Bonjour à tous!
Bienvenue pour ma toutes première fanfiction de Vampire Knight!
Celle-ci portera principalement sur Kaname ainsi qu'un personnage sortit de mon crâne en ébullition totale.
l'histoire sera quelque peu revisitée à ma façon.
En effet, même si cela se déroule dans le monde vampire Knight et que je respecterais l'histoire, j'y apporterais en plus, ma petite touche personnelle et qui j'espère, vous plaira.
Sur ceux, bonne lecture.
Prologue:
Le soleil brillait dans le ciel absent de nuage en cette fin d'après-midi. En bas, dans un petit village calme, les habitants peu nombreux dans leurs traintrains quotidiens, parlant , riant entre eux, ignorent tous les quelques perturbateurs de cette tranquillité si apprécié dans les barrages. Ah la jeunesse. Que de souvenir pour la plupart des personnes âgés vivant ici. ils se souviennent eux aussi comment ils étaient à leurs âge. Courant partout. Jouant dans les rues. Piquant des caramel à un francs chez le marchand qui leurs crier dessus bien qu'un sourire soit peint sur son visage. Au fond ça n'a pas vraiment changé. Cette jeunesse qui anime un peu les journée et donne un peu de joie de vivre aux habitants qui sourient en les voyant détaler comme des lapins, poursuivit par un homme qui cris au sacrilège, demandant aux passant de les arrêter. Mais personnes ne bouge. non. Au lieu de cela, ils sourient, en les voyant passer. Les saluant parfois au passage. Oui. C'est ça le quotidiens d'un petit village majoritairement pauvre et retraité. Quant à la jeunesse. Elle est quasi inexistante. Les seules jeunes qui y vivent, sont obligé de voler les personnes riches qui passent par le village, pour ensuite redistribuer l'argent aux habitants et à leurs famille suivant le bulletins qu'ils ont récolté. Comme ces trois jeunes gens. Qui cours en riant aux éclats. Derrière eux. Un bourgeois, des habits valant la peau du cul, un chapeau melon sur la tête et une canne à la main. Il cris de sa voix grave et démontrant de sa colère " Au voleur" qui font plus rires les personnes autour qu'autres chose. Oui. C'est trois adolescent. Deux garçon et une fille. Semant un peu plus leur proie en tournant tantôt dans une rue à gauche, tantôt dans une rue à droite. Ils connaissent la cité médiévale comme le font de leurs poches. Et les avantages. Parfois. pour pimenter un peu plus le jeu. Ils s'amusent à se lancer le porte feuille, se séparant pour se retrouver et faire changer le porteur de l'étui. Lorsqu'enfin le propriétaire abandonne, se stoppant, le dos courbés, respirant à plein poumons et bruyamment, les mains sur les genoux. Ils fixent d'un regard haineux les groupes qui c'est assis en haut d'une muraille, et qui le regarde en riant, se partageant le butins avant de le remercier pour l'argent et de repartir en marchant calmement.
-soixante euros. On a déjà eu mieux. Fait remarquer l'un des deux garçons, les cheveux blond plaqué en arrière par le gel, la peau blanche et de grand yeux bleu. Pas très grand par rapport à son ami mais plus par rapport à la fille, le corps maigre par le manque e nourriture, mais légèrement musclé par les nombreuses courses, et escalades.
Son pote, grand, costaud, les cheveux brun et court pour une peau bronzé et des yeux noir, prend sa part, soit vingt euros en souriant avant de lui répondre en riant qu'il est jamais content. Les deux garçons rient de concert, habitué à leurs petites boutades amicale avant de se tourner vers leur amie, qui elle, ne prend que dix euros, laissant l'autre billet dans le porte feuille qu'elle donnent à un passant en lui demandant de le rendre à son propriétaire, ce quel fait.
Et oui. Ce sot peut être des voleurs, mais c'est ainsi qu'ils procèdent. Ils volent, s'amusent un peu avant de se répartir la récompense, et de rendre le porte monnaie avec souvent un billet dedans au propriétaire. Ils sont généreux mais aussi conscient que leurs actes son mal. Alors, comme pour ce faire pardonner, ils procèdent ainsi. Et jusque là, ils n'ont jamais eu d'ennuie.
Marchant tous les trois côte à côte, ils cherchent tout en parlant leur prochaine victimes.
-Tu mange à la maison ce soir? Demande le blond au brun qui lui répond en souriant qu'il aimerait beaucoup mais qu'il a envie de rester avec ses parents.
-Oh aller Henry! Au pire t'es parents viennent aussi. Mes parents ne diront jamais non et tu le sais. Insiste le blond.
-C'est vraiment gentil à toi Eren mais j'ai envie de passer une soirée en famille.
Eren fini par se tourner vers leur amie qui fixe droit devant elles, un sourire aux lèvres. Elles a trouvait une nouvelle victimes. Et les deux garçons le comprennent sans difficulté.
-Tu t'en occupe O'riel?
Elle hoche la tête en tournant son regard d'un bleu océan, qui contraste avec sa longue chevelure aussi noir que les ténèbres, attachés en une tresse qui lui arrive au niveau des reins, et qui fait ressortir sa pâleur presque cadavérique.
