Hey !

Ici, c'est Marie qui vous parle !

Nous sommes ravies de vous retrouver pour vous faire découvrir notre histoire, écrite à six mains !

Mais les six mains de qui ? Eh eh, telle est la question !

On se présente; Vanessa, Elodie et Marie. On vient de s'échapper de notre hôpital psychiatrique et maintenant on est à la recherche d'un certain Robert Pattinson =D Il représente notre fascination, notre tentation... Aucune hésitation, il est plus qu'une révélation. Ha tient ! C'est l'heure de prendre nos cachets =D Nan, mais c'est une addiction, un péché gourmand. Mieux que le nutella ! Notre Eden à nous !

Venons-en au plus sérieux; Elodie, 17 ans est la plus âgée mais aussi la plus taré (enfin je crois...) =D Vanessa, 16 ans et toutes ses dents (enfin j'espère), qui n'a rien d'autre à faire que de se maquiller comme une cinglée quand elle s'ennuie... Et qui honte à elle, a un poster de Taylor Lautner dans sa chambre ! Elle a écrit Une rencontre passionnée, une Fiction géniale ! Et nous arrivons à Marie, 15 ans, la benjamine... une auteur connue dans le monde de FF pour des célèbres histoires comme "tu es ma liberté " Il y a aussi un petit plus qu'Elodie adore rappeler, Marie appelle les gens « miel » a ni rien comprendre... Donc désormais, son nouveau surnom est "Marie Winnie L'ourson".

Notre rêve commun, Rob nu dans nos lits ! Alors c'est parti pour une chasse à l'homme ! Nous sommes plus tétues que des traqueurs, et plus en manque qu'un toxico... Donc gare à toi Rob !

Donc, venez rejoindre notre univers et nous espérons que notre Fic vous plaira et que notre maladie ne nous empêchera pas d'écrire.

Rob in love ! 100% Rob ! Rob Addict !

VEM-Pattinson

Vanessa ecrit le PDV de Bella/Isabelle moi le PDV d Edward et Elodie supervise le tout

Sinon, vous pouvez retrouver Vanessa sur sa fic : Une rencontre passionnée ! && sur L'enfant caché

Quant à moi, vous pouvez me retrouver sur : Tu es ma liberté && sur : Mon Livre ouvert

Bonne lecture à tous !

Et pour finir

Vive Rob !


Chapitre 1

Point de vue d'Edward

Je me réveillai, engourdi. La lumière qui passait par la fenêtre me fit immédiatement refermer les yeux. Ma tête me faisait un mal de chien. J'avais l'impression qu'un marteau-piqueur me martelait le crâne.
En me retournant sur le flanc, je pus voir une créature blonde, étalée de tout son long sur le dos (Elo: je l'imagine en étoile dans le lit, la meuf qui prend pas trop de place)(Marie: ouais c'est ça, la meuf bien chiante !). Son mascara dégoulinait sur les yeux, et je ne pus retenir un petit rire qui me fit immédiatement mal. Le drap ne recouvrait que le bas de son corps, et me laissait voir ses seins, deux énormes montgolfières (elo: comme sa, elle peut s'envoler direct)(Marie: Yeah, dégage !). Ca sentait la chirurgie à des kilomètres à la ronde.

Doucement, je me levai et me dirigeai vers la salle de bain, tout en essayant de me souvenir de la veille.
J'étais allé dans un bar pour chanter. Il y avait eu du monde. Peu après mon petit concert, j'avais commencé à commander de la boisson. Et pas du soda, si vous voyez ce que je veux dire… Et c'était là que la blonde sulfureuse entrait en jeu. Je ne me souvenais même plus de son prénom. Poupée Barbie conviendrait très bien (elo: ouai tu as raison Edward, cherche pas plus loin mdr). Elle m'avait collée comme par permis. Et j'avais bu. Les deux facteurs ne formaient pas un bon mélange. Enfin, tout dépend du point de vue.

