Bonjour chers lecteurs. Me voici (ou revoici pour ceux qui me connaissent déjà) avec une autre fanfiction (que j'écris en même temps que « Maudits». Pour palier au trop plein d'imagination qui déborde de mon esprit en ces merveilleuses vacances d'été).
Est-il nécessaire de rappeler qui corrige toute mes fautes abominables ? Oui, elle le mérite. Je remercie d'avance Fred Xavier, ma béta, qui s'use la vue et sûrement les doigts à corriger chapitres par chapitres.
Alors je démarre ici avec une fanfiction James S. Potter x OC assez spéciale, qui me tenait d'écrire depuis un bon bout de temps mais que je refusais de faire avant d'avoir fini « Maudits ».
Mon amie Patience n'a pas tenu le coup. Paix à son âme u.u
Aussi ! Je tiens à préciser qu'il se pourrait que je ne tienne pas compte des VRAIS âges de certains personnages. Pour le bien de la fanfiction. Excusez-moi d'avance.
Sur ceux,
Bonne Lecture ! (oui ! j'arrête avec mon blabla incessant)
La gamine aux deux anges
Prologue :
Tous. Ils étaient tous revenus de la mort. Tous ces gens morts de la main de Voldemort et de ses mangemorts étaient revenus soit à la vie, dans la grande salle aménagée en infirmerie, soit resuscités des cendres du Mage noir, dans la cour, face aux grandes portes.
Il l'avait tué. Harry avait puni le mal et était récompensé par les cieux de cette acte. Il les voyait, tous autour de lui, apparaître un par un, tandis que les cendres de ce que fut Tom Jedusor touchaient le sol. L'élu se releva pour regarder les revenants se regarder avec perplexité et une certaine joie. Une immense joie. Qui envahit Harry quand il les aperçut. Tout d'abord, son parrain. Sirius qui resta incertain un moment avant de sentir le jeune homme se cogner lourdement contre lui en l'enserrant. Il sourit et enlaça son filleul. Puis il vit devant lui, deux silhouettes familières, encore jeunes de leurs 21 ans. Les larmes lui vinrent au yeux. James et Lily étaient aussi de retour. Ils étaient eux aussi revenus de la mort. Harry leva le visage vers l'animagus et suivit son regard avant de se mettre à trembler. Il rêvait. L'élu était dans un monde parallèle, il n'y avait pas d'autres explications. Et pourtant, quand il s'approcha d'eux avec son parrain et qu'il toucha le dos de sa mère, il sut. Il sut que c'était la réalité. Que plus jamais, il ne serait malheureux. Et cette réalité s'enfonça, se grava en lui avec un merveilleux bonheur quand ses parents le prirent dans leurs bras. Ils pleurèrent tous de joie et plus encore quand ils retrouvèrent Remus et Nymphadora, tendrement enlacés dans un coin de la salle. Quand Dumbledore apparu sur le pas de la porte, son air malicieux sur le visage et ses lunettes en forme de demi-lune bien fixées sur son nez aquilin. Quand Severus Rogue arriva, quelques secondes après lui et fut acceuilli comme les autres, en héros. Quand les deux jumeaux Weasley se prirent dans les bras et pleurèrent leurs retrouvailles avec le reste de la famille rousse.
Et c'est ainsi que finit l'histoire de cette guerre. La suite fut qu'Harry Potter, Hermione Granger, Ron Weasley et tout le reste des élèves reprirent leur scolarité où elle s'était arretée.
Harry put profiter des vacances et du reste de sa vie pour apprendre à connaître ses parents. Ceux qui avaient été des images, des souvenirs, des fantômes pour lui étaient maintenant vivants et réels.
Et la vie alla pour le mieux. Les trois amis se marièrent. Harry avec Ginny et Hermione avec Ron. Ils eurent tous des enfants...
