Hello, c'est encore moi xD !

En ce moment, j'aime trop lire des Cross Over, je sais pas pourquoi mais c'est ainsi. Je me suis amusé avec pas mal de couple, j'en ai encore en cours d'écriture ^^ ! en plus de mon Charry Cœur de Glace ouai… Bref. J'aime les deux univers qui je trouve vont plutôt bien ensemble…

Blablabla enfin me revoilà !

Disclamer : Tous ces personnages ne m'appartienne pas (malheureusement) Harry potter est a J. et Twilight est a Stephenie Meyer.

Rating : M (Lemon à la fin de la fiction)

Warning : Ceci est slash, Yaoi ! Une histoire d'amour entre deux hommes. Alors s'il vous plait homophobes vous pouvez partir.

Résumer : Son cœur avait cessé de battre. Mais alors, pourquoi n'était-il pas mort ?

Cette fic comporte 1 prologue, 8 chapitres, 1 épilogue et 1 extra :P Donc 11 publications. J'espère qu'elle vous plaira, que vous prendrez autant de plaisir a la lire que j'ai eu a l'écrire. Un chapitre par semaine, le samedi ou le dimanche.

A la base, c'était un OS. Mais, faisant plus de 20000 mots… J'ai préférer le séparer xD.

Bonne lecture :P

H.


The light of my darkness


Prologue

La bataille faisait rage dans le parc du célèbre château de Poudlard, l'école de sorcellerie. Les mangemort riaient et tuaient à tour de bras. Bellatrix Lestrange riait à gorge déployé quand Molly Weasley l'acheva d'un Avada Kedavra, les larmes aux yeux la matriarche regardait le petit corps de sa fille morte, la seule de la fratrie. Elle venait de venger sa petite fille, son sang, sa chaire, la prunelle de ses yeux, sa douce Ginny.

Plus loin, entourer d'une bulle dorée, Harry Potter combattait Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom, Voldemort. Le combat était sanglant, violent et brutale, les sorts fusaient, touchant de temps en temps leurs vis-à-vis. Chacun avait des plaies, des brulures sur le corps, les vêtements en lambeau, du sang sur le visage. Harry était en mauvaise posture, il était le plus touché.

Mais la douleur était évincée par la rage de vaincre. Car Harry avait vu des amis mourir dans cette bataille, de la famille, et même quelques professeurs, mais surtout lui. Tous ce qu'il voulait à présent c'était que tout ceci s'arrête, que la guerre se termine enfin et laisse enfin en paix les survivants.

Finalement, le mage noir brula après un sort particulièrement bien lancé, et mourut sur le champ. Le dôme lumineux éclata en millier de particule en même temps que le jeune homme de 17 ans ne tombe à genoux, une dague enfoncée dans le flanc.

Harry regardait un point au loin, l'aube pointait doucement au loin, les rayons du soleil caressaient son visage et il ferma les yeux, les larmes roulant sur ces joues, des larmes de douleurs, des larmes de colère, des larmes de soulagement, ces mains tenants, autour de la dague, son abdomen douloureux, essayant d'endiguer le flot de sang qui s'écoulait de la plaie, en vain.

Molly Weasley courait pour retrouver son presque fils, elle slalomait entre les combattants, envoyant de temps en temps des sorts autour d'elle, essayant d'entraver le plus de mangemort qu'elle pouvait. Mais une personne lui coupa soudain le passage et quand elle put à nouveau regarder l'endroit où se trouvait Harry celui-ci avait tout simplement disparut.

Seule sa baguette gisait dans la mare de sang qu'il avait laissé derrière lui. Et elle la serra contre son cœur en pleurant. Une perte de plus…

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Harry rouvrit les yeux quand il tomba en avant, le souffle court, un cri de souffrance sortit de sa gorge quand la dague s'enfonça davantage dans les chaires. Il avait juste souhaité vivre, ou mourir plus rapidement ? peu-importe ! il n'avait surement pas souhaité souffrir plus !

Il voyait flou, il était dans une forêt d'après ce qu'il pouvait voir, des gens étaient autour de lui, des ombres flous dû aux larmes et à la perte de ses lunettes.

Il sentit qu'on le retournait sur le dos, retirant par la suite la dague enfoncée dans son flanc. Il grogna de douleur et les ténèbres l'emportèrent. Il sombra dans la douleur, emportant avec lui les visages connut et inconnu qui était tomber lors de la bataille.

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La douleur courait dans ces veines, il n'arrivait pas à ouvrir les yeux, ces membres ne répondaient plus, il n'arrivait pas à bouger, comme s'il n'existait plus. Était-il mort ? Ressentait-on la douleur lorsqu'on était mort ? entendait-on des voix ? Tant de questions pour si peu de réponses…

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Une main chaude sur son front, une chaleur réconfortante, comme si cette main était à elle seule le paradis. Harry ressentait de l'incompréhension. Et cette douleur, toujours plus forte, comme un poison insidieux qui parcourait ces veines petit à petit. Comme la mort qui s'insinuait dans ces veines, grignotait la vie qui le parcourait encore. Il sombra une nouvelle fois. La chaleur sur son front disparut, et Harry priait pour qu'elle revienne, cette chaleur bienfaitrice.

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Une douleur, pire que celle qu'il n'avait jamais connu le réveilla une nouvelle foi, sans qu'il ne puisse bouger ni ouvrir les yeux. La douleur, comme un feu ravageur qui prenait possession de son corps. Il sentait se feu se propager dans ces veines, comme si à lui seul, se feu représentait la vie et qu'il chassait la mort de son corps. Et Harry sombra encore dans l'inconscience.

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Il avait juste l'impression de souffrir, toujours plus, mais jamais moins. Depuis combien de temps souffrait-il ainsi ? une heure ou plusieurs ? un jours ? des semaines ? Quand cette souffrance prendrait-elle fin ? Il ne savait pas. Mais si la mort était ainsi ? alors peut-être souhaitait-il vivre au fond…

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Pire que la douleur, chaque fois qu'il était lucide, qu'il sentait cette main chaude, qu'elle soit sur son front, dans ces cheveux ou entour sa propre main, il ressentait qu'il y avait quelque chose qui changeait en lui mais n'arrivait pas à mettre le doigt dessus. Il y avait aussi ces images, toutes ces images, tous ce sang, tous ces éclaires de lumières, rouges, verts, violets, jaunes… Peu importe la couleur, il y en avait beaucoup, bien trop. Pire que tous, ces visages qui le hantait. Entre ces proches, et ces ennemies… Toutes ces images se mélangeaient et formait un maelstrom qui le rendait petit à petit fou. Mais chaque fois que la main partait, chaque fois il sombrait dans le noir, comme si cette main le retenait, comme si cette chaleur plus que tout autre l'empêchait de mourir…


Alors ? Qu'en pensez vous ? Quel couple a votre avis ? Dites moi tout.

Bonne semaine.

H.