Chapitre 1 :

Que dire de mon enfance ?

Que j'ai eu une enfance dorée ? ...oui

Que j'ai eu une enfance pleine d'innocence et d'inconcience ? ...oui

Que mes parents m'ont aimés et choyés ? ...oui

Oui...Jusquà l'âge de un an.

Oui après mes un an ce fut fini. Tout ça à cause de Dumbeldore.

Voldemort nous à attaqué, Henry et moi, le 31 octobre 1981. Nos parents, partis à une soirée de charité, nous ont laissé aux bons soins d'une nounou. Voldemort la tua en un rien de temps, puis s'attaqua nous.

Enfin à moi.

Mais il ne s'attendait pas que je produise " une bulle d'innocence". C'est un acte magique d'une grande purtée, qui lorsqu'elle est produite, est un bouclier impenêtrable L'avada du mage noir se retourna contre lui, et disparut. Faire cette bulle demande beaucoup d'énergie, donc ce fut endormie que nos parents m'ont retrouvé. Henry lui, avait reçu un morceaux de plâtre du plafond qui s'était en partis écroulé, laissant une cicatrice en forme d'éclaire sur le front, braillant de toute ses forces dans son berceau. Pour Dumbeldore et mes parents, cela ne faisait aucun doute, Henry était le survivant. Enfin c'est ce que déclara le vieux diabétique, car une seule un mâle pouvait faire de la magie en premier.

A partitr de là, je fus oubliée, ignorée. Les seules visites et cadeaux que je recevais venais des elfes de maison qui s'occupée de moi, veillant à ce que je ne meure pas de faim, et de mon parrain, Remus Lupin, loup garou. C'est d'ailleur lui que m'appris à lire, écrire; compter. Pour la magie, mes "parents" lui avait interdit de m'apprendre quoi que ce soit. Mais je n'ai pas attendu leur accord. Grâce aux livres, j'ai très vite compris la magie sans baguette.

Voilà comment j'ai grandit, je ne voyait que très rarement mes parents et mon frère jumeau.

Seule.

Seule parce que grâce à mon frère, mes parents ont renié mon parrain et l'ont chassés de leur misérable vie. Henry n'avait pas eu toute l'attention, qu'il aurait du avoir il a supplié nos parents de ne plus le laissé nous approcher. J'avais 5 ans.

Seule. Seule avec ma ranceaur, mon amertume et mes livres, deversant leur savoir en moi, sans pour autant étancher ma soif de connaissance. Ma rancoeur et mon amertue se sont transfromés au fils des ans en une haine douce et sournoise. Me bouffant de l'interieur. Un jour je me vengerai, un jour, quand je serais prête.

A 8 ans, je fis LA rencontre qui changea ma vie.

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Mes parents m'avait emmener avec eux pour faire dédicasser l'autobiographie du frangin. Et comme d'habitude, sitôt entrée dans la librairie, qu'il m'oublièrent. Alors je me suis refigié dans le raiyonnage le plus sombre et le plus silencieux. Les potions.

Plongée dans une livre particulièrement passionnant, je n'avait pas entendue, l'homme se rapprocher de moi, mais j'avais senti sa presence, une odeur muscé et sucrée. Donc je ne fis pas un bond de quinze mètre lorsqu'il s'adressa à moi.

- "Ce n'est pas vraimment un livre pour une petite fille". Dit il d'une voix douceureuse et feutré.

- "Je sais, je me renseigne, c'est tout". Dis je le plus sérieusement du monde.

- "Vraimment ? Mais comprend tu au moins ce que tu lis?"

- "J'ai 8 ans, monsieurs, encore heureux que je sache lire à mon âge." Dis en ne levant toujours pas les yeux vers lui.

- "Non comprend tu les formules et les manupulations écrites."

- "Pas tout non."

- "Hum. C'est bien ce que je pensé, vous les enfants vous..."

- "Ce que je ne comprend pas, c'est pourquoi certain ingrédient et pas d'autre. Exemple pour la potion de regénération sanguine. Il est dit qu'il faut ajouter des yeux de lézard à la sixième étapes, certainement pour stabiliser la mixture. Mais si on les remplace par des yeux de salamandre cela à le même effets et la potion devrait meiux se concerver. Non ?" Demandais je en le regardant enfin.