OoOoOoOoOoOoOoOoOo
: Des années plus tard :
Une gamine, haute comme trois pommes et à peine agée d'une onzaine d'années, sautillait sur le quai 9 3/4 aux côtés d'un vieil homme au regard doux et au sourire amusé par la fillette à ses cotés. Elle n'était pas très grande, les cheveux d'un blond vénitien lisses et virevoltants autour de son visage à chacun de ses bonds, une bouille aux formes encore arrondies par l'enfance qui ne tarderaient pas à s'en aller et le teint légèrement rose, les yeux en amande, d'un noir profond et rieur, la bouche rose et charnue, affichant un sourire émerveillé et impatient, laissant apparaître des fossettes malicieuses de chaque côté de ses joues, fronçant légèrement un nez en trompette recouvert de petites taches de rousseur qui continuait de lui dévorer le début des pommettes. Tout en elle respirait l'enfance. Enfance dont le vieil homme s'imprégnait tout les jours de l'existence de l'enfant, nommée Ivy .
Cet homme était son grand-père, Aegnor Stoneheart, les cheveux poivre et sel, les yeux tout aussi noirs et rieurs que la gamine, le nez droit, la machoire carré et légèrement barbu, ce qui n'empêchait pas les taches de rousseur de lui picorer le nez et les joues. Il était Auror à la retraite et héritier de la fortune familiale et de l'entreprise des meilleurs balais de toute la Grande-Bretagne.
La petite fille, effrayée par la foule qui était déjà dense, attrapa la main de son aïeul, qui lui sourit tendrement, et le suivit plus timidement en regardant les gens depuis sa petite taille.
Les deux parents déambulaient tranquillement dans la foule. Il n'était que 10 heures. Ils avaient encore le temps. Le vieil homme et la fillette s'étaient arretés au milieu du Quai quand elle fut bousculée par une grande jeune fille aux épais cheveux roux flamboyants et à la mine espiègle. Celle-ci s'excusa vivement en l'aidant à se relever.
- Tout va bien ? s'inquiéta l'adolescente rousse.
Ivy lui répondit par un hochement de tête tandis que son grand-père lui tapotait le dos dans un geste rassurant.
- Elle va bien. Merci Miss Weasley, dit d'une voix grave et rauque de vieillesse Aegnor.
Et ce dernier se dirigea vers un énorme groupe, rempli de rouquins et de quelques bruns et blonds de tout âge et taille. La fillette, vite impressionée par le nombre se cacha derrière la cape de son grand-père qui lui tapota la tête. Deux hommes, tout deux se ressemblant mais avec un certain écart d'âge d'une vingtaine d'années, saluèrent chaudement le vieil Auror.
- Messieurs Potter, c'est un plaisir de vous revoir. Et surtout si bien entourés, dit l'homme poivre et sel en partant d'un rire sympathique.
- De même Monsieur Stoneheart, sourit le plus jeune. Mais que nous vaut votre présence ? Vos enfants n'ont-ils pas passé l'âge d'aller à Poudlard ?
- Si, bien sur. Mais ce n'est pas pour eux que je suis là. C'est pour ma petite fille.
Sur ses mots, le grand-père s'écarta un peu pour laisser apparaître la petite silhouette d'Ivy, qui les regardait avec curiosité. Quand elle se rendit compte qu'elle n'était plus cachée et que beaucoup de monde la regardaient, elle se recacha vivement derrière son aïeul qui rit tendrement.
- Elle est adorable, s'extasia une autre rousse, perchée sur un caddis rempli de bagage. Trop chou.
-Je... Je suis pas chou ! tenta la fillette du haut de ses onze ans.
Cela fit rire l'assemblée et les adultes reprirent leur conversation. La gamine elle, observa cette assemblée. C'était apparemment une famille bien remplie. Il y avait une grande dame élégante et toute rousse avec d'immenses yeux verts qui surveillait des enfants en train de se chamailler gentiment des bonbons de chez Bertie Crochu. A côté d'elle, il y avait un Potter, un bonhomme grand et fin, des cheveux noirs ébourrifés et des yeux marrons cachés derrière une large paire de binocles qui discutait avec sa copie plus jeune et son grand père. Un autre homme au regard clair et aux boucles brunes, très beau, tenait contre lui une jeune femme, beaucoup plus jeune d'une dizaine d'années, en regardant dans la direction des enfants qui se chamaillaient, un sourire amusé sur les lèvres. Une femme aux épaisses boucles couleur miel se tenait près d'un rouquin qui s'était immiscé dans la discussion des trois hommes. Tout le reste n'était que roux. Deux hommes identiques, une femme qui discutait avec, oh miracle, une blonde, un vieux couple qui riait en écoutant un petit garçon. Tout à droite, des enfants, roux, bruns, blonds, se disputaient des bonbons. Tout ce que pouvait dire la blondinette, c'était qu'ils étaient beaucoup.