Pendant que je prenais ma douche, me revint en mémoire une dispute que j'avais eue avec mon frère, Emmett, la veille. Il m'avait appelé alors que j'étais tranquillement en train de me soûler au bar. Ce n'était pas la première altercation que nous avions eu. Lui, tout comme mes parents et ma sœur, m'aidait et m'encourageait dans mon rêve de devenir chanteur. C'était une envie depuis tout petit. Mes proches me disaient que j'étais né pour cela. J'avais la voix, j'avais le charisme. J'avais tout, en apparence. Mais ils ne supportaient pas cette débauche, qui survenait après. L'alcool, le sexe. Il n'y avait pas encore eu la drogue… Ils ne cessaient de me donner des leçons, de me dire qu'en continuant dans cette voix, je n'arriverais à rien. « Il faut aller de l'avant », est une de leur phrase favorite. Mais j'en avais marre de leur compassion, de leur pitié. Du triste sourire sur leurs visages lorsqu'ils voulaient me consoler. Ils ne comprenaient rien. Ils ne pouvaient pas comprendre.

Je sortis de la douche, et attrapai une serviette. Je commençai à me sécher énergiquement, tentant d'oublier ce mal de tête atroce. Alors que je séchai mes cheveux, je passai devant le miroir mural, devant le lavabo. Je pouvais voir mon reflet. Un jeune homme à l'air éternellement triste. Pas un seul sourire. Il n'avait beau avoir que vingt-cinq ans, il avait l'air tellement plus vieux. Pas physiquement, mais mentalement. Cette vieillesse qui disait tout ce qu'on avait vécu.

Mes yeux se baissèrent vers ma poitrine. A l'endroit exact de mon cœur, un tatouage était gravé sur ma peau. Y était inscrit en une somptueuse calligraphie « Bella ». Les souvenirs me frappèrent, et ce fut bien

plus douloureux que toutes les gueules de bois que je pourrais avoir dans ma vie.

Flash Back

- Aïe ! m'exclamai-je, retirant vivement sa main et en baissant mon vêtement.
- Edward Cullen serait-il un grand sensible ? demanda malicieusement Bella.
- Il te plaît ? éludai-je.
- Il est magnifique…

De sa main, elle effleura le tatouage fraîchement dessiné à travers le tissu.

- Montre-moi le tien !

Elle grimaça.

- Tu ne vas pas le garder pour toi ? raillai-je.
- Non, mais il n'y a que le « E » d'Edward. J'avais déjà peur que Charlie le découvre. (elo: en même temps, sa aurait été idiot de faire le W mdr)(Marie : quand on est amoureux on n'est pas très futé xD)
- Et c'est cela qui t'inquiète ? Je m'en moque. Comme tu le dis si bien, c'est le « E » d'Edward…

Souriant, elle se retourna et leva son tee-shirt. Sur le bas de son dos, un petit « E » trônait désormais. Je souris, fier. C'était peut-être une bêtise d'adolescents, mais cela prouvait notre amour l'un envers l'autre.

D'une certaine manière, nous étions désormais liés ensemble. Bella était toujours sur moi, et j'étais toujours sur elle.

- C'est très beau, dis-je.
- Je trouve aussi. Et finalement, ce n'est pas plus mal que je ne me sois faite tatouée que le « E ». Au cas où je veuille sortir avec ton frère…

Elle essayait de garder son sérieux, mais le sourire qui étirait ses lèvres menaçait de faire sortir le rire qu'elle retenait.

- Mon frère ? demandai-je, faussement fâché.
- Ton frère, affirma-t-elle.

Je haussai les épaules, l'air nonchalant, puis la portai subitement et la jetai sur le lit de ma chambre. Elle laissa échapper une petite exclamation de surprise. Je m'allongeai sur elle, me retenant sur mes coudes pour ne pas faire peser tout mon poids sur elle.

- Est-ce que mon frère t'embrasse comme cela ?

Sans lui laisser le temps de répondre, je m'emparai avidement de ses lèvres. Elles étaient douces et tendres. Elle me rendit mon baiser avec enthousiasme. Ma langue caressa ses lèvres, et elle ouvrit sa bouche pour m'accueillir. Nos langues dansaient avec passion. Quand nous rompîmes le baiser, Bella était haletante. Ses joues rougies, elle était divinement belle.

- Non, répondit-elle.

Ma bouche dévia vers son cou que j'embrassai, suçait et mordillait par endroit.

