L'une de mes premières histoires sur Twilight et les Volturi que j'adore… Surtout Alec !

Je ne possède rien

Chapitre 1 : La mort

PDV inconnue (humaine)

Avant même que je n'ai pu m'écarter de lui, l'homme aux yeux rouges m'avait attrapée le bras en entraînée dans une ruelle adjacente. Il y faisait très sombre et il flottait dans l'air une répugnante odeur d'égout. J'avais beau me débattre de toutes mes forces, il avait une très forte poigne! C'est à ce moment là, que je me rendis compte de la froideur et de la dureté de sa peau sur la mienne. Elle était aussi lisse, froide et dure que du marbre.

Je réessayais encore de me libérer quand je pris conscience que cela ne servait à rien. Aucune de mes vaines tentatives pour me libérer ne le fient ciller. Dans ses yeux brillait une lueur de démence pure qui me fit frissonner de tout mon corps. Il ressemblait en tout point à un psychopathe échappé d'un asile, ses lentilles à elles seule le prouvaient… qui donc pouvait s'amuser à porter des lentilles de contact rouges ?

Alors que j'ouvrais la bouche pour lui crier de me lâcher, je me sentis écrasée contre le mur, il avait mis tant de force dans son geste que j'eus l'impression se sentir tout les os de mon corps se broyer sous l'impact. J'avais si mal que je ne pus retenir un gémissement de douleur. La tête baissé je m'empêchais tant bien que mal de pleurer. Finalement je me redressa et fixa le visage de l'homme. Je vis dans ses yeux une profonde satisfaction et alors que ses lèvres esquissaient un sourire bestial, je réprimais un frisson de dégout. Alors, je vis son sourire se fané et je pu entendre un grognement animal sortir du fond de sa gorge.

Lentement, lorsque ses lèvres se retroussèrent sur ses dents, je sentis mon sang se glacer dans mes veines. Ce n'était pas des dents… elles étaient blanches, trop blanches et semblaient extrêmement acérées.

Doucement, comme pour mieux se délecter de la scène qui allait se produire, il approcha son visage de mon cou, comme pour l'embrasser. A cet instant il ressemblait à un fauve prêt à dévorer sa proie. Je sentais son souffle glacé sur la peau tendre de mon cou et alors que je commençais réellement à avoir peur, je sentis ses dents percer ma chair, un hurlement sorti de ma gorge. Ma seule pensée fut : « Je meurs… », puis je perdis connaissance.

Je pense poster environ une fois par semaine… Merci à ceux qui lisent et j'espère quelques reviews.