Bonjour ! J'avais déjà mis cette histoire sur le net mais je l'ai changé pour qu'elle suive le 5ème tome. Valérie m'a préssé et je m'excuse auprès d'elle pour avoir mis si longtemps…je ne vais pas encore mettre tous les chapitre que j'ai déjà écrit…j'ai déjà écrit le 6ème chapitre, après avoir mis celui la sur le net la publication deviendra plus longue…désolé…bref….

Je disclame : rien n'est à moi, tout est à J.K. ROWLING (bouh !)

Paring : PG-13 mais dans certains chapitres il y aura des passages gores, faite gaffe !! Et dans le 7ème chapitre, y'aura une scènes plus chaudes mais vraiment rien du tout de grave.

Chapitre 1

J'ai mal, tellement mal. Qu'est-ce qui m'est arrivé ? Mon cou me fait souffrir. Je ne sens plus rien, j'ai l'impression de voler. Oui, c'est ça, je vole ! Ou peut-être pas…mon esprit est embrouillé, je n'arrive pas à bouger. J'essaye d'ouvrir les yeux. Je n'y arrive pas. Je n'en ai pas la force. Donc je me concentre sur ce que je ressens. Mon cou est blessé, ça c'est sur. Mais concernant le reste de mon corps…ça y est ! Je sens quelque chose sur ma nuque et sur les creux de mes genoux, comme si quelqu'un me portait. Je me re-concentre, et sens distinctement des bras à ces emplacements. Qui est cette personne ? Que me veut-elle ? Mais je suis ramené à la réalité par des sons brouillés pendant un moment, puis je les entends mieux. Des pas. J'entends les pas de cette personne, ce sont des pas clairs et raisonnant comme si elle marchait dans une grande salle vide et carrelée. Je réessaye d'ouvrir les yeux. J'y arrive ! Mais en voyant ça, je le regrette amèrement car je me pose encore plus de question. L'homme (ou la femme) est caché par une capuche noire, et à ce que je vois, la capuche est le début d'une longue cape. Ma tête ne balance pas beaucoup, ma bouche est entrouverte et sèche, l'inconnu n'a pas encore remarqué que je suis conscient. Mais ça ne va pas tarder et d'ailleurs…Il s'arrête. Je sens son regard pénétrant sur moi, il me contemple sous toutes les coutures. Je n'ai pas la force de relever la tête, je peux juste bouger les yeux. Je réentends le son des pas, il se remet à marcher. Ou m'emmène-t-il (ou elle) ? Et pourquoi je me sens si défaillant ? Est-ce à cause de cette douleur au cou ? Mes yeux se ferment même si j'essaye de lutter, ils se ferment et je m'endors.

- Albus. Ca fait 5 heures qu'il a disparu, nous devrions appeler le ministère, et leur dire que…

- Professeur ! Professeur Dumbledore !

Un jeune garçon et une jeune fille de 16 ans environ entrent dans le bureau. Ils sont essoufflés.

- Professeur, où est-il ?

La jeune fille est inquiète mais semble se contenir…ce n'est pas le cas du garçon. Ils n'ont pas besoin de dire de qui il s'agit, le professeur le sait très bien.

- Melle Granger, Mr Weasley, ce n'est pas parce que vous êtes préfèts que vous avez le droit de rentrer dans le bureau du Directeur de cette façon !!

- Severus, calmez-vous. Nous n'en savons rien, répondit Dumbledore aux adolescents.

- Nous avons fouillé tous les recoins du château. Il n'est pas là.

- Oh ! Rémus ! Sanglote la jeune femme. Je suis désolé.

- Nous sommes désolés, rajoute le rouquin.

- Puis-je savoir pourquoi ??!! Demande le professeur de métamorphose.

Ils semblent gênés et très triste.

- Nous fêtions sa victoire de son premier match Quidditch depuis plus d'un an lorsque nous l'avons vu la dernière fois.

- Et qui vous l'a autorisé ??

- Rogue, laisse-les continuer, dit le loup-garou d'un ton méprisant.

- Il parlait avec Luna Lovegood, à ce que j'ai entendu, ils parlaient de Sirius. Puis Harry sortit de la salle…

- Non, je suis d'abord allée lui parler, coupa la jeune fille, il voulait satisfaire une envie pressante à ce que j'ai compris, je ne l'ai donc pas retenu. Après il a filé et je ne l'ai plus revu.

- La fête était très bien réussie, nous n'avons pas remarquez tout de suite sa disparition. Ca ne fait que 30 minutes que nous l'avons découvert. Nous sommes directement allés dans notre dortoir pour prendre la carte des maraudeurs, nous l'avons cherché dans tous les recoins mais il n'était pas dessus. Puis nous sommes venus ici.

