Salut tout le monde, je présente ma première FF donc, j'espere que ca vous plaira ... Bonne lecture
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Chapitre 1 : Un rêve étrange pour un nouveau départ.
Le lieu était sombre, au fin fond d'une forêt, les arbres autours, oppressants, terrifiants, tel des géants immobiles dont les pieds s'enfoncent aux tréfonds de la terre. Au loin, une faible lueur semblait briller. Avançant, guider par cet unique repère, le jeune homme s'approcha doucement de l'origine de cette lumière. Au fur et à mesure qu'il se rapprochait, des éclats d'une conversation lui vinrent aux oreilles. Craignant d'être vu, il se cacha derrière l'un de ces immenses arbres, à la bordure d'une clairière où trois personnes trônées autour d'un feu de bois. Dévisageant tour à tour les trois individus, il ne put que confirmer son envie de discrétion.
Un homme de fier allure, aussi grand qu'il paraissait fort, le regard flamboyant se perdant dans les flammes de leur feu semblait préoccupé par ce que venais de lui dire l'une des autres personnes. Une abondante chevelure blonde dégageant des reflets rouge surnaturels lui descendaient jusqu'aux épaules, dissimulant quelque peu son visage des plus captivant, cachait l'expression de mécontentement grandissant en lui. Il parlait en haussant la voix aux deux autres silhouettes à peine visibles.
-Soyons réalistes Helga, il faut être sûr que nos élèves seront protégés de ce fléau que nous a laissé Salazar. Tant que nous sommes là, si son héritier réveille la bête dans sa chambre, nous pourrons toujours nous en occuper, mais qu'adviendra-t-il quand nous ne serons plus là ? Que feront nos successeurs ? Seront-ils assez fort pour en finir là où nous n'avons pas su percevoir le danger ?
-Mais Goldric, que pouvons nous faire ? Nous ne sommes même pas sûre que sa chambre existe. Il est vrai que Salazar voulait que seul les sangs-purs puissent être élèves à Poudlard, mais il n'aurait pas laissé son basilic dans l'école, au risque de tuer des élèves sans distinction.
La jeune femme s'avança vers l'homme laissant apparaître, aux lumières du feu, son visage séduisant. Elle avait les cheveux, d'un noir aux multiples reflets brun, attachés derrière la tête, et des yeux marron, laissant voir son inquiétude.
-Je ne veux pas que tu en parle aux élèves, cela ne ferait que créer un vent de panique parmi eux et la situation serait ingérable.
La troisième personne, qui jusqu'alors, s'était abstenue d'intervenir, fit apparaître un visage sévère que l'ombre dissimuler jusqu'à maintenant.
-Je suis d'accord avec Helga sur ce point, il ne faut pas que les élèves sachent, mais nous devons paraient à toutes éventualités, dans l'immédiat, nous sommes là pour intervenir, mais une fois que nous ne serons plus de ce monde, il faudra qu'ils se débrouillent seuls.
-Mais que faire ? Dit-le-nous toi, Rowena.
S'ensuivit à cela un long moment de silence, qui fût brisé par les bruits de pas d'un homme, qui, depuis quelques temps se tenait à l'abris de l'obscurité.
Il était grand, bien battit, et avait le visage d'un homme qui avait entre vingt et trente ans mais qui paraissait usé par une multitude d'épreuves difficiles, ses cheveux étaient d'un noir profond et tout ébouriffés, ses yeux d'un vert intense et profond.
Il portait une robe d'un blanc immaculé, qui dégager une légère lumière blanche, excepter au niveau du col et des manches, qui étaient tissés de fil d'or et d'argent, laissant apparaître quelques pierres incrustées, tel que des émeraudes, des saphirs, des rubis et des éclats d'ambre.
Même si son âge peu avancé était évident, il se dégageait de lui une prestance, une puissance, une autorité et une sagesse hors du commun.
Il commença à parler d'une voix calme et posée.
-Que diriez-vous de laisser un héritage comme l'a fait Salazar avant de vous quitter ? Comme cela, vos héritiers devraient pouvoir faire fasse à cela à votre place. Mais cet héritage ne devra pas tomber entre les mains de n'importe qui. Prenez un peu exemple sur celui qui vous a quitté et construisez-vous, vous aussi, votre propre chambre.
-Il est vrai que cette manière, nos héritiers pourraient s'occuper du monstre de Salazar, et que nos pouvoirs seraient à l'abris de tous, mis à part ceux que nous considérerons comme digne de nous. Ce sera notre lègue et seul nos héritiers pourraient le recevoir en entrant dans nos chambres.
-Je suis sûr que vous trouverez le moyen de sceller vos chambres, mais je tiens à ajouter une chose, pourquoi vos héritiers devraient se contenter de chasser le basilic s'il venait à revenir ? Ne pourraient-ils pas intervenir dans le monde des sorciers dans son intégralité comme vous le faites vous-même ?
