de sourire.

~ * ~

Hermione trembla da froid quand le Portoloins les a laissés tomber dans un jardin énorme, enneigé. Elle inclina sa tête et regarda la neige qui tombait rapidement et furieusement. Alors elle retourna son attention sur la maison qui était beaucoup plus grande qu'elle ne l'avait imaginé. Cela semblait majestueux avec son toit enneigé et elle s'est trouvée presque embarrassé que Ginny ait vu son appartement minuscule.

"Neige!" dit Philip, s'agitant dans les bras de Ron. "Jouer!"

Ron le posa dans la neige et Philip colla ses mains nues dans la neige. "FROID! Froid, Papa!"

"Nous aurion du lui mettre des gants," dit Ron, tressaillant se baissant pour épousseter la neige des mains de Philip. "Je suis sûr que Ginny en a une paire sa taille à l'intérieur."

"Ron!"

Hermione s'était tournée à temps pour voir qu'une belle jeune femme, blonde courir de la porte d'entrée de la maison. Elle avait un peignoir bleu mince et aucune veste, mais elle n'avait semble-t-il pas remarquer car elle s'était jetée dans les bras de Ron.

Hermione fronca les sourcils car Ron l'avait attrapée avec enthousiasme, rendant son étreinte et embrassant le sommet de sa tête. Ses pieds se soulevant de terre alors qu'elle s'était accrochée à Ron.

"Tu m'a manqués," grinca-t-elle avec un sourire brillant.

"Tu m'as manqués aussi," dit-t-il , la reposant finalement loin de lui. "Tu as bonne mine. Tu as mangé."

"Oui," dit-t-elle. "Harry dit que je vais devenir grosse à manger comme je le fais."

"Harry un cul," dit Ron, drapant son bras sur son épaule et donnant une autre étreinte. "Tu es radieuse. Je vais devoir me battre avec les garçons."

Elle ri et Hermione l'étudia silencieusement alors qu'elle avais pris Philip dans les bras pour le réchauffer. La femme était plus que radieuse; elle était à couper le souffle. Elle ressemblait à une Déesse d'hiver avec la neige miroitant dans ses cheveux blond, blanche et ses rayonnant yeux bleu clair.

Hermione se sentit très simple à côté d'elle et plus qu'un peu jalouse de l'attention que Ron gaspillait sur elle. Ils étaient évidemment très proche.

"Hannah Elizabeth Michael," Ginny cria en venant taper du pied au pas de la porte. "À l'extérieur sans une veste. tu vas attraper ta mort."

Ginny drapa le châle qu'elle avait dans ses mains sur les épaules de la femme avant qu'elle ne se soit tournée vers Ron, étant debout sur ses orteils pour placer un baiser sur sa joue. "Elle ne pense pas."

"J'étais juste enthousiasmé de le voir," geint la femme, tremblant finalement de froid. "Cela fais des mois."

"Je sais, l'amour. Je sais," dit Ginny, secouant sa tête avant qu'elle ne se tourne vers Hermione et Philip. "les enfants. Ils te rendront folle." Elle pris Philip des bras de Hermione. "Regarde-toi sans gants. J'aurai du vous dire qu'il neigait."

"Tante Ginny!" dit Philip, enveloppant ses bras autour de Ginny et lui donnant une étreinte féroce.

"Oh! Un bébé," dit la femme, enchanté. "Je ne l'ai même pas vu."

"Pourquoi je ne suis pas étonné ?" dit Ginny, secouant sa tête de nouveau avant de revenir à Hermione. "As-tu rencontré Hannah ?"

"Non, non formellement," dit Hermione, fronçant les sourcils. "Hannah le jumeau de Poudlard ?"

"Elle-Même," dit Ginny roulant ses yeux. "Son frère est à l'intérieur. Je ne lui parle pas, Ron. Je le tuerai si je le faisais. Donné un coup de couteau. Je pourrais mourir d'embarras. Remerciez Dieu que tu es démasqué si rapidement "

"Ce n'était pas sa faute," geint Hannah de nouveau et Hermione se rendit compte que quoiqu'elle ait semblé plus vieille, son ton et le lancement était celui d'un adolescent.

Ginny fit signe de la main "Hannah, tu pourrait être poli et dit salut à Hermione. Elle est la très cher ami de Ron."

"Salut, Hermione," salua la femme, en se tournant pour donner un sourire à Hermione. "le bébé est si mignon."

"Merci," dit Hermione "Je le pense aussi."

"Il est beau," dit Ginny à Hannah, qui s'accrochait toujours de Ron. "Ron, rammene cet enfant à l'intérieur avant qu'elle ne meure de froid."

"Je pense qu'elle peut vous étrangler longtemps avant que cela n'arrive," dit Ron, serrant le bras d'Hannah de nouveau en la menant à l'intérieur. "Tu es de bonne humeur pour venir déchaussés hors de l'école."

"Tu sais Je préférerais être à la maison," dit-t-elle, en se tournant pour lever les yeux vers Ron elle chuchota assez fort pour qu'Hermione puisse entendre. "Son bébé il te ressemble, Ron."

