Le 30.07.2006

Chapitre premier

Il était onze heures du matin, tout le personnel s'affairait dans l'imposant bâtiment qu'était le Primavera, célèbre hôtel de luxe situé à New York. Les journée étaient toujours les même, ponctuées chacune de leurs lots d'incidents, tous réglés grâce aux talents et à l'imagination du personnel compétant. Ce jour là pourtant la vie d'une de ces personnes allait basculer à jamais. Mais là je m'avance un peu trop dans l'histoire, revenons en au début.

Onze heure sonna sur New York et une limousine noir s'arrêta devant l'entré impeccable du palace. Un portier en uniforme noir et blanc s'avança d'une démarche droite vers la portière de la limousine qu'il ouvrit en s'inclinant. La personne sortie de la voiture, jetant un regard sur le portier derrière ses lunette noir. Il s'avança vers l'entrée de l'hôtel, ses chaussure noir Burthon foulant le majestueux tapis rouge en velours, il monta les quelques marche en marbres et entra par l'immence porte en verre qui avait été ouverte par un autre portier qui s'inclina comme son prédécesseur. L'homme pénétra donc dans le grand hall. La pièce était très grande ( oui je sais on s'en doute étant donné que c'est un hôtel de luxe ) et très lumineuse. Sur le parquet ciré était posé de nombreux tapis bordeaux sur lesquels étaient brodé des arabesques dorés. Il y avait des canapé de cuir noir à certains endroits de la pièce illuminé par d'immenses chandeliers en cristal suspendus au plafond. Les mur étaient en bois sur la partie inférieur et d'une peinture beige sur la partie supérieur. Des applique diffusant une douce lumière étaient posé sur les murs. Au centre du hall, il y avait une grande table ronde, recouverte d'une nappe blanche sur laquelle était posé un majestueux bouquet de fleurs ( rose rouge, fleur de lys blanches pour ceux que ça intéresse. ). Le hall était plutôt calme, seul deux ou trois clients étaient présents ainsi que des membres du personnel, tous en uniforme noir et blancs. Certain passant simplement afin de se rendre ailleurs, d'autre à la réception, d'autre encore poussant des chariots contenants des bagages afin de les monter dans les chambres appropriés.

Le jeune homme s'avança lentement vers la réception ou une charmante jeune femme d'une vingtaine d'année portant une jupe plissé noir, un chemisier blanc impeccable se tenait debout. Elle était grande, brune aux cheveux ramenés en un chignon séré. Lorsque l'étranger s'avança vers elle, elle lui sourit aimablement et commença à parler l'anglais le plus pur, d'une voix calme et posé.

- Bonjour monsieur, bienvenue à l'hôtel Primavera, que puis-je faire pour vous ?

- Je désirerais prendre une chambre pour quelques jours.

- Bien entendu monsieur, pour quelle durée ?

- Indéterminé je vous pris.

- Très bien et quelle chambre désirez vous occupé ?

- Une chambre très grande, avec vue, au mobilier simple et peu surchargé, peu importe le prix.

- Très bien je vais voir ce que je peux faire monsieur.

La jeune femme du nom de Claire selon le badge qu'elle portait à sa chemise rentra certaines données dans l'ordinateur placé devant elle. Elle cliqua sur plusieurs liens et au bout d'une minute releva la tête en souriant.

- Monsieur nous vous avons attribué la chambre numéros 715. Il me faut simplement votre carte d'identité et il faut également que vous remplissiez ceci dit elle en lui tendant un formulaire d'une page.

Le jeune homme sortit de la poche intérieur de sa veste noir un stylos en or massif et de son portefeuille sa carte d'identité. Il remplis ensuite le formulaire et lorsqu'il eut finis le tendis à Claire qui lui rendit sa carte d'identité.

- Tout est en ordre monsieur Potter, Jessica ma collègue va vous menez jusqu'à votre chambre. Je vous souhaite un bon séjour au Primavera.

Une autre jeune femme s'approcha de Harry et lui fit signe de la suivre. Elle appuya sur le bouton de l'ascenseur afin de monter jusqu'au septième étage. L'intérieur de l'ascenseur était dans les tons de bois clair, le sol était en moquette bleu nuit. La monter fut de courte duré et dans le plus grand silence, ils quittèrent ce minuscule espace et s'engagèrent dans un couloir sur leurs droite. Les couloirs de cet étage était blanc éclatant et bleu ciel. Les mur étaient blanc et parcourut tous les cinq mètres par une bande bleu ciel, assortie à la moquette. Le tout était illuminé par des appliques de forme simple et élégante d'une belle couleur nacre. Des fleur bleu et blanche se trouvaient posé sur des bureau élégant placés contre les murs. La jeune employé s'arrêta devant la porte de la chambre 715 et tendit une clé à Harry, s'inclina et dit :

- Voici votre chambre monsieur, le déjeuné est servie à partir de midi au restaurant de l'hôtel. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, appelez la réception. Je vous souhaite un agréable séjour.

