NdA:

Salut :)
Alors, je suis finalement folle.
Je ne suis pas très bien en fran
çais, mais j'ai un examen bientôt et je dois apprendre. C'est la raison pour laquelle j'ai decidé d'écrire en français. Oui, je l'ai déjà dit, complètement folle.
De toute façon, je sais que cette histoire est courte, probablement a beaucoup de fautes et elle n'est pas non plus très bonne. Je ne sais pas si je continue, alors je n'ai pas de beta.
C'est une fic de vampire!Sherlock et la découvert de John. Si je continue, le prochain chapitre va être un flashback.
Merci à tous pour lire l'histoire! :)

Sherlock n'appartient pas à moi. Au contraire des fautes -.-.

Au Bord de la Nuit

-Tu es un vampire.

John regardait Sherlock parfaitement calme, comme s'il avait seulement dit 'Je me fais encore du thé.' ou 'Tu dois manger plus'. C'était la voix du 'capitaine' John Watson qui avait survit la guerre, qui avait perdu trop et découvert beaucoup, pas celle de son colocataire. Celle-ci appartenait à un homme qui avait tué dizaines d'autres et sauvé plus.

Trop calme.

Mais le ton n'était plus important quand on voyait le look du médecin alors qu'il enforçait ses ongles dans le morceau de tissu ensanglanté.

Sherlock jetait un coup d'oeil sur les mains tremblants- étranger, normalement ils étaient toujours calmes quand le docteur était en danger- puis le détective regardait les vêtements déchirés et le sang qu'il avait sur son visage.

Épuisement dans les valises sous les yeux, un frisson léger veut dire choc ou froid- comme il n'a pas la chair de poule c'est le choc, un peu de sang sur les temples de les masser- désespoir et mal de tête.

Le détective regardait son compagnon plus étroitement.

Traces des ongles sur ses mains, toujours ensanglantés-

Il s'obligait de détourner ses yeux de John pour biaiser son regard illisible.

Ne pense pas aux risques, juste dis-lui. C'est ce que tu voulais du premier jour, n'est-ce pas? Alors, tais-toi et réponds. C'est John, il va comprendre. Il comprend toujours.

Pas ça, une autre voix ajoutait, mais Sherlock ne l'entendait pas.

-Oui.
Où était son ton calme quand il en avait besoin?
John hochait la tête incrédulement.

-Alors c'était toi, pendant tout ce temps.

-... de cette façon, oui.
Les mots semblaient se coincer dans sa gorge.

-Pars.

Au commence, Sherlock ne comprenait pas. John n'avait pas crié- ce n'était simplement pas John, il ne criait presque pas- mais il y avait toujours un calme dans son ton qui tout à coup lui apparaissait beaucoup plus dangereux. Un homme qui guidait ses compagnons dans la guerre.
Il durait des longues secondes jusque le détective finalement y arrivait et le regardait avec des yeux ronds.

-Mais...

-Non! Simplement pars. S'il te plaît.

Aussi vite que le capitaine avait apparu, son colocataire John revenait. Pas aussi froid, mais si beaucoup plus douloureux avec sa familiarité.

Sans dire un autre mot, le détective tournait et quittait, son visage atone et aride comme un masque de pierre. Il ne faut jamais montrer sa peine. C'était la première de trop de règles.

Et après tout il devait s'attendre à exactement cette réaction, Sherlock pensait alors qu'il sentait les yeux de son copain- ex-copain- rester sur son dos. Les hommes étaient ternes. Pourquoi John soit-il différent?

Pars. Et ne reviens jamais.

Le médecin n'avait pas dit ces mots, mais ils étaient là, dans sa voix. Et ils le blessaient comme s'ils étaient des couteaux en argent.

Sherlock secouait la tête dans un tentative de se débarrasser des pensées noires.
La vérité, c'était qu'il avait encore espéré que John était différent. C'était si beau d'avoir un peu d'espoir, une fois dans sa vie des sentiments comme joie et amitié, mais il avait oublié la douleur de les perdre.

Un nœud chaud et douloureux formait dans son estomac et annonçait son besoin animalistique de chasse et sang. Ses canines étaient déjà trop longues et pointées pour appartenir à un être humain.

Avec un sourire amer le vampire cédait et ouvrait ses sens a Londres nocturne, laissait l'enfer des hommes couvrir ses sentiments. Pas de regrets, pas de mémoires des morts, du sang, de John, de la douleur et encore John, John, John...

Il y avait juste la nuit et le bruit de milliers de gens avec tous leurs petits espoirs et peurs.

Milliers de soupirs dans le soudain silence.

Milliers de cœurs battaient comme un seul pour forcer le sang bouger dans les corps et l'appeler, le faire courir plus et plus vite, fuir dans les rues...

Assez loin qu'il ne pouvait plus entendre un particulier cœur qui battait vite avec colère et haine et une douleur inimaginable. Un cœur qui bientôt arrêterait.

Sherlock ne voulait plus jamais entendre le cœur de John Watson.

Alors... qu'est-ce que vous dites?
Je vous serais très reconnaissant d#indiquer les plus graves fautes. Merci :)