-on se retrouve dans les ruines finit-elle par annoncer avant, qu'après un regard, ils ne se séparent chacun dans une direction.
O'riel se met alors à courir. Drôlement vite si l'on remarque. Devant elle. L'homme aux long manteau noir se rapproche d'elle. Et tel un coup de vent, elle passe à côté de lui, plongeant sa main dans la poche du manteau pour en sortir un portefeuille. Elle repart aussi vite, zigzagant entre les personnes pour disparaître dans la foule. Sans ralentir el pas, elle tourne dans une petite ruelle, menant à un cul de sac. Prenant son impulsion, elle saute par dessus le mur sans difficulté pour atterrir avec souplesse de l'autre côté et reprendre sa course jusqu'au ruine de ce qui devait être la maison d'un noble. pénétrant les lieux, elle retrouve très vite ses compagnons qui sourient de concert en la voyant arriver.
-Alors?
Souriant, elle ouvre l'étui pour en sortir, sous leurs regards surpris, plus de deux cent euros. La joie est alors visible sans difficulté sur les trois visages alors que la jeune fille, tout le rigolant, commence à ouvrir le porte-monnaie. Masi son geste et stoppais par une main qui attrape son poignet et levait en l'air. Les trois jeune gens les alors les yeux, sur le propriétaire qui reprend, sans la lâcher, son bien.
-Merci, mais ceci m'appartient.
O'riel, lui sourit alors avant de lui répondre toujours en souriant un "de rien". Et sans prévenir, de sa main libre, elle chip le portefeuille qu'elle lance à Henry qui une fois récupéré, par en courant. L'homme soupir avant de sentir sa prise autour du poignet de al jeune fille se défaire. Rouvrant les yeux qu'il avait fermé par exaspération, il regarde d'un visage neutre, ne laissant voir sa surprise, la jeune fille sauter de la fenêtre qui doit être haute de bien trois mètres en st de l'ange avant qu'elle n'atterrisse en roulade et ne reparte aussitôt. Elle s'arrête cependant quelques mètre plus loin pour se retourner et fixait la fenêtre d'où elle c'était échapper, et où l'homme était posté, la regardant en souriant.
Elle repart ensuite, rejoignant une nouvelle fois ses amis qui l'attendant pour répartir le généreux butins. Puis, en voyant l'heure, tous décident de rentrer. O'riel, part avec Eren tandis Henry, lui, rentre chez lui, seule.
O'riel, contrairement au garçon, est orpheline. Elle a était abandonné au pas de la porte de la famille d'Eren qui la recueillit depuis et l'a élevé comme leur propre fille malgré de pauvreté. C'était il y a dix sept ans maintenant.
Entrant enfin dans leur petite maison, les deux adolescent furent accueillit par une agréable odeur de nourriture qui leur donna l'eau à la bouche. Aussitôt déchaussés, aussitôt dans la cuisine où leur parent les attendait pour ce m'être à la table.
Henry, lui, était attablé depuis un moment, et riait avec ses parents depuis une bonne heure maintenant lorsque qu'un bruit sourd provenant de la porte d'entrée vint interrompre ce moment. La mère du jeune garçon alla ouvrir avant d'appeler son fils qui regarda son père ne face de lui un air surpris. Sortant de table. il alla donc rejoindre sa mère qui était sur le seuil de la porte en compagnie d'un homme grand et mince, de long cheveux châtains attaché en une queue de cheval basse, et des lunettes sur le nez.
-Oui?
-Excuse moi de te déranger, mais j'aimerais voir ton amie, la jeune fille s'empressa de demander l'homme.
Echangeant u regard avec sa mère, Henry finit par lui répondre qu'O'riel se trouvait chez Eren.
Ni une ni deux, l'homme lui demandant de l'emmener chez le dénommer Eren. Et c'est ce qu'il fit. Il eu peur que l'homme soit de la police. Mais pourquoi la police viendrait-elle en habit de civile juste pour une bande de petit voleur qui au finale, rend l'objet voler, certes avec une partie de l'argent en moins mais bon. La pauvreté n'est pas quelque chose de supportable par ici. Une fois devant chez son ami, Eren sonna avant d'être ouvert par le père de celui-ci, qui l'accueille d'un grand sourire.
-Henry!
Le garçon le salue avant de lui expliquer la situation. très vite, ses deux amis se retrouvent dans l'entrée. Eren un sourcil arqué et O'riel les sourcils fronçaient, qui fixe l'homme.
-O'riel c'est bien ça?
-c'est pour quoi? S'empresse de lui répondre la jeune fille, visiblement sur ses gardes vis à vis du nouvelle arrivant.
-Je m'appelle Kaien Cross, je suis e directeur de l'Académie Cross, tu e a peut être entendus parler?
-Nullement.
-Je vois. Pour faire simple, j'ai créer cette académie qui réunit des jeunes gens comme tes amis et des jeunes gens, comme toi.
La jeune fille semble se décomposer sur place avant de fronçait les sourcils. Elle n'aimait vraiment pas cette homme.
-Vous êtes un Hunter?
-Je l'était, il y a longtemps, mais là n'est pas la question, si je suis ici, c'est parce que je voudrais que tu intègre mon académie. Alors? Quand dis-tu?