- Humm… Edward…
- Bien, dis-je en relevant la tête. Tu as compris que le « E » voulait dire Edward.

Elle attrapa mes cheveux et m'embrassa une nouvelle fois. Contre moi, je sentais son cœur qui battait la chamade. Elle commença à bouger les hanches contre moi, et elle gémit en sentant mon sexe se durcir. Ses mains cherchèrent frénétiquement l'ourlet de mon tee-shirt. Je souris de son impatience contre ses lèvres. Une fois séparés, je l'aidai à enlever mon haut. Je constatai avec bonheur le sourire gourmand de Bella.

Elle traça le contour de mes muscles et je frémissais. A mon tour, je lui retirai son petit top, suivi de près par son soutien-gorge. Elle rougit, réaction qu'elle avait à chaque fois qu'elle était dénudée devant moi. Ce trait de personnalité était adorable. J'aimais ses rougeurs qui lui allaient si bien.

Ma bouche plongea vers son sein droit. Je taquinai son téton durci avec ma langue, alors que ma main s'occupait de son autre pointe sensible. J'entendis la respiration de ma petite-amie devenir erratique. Son dos se cambrait pour chercher plus de contact. Elle agrippait encore plus fort mes cheveux pour me retenir contre elle.

- Edward… Stop… stop, arrête.

Je levai la tête surpris. Son visage d'ange reflétait l'amour. Ses yeux noircis, le désir.

- Je t'en prie, souffla-t-elle. Fais-moi l'amour.

Je gémis. Comment lui résister lorsqu'elle adoptait cette voix si intense ? Se rendait-elle seulement compte, d'à quel point elle était belle, ainsi offerte pour moi ?

- Tout ce que tu voudras, susurrai-je en l'embrassant encore.

Elle me retira mon jean, se battant contre la boucle de ma ceinture. Elle baissa mon boxer en même temps, et je me relevai pour jeter le tout quelque part dans la chambre. Je me hâtai de la rejoindre. Je réitérai les mêmes gestes que Bella, cette fois-ci avec son propre pantalon et son sous-vêtement. J'embrassai chaque centimètre de peau qui se découvrait. Une fois ceci fait, mon visage se retrouva en face de celui de mon ange. Je déposai un léger baiser sur ses lèvres, alors que je la sentais frémir d'anticipation.
Alors, lentement, savourant chaque seconde, je me glissai en elle. Nous criâmes tous les deux lorsque je l'emplis totalement. La sensation d'être en Bella était grisante. Je voulais vivre cela toute ma vie.
Je sortis pratiquement de son antre chaude et humide pour la pénétrer encore, plus fort, à présent, et observai avec émerveillement les yeux de Bella se fermer, sa bouche s'entrouvrir, laissant échapper les cris de son plaisir.
Je poussai en elle, toujours plus profondément.

- Edward ! cria-t-elle. Plus fort !

Je fus trop heureux d'obéir. Bella crocheta ses bras autour de ma nuque et bougea son bassin avec moi. La tête de lit claqua contre le mur sous la puissance de nos ébats. Je continuai de la pénétrer sans m'arrêter. Les prémices de la jouissance apparurent. Mais je voulais qu'elle vienne avant. Je voulais qu'elle prenne son plaisir. C'était tellement plus important que le mien…

- Ed… Edward, murmura Bella.

Elle n'allait pas tarder à atteindre son apogée. Je glissai ma main vers notre point de liaison et titillai son clitoris du pouce. L'effet fut immédiat. Ses parois se resserrèrent autour de mon sexe, sa tête s'enfonça dans l'oreiller et elle hurla mon prénom.

- EDWARD !

Sa jouissance déclencha la mienne, je me déversai en elle, emprisonnant sa bouche, l'embrassant avec toute la ferveur dont j'étais capable.

Haletants, nous nous remettions de cet orgasme fabuleux. Je sortis d'elle et m'allongeai à ses côtés. Elle se redressa sur son coude, me sourit, et embrassa les cinq lettres de ma vie, gravées sur mon cœur.

