Ma première tentative de Fic longue. La suite dort bien gentiment dans mon ordi. J'espère que ça vous plaira. En tout cas, pour le yaoi il va falloir encore attendre avant que ça arrive. Mais en attendant, je vous promets un bel avancement dans la relation Sanji/Zoro. Cette histoire se passe après Skypea.

J'en profite pour remercier tout ceux qui ont laissé une review pour « les potins » (vous trouverez les réponses au prochain chapitre). Vous ne pouvez pas savoir à quel point ça m'a fait plaisir de pouvoir lire mes premières reviews !

Lecteurs adorés, ceci est pour vous !!

Chapitre 1 : Chiche

« Ca fera 154 berrys, s'il vous plait, Monsieur. »

Sanji paya le tout à la charmante propriétaire de la boutique non sans oublier de la complimenter sur ses beaux yeux verts. Il ne regrettait pas d'être entré ici. Les fruits avaient l'air très frais et étaient bon marché. Sans parler de la vendeuse qui était aussi belle que sa marchandise. Bref une perle rare.

L'équipage des Mugiwara avait accosté il y a un jour et demi, à peu près, dans une petite île à l'apparence tranquille. Bien sûr, sur la Grande Line les apparences n'étaient pas de bonnes preuves mais depuis son arrivé ici, Sanji n'avait eu affaire à encore aucun incident.

On leur avait expliqué que le Longue Pose mettrait un peu moins de deux jours à se charger. Chacun était donc partit de son côté pour se dégourdir les jambes après deux semaines ininterrompues de traverser sur l'océan. Robin était resté sur le bateau pour veiller. L'île ne semblait pas présenter plus de danger qu'une petite base marine qui surveillait les horizons. Rien de bien méchant, donc.

Sanji s'était tout naturellement occupé d'acheter les provisions. Il avait déjà fait une grande partie de son travail hier. Aujourd'hui, il flânait entre les étalages, s'arrêtant parfois à ceux où les marchandises – ou les vendeuses—étaient prometteuses. C'était une balade bien agréable. Il faisait chaud et Sanji avait relevé les manches de sa chemise.

Il remercia une nouvelle fois l'aimable vendeuse et sortit de la boutique. Il était sûr de pouvoir tirer de bonne chose de ses nouvelles acquisitions. Il allait pouvoir faire le bonheur des papilles gustatives de Nami-san et Robin-chan, et forcement, ceci le rendait de très bonne humeur.

Il ne fit cependant pas deux pas dans la rue que son humeur chuta autant que les sacs qu'il tenait à la main alors que quelqu'un lui rentra dedans.

« Merde ! » jurèrent les deux personnes en cœur lors du carambolage.

Sanji fronça du sourcil. En face de lui ce tenait le bretteur le plus énervant que la terre n'est jamais portée. Roronoa Zoro. Celui-ci semblait aussi ravi que lui.

« Tu peux pas regarder devant toi, le cuistot ? » demanda-t-il d'un ton très aimable, cela va sans dire.

« Hé je te signal que toi aussi tu m'es rentré dedans, Marimo. » pesta Sanji en se baissant pour ramasser le contenu des sacs étalés sur le sol. Puis il se releva rapidement pour garder sa dignité en face de l'escrimeur. « Et puis d'abord qu'est ce que tu fous là ? Tu n'es pas sensé être dans une taverne ou un truc dans le genre ? Je pari que t'es encore perdu. »

Le sang monta au visage de Zoro.

« Pas du tout. » répliqua-t-il. « Ce n'est pas parce que Mr. Prince rêvasse sans regarder ou il va qu'il est en de même pour tout le monde ! »

Ce fut au tour de Sanji de rougir.

« Si c'est le chemin de l'asile que tu cherche, c'est par là. Je serai heureux de t'y accompagner. Ca fait longtemps que les médecins là bas n'ont pas eu un cas comme le t --»

Sanji n'eu pas le temps de finir sa phrase : Le poids de Zoro tenta de faire connaissance avec son menton. Il esquiva les coups et répliqua par un coup de pied, qui malheureusement, ne toucha pas l'escrimeur. Celui-ci sorti un de ces katana.