L'homme, grand et mince, habillé d'une grande robe noire, qui le rendait encore plus impressionnant, les cheveux tout aussi noir, tout comme ses yeux. Il me regardait comme si un troisième bras venais de me pousser. Il se reprit et s'accroupit à ma hauteur.

- "Si tu rajoute tu rajoute des yeux de salamandre, ta potion explosera car il ne faut pas les associer avec les langues de triton ajouté en deuxième étape." Me dit il d'une vois douce.

-" Oui c'est vrai. ...Et si on rajoute une feuille de laurier, cela pourrait peu être faire fusionner les deux ingrédients ? "

L'homme ouvrit la bouche de stupeur, le referma et reflechit rapidement. Puis me ragardant avec une legére admiration.

- " C'est possible, il faudrait que j'essais. Comment t'appele tu ?"

- "Angie Potter et vous ?"

Et pour la deuxième fois je vis le fond de ses amidales. Puis je vis son visage devenir dur et froid.

- "Severus Rogue." Dit il séchement.

- "Je vois." C'est à mon tour de me fermer et de laisser apparaître une image frigide." Le problème ne vient pas de moi mais de mon père. N'est ce pas ? Vous étiez son souffre douleur à Poudlard ? "

- "Votre père n'est qu'un..."

- " Abrutit .Lui qui se crois supérieur parout où il va". Les yeux sur mon livre je ne regarde même pas la réaction de Severus. Pour une fois que je peux cracher ma haine pour ma famille, je ne vais pas le laisser. "Si prétentieux, si arrogant, lui et mon crétin de frère. Il sont si fier de leur petit fiston adoré. Vous saviez que la première manifestation magique d'Henry était à l'âge de 6 ans ? Moi 3. Mais personne de l'a su. Parce que personne de fait attention à moi. J'ai plus de connaissence et de puissance magique que lui, mais c'est lui que mes parents vois, pas moi. Je les hais..Je les hais tous, et un jours, je causerai leur perte. Je suis peu être une Potter de sang et de nom, mais pas de mentalité et encore moins d'éducation. Je me suis faîtes seule."

Durant ma tirade, je m'était levée et faisait face de ma petite taille à cet homme qui avait osé me traiter de Potter. Mes yeux s'était embumés de larme de colère, mon corp tremblait de rage, mes poings était si serré que mes jointures sont devenue blanche. Il regardait bizzarement, je n'arrivait pas à lire en lui.

- " Je vous ferez parvenir le resultat de votre mélange. Si vous avez un jours besoin d'aide, n'hésité pas. Je hais votre famille autant que vous. Si vous..."

- "Angie, qu'est ce que tu fais ?" Dit une vois en colère. "Servelius, qu'est ce tu fais là ?" Dit mon père du voix menaçante.

- "Je discutais potion avec ta fille." Répondit Rogue. " Elle est très intélligente, cela à dut sauter une génération certainement."

- "Angie, viens ici." Dit il en cracha mon prénom.

- "Non, je ne suis pas un chien, je ne..."

Je n'ai pas eu le temps d'évité la gifle qui me fit reculer de trois pas.

- "Je suis ton père tu n'as pas à me parler ainsi, maintenant viens." siffla t'il.

Puis il me m'attrappa par le col de ma robe

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C'est à partir de ce moment que mon père commença à me battre. Dés qu'il y avait un truc qui le contrarier, qui n'allait pas à la maison ou au travail, je pouvait être sur qu'il allait se défouler sur moi, à coup de gifle ou de boucle de ceinture.

Seul Severus me permis de tenir. Grâce à lui je pouvait me livrer, et deverser ma haine, sinon je sais qu'elle m'aurait rendu folle. Je ne l'ai plus jamis revue depuis se jours jusqu'a mes 11 ans. Mais je lui écrivais presque tous les jours. Je ne savais pas ce qu'il ressentait à mon égard. Et à vrais dire je m'en fous, c'est lui mon défouloir.