La fillette était à cette observation quand un souffle lui chatouilla l'oreille et qu'un petit "bouh" la fit sursauter en lâchant un petit cri effrayé. Elle se retourna vivement et fit face à un garçon du même âge qu'elle et nettement plus grand. Il avait les cheveux noirs de geais, des yeux bleus clairs et une moue moqueuse sur le coin des lèvres. La réaction de la jeune fille le fit rire et il se baissa un peu pour être à sa hauteur.
- Tu sais que tu es très petite ?
La fillette ne lui répondit pas mais ses yeux envoyaient de minis Avada Kedavra qui firent redoubler le sourire narquois qu'affichait le garçon. Il tendit la main et tapota doucement la tête de la gamine qui ne fit rien.
- James, sermonna la grande dame rousse en regardant le petit garçon de onze ans. Laisse cette fille tranquille.
- Mais grand-mère, se défendit James d'un air totalement innocent. Je lui ai rien fait.
- Je ne veux pas savoir.
Le gosse bougonna et partit rejoindre l'adolescente rousse, perchée sur le caddie de valises, qui rit en voyant sa mine boudeuse. La conversation des hommes s'interrompit quand un couple avec un jeune homme arriva. Ceux-ci intriguèrent Ivy. La femme avait les cheveux roses pétants et des yeux jaunes comme les chats. Le jeune homme avait juste les cheveux bleus qui allèrent à un rouge profond en un rien de temps. Des métamorphomages. Cela fit apparaître un immense sourire sur le visage de la fillette, les yeux pétillants d'admiration. L'homme aux côtés des deux sorciers tourna le regard vers la fille de onze ans, qui avait laissé sa tête depasser de derrière la cape de son grand père pour mieux observer les métamorphomages, et lui fit un léger sourire.
- Je vois que vous êtes bien accompagné, Mr. Stoneheart, fit-il remarquer en continuant de fixer la gamine qui n'avait pas détaché son regard de Nymphadora et Teddy.
- Oh oui. Je vous prèsente Ivy, la fille de mon aîné qui n'a pas pu se déplacer, présenta Aegnor en souriant, amusé par la gamine.
Un bruit de sifflet strident parvint aux oreilles de l'assemblée de sorciers. L'horloge affichait déjà 10h45. Ils ne leur restaient que 15 minutes pour trouver un compartiment. Le grand-père quitta l'énorme famille avec sa petite fille et l'aida à monter sa valise quand elle fut à l'entrée d'un des wagons du Poudlard Express.
- Ca va aller mon ange ? demanda le vieil homme, soucieux de laisser la si petite fille partir seule et avec une telle valise.
- Oui grand-père, lui répondit celle-ci avec un sourire sincère et malicieux. Je suis grande maintenant.
Et c'est avec un dernier baiser à la joue qu'elle empoigna la valise qui pesait deux fois son poids et qu'elle partit se chercher un compartiment, non sans difficulté, sous le regard bienveillant de l'homme poivre et sel.
Au bout de 10 minutes, elle était essouflée d'avoir porté si lourde charge et de ne pas avoir encore trouvé un compartiment libre. Elle souffla une énième fois et s'apprêta à reprendre sa valise quand une grande main vint la saisir. Ivy leva les yeux vers l'individu qui n'était autre que le jeune metamorphomage qui avait présentement les cheveux violets.
- Un coup de main ? lui proposa-t'il en soulevant avec une certaine facilité le lourd bagage.