Sanji n'eu pas à attendre longtemps avant qu'il n'attaque à nouveau. Il esquiva et les coups s'enchaînèrent. Ils avaient fais ça tellement de fois que leur mouvement étaient réglé comme une chorégraphie, connaissant par cœur les différent coups de l'autre et son rythme. Tout cela s'enchaînait si parfaitement que les disputes partaient maintenant d'un rien –comme de se rentrer dedans- et devenait des éléments divertissant de la vie quotidienne, permettant de se défouler. Alors étant donné qu'il avait passé la journée à se balader, Sanji accepta la bagarre avec plaisir.

« Alors, » demanda –t-il entre deux coup, la respiration précipitée. « T'étais perdu, pas vrai ? ».

« Mêles toi de tes oignions. »

« J'en étais sûr. »

La tête de Sanji balança sur le côté pour éviter le coup de poids lancé dans sa direction. Le dis poids s'écrasa brusquement contre le mur. Voila qui devait être douloureux, songea le blond. Mais il n'évita pas le second coup en direction de ses côtes. Il jura et envoya sa semelle rencontré le crâne de Zoro.

La rue était étroite mais les bruits qu'ils faisaient commençaient à ramenait des gens autour d'eux. Le cercle de personnes s'agrandissait à niveau des coups mais aucun des deux compagnons n'y prêta attention.

« Et toi qu'est ce que tu foutais là ? » marmonna Zoro une fois qu'il eut fini de voir les étoiles causés par le coup de Sanji.

« Au cas où ça ne se voit pas je faisait les courses. T'es aveugle ? » Sanji se baissa pour esquivait un coup d'épée – c'est dangereux ces cure-dents- et se plaça sur mains.

« Des courses ? » Zoro siffla d'admiration en bloquant le pied de Sanji avec son katana. Il donna un coup au ventre de ce dernier, lui coupant le souffle. « Tout a fait passionnant. »

Le blond se redressa et tenta de lui asséner un bon coup de pied qui finalement, explosa le mur en face de lui au lieu de toucher sa cible.

« Toujours plus que d'être perdu. Au moins, moi je fais quelque chose d'utile » il appuya bien sur ce dernier mot.

« Qu'est ce que tu insinue par là ? »

« Peut être que tu es complètement inutile, mon cher marimo. Voyons, même un gosse de quatre ans aurait comprit les sous-entendu. »

« Parce que tu crois que faire la bouffe, c'est utile ? »

Sanji haussa un sourcil tout en frappant l'escrimeur à l'épaule.

« Ca sert à remplir ton estomac, teme. »

« Et on a besoin de toi pour ça ? Tu crois pas que tout le monde pourrait le faire à ta place ? »

Sanji pouvait déjà sentir la colère monter en lui. Qu'est qu'il pouvait être énervant. Même alors qu'il croyait si être habituer, l'escrimeur essayait toujours de le mettre hors de lui.

« Parce que toi, on pourrait pas te remplacer peut être ? A part dormir qu'est ce tu fais ? »

« Je m'entraîne ! Parce que j'ai des ambitions moi

« Ca aussi tout le monde peut le faire ! »

Sanji bloqua le coup d'épée de Zoro. La foule autour d'eux s'était mis à participer. Certain leur criait d'arrêter toute cette violence mais d'autre s'était mis à encourager les deux combattants. Sanji fut déçu de constater que Zoro et ses épées avaient plus la côté auprès des enfants que lui.

Mais encore une fois, ils s'étaient fait remarqué et quelques minutes plus tard, un agent de la marine, attiré par le bruit de la foule montra le bout de son nez accompagnés de quelque laquais. Il avait l'apparence fragile et semblait bien plus trouver sa place dans les bureaux que sur le terrain.

Il appréciait cependant beaucoup son travail qui forçait le respect de tout les gens qu'il croisait. Depuis les quelques mois ou il s'était engagé, plus personne n'avait osé se moquer de ses grosses lunettes.

