Bonjour à tous !

Voici ma deuxième fiction. Tout comme la première, elle n'est pas totalement terminée, je peu donc en modifier le cours. Postez vos avis, vos idées, vos critiques. Cela nous aide dans notre travail d'auteur, nos fait progresser, en améliorant ce qui ne vous plait pas. C'est aussi une grande motivation, qui nous pousse à continuer ces histoires, car la trame intéresse du monde !

Merci,

Et place à l'histoire !


Chapitre 1: Bonjour tristesse

Point de vue de Bella :

Ils sont partis. Il est parti. Je suis seule, et je me demande bien ce que j'ai fait de mal pour mériter une chose pareille. J'en pleure, j'en fait des cauchemars tous les soirs, où je revis la même scène : celle où il m'a abandonné dans la forêt. Un trou béant s'est niché en moi, dans mon ventre depuis qu'ils sont partis. Je ne suis plus entière. Et Edward est parti avec mon cœur. Je n'ai plus rien. Je mange, je travaille, tout comme les autres, mais en dehors de ma vie au lycée, je ne vis plus. Depuis quelques temps, plusieurs semaines déjà, J'essaie de mettre fin à mes jours. Je ne veux plus vivre dans la souffrance permanente. Charlie m'avait déjà menacer de me renvoyer à Jacksonville ou de téléphoner à Renée. Je fréquente souvent l'hôpital, le médecin, borné, met mes accidents sur le compte de ma maladresse. Et personne ne sait vraiment que ces « accidents » sont voulu.

- Alors, Isabella, encore tombée ?

- Non, Je…

- Chut ! Je sais que votre maladresse frise le ridicule, voire le handicap, mais il n'y a aucune honte à avoir !

- Mais je…

- Soyez heureuse, cette fois-ci ce n'est pas trop grave, vous pourrez sortir dès ce midi.

- C'est vrai ?

- Oui.

Il sortit, sans même m'avoir laissé le temps de m'expliquer ma situation.

Borné, borné, borné. C'est vrai que sur un suivit médical, ça fait tâche. « A des envies suicidaires ». Je ne voulais pas attendre trois heures pour sortir, alors je quittais ma chambre d'hôpital et me dirigeais vers l'accueil. Une chance que je ne sois pas affublée de la fameuse blouse blanche des malades, je me serais fait repérer tout de suite. En me dirigeant vers la sortie, je vis mon médecin qui discutait avec la femme de l'accueil. Son regard vint se poser sur moi, mais il me laissa partir, mais qu'il fasse quelque chose pour m'en empêcher. Crétin. Ma maison n'était pas trop loin, j'allais marcher.

En passant près de la réserve Indienne, qui était sur mon chemin, je vis un groupe de jeunes sur une falaise, au bord la mer. Soudain, l'un d'eux s'élança, et sauta dans le vide. Je lassais échapper un cri. Oh mon dieu ! Il va se tuer ! L'homme atterrit dans l'eau, et je retins ma respiration. Lorsque sa tête réapparut à la surface, je poussais un soupir de soulagement. Il était vivant. Je repris ma route. Tout en pensant à ce que je venais de voir. Quel curieux sport ! Les Quileute aiment les sports à haut risque, Charlie me l'avait dit.

Tout durant le trajet, un idée germa en toi. Elle prenait forme, lentement, si bien que lorsque je fus arrivée à mon domicile, elle avait pris toute son ampleur. Demain, dimanche, lorsque Charlie sera parti pour aller à la pêche avec Billy, j'irais au bord de la falaise et je sauterais...