La jeune fille lui répondit par un immense sourire admirateur ce qui déconcerta quelque peu le jeune homme qui lui rendit le sourire et l'installa avec lui dans un compartiment où trônait déjà trois garçons, sûrement de la même année que lui.
- Tiens, tu les prends au berceau maintenant ? remarqua l'un d'entre eux.
L'adolescent qui venait de parler était grand, fin, blond foncé, aristocrate, avait les yeux gris aciers, le nez droit, le menton volontaire. Les traits de l'enfance apparaissaient encore sur ses joues mais étaient presque éffacés. La jeune fille se tenait debout au milieu du compartiment, se balancant sur ses deux pieds, mal à l'aise. Ted l'invita à s'assoir en face d'eux, ce qu'elle fit sans protester.
- N'importe quoi Ed. J'ai juste promis de m'occuper d'elle à son grand-père. Tu sais, le vieux Stoneheart, répondit le jeune Lupin avec un sourire en coin.
- Stoneheart ?! Tu déconnes là ?! intervint un deuxième garçon, plus petit que le premier.
Lui était plus petit, les cheveux oscillants entre le brun, le châtain et roux. Le tout donnait un mélange curieux. Il avait des yeux verts qui faisaient penser à ceux du faucon d'un des oncles de la jeune fille. Les traits de l'enfance resistaient encore durement sur son visage et son corps.
- Non, dit Teddy fièrement en posant ses mains de chaque côté de ses hanches. J'ai à ma garde la petite Stoneheart.
- Mais tu détiens l'héritière des meilleurs fabriquants de balais.
La gamine se détacha de la conversation pour s'approcher de la grande fenêtre qui donnait sur le quai. Là, elle vit son grand-père la chercher du regard. Il la trouva rapidement et plongea ses yeux dans les siens, d'une lueur paternelle et lui fit un sourire doux, tendre et rassurant, comme lui seul savait les faire. Sourire que la jeune lui rendit en lui faisant signe de la main tandis que le train démarra. Ca y est. Elle était partie pour la première aventure de sa vie.
- Bon, fit le metamorphomage en s'asseyant à côté de la gamine qui le regarda comme une relique religieuse, ce qui mit un peu mal à l'aise le jeune homme. Je te présente Edward Black, le blond pas très aimable...
- Hey ! Je peux être très poli ! protesta ce dernier.
- Chut. On sait tous que tu en es incapable. Donc je disais, Edward le blond, Marlon Ravens le... celui au milieu avec des cheveux bizarres...
- Parle pour toi, marmonna le dénommé Marlon.
- Mais vous allez arrêter de m'interrompre oui ?! Donc. Donc ! Marlon. Et enfin Matsu Aikawa, le silencieux.
En effet, le jeune homme au nom asiatique n'avait pas bougé ni dit un mot. Celui-ci était comme son patronime le laissait entendre, asiatique. Les cheveux noir corbeau, le regard tout aussi noir, la peau aussi pâle qu'une feuille de papier. Il était de taille normale mais sec, comme une feuille. Tout en lui rappelait à la gosse un parchemin.
- Et les gars, je vous présente... Euh... Excuse-moi. J'ai complètement oublié ton prénom, culpabilisa le jeune Lupin en se tournant vers la gamine qui lui fit un sourire timide.
- I-ivy Stoneheart... répondit-elle d'une petite voix tout aussi timide que son sourire.
- Dis, gamine, tu sais quand ta famille va sortir le prochain modèle de balai pour attrapeurs ? s'empressa Marlon qui ne pouvait plus résister.
- Marl' ! s'indigna le protecteur de la douce enfant.
- Ben quoi ?
- Le... 24 Novembre en avant première et le 26 en magasin, répondit Ivy en souriant malicieusement au brun/châtain/rouquin.
Celui-ci fit un signe de victoire qui fit rire malgré elle la descendante Stoneheart, sous le regard attendri des jeunes adolescents.
- J'adore cette gamine, s'extasia le blond en un soupir. Dis, je peux être ton protecteur moi aussi ?