- J'adore ce tatouage !
- Je t'aime, Bella…
- Je t'aime aussi, Edward…

Fin du Flash Back

Une larme tranchante coula le long de ma joue. Depuis six ans, ma vie n'était plus rien. Pourquoi avait-il fallu qu'elle rate le métro ? Pourquoi avait-il fallu qu'elle prenne celui qui la mena vers la mort ?
On m'avait arraché Bella, on m'avait arraché mon cœur. Et sur celui-ci, ces cinq petites lettres me rappelaient chaque jour cette douloureuse perte. Ma vie était devenue un enfer.

Séchant mes larmes, je retournai dans ma chambre en boxer, et retrouvai al blonde, s'étirant sur le lit. Je la regardai durement.

- Salut, sexy boy… (elo: surement les deux seuls mots d'anglais qu'elle connait ^^)(Marie : ouais mais bon, ça le défini bien, quand même ^^)

Sexy boy ? Je détestais ces surnoms ridicules…

- Bon, dis-je, on s'est bien amusé, maintenant, lève le camp.
- Déjà ? (elo: tu croyais quoi Barbie, que tu allais t'installer)(Marie : en même temps comment lui en vouloir ? Edward est parfait !)

Ses yeux étaient ronds comme des soucoupes.

- Oui, déjà. Allez, dehors !

Mon ton ne laissait aucune négociation possible. Elle se leva, prit ses affaires, et, après m'avoir toisé d'une manière qu'elle espérait cinglante, partit en claquant la porte.

J'étais peut-être un salaud, un connard, mais je ne pouvais plus être que cela.

Pourquoi, Bella ? Pourquoi m'as-tu abandonné ?

PDV Isabelle

-Deux sangrias ! Criais-je en passant par le bar. Je pris le plateau qui contenait deux cocas, un mojito et une vodka verte.

J'allais à la table deux et posai les deux cocas avec un sourire aux lèvres. Je passai par la table six et déposai le mojito.

Une main se leva à la table sept et je courus presque. J'encaissais et partait servir la vodka.

-Mlle ?

Je me retournais et regardais l'homme qui m'avait appelé.

-Oui ?

-Hum... J'ai demandé un "sex on the beach" il y a dix minutes.

-Oui je sais monsieur... Nous avons eu un problème avec le cocktail. Excusez-nous. Le cocktail vous sera offert.

Il sourit et hocha la tête.

-Merci Mlle, vous êtes bien aimable.

C'est mon boulot... Serveuse et bargirl c'est cool quand on a besoin d'un job et tout mais ce n'était pas ma passion... Il faut s'assurer que les clients ne s'énervent pas et offrir un verre à cause de quelques minutes de retard...

-Mais de rien monsieur. Dis-je en retournant au bar.

-Jack, si tu termines pas ces cocktails tu vas devoir offrir beaucoup ! Alors à ta place j'arrêterai de regarder le cul de ce jeune homme et de bosser. Dis-je en prenant mes deux cafés.

-Je sais... Mais regarde comme il est sexy... Mon dieu.

Je souris et lui tapotait l'épaule.

-Je prends ma pause !

Il hocha la tête et continua son cocktail.

J'emmenais mes deux sangrias à la table huit et posai le plateau au bar avant de sortir dehors.

Je passai par derrière et poussai la porte avant de me retrouver dehors.

A l'air frais...

Je sursautais en sentant mon portable vibrer. Je le pris et allai dans mes messages.

Demetri...

J'ouvris le message et le lue.

Salut beauté, je suis arrivé...

Tu me manques déjà.

Je t'aime

Demetri

Je souris et lui répondit.

Salut beau gosse, tu me manques déjà aussi

Bisous

Isabelle

Demetri était mon petit ami depuis deux ans maintenant. J'avais malheureusement de la peine avec les sentiments... A savoir pour quoi... J'avais mis la cause sur ma « maladie » et lui, il attendait toujours... Il était si patient avec moi mais... Je n'arrivais pas expliquer, il manquait un truc. Un truc qui avait l'air si important mais si dur à trouver, à comprendre.

J'avais rencontré Demetri dans une soirée... La première chose qui m'avait frappé c'était ses yeux verts. Un vert profond. Et puis, j'avais appris à le connaître et... c'était un mec merveilleux. J'étais tombée sous le charme.

Maria et José avait été un peu septique au début mais bon ils avaient vu que Demetri était quelqu'un de bien.