« Hé, » cria –t-il mais sa voix se perçait à peine le bruit de la foule. « Il est interdit de se battre dans l'enceinte de cette ville ! »

Il du pousser plusieurs personnes sur son passage pour se trouver en face des deux troubles de l'ordre public que son intervention n'avait apparemment pas gêné le moins du monde dans leur combat.

Son cœur fit un bond alors qu'il reconnu un des deux hommes. Il avait déjà vu ces cheveux verts sur une affiche, il en était sûr. Cet homme était très dangereux. Sa tête était mise à prix à 60 millions de Berry. Si l'autre était avec lui, il devait lui aussi sûrement être un malfaiteur. Il réfléchit un instant, puis n'arrivant pas à se souvenir du nom de l'homme, il demanda à un de ces subordonnés de lui donner la liste des criminels recherchés.

« Roronoa Zoro ! » interpella-t-il en lisant le nom sur l'avis de recherche. « Vous êtes en état d'arrestation ! » dit-il avec un air qui se voulait important.

Cependant, il aurait très bien pu ne pas être là, le résultat aurait été le même. Il retentât le coup plusieurs fois sans changement dans le résultat.

« RORONOA ZORRO ! » Hurla-t-il finalement, perdant toute air officiel.

Les deux hommes s'interrompirent en plein mouvement, par terre, l'un sur l'autre.

« Quoi ? » demandèrent-ils en cœur en tournant la tête vers lui.

«Vous êtes tout les deux en état d'arrestation. » répétât-il, mais bizarrement il paraissait moins sûr de lui. Ces deux semblaient complètement fous. En temps normal, on lui portait de l'attention et du respect en tant que membre de la marine.

« Ca change pas de d'habitude, » marmonna Zoro en se relevant. Sanji fit de même.

« Mais personnellement, » ajouta le blond, « je n'ai pas encore de prime sur ma tête. Vous ne pourriez pas arranger ça ? »

Le Marine laissa pendre sa mâchoire. Ils étaient complètement fous.

« Heu… » Ne sachant pas vraiment quoi dire il choisi l'option la plus simple. « A L'ATTAQUE ! »

Lui et ses hommes foncèrent sur les deux pirates.

Bien entendu il ne tenirent pas dix secondes.

« Merde, maintenant ils savent qu'on est là ! » marmonna Zoro alors que lui et Sanji courrait en direction de leur bateau.

La foule avait vu tout ce qui c'était passé, et maintenant il y avait fort à parier que toute la base de la Marine du sergent au balayeur était à leur recherche. Il leur fallait retourner au Going Merry avant qu'ils ne puissent mettre la main dessus. Sanji soupira il fallait toujours que Zoro attire les ennuies. Deux jours seul s'étaient très bien passé et voila à peine un quart d'heure qu'il avait rettrouvé l'escrimeur et, déjà, une base Marine était à leur poursuite.

« Il faut dire que avec ta discrétion naturelle, ça ne pouvait pas durer plus longtemps… » fit-il remarqué.

Il n'avait pas non plus apprécié le coup du cuisinier qui ne servait à rien. Se sentant blesser dans son amour propre, il comptait bien se venger sur l'escrimeur.

« T'as un problème la cuistot ? »

« Oui et il se balade à côté de moi avec des cheveux d'un vert immonde et des cures dents en guise d'arme. »

« Espèce de… »

« Je connaît le moyen de régler ça. » le coupa Sanji.

« Vraiment ? »

Un sourire naquit sur les lèvres fines du blond. Il trouvait que cuisinier pour une bande d'estomac sur pattes n'était rien ? Il pensait que son misérable entraînement constituait une véritable activité ne pouvant être surpassé par rien ? Il allait être déçu. Oh oui. Sanji venait de trouvé le moyen de les mettre d'accord et il était sûr que sur ce point là, il était largement gagnant.

« Ouais. Tu relèves le défi Marimo ? »

« Je te prends quand tu veux sourcil en vrille. »

Le sourire de Sanji s'agrandit.

« Echangeons nos places. » annonça t'il.

