Huhuh! C'est encore moi! (n.n) de retour avec une fic Humour/Romance, (mais comme toujours, c'est relatif...)
Ici, un de mes couples préféré: HeiderichXEdward... hihihi (nn)b
Donc, donc... première fic en plusieurs chapitre! Je sais pas encore combien, je suis en plein dedans... En tout cas celui-ci est plutôt court... snif incapable
Je sais juste que celui-ci sert à "planter le décor" lol
Pas d'idée pour le titre, donc bein comme d'hab, de l'Allemand (J'adore cette langue! Dommage que je sache pas la parler T.T) vive le traducteur Google...
Bon, pour le blabla, toujours pareil, FMA ne m'appartiens pas, (et heureusement d'ailleurs, pauvres persos...) etc!
Pour finir, j'aimerais dire que certains passages sont tirés d'experiences personnelles nn"
Enjoy!
Tag Vom November
Une fraîche matinée d'hiver, à Munich. Alfons Heiderich bouquinait tranquillement dans le salon de l'appartement qu'il occupait avec son ami et collègue Edward Elric.
Qui, par ailleurs, tardait à revenir de la bibliothèque... Se serait-il encore fait réprimander par la gérante, pour avoir rendu les bouquins trop tard? Ses sermons pouvait parfois durer plusieures minutes, et cela sans discontinuer... Alfons les connaissait bien, car, avant Ed, c'était lui qui en patissait...
Heiderich tourna de nouveau ses pensées vers son propre livre, quand la porte d'entrée s'ouvrit violemment sur un Edward fulminant de rage. Alfons leva à peine les yeux, habitué aux fortes colères de son ami, mais fut quand même légèrement étonné de le trouver trempé de la tête aux pieds, dégoulinant sur le parquet, la frange collée au front, et ce au beau milieu de mois de novembre…
«-Heu… Edward? s'hasarda-t-il. Qu'est ce qu'il t'est arrivé?»
Le blondinet maugréa quelque chose d'inaudible. Alfons accourut vers lui et l'aida à enlever son manteau.
-Dépêche-toi de retirer tout ça et d'aller prendre une douche brûlante, dit-il en faisant tout son possible pour ne pas marcher dans la flaque que les vêtements d'Edward avaient déjà formée. Avec le temps que tu a du passé dans cet état, t'es bon pour attraper la mort(1)…
-Ca va, je suis pas un gamin! répondit Ed en le repoussant. Et puis, je tombe presque jamais malade, alors c'est pas maintenant que sa va commencer...
-J'veux pas le savoir, si jamais tu meurs d'une pneumonie, tout va me retomber dessus.
-C'est drôlement gentil c'que tu m'dit là…
-Dépêches-toi d'aller sous la douche ou je t'y emmène de force.
-M'en fout!
-J'te préviens, si t'y vas pas, c'est moi qui t'y emmène, et j'y reste pour te laver moi-même et te surveiller!
Ed rougit, tourna les talons et se dirigea vers la salle de bain. Heiderich soupira en l'observant s'éloigner, tout en pensant qu'il était quand même resté un peu gamin, et que, décidément, la vie avec lui n'était vraiment pas de tout repos…
Peu après
Edward sortit enfin de sous la douche, une serviette autour de la taille, et rejoignit Heiderich dans le salon, toujours plongé dans son bouquin.
-Finalement, soupira Ed, ça fait du bien…
-J'te l'avais dit, répondit l'allemand en souriant. Maintenant passe-moi une serviette et viens ici.
-Hein? Pourquoi? s'enquit le blondinet.
-T'inquiètes pas et viens près de moi.
Ed, pas très rassuré, le toisa avec curiosité. Alfons allait-il en profiter pour lui sauter dessus?
Quelle drôle d'idée!
Edward secoua la tête pour chasser des idées auxquelles il n'aurait jamais cru penser, et obéit.
-Bon, si t'insiste.
Il repartit dans la salle de bains et revint aussitôt tendre une grande serviette a son ami.
Alfons jeta un coussin par terre, devant lui, et s'installa au bord du sofa.
-Assied-toi.
Edward pris un air interrogateur, et se demandant ce qu'Heiderich pouvait bien avoir en tête.
-Pourquoi?
-Je t'ai déjà dit de ne pas t'inquiéter. Je vais pas te manger, allez viens ici.
Edward s'exécuta, non sans quelque hésitation.
Une fois bien assis sur le coussin, entre les genoux d'Alfons, celui-ci commença à le frictionner avec la serviette(2). Edward s'étonna d'abord, mais pensa finalement qu'il s'était inquiété pour trois fois rien, et trouvait même cela plutôt agréable. Il ferma les yeux et se laissa ainsi faire docilement, quand Heiderich demanda:
-Alors, raconte-moi, comment tu t'es retrouvé dans cet état.
-Et bien, je marchais tranquillement sur le bord du fleuve, une calèche est passée, j'ai du faire un bond pour l'éviter, mais j'ai trébuché et j'ai roulé jusqu'au fleuve.
-Dans le fleuve? Mon pauvre ami, ça tiendra vraiment du miracle si tu n'attrape pas une pneumonie.
-Mhmm…
Ed ne l'écoutait déjà plus. Détendu, les yeux fermés, il savourait cette sensation agréable avec délice, se laissant aller contre la jambe de son bienfaiteur, qui, amusé mais mal à l'aise, devait presque le retenir pour l'empêcher de tomber à la renverse.
Edward luttait avec peine contre le sommeil, mais la journée n'aillant pas été de tout repos, le combat s'averra perdu d'avance. Le blondinet finit par s'avachir entre les jambe de l'allemand, profondément endormi. Alfons se résigna donc, rougissant et quelque peu embarrassé,
-Bon, je vais encore devoir le porter dans son lit… soupira-t-il. Mais qu'il s'endorme si rapidement, cela ne présage rien de bon… Espérons juste que demain il ne soit pas trop malade…
(1)J'aime bien cette expression... "attraper la mort"... lol, parait que c'est une expression typique de cette époque, alors nn'...
(2)Une recette de Grand-Mère (la mienne en tout cas xD Petite, à chaque fois que je revenais trempée par la pluie, j'avais droit à la séance de friction après la douche lol )
Hey Hey! Premier chapitre términé!!! Vraiment court... mais fièèèèreeeuh!!!
Fic écrite a 4h du mat', postée a 4h30 nn" lol
J'ai un pôpa un peu, dison... "surprotecteur", et cette scène me vient de l'année dernière:
"Quoi?! t'es tombée dans la piscine?! Toute habillée! On t'a poussée?! Dépeche-toi, va vites prendre une douche brulante!!!"
"Heeu, Papa, on est au milieu du moi de Juillet... C'est pas grave" Oo
"Non, non non! Sous la douche, sur-le-champs!!!"
Donc voilà... en esperant que ce chapitre vous à plus! n.n Bientôt la suite, promis! (que cela vous plaise ou non)
Reviews plzz!!!!