Puis en se tournant vers le jeune homme cacher par les arbres, il rajouta :
-Et même pourquoi y aurait-il plusieurs héritiers ? Il se pourrait très bien qu'un seul élève puisse être digne de vous trois … N'est ce pas Harry ?
Harry se réveilla alors dans un sursaut, ruisselant de sueur, tremblant de la tête au pied. Il se leva et alla ouvrir la fenêtre, laissant entrer un peu d'air frais, ce qui lui fit le plus grand bien. Il se remémora la scène étrange à laquelle il venait d'assister dans son rêve, et pris la décision de la mettre par écrit pour en parler avec ses amis Ron et Hermione, sûrement ses deux compères pourraient l'aider à le comprendre, et donc sorti une plume et un parchemin de sa malle et commença à écrire. Apres avoir fini, il regarda son réveil et soupira en voyant qu'il n'était que deux heures du matin. Pour lui, depuis son retour du ministère de la magie l'année dernière, ses nuits étaient agitées et il ne dormait rarement plus de quelques heures. Il revivait sans cesse la nuit qu'il avait passé dans le département des mystères. Il avait risqué inutilement la vie de ses camarades et provoquer la disparition de son parrain, et renvoyait celui-ci tomber derrière le voile de l'arche. Cela le hantait, il se sentait coupable pour cela, comme il se sentait coupable pour la mort de Cédric lors de la coupe des trois sorciers. Mais il fallait regarder la vérité en face, car c'était de sa faute, il n'avait pas suivit les cours d'occlumentie que Rogue lui avais donné, Voldemort en avais profité et l'avais conduit à faire ce qu'il attendait de lui. Harry s'en voulait aussi de ne pas être assez fort, il n'avait rien pu faire pour empêcher la mort de son parrain, il n'avait même pas réussi à arrêter celle qui l'avait poussé sous l'arche, il n'était qu'un jeune idiot, trop sur que rien ne pouvais lui résister et pour cette leçon, il avait payé le prix fort, perdant la personne qu'il aimait le plus, le meilleur ami de ses parents son parrain, son ami : Sirius. Cela le rendait d'autant plus malade depuis que Dumbledore lui avait révélé le contenue la prophétie, sachant qu'il devait être plus fort que tous, plus fort que Dumbledore mais surtout plus fort que le Lord Noir. Comme cela, il n'y aurait plus de mort, plus personne ne souffrirai de la perte d'un proche, plus personne ne souffrirai de l'oppression et de la peur que provoquer le seigneur des ténèbres. C'est pour cela qu'il avait pris la résolution de devenir plus fort, de n'être plus connu comme le survivant mais comme celui qui a débarrassé le monde de Voldemort, mais pour cela, il devait travailler et s'entraîner durement.
Dès qu'il fut l'heure d'aller préparer le petit déjeuner de la famille Dursley, la famille de la sœur de sa mère, qui l'avait recueillit lorsque celle ci etait morte, il descendit. Il finissait de servir les œufs au bacon lorsque arriva les membres de cette famille de moldu, sa tante Pétunia le regarda avec le mépris habituel qu'elle éprouvait pour lui, mais ne trouvant rien à lui reprocher, elle s'assit à coté de son cousin Dudley, qui avait perdu quelques kilo depuis l'été dernier. Ce rituel matinal durait depuis son retour de Poudlard quelques jours plus tôt. Tout le monde mangeait en silence, lorsque soudain, un oiseau entra en trombe dans la cuisine, arrachant un cri d'effroi de sa tante. Harry reconnu tout de suite le volatil qui n'était autre que sa chouette, dont le plumage était toujours aussi blanc.
-Hedwige, s'écria Harry. La chouette vint alors se poser sur son épaule et il s'aperçut qu'elle lui avait amené deux lettres. Il s'empressa de monter dans sa chambre sous le regard fulminant de son oncle Vernon dont le visage commencer à tourner au violet.
-JE T'AI DIT QUE JE NE VOULAIS PAS VOIR TA MAUDITE CHOUETTE ICI, ET PUIS QUI T'AS PERMIS DE LA LAISSER SORTIR, QUE VONT DIRE LES VOISIONS S'ILS LA VOYENT ? Hurla Vernon
Mais Harry, qui n'avait pas fait attention à l'énième vocifération de son oncle, était déjà dans sa chambre. L'une des deux lettres portées l'emblème de Poudlard ainsi que celle du ministère, rappelant à Harry qu'il avait passé ses BUSE l'année dernière. Il s'empressa alors de l'ouvrir pour voir combien il en avait eu.
Cher monsieur Harry James POTTER
Ayant passé les différentes épreuves du Brevet Universelle de Sorcellerie Elémentaire l'an passé, c'est avec un grand plaisir que nous vous faisons part de vos notes.