- On est tellement désolé, on aurait du remarquez plutôt qu'il n'était pas revenu.

- Ce n'est pas de votre faute, il ne faut pas que vous culpabiliser. Vous autres, dit le directeur en se tournant vers ses collègues, vous n'avez rien trouvez dans les toilettes ?

- Non, rien du tout professeur.

- Vous avez déjà eu le temps de fouiller le château en 2 minutes ?? Demanda Ron.

- Ne soyez pas stupide Weasley ! Son bracelet détecteur n'a plus émit depuis 2 heures.

- QUOI ??? dirent-ils ensemble, vous n'aurez pas pu nous prévenir !!

- Calmez-vous. Nous ne voulions pas vous inquiéter mais maintenant…vous aviez raison Minerva…

- Attendez, il n'y a pas autre part où nous n'avons pas cherchez, demande Rémus.

Ses yeux crient qu'il veut une réponse positive mais personne ne lui donna satisfaction.

- Nous devons prévenir le ministère.

Je me réveille mais je n'ouvre pas les yeux. Je me rappelle parfaitement de la scène d'avant mon endormissement. Mais je n'ai toujours pas les réponses. Apparemment je suis allongé sur un lit, je sens un oreiller sous ma tête et une couverture sur moi. Cette personne n'est pas dans la chambre car elle ne peut être plus silencieuse, je n'entends aucune respiration ni rien du tout. Je me lève…enfin j'essaye. Je tâte la couverture à la recherche du bord du lit, je la trouve, enfin…je trouve les rideaux d'un baldaquin. Je tente de les écarter, je n'y arrive pas. Qu'est-ce qu'ils ont ? Sont-ils attachés ? Je tire plus fort, j'entends un craquement et je me lève. Le carrelage est très froid. Puis soudainement, je sens des mains me basculer en arrière et me rallonger. Ce sont des mains d'homme, elles sont si froides elle aussi…bbrrrr. Je crie de surprise. Elles me plaquent sur le lit, des liens sortent du matelas pour se diriger vers mes chevilles, mes poignets, mon front et ma taille. Je ne peux plus bouger, je suis à sa merci. Je m'entends parler, lui demander ce qu'il va faire de moi et qui il est. Il ne répond pas, il ne fait aucun bruit. J'attends. Il bouge. Que va-t-il faire ?? Il pose son pouce sur mes lèvres, sa peau est toujours froide mais aussi douce qu'un pétale de rose. Je ne sais pourquoi j'apprécie son contact, après tout, c'est lui qui m'a enlevé…enfin…je crois que c'est lui, mais il m'a aussi soigné puisque je n'ai plus mal…puis je ne me souviens plus de ce qui c'est passé. Il décale son doigt vers la gauche, il caresse mes lèvres. Puis il quitte ma bouche pour passer à mon menton et à mon cou, il ne descend pas plus bas. Il se penche vers moi, il hésite puis se jette à l'eau. Il m'embrasse. Je ne fais rien du tout, je le laisse faire…Pourquoi ? Ma tête me dit de le repousser autant que je peux, mais mon cœur dit tout le contraire : il veut qu'il continue. Mon cœur ou ma tête ? …Mon cœur. Je reste toujours immobile, il comprend que je veux bien qu'il poursuive. Il lèche mes lèvres puis passe sa langue à l'intérieur de ma bouche, il cherche la mienne. Une fois qu'il l'a trouvé, il se met à ``jouer``avec. Je frémis inconsciemment de plaisir. Je sens enfin la pression de son corps contre le mien lorsqu'il suit le trajet qu'il a tracé avec son pouce. Ce fut au moment où il mordille doucement mon cou que je pris conscience de quelque chose. Mon second baiser. Il m'a donné mon second baiser qui est bien mieux que le premier. Je revins à la réalité lorsque je sens sa main sur ma joue gauche alors qu'il continue à me faire mon premier suçon. Je sens une chaleur qui part de cette main, une chaleur apaisante, une chaleur endormante. Je somnole malgré moi. Il s'arrête. Pourquoi faut-il que le sommeil vienne toujours tout gâcher ??!! Je l'entends parler pour la première fois, mon cerveau est trop confus pour que je retienne sa voix. Tout ce que je comprends c'est : « Tu dois boire ça pour survivre. » Je sens le bord d'un verre sur ma bouche, je bois tout son contenu, et m'endors.

Review ?? Please !!!