Ah Maria et José... Mes parents, adoptifs depuis six ans maintenant. Ils m'avaient recueillie avec leur fils Lorenzo à l'âge de 17 ans. J'avais eu un accident avec mes parents... Je suis resté trois mois dans le coma et quand je me suis réveillée, j'étais amnésique et je le suis encore. Je ne me souviens de rien... Seul des petits flashbacks m'arrivent de temps en temps mais...

Mes parents biologiques, dont je ne me souviens même pas le nom, sont morts dans l'accident. Moi, Isabelle j'étais la survivante.

Etre amnésique c'était dur et compliqué... On ne connaît pas son passé et sa nous fait souffrir. Même si je suis tombée dans une famille plus que superbe, mon passé me manquait.

Isabelle étais-ce mon vrai nom ? Etais-je vraiment de L.A, avais-je un petit ami ? De la famille ? Travaillais-je ? Quel était mon plat préféré ?

Rien, je ne savais rien.

Le psychiatre que j'ai suivie, m'avait dit que je me souviendrais peut-être un jour... Mais que, il faudrait un gros choc, pour que tout me revienne en mémoire mais quel choc ? Je ne sais pas...

Un courant d'air arriva et un frisson parcourut tout mon corps. J'engouffrai mes mains dans mes poches et regardais le ciel étoilé.

Il manquait quelque chose...

Ma vie avait l'air... Normal mais au fond de moi... je sais qu'il manque quelque chose... Mais quoi ?

Je soufflai et décidai de laisser sa de côté comme toujours. Je retournais à l'intérieur et quelle fut ma surprise de voir Lorenzo et Elena.

-Hey ! Dis-je en allant serrer mon frère dans les bras.

-Salut Isa ! Dit-il.

Je souris et reculais pour aller faire la bise à Elena. Sa petite amie.

Je discutais un peu avec eux mais malheureusement pas énormément à cause du travail...

C'est repartit pour trois heures...

Je me laissais tombé sur mon lit tant la fatigue m'emportait. Je soulevais mon t-shirt qui sentais désormais l'alcool et la fumée du bar.

Je souris en voyant ma tête dans le miroir. J'étais vraiment crevé. Il suffisait de voir mes yeux gonflés et mes cernes.

Je me levai et retirai mon jean et là, l'image que me renvoya le miroir me dégouta. Mes jambes...L'accident, que j'avais eu, m'avait non seulement rendu amnésique mais aussi, physiquement j'avais été touché aussi. Des brûlures au 3ème degré... Ma jambe droite était la plus touchée... La brulure arrivait à ma cuisse et descendait jusqu'à mon genou. La trace laissée par le temps était horrible. La gauche avait elle aussi été touché mais beaucoup moins, seul le haut du genou.

Il y avait aussi quelque chose dont je ne connaissais pas la signification... Ce tatouage au bas du dos, cette lettre. Un "E". Qu'étais-ce ? Je ne savais pas et cela m'exaspérai au plus haut point !

Je soufflai et allai dans ma salle de bain. Je me regardais dans la glace. Petite, brune aux cheveux longs ondulés. Mes yeux étaient de couleur chocolat et à chaque fois que je pensais à sa couleur, mon ventre se tordait... Comme si... Comme si mon corps, essayais de me dire quelque chose... Comme si ce sentiment étais déjà connu. Mais... Encore une fois, je ne savais pas pourquoi.

Je me lavai les dents et allai me coucher. J'avais besoin de sommeil.

-C'est très beau

-Je trouve aussi. Et finalement, ce n'est pas plus mal que je ne me sois faite tatouée que le « E ». Au cas où je veuille sortir avec ton frère…

J'ouvris les yeux en sursautant. Je transpirai de partout... J'avais eu un souvenir... Mais je n'avais rien compris... Seul ces phrases, mon tatouage.

Mon corps fut parsemé de spasmes et je pris mon visage entre mes mains. Je n'en pouvais plus... J'en avais marre. J'en ai marre.

Une larme roula sur ma joue et je repliai mes genoux contre moi tout en me balançant.

Qui suis-je ?

Ca vous a plu ? Donnez nous vos avis =)