Astronomie Acceptable
Botanique Effort exceptionnel
Divination Désolant
Défense contre les forces du malOptimal ( avec mention spéciale du jury )
Histoire de la magieDésolant
MétamorphoseEffort exceptionnel
PotionOptimal
Soin des créatures magique Optimal
Sort et enchantement Effort exceptionnel
Vous avez donc reçu 7 BUSE mais nous tenons à vous en rajouter une pour votre exceptionnelle maîtrise lors de l'épreuve de défense contre les forces du mal.
Cela vous fait donc un total de 8 buses.
Nous voulons aussi vous informer que des a présent, l'utilisation de votre baguette pourra se faire sans restriction et que vous pouvez, si vous le désirez, passer votre permis de transplanage, pour cela, il vous suffit d'aller au ministère de la magie, département des transports magique, niveau 6, et de vous rendre au centre d'essaie au transplanage pour vous inscrire. Pour de plus ample information, veillez vous adresser au service de renseignement du ministère de la magie.
Avec nos sincères félicitations et nos vœux de bonne continuation, Le Ministère de la Magie
Harry n'en revenait pas, il avait eu 8 BUSE, mais surtout, la note Optimale en Potion …Lorsque Rogue verra ça, il en sera vert de rage, se dit Harry avec amusement.
Apres que l'étonnement soit passer, Harry entreprit d'ouvrir la seconde lettre, mais il fut un peu déçu en remarquant que ce n'était pas Ron ni Hermione qui lui écrivait.
Cher Harry
J'espère que tu te porte bien et que les Dudley ne te maltraite pas trop. Je voulais te dire que Dumbledore nous a prévenu de tes résultats de BUSE et Tonk et moi, voulons te féliciter pour cette réussite. Aussi, nous nous inquiétons pour toi, surtout avec ce qu'il s'est passer cette année au département des mystères. Répond-nous vite pour nous donner des nouvelles.
Affectueusement, Tonk et Lupin
P.S. : Dumbledore, m'a dit de te prévenir, tu ne dois pas essayer de retourner dans le monde des sorciers pour l'instant. Reste à Privet-Drive jusqu'à ce que nous venions te chercher.
Harry n'en pouvait plus, Dumbledore, encore lui, il prenait toujours les décisions à sa place, mais là, c'était trop, il pris un parchemin et écrivit :
Cher Dumbledore
Je viens de recevoir une lettre me stipulant de rester là où je suis, juste parce que vous en avait décidé ainsi. Cependant, je ne veux pas rester à Privet-Drive, j'étouffe, et puis aussi, j'en ai plus qu'assez que vous décidiez pour moi ce que je suis sensé faire. Donc, je vous informe que je me passerais à partir de maintenant de vos conseils si aviser qui vous a amené à me cacher la vraie raison pour laquelle Voldemort veut me tuer et qui ont entraîné de nombreuse complication et mort dans ma vie.
Nous nous reverrons sans aucun doute a Poudlard.
Harry
Il donna la lettre a Hedwige en lui disant de l'amener à Dumbledore
Puis Harry sorti sa baguette et commença à ranger toutes ses affaires dans sa malle. Une fois que tout fut plier, pris sa malle et descendit, ouvrit la porte et sorti de la maison. Son oncle voyant cela, sorti aussitôt.
-Reviens ici tout de suite ! Tu m'entends ?
-Il n'en est pas question, j'en ai plus que marre de vous voir, vous me traiter comme un chien, je suis obliger de tout faire dans cette maison et en plus vous me détester, alors vous devriez plutôt être heureux que je parte.
-tu ose nous dire que nous te traitons comme un chien, nous qui t'avons recueillit, qui t'ont nourrit, héberger, habiller, tu nous dois un peu plus de respect.
Tante Pétunia et Dudley était sortis eux aussi et observer ce qu'il se passait. Puis quand Pétunia se rendit compte que Harry voulait partir, elle intervint.
-Harry revient tout de suite, n'oubli pas ce que ton directeur t'a dit la dernière fois, tu ne peux pas partir, sinon, tu risque de mourir, et nous aurions de gros problèmes par ta faute alors, rentre vite, ramène tes affaires dans ta chambre et reste y.
-Non, cria Harry, Les voisins commençaient à sorti et à regarder avec interrogation cette dispute qui les déranger. J'en ai ma claque de toujours écouter et faire ce que l'on me dit, je ne peux plus vous supporte, ni vous, ni lui. Alors adieu.
Apres ses quelques mots, il repris sa valise et parti à grand pas le plus loin possible des Dursley et de Privet-Drive, ne s'apercevant pas qu'une ombre le suivait.
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J'allais oublier ... REWIIIIIIIIIIEEEEEEEEEEEWWWWWWWWW please ...
