Dark love.
Auteur : Moi ! Akira-sanguinis à l'appel !
Bêta-correctrice : Nelfa.
Disclatruc ^^ : Malheureusement Tite Kubo ne ma pas donner de droit sur ses personnages. Cruel non ? Donc Bleach appartient encore et toujours T-T à Kubo.
Rating : M, M et encore M. Fufufu.
Résumer : La déchéance. De shinigami à traitre, de traitre à traitre haut placer, de traitre haut placer à chien et de chien à jouet. Peut-on tomber plus bas ? Je croix que j'y suis murmura Gin. Je ne peux pas m'empêcher de l'aimer. Yaoi.
Mot de l'auteur : Euh … et bien sincèrement je suis folle pour écrie des trucs comme ça. J'aime bien martyriser les perso de manga !
Gin : Naaaaa naa S'cour ! Sauvez-moi !
Aizen : Pourquoi ne prendrions nous pas un thé pour discuter de tout ça akira ?
Akira : Mais bien-sur !
Gin : Traitre !
Chapitre 1 : Le début de la fin.
POV/GIN/POV
Je me dis tous les jours en te regardant haut placé sur ton trône que si seulement nous ne nous étions pas rencontrés comme ça, nous n'en serions pas là.
J'aurais voulu refaire ma vie avec des si,
Si tu m'avais compris,
Si tu me regardais plus souvent,
Si tu pouvais ressentir de l'amour,
Si tu me voyais autrement qu'un jouet.
Mais il n'y a pas de si. Je me voile la face, tu ne changeras jamais.
J'avais toujours espéré que tu me regardes autrement, que tu voies à quel point je tiens à toi malgré ce que tu es. Aujourd'hui je n'espère plus. Jamais tu ne feras plus attention à moi, jamais tu ne me verras comme je le souhaite. Dans le seireitei tu étais toujours présent, près de moi. Maintenant, même si je t'ai suivi je n'ai plus l'impression d'exister à tes yeux, de si beaux yeux tellement froids derrière leurs masques de gentillesse. Je ne suis plus rien.
Je n'ai plus rien à perdre.
Et comme toujours, pour cacher ma douleur, je ferme les yeux ne laissant qu'un espace mimine pour me permettre de voir, étire mes lèvres en un sourire dément, et prends cet air décontracté empli d'une assurance que je n'ai pas vraiment
Je l'ai appris auprès de toi, dans ce monde il n'y a que des bêtes prêtes à te saisir en traître. Alors je reste l'homme que je suis, un acteur de théâtre qui manipule avec la plus grande facilité tous les masques.
Et comme tous les jours nous en sommes au même point. Il n'y a plus aucune trace d'un quelconque 'bon' sentiment dans tes yeux quand ils se posent sur moi. Tu es le seul à les voir, chacune de mes rébellions. Tu remarques bien le changement qui s'opère, je ne t'obéis plus comme avant, je ne veux plus être un chien. Et tu n'aimes pas ça. Jusqu'à quand tiendras-tu ? Quand tes nerfs lâcheront pour m'imposer de nouvelles limites ? Pourquoi te pousser aussi loin ? Je ne sais plus où j'en suis… La seule chose que je sais, c'est que je ne veux pas de cette vie.
-Ichimaru-sama ? Aizen vous demande.
Tiens, Ulqui-kun … Tu me regardes Aizen ? Oui tu me regardes. Suis-je si insignifiant que ça pour que tu ne adresses pas directement à moi ? Lever ton royal fessier pour ma personne est-il si compliqué ? Avant tu te levais pour venir me parler. Bien sur je suis à l'autre bout de la salle, mais à ce point … tu sais, un shunpo ou n'importe quoi d'autre et paff juste à côté de moi. Mais non.
-Ichimaru-sama ?
Quelle voix sinistre Ulqui…
Je le dois …
Je ne peux plus vivre comme ça …
Ne pas lui répondre alors que tu l'as envoyé est un affront.
Alors je passe devant lui, sans un regard, et poursuis mon chemin, sortant de la salle du trône sous les regards ébahis des Espadas, et surtout sous le tien, glacial.
Cette fois c'en est fini.
Je le sens.
Alors que je suis étalé sur mon lit, je le sens parfaitement, la fluctuation de ton reiatsu. Tu m'en veux à ce point ? Ne plus vouloir être ton jouet est un problème ? Je pensais … non au final j'espérais être plus que ça pour toi.
Je suis vraiment pathétique.
FIN/POV/GIN/POV/FIN
La porte de la chambre d'Ichimaru s'ouvrit brutalement, faisant sursauter l'occupant de la pièce. De sa démarche souple, presque féline, Aizen entra et vrilla son 'lieutenant' d'un regard glacial, ses yeux plissés semblant vouloir lui faire subir mille tortures.
-Gin. gronda une voix coléreuse.
-Hai Aizen ? Qu'y a-t-il ? s'exclama l'argenté avec un grand sourire.
-Ca suffit.
-J' pense la même chose.
Une claque résonna et Gin percuta un barreau du lit. Il se releva légèrement avec une petite grimace et s'essuya le coin de sa lèvre ensanglantée. Le châtain le regardait de sa haute stature, une expression colérique plaquer sur le visage, le pli des lèvres légèrement courbé, il semblait avoir perdu toute retenue.
-J'ai été patient Gin, malgré tes 'démonstrations' je t'ai laissé du temps pour que tu te calmes et te rendes compte où tu te dirigeais. Mais apparemment je ne t'ai pas assez bien dressé pour que tu te rappelles où se trouve ta place.
-Connard, j' veux pas être ton chien ! cria l'argenté en rendant son coup à Aizen.
Gin se glaça après son geste. Il venait de faire une connerie. La pire des conneries. Il allait le sentir passer, ou pas, le suicide était aussi envisageable.
Le roi le regardait avec rage et son reiatsu était étouffant. Une main puissante l'attrapa et le força à le suivre dans les couloirs, à moitié sonné par la puissance dégagée du corps de son 'maître'. Des bracelets en argent lui furent mis et il fut brutalement jeté dans un cachot vide et gelé.
-Que tu le veuilles ou pas cela n'a pas d'importance. Seul mon désir compte. Tu l'apprendras bien assez tôt. Si seulement tu étais resté un gentil garçon je n'aurais pas eu besoin de faire ça, Gin. Cette fois je vais faire ton éducation, en tant que mon jouet personnel.
Ichimaru le regarda avec rage.
-Tu n'y arriveras jamais ! J' plierai jamais d'vant toi immonde sal… Avant de pouvoir finir son insulte il tomba au sol dans un petit gémissement sous la décharge qu'il venait de ressentir.
-Ces … bracelets t'empêchent de t'élever contre moi. Je te souhaite une bonne nuit, Gin.
Aizen disparut, ne laissant qu'un shinigami blessé.
-Comment même après ça je peux encore l'aimer …
A suivre …
Et voila ! Premier chapitre fini !
*Regarde le nombre de page … seulement 3 ^^ et bien c'est un chapitre prologue on va dire XD les autres serons plus long promis !*
A bientôt.