Pendant quelques secondes, Zoro sembla si prit de cour qu'il en oublia de courir.

« Echangeons nos places ? » répéta t il.

« Toi tu cuisines et moi je fais tes entraînement pendant une journée. Comme ça on verra bien qui est ce qui travail dur ici. »

« Je peux pas rater une journée d'entraînement à faire tes conneries ! » se plaignit Zoro.

« Pourquoi, tu as peur ? Laisse-moi deviner, tu as été traumatisé par les casseroles dans ton enfance. »

« Arête de rêver, Love cook. Comme je te l'ai dit, je te prends quand tu veux. »

« Essaye de tenter le coup demain, Marimo. »

« Je vais de faire mordre la poussière, » affirma Zoro, sûr de lui.

Ca, ca m'étonnerais, pensa Sanji alors que la silhouette du Going Merry se rapprocha.

Ussop et Chopper était déjà rentré de leur expédition lorsqu'ils arrivèrent tout deux aux bateaux. Apparemment, il était en train d'essayer les nouveaux gadgets qu'ils avaient achetés sous le regard amusé de Robin.

Les trois se redressèrent quand ils les virent arrivé ensemble, chose rarissime étant donné leur haine réciproque et l'habitude de Zoro d'arriver toujours en retard à cause de son mauvais sens de l'orientation.

Sentant leur regards pesaient sur eux, Sanji haussa les épaules.

« La marine arrive. » annonça –t-il aussi simplement que l'on annonçait la hausse du prix du pain.

La brune sourit.

« Je vois, » dit-elle.

« Oh Robin-chan, tu es si intelligente ! » chanta Sanji alors que son œil se transformait en cœur.

« Oi, le Love Cook, » l'interrompis Zoro, les sourcils froncés. « Si tu arrêtais un peu des bêtises, tu pourrais voir que nos petits amis nous ont déjà rejoint. »

En effet, une cinquantaine d'hommes, tous revêtus du même uniforme courraient vers eux.

Sanji se tourna vers Ussop et Chopper. Les genoux du canonnier entamèrent la cinquième symphonie de Bethoven alors que son propriétaire sortait son lance pierre d'un air qui semblait tout sauf rassuré. Le médecin regardait la foule s'avançait avec plein d'étoile dans les yeux tandis que son compagnon lui assurait qu'avec lui il ne risquait aucun danger puisqu'il était le grand capitaine Ussop qui a jour à réussit à vaincre le terrifiant et puissant pirate barbe rouge qui en effet avait soumit tout un continent à son contrôle etc.…

Robin, elle avait déjà commencé le travail. Elle se tenait là, les yeux fermés, le regard concentré, alors que de l'autre côté de la rive des hommes tombaient soudainement attrapé par des bras sortant de nulle part.

Sanji et Zoro sautèrent sur la terre ferme, bientôt rejoint par Chopper et Ussop.

Ce joyeux divertissement ne dura pas plus de quelques minutes.

La routine, quoi.

« Vous auriez pu faire le ménage, » réprimanda Nami alors qu'elle montait sur le pont, observant tout les soldats au sol comme une poussière particulièrement tenace.

Le soleil commençait à se coucher. La navigatrice était comme toujours à l'heure.

« Oh Nami-san ! » s'écria Sanji en la voyant, l'œil en cœur, prés à exaucer le moindre veux de la rouquine. Après tout, sa beauté valait tous les sacrifices du monde. « Je t'ai manqué ? »

La navigatrice ne lui accorda pas un regard, ce qui ne gênât pas Sanji le moins du monde. Il la débarrassa des sacs qu'elle portait –remplit de vêtements neufs- non sans oublier de lui préciser que toute ces nouvelles jupes iront à merveille avec ces beaux yeux.

« Ou est encore Luffy ? » marmonna Ussop sur la vigie en observant les alentours avec ses longues vue.