Elle le salua puis repartit d'une démarche droite et assurée vers le hall de l'hôtel. Harry pris la clé qui était en fait un badge et le passa dans un boîtier électronique blanc. La porte s'ouvrit et Harry put enfin contempler ses appartement. Lorsqu'il rentra, il referma la porte derrière lui et s'avança afin d'accéder à son salon. C'était une pièce spacieuse, et confortable. Un canapé blanc était devant lui, face au mur du fond sur lequel était un grand écran plasma ainsi que tout l'équipement électronique allant avec ( home cinéma, lecteur dvd, magnétoscope …etc) une table basse en verre était placé entre ces deux meuble. De part et d'autre du canapé blanc sur lequel était disposé des coussin rouge sang étaient placés des fauteuils rouge sang aux coussin blanc. À la droite de Harry était placé un bar en verre avec des grand fauteuils en acier et en verre. Et à sa droite était une table en acier également avec ses chaise en acier et blanche intercalé avec celle en acier et rouge. La pièce donnait sur un balcon avec vue dégagé sur la ville. La pièce était calme. Il y avait des cadres assorties au mobilier ainsi que des plantes. Il y avait un porte à droite du bar. Harry entra dans la chambre à coucher. La chambre était relativement moins moderne, plus classique. Un lit était au fond de la pièce, un lit à baldaquin en bois sombre et aux rideaux et draps violet foncé et clair pour les coussins. Sur le mur droit, face à la fenêtre il y avait un grand bureau très élégant en bois foncé, dessus il y avait un porte plume et une lampe violette foncé. Le reste du mobilier comprenait un fauteuil face au bureau, un grand tapis et d'une immence armoire, de deux table de chevet, d'un mini bar, et de tout le nécessaire pour une chambre, tout en bois foncé et violet. Il y avait également une autre porte donnant sur la salle de bain. Harry soupira de satisfaction et reparti dans le salon. Il hotta ses lunettes de soleil noirs et les posa sur le bar. Il se dirige ensuite sur le balcon et s'étira. Le soleil était à présent haut dans le magnifique ciel bleu. il retourna dans la pièce principal, retira sa veste et la posa sur un des fauteuils. Son téléphone portable sonna. Il le sortit de sa poche et décrocha en soupirant.

- Allô ?

- Harry ?

- Oui c'est moi.

- C'est Hermione, mais où es-tu ? Cela fait deux semaine que l'on a plus aucune nouvelles de toi, tout le monde s'inquiète.

- Hermy, je vous ai dit que je désirais prendre des vacances, j'en peu plus de tout ce stress autour de moi. Là où je suis, j'aurais la paix, personne ne me dévisagera ébahit, personne ne murmurera sur mon passage, j'en ai vraiment besoin tu le sais très bien.

- Bien sûr que je comprends mais tu aurais put nous dire où tu allais au lieu de fuir comme cela. Tu te rends compte qu'ici, à Londres, tout le monde te cherche. Je suis sur que partout dans la presse on va écrire la disparition du jeune Harry Potter, célèbre agent du FBI qui a …

- Arrête, c'est pas non plus la peine de me le répéter, ça me donne la migraine. Écoute d'ici une semaine ou deux je vous donnerais à toi et Ron mon adresse actuelle, mais en attendant je veux une paix royale et ce n'est pas la peine de protester d'accord ?

- Très bien Harry mais tu sais que si tu as un problème on est toujours là ok ?

- Oui allez au revoir.

Et sans lui laisser le temps de répondre, il raccrocha puis soupira. Il ne avait assez de tous ces gens qui le harcelaient sans arrêt, c'était épuisant. Il avait trouvé l'adresse de cet hôtel sur internet il y avait un mois, et il savait que dans ce lieu il serait tranquille comme les nombreuses célébrités qui y séjournaient. Non pas que lui même se considérait comme une célébrité mais c'était ce que tout le monde pensait. Harry resta ainsi un long moment, perdu dans ses pensés. Lorsqu'il se « réveilla » il regarda l'heure et constata qu'il était midi et demi. Alors il descendit afin de déjeuner dans le restaurant de l'hôtel. Il descendit les escaliers de marbres blanc jusqu'au rez-de-chaussée. Il s'engagea ensuite dans un long couloir recouvert de miroir et entra dans le restaurant. Toute la salle était d'une couleur bleu. Harry fut installer à une table près de la fenêtre. C'était une table pour deux personnes. Sur l'immence nappe blanche était posé des couverts en argents, des verres en cristal finement ouvragés, des bougies blanche ainsi que des serviettes de soies blanche. Tout était parfait en ce lieux magnifique. Un serveur s'approcha et donna le menu à Harry qui l'ouvrit et pris sa commande quelques temps après. Harry regarda machinalement autour de lui et vit une serveuse le regarder avec des yeux ronds et lâcher son plateau qui tomba sur le sol en grand fracas. Tout le monde se retourna vers elle avec un air de reproche et la jeune serveuse se mit à rougir, essayant maladroitement de réparé ses dégâts. Harry tourna la tête agacé et croisa le regard d'un homme. Un homme serait une insulte à lui faire car ce n'était pas un simple homme, c'était le plus bel homme que Harry eut jamais rencontré.