C'est à 9 ans que j'ai decouvert que j'étais Fourchelangue. Et donc c'est là que j'ai decouvert que c'était moi la survivante. Ce jour là, j'ai eu un fou rire le plus dément que j'ai jamais eu.

Puis j'ai reçu ma lettre pour Poudlard.

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Arrivée sur le chemin de Travers, avec mes parents et mon frère, nous nous sommes fait aussitôt assaillit par des fans voulant parler avec leur héro. Du coup, mon père m'attrappa pas le col de ma robe et me colla une bourse pleine de gallion.

- "Va faire tes achats." Dit il sans me regarder.

Parfait au moins je ne les aurais pas dans les pattes. Direction Guippure

Alors que la couturière prend mes mesures, Un père et son fils, aussi blond lune, l'un que l'autre, qui me regardèrent de haut, entrèrent dans la boutique. Des Malfoy. Et qui arrive derrière ? Severus. Il n'a pas changé. Lui aussi me regarde, les sourcil fronssés.

La couturière s'éloingna de moi et prend en charge le fils Malfoy, l'installa sur le podium à coté de moi et s'en alla dans la reserve. L'occassion de parler.

- "Alors Severus, comment va tu ? Hate de nous voir débarquer dans ta classe?" Demandais je ironique. Je le vois lever son sourcil et c'est l'illumination.

- " Angie ? Demanda t'il peu sûr. Je lui confirme d'un mouvement de la tête." Qu'est ce que tu as changée, je ne t'ai pas reconnue et non je n'ai pas vraimment hate de voir tout ces crétins débarqué dans mes cachots. et t'en que j'y pense, tu avais pour le miel, cela reduit de moitité l'agréssivité du loup garou. "

-" Ah! tu vois j'ai toujours raison."

- " Modeste avec ça ".

- " Toujours" Repondit je avec un large sourire.

- "Où sont ils ?" Demanda t'il grave. Je sais qu'il parle de mes parents.

- "Certainement en train de s'offrir un bain de foule" Repliquais je je m'en foutiste.

- "Non il n'y à personne sur le chemin...Ah quoi que maintenant que j'y pense, j'ai remarqué qu'il y avait un attrouppement anormal devant la devanture de chez Ollivanders."

- " Cherche pas plus loin, ils sont là. Mais qu'elle sera la nature de sa baguette. Par merlin que de "suspense".

- " Je te trouve bien insolente"

- "Tu le sais bien je n'est aucune éducation."

Un bruit de gorge nous interrompt dans notre conversation.

- " Oh navré." Comprit Severus. " Angie, je te presente mon meilleur ami Lucius Malfoy et son fils et mon fillieul, Drago. Lucius et Drago, je vous présente Angie Potter."

- " Enchantée messieurs." Les deux surtouts trop surpris pour parler d'autant que les couturières arrivèrent pour s'occuper de nous.

J'avais une assez bonne vue sur la rue et vit de très loin l'arrivée des¨Potter.

- "Merde ils arrivent. Vous avez fini ?" Demandais je à la couturière.

- "A l'instant Miss."

- "Bien ! Empaquetté le tout. Vite !"

- "Sev. Tu t'arrache avec moi avant qu'ils arrivent ?"

- "Avec joie. Mais quel language !" S'exclame Severus.

- "Tout dans les livres et dans la rue."

- "D'accord, je vois. Du moment que tu quitte ta baraque, tu t'en fous."

- "Yes. Allez Grouille ! Mr Malfoy, ravi de vous avoir rencontré. Drago, je te revois à Poudlard."

J'ai payé et nous avons détaller rapidement.

L'apothiquaire, plume, chaudron, parchemin et livres, je fis mes achats dans la joie et la bonne humeur en compagnie de Severus, tout en jouant à cache cache avec ma famille.

Cela faisait la troisième baguette que j'essayais sans succée chez Ollivanders.

Puis il fut pris d'une illumination et partis dans le fond de sa boutique, reviens et me tend une baguette. Une douce chaleur qui vient de la baguette envahie mon être et de petite étincelle s'échappe de celle ci.

-" Etrange." Murmurre Ollivanders

Je reprend peu à peu mes esprits.

- "Excusez moi , Mais qu'est qui est étrange ?"