Les membres de l'équipage poussèrent un long soupir. Si Sanji trouvait que Zoro était souvent en retard et qu'il attirait les ennuis, ce n'était rien comparé à son cher capitaine chez qui la discrétion était aussi présente que le défaitisme. Si Marimo et lui avait réussit à ammeter une base Marine sur cet île alors il n'osait même pas penser à ce que son capitaine leur réservait.

Pourtant, à peine quelques minutes plus tard, deux long bras s'accrochèrent à la rambarde du pont du navire, bientôt rejoint par un Luffy plus heureux que jamais, écrasant Marimo sur son passage.

Ce dernier se releva avec des promesses de mort douloureuses et des injures adressées à son capitaine. Rien de bien différent de d'habitude.

« Yosh, » s'écria Luffy, à peine arrivé à bord, son sourire inhumain déformant son visage. « Vous êtes déjà là ? »

Une bosse sur le crâne de Luffy de la part d'une navigatrice énervée par son retard, l'ancre levée, et le Going Merry pus repartir naviguer paisiblement sur les océans. Du moins aussi paisible que pouvait l'être cet équipage.

Le soir se passa sans incident notable. Sanji profitait de toute les occasions qui lui été offertes pour bien se faire comprendre auprès de Zoro qu'il allait l'écraser à ce petit jeu. Zoro profitait de toute les occasion que lui donnait Sanji pour lui lancer une réplique bien salé comme quoi le cuistot ne tiendrait pas une matinée.

Plus parce qu'il n'avait pas envie d'être emmerder le lendemain matin parce que tête de triton n'avait pas fait son bouleau que par bonté de cœur, Sanji profita du soir pour préparé le petit déjeuner du lendemain. Il s'inquiétait un peu du fait que l'escrimeur puisse empoisonner ses deux créatures de rêve avec de la nourriture immangeable mais l'envie de se venger était bien plus forte que tout le reste.

Zoro était son nakama. Comme pour ses autres compagnons, il serait près à faire n'importe quoi si celui-ci était en danger. Mais en attendant, l'escrimeur avait le don de l'énerver et plus que nakama, ils étaient aussi rivaux et ça presque depuis leur première altercation. Le bretteur semblait profitait de toute les occasions ou il pouvait critiquer Sanji alors lui n'allait pas se gêner pour faire de même. Il avait d'abord trouvé étrange le comportement de l'autre homme à son égard puis il s'y été habitué et avait même joué le jeu. Et toute ces disputes étaient très déroulantes et confectionnait un peu d'exercice pour lui qui passait une grande partie du temps dans la cuisine. Et sa dignité ne lui permettait pas de se faire critiquer sans rien dire.

Mais demain il aurait enfin la possibilité de lui faire ravaler ses paroles. Zoro ne tiendra pas une journée entière dans une cuisine, il en était sûr. Lui n'avait que à s'entraînait comme le faisait le bretteur. Ca ne lui posait aucun problème. Il pourrait même le faire sans sieste, lui. De toute façon il n'était pas habitué à dormir la journée. Au contraire c'était souvent lui qui se couchait le plus tard et se réveillait le plus tôt pour préparer le petit déjeuner.

Oui, c'était sûr. Il allait lui faire mordre la poussière.

Fin du chapitre 1

Zoro : je veux pas cuisiner !!!

Sanji : Je veux pas m'entrainer !!

Eileen : Vos gueules !!!! Sinon je change de couple !

Zoro & Sanji : … sniff…

Eileen : bien je préfère ça. J'espère que vous avez aimé cette petite mis en bouche ! En fait les deux premiers chapitres sont une sorte de prologue assez longue… car tout ceci n'est qu'un prétexte pour amener autre chose... / air mystérieux très stupide/

Sanji / murmure/ Pour faire plaisir à l'auteur et ses mystères on ne vous dit pas que la réponse est dans le titre ...

Eileen : Zoro, Sanji, vos textes !

Zoro & Sanji:/a contre cœur/ les reviews sont des moyens sûr contre la dissolution de notre couple. Pensez à l'auteur qui fait les brouillons de ses fics en cour de français... Vos avis sont sa principale motivation.

Eileen : A la prochaine !! (J'ai bien posté ce week-end Happy)