Ron ri. "n'est-ce pas ?"

"Je l'aime à la mort, mais la fille ne le pense pas," Ginny soupira alors qu'elle était debout à côté de Hermione a observé Hannah & Ron revenir vers la maison. "n'avons nous jamais été jeunes et insouciants ?"

"Peut-être une fois, il y a très longtemps," dit Hermione, soupirant alors qu'elle aussi observait Ron avec Hannah. "Hannah ne fait pas dix-sept. ans"

Ginny se retourna, lui donnant un sourire triste en l'étudiant. "La Guerre elle nous vieillit avant notre temps. Nous portons tous les blessures, un peu plus que d'autres. Hannah en fait partit et cela se voit."

"Je n'y avais pas pensé," dit Hermione, "Je suis désolé."

"Ne le soit pas," dit Ginny, changeant Philip de bras pour prendre celui d'Hermione. "C'est quelque chose que j'aime chez toi. Tu ne vois pas le plus mauvais comme le reste de nous. Tu n'es pas las. J'espère que tu ne le sera jamais . Maintenant, amenons ce pauvre bébé sans gants à l'intérieur."

La maison de Ginny était belle. Même avec des jouets dispersés de partout, ca sentait le frais, le propre, le terrain en plein air qui différait du Terrier, était plus qu'à quoi Hermione s'était attendue.

Ses meubles étaient d'un goût exquis, pas froid et inconfortable à regarder. Ses tapis et rideaux tout correspondait et Hermione étaient certaine que la maison et le mobilier valaient une petite fortune.

"Le Ministère te finance t-il ?" demanda Hermione en regardant des enfants sortir de la boiserie pour saluer Ron.

Ginny renifla. "Je ne pourrait meme pas alimenter ces enfants sur les fonds que le ministère fournit."

"Comment te permes-tu tout cela ?" demanda Hermione se tournant vers elle dans la surprise.

"Les Donations surtout," dit Ginny en haussant les épaules. "Ron fait beaucoup de choses. Chaque fois qu'il sress j'obtiens un nouveau meuble. Comme tu peux le voir, il stress beaucoup."

"Ron a fait tout cela ?" haleta Hermione, en dirigeant sa main sur une table en bois cerise ornée contre le mur. "C'est beau. Je ne peux pas croire qu'il l'ai fait."

"Tu n'avait pas pensé qu'étant un Auror Ron est tout fait, n'est-ce pas ?" demanda Ginny en souriant.

"Oui, en réalité."

"Mon frère, un homme de beaucoup de talents," dit Ginny dramatiquement avant qu'elle ne se se tourne pour regarder les enfants, qui tout s'accrochait maintenant à Ron. "Cher Lord, je me trouve devant le besoin de te rendre ton fils."

Ginny rendit Philip à Hermione et s'est ensuite approchée de Ron, tirant une petite fille de sa jambe.

"Pouvons-nous laisser votre oncle Ron enlever son manteau avant que vous ne l'attaquiez ? dit-t-elle poussant la petite fille et saisissant ensuite une autre fille qui était dans les bras de Ron.

"Emily, laisse le." Ginny remis Emily à Hannah, qui planait toujours près de Ron. "Hannah, soit un amour et fait quelque chose avec ces enfants. Ils vont étrangler le pauvre Ron."

"C'est excellent," dit Ron en enlevant des épaules sa veste et la jetant sur le divan. "Où est Harry ?"

"Dans la cuisine," a dit Hannah à Ron, en lui tenant toujours Emily. "Il est inquiété que vous êtes fous à lui."

"Je suis folle," dit Ginny avec indignation. "Il devrait se tourmenter pour ce qu'il a fait."

"Mlle Hermione" elle se pencha pour regarder une petite fille qui avait environ huit ou neuf ans. Elle tirait sur la jupe d'Hermione impatiemment. "Mlle, puis-je voir Philip ?"

"Oh, y-yes, je suppose," dit Hermione, se penchant mettant Philip sur ses pieds. "Comment tu t'apelles ? ?"

"Marley," dit-elle, en donnant à Hermione un sourire brillant. "J'aime juste Philip. Je regrette qu'il ne puisse pas rester ici. Il peut partager ma chambre. Seulement Emily ronfle parfois."

"J'ai peur de lui manquer terriblement," dit Hermione en commencant de déboutonner le manteau de Philip. "Mais tu peux bien jouer avec lui quand il est ici."

"Jeu!" dit Philip en retirant les épaules de son manteau.

"Ca ira ?"

Hermione leva les yeux DE Philip qui était parti en courant avec Marley, pour allez voir Ron. "Oui, ca ira, va faire ce que tu a as faire"

"Je déteste t'abandonner à ces enfants" dit Ron, inclinant sa tête vers les enfants. "Je sais qu'ils sont écrasants si ne sais pas t'y prendre."

"Va voir Harry," dit Ginny qui était apparue derrière Ron. "Je suis parfaitement capable de jouer à l'hôte pourHermione."


Voila j'espère que la traduction vous convient Xoxo