- " Je me souviens de chaque baguette que j'ai vendus. Miss Potter. Hors, il se trouve que la plume ,qui se trouve dans votre baguette, a fournis une seule autre plume. Il est étrange que ce soit cette baguette qui vous est convenue, quant on sait que c'est sa soeur qui à fait la cicatrice de votre frère."

Gloups

J'entendis Severus bouger nerveusement derrière moi.

Je plonge mon regard dans celui d'Ollivanders, il très bien compris la situation.

- "Puis je compter sur votre discretion? "

Ollivanders semble refléchir et hésité.

- Sachez que, à sa demande , je devrais prevenir le professeur Dumbeldore lorsque je vendrais cette baguette. Mais vous savez avec l'âge, les trous de mémoire se font de plus en plus fréquent.

- Merci je ne l'oublirais pas.

Une fois sortis de la boutique, Severus me regardait bizzarement.

- Oui, c'est moi pas lui. Mais pour le moment c'est plus simple que personne n'en sache rien. Pour tous le monde.

Après un moment de silence palpable, il repris enfin la parole.

- Que compte tu faire ?

- Pour le moment, je n'en sais rien. Je n'ai que 11 ans. Je suis encore en apprentissage. Je suis inutile, pour le moment. Pour tous.

- Je t'aiderais du mieux que je peux.

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Puis enfin la liberté, je suis enfin rentrée à Poudlard. Répartition.

SERPENTARD !

Le ledemain c'était une beuglante de mon père qui arriva au petit déj.

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J'arrivait dans la grande salle pour prendre mon petit déjeuné en compagnie de Blaize et de Drago. Dès le repas de la veille, je me suis tout de suite très bien entendue avec ses deux là.

L'arrivée du courrier interrompit toute les conversations. Et une enveloppe rouge atterrit de moi. AIE

" ANGIE POTTER !!!!!!!!!

JE N'AI JAMAIS EU AUSSI HONTE DE TOUTE MA VIE !!!!!!!

COMMENT A TU OSE ALLER CHEZ LES SERPENTARDS !!!! TU LA HONTE DE LA FAMILLE !!!!!!

TA MERE ET MOI SOMMES VRAIMMENT HUMILIE !!!!!!!!

NOUS NE VOULONS PLUS TE REVOIR JUSQU'AU MOIS DE JUIN ET LA PEUX TE JURER QUE JE TE FERAIS REGRETTER CETTE TRAHISON !!!!!!!!!

Quant à toi mon fils chérie, ta mère et moi sommes vraimment fier de toi et rappel toi, soit gentils avec les plus faibles que toi. Ta mère t'embrasse.

James Harold Potter

Auror en chef du ministère."

Et là se fut la stupeur dans la grande salle certainnement que tous le monde s'attendait à me vois pleurer ou autre chose. Mais je crois que j'ai choqué. En effet, durant tout le blabla de mon paternel, j'ai continuer à déjeuné comme si de rien et lorsque l'envelloppe rouge s'est enflammée, je me suis même permit une petite remarque.

- " T'a pas entendue quelque chose ?" Demandais à Drago

-" Non, je ne crois pas." Répondit le blondinet rentrant rapidement dans mon jeu.

- "C'est bien ce qui me semblais. Bon vous venez, on va être en retard en cour."

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Dire que cette première année fut la première fois je vis réelement. Les serpentard sont ma famille. Tous les ainés tombèrent sous mon charme et Severus au fils du temps pris la place de père dans mon coeur.

Henry et son trio d'or, Ronald Weasley, roux grand benêt, suit mon frère pour sa célèbrité et Hermione Granger, Miss-je-sais-tout et rat de bibliotèque, avait decouvert que Voldemort chercher à revenir. Et con et inconcient comme il est, il faillit se faire tuer si je n'était pas intervenue discretement pour lui sauver la vie. Evanouis, Quirrel qui s'appréter à le tuer, je lui lança un incendio qu'il ne pu evité. Il s'enflamma rapidement et toujours de ma cachette je vis Voldemort hurler sa colère sous sa forme d'esprit. Non pas que cela me dérangerait qu'il créve mais c'est moi qui moi ou grace à moi, qu'il mourra et pas avant. Et devant mes parents.