- Non, répondit sèchement Teddy en lançant une oeillade amusée à son ami qui fit une moue boudeuse.
C'est à ce moment qu'entra deux jeunes filles identiques à la chevelure flamboyante suivies par une autre rouquine, du même age qu'Ivy, un autre un peu plus vieux, trois bruns dont celui qui avait effrayé Ivy plus tôt, sur le quai, et une blonde. Tout ce petit monde entra et s'installa dans un certain brouhaha qui impressiona et effraya quelque peu la gamine qui se renfonça dans son coin, près de la fenêtre, sur la banquette de droite où était installé à côté d'elle Teddy.
L'une des deux jumelles s'était installée près de Matsu qui avait passé un bras amicale autour de ses épaules, l'autre étant en face du couple. La petite rousse qui avait suivi était assise à côté du couple d'amis et les ignorait superbement avec une moue dedaigneuse. Le seul garçon roux était à côté de la jumelle libre et parlait avec animation à une brune qui l'écoutait et lui répondait. A côté de Teddy, se tenait la blonde, entourée de ce dernier et d'un jeune homme brun et aux yeux identiques à ceux d'Edward, qui lança un regard courroucé au jeune homme assis devant lui, qui n'était autre que le farceur du quai. Ce dernier regardait avec curiosité la petite blonde aux yeux noirs, près de la fenêtre.
- N'y pense même pas Potter, intervint Edward en fixant le gosse à la moue moqueuse. C'est ma chérie.
Cette remarque fit rougir furieusement la jeune fille sous les rires et sourires amusés de l'assemblée.
- N-n'importe quoi ! protesta-t'elle d'une voix aiguë. Je suis pas ta chérie ! Non, mais !
Cela fit mourir de rire le jeune Black.
- Ted ! Si tu nous presentais la "chérie" de Mr. Black ? intervint la rousse assise a côté du japonais.
- Oh oui. Bon. A côté de Matsu, tu as Eddith et en face sa jumelle, Emilie Weasley. Elles sont en 4ème année à Gryffondor. Juste à côté d'Emilie, c'est Fred Weasley, en 5ème année à Poufsouffle et en face sa petite soeur, Roxanne qui entre comme toi à Poudlard. A côté de la boudeuse, tu as Cassiopée, dit Cassie, Black, en 2ème année à Serpentard, la petite soeur d'Edward. En face, c'est l'aîné Black, Orion, en 7ème et dernière année, également à Serpentard. A côté, c'est Victoire Weasley, en 3ème année à Serdaigle, comme moi et les trois gus. Sauf que nous, on est Poufsouffles. Et entre la vitre et notre bon vieux Marlon, c'est James Potter, il rentre lui aussi en première année. Et c'est l'aîné de sa fratrie. Dont l'un arrive l'année prochaine. Les amis, je vous présente Ivy Stoneheart, la petite fille de l'ancien coéquipier d'oncle James.
- D-d'accord, fit timidement la gamine. Merci... Euh...
- Ah, c'est vrai que je ne me suis pas présenté, dit le métamorphomage en se frottant la tête sous le rire des personnes présentes dans le compartiment. Moi c'est Teddy Lupin. Mais appelle-moi Ted.
- Ok... Ted ?
- Oui ?
- Tu peux me montrer comment tu fais pour changer ta couleur de cheveux ?
Et c'est comme ça que la jeune Ivy se fit embarquer naïvement dans les péripéties de cette famille nombreuse.
Voilà !
Le début d'une nouvelle histoire qui me tenait très à coeur de faire.
Pour le tout début, n'essayez pas de comprendre, c'était juste une intro pour dire que tout le monde etait revenu (Oui ça fait très miracle, « tout est beau dans le meilleur des mondes » et tout le toutim. Mais il était obligé que je fasse ça ! Raison de survie les amis !)
Bref. J'espère en tout cas que le prologue vous a plu.
N'hésitez pas à me donner vos impressions même si c'est un petit "J'aime" ou "J'aime pas". Ca fait toujours plaisir de se sentir lue.
Au prochain chapitre !
