Bonjour, ou actuellement bonsoir !
Petite indication : il faut commencer par l'été, mais je vous conseille de relire l'été une seconde fois après le printemps. Parce que ça prend un sens différent. Normalement. Ah, et pour la mise en page ... J'essaye depuis vingt putain de minutes de sauter des lignes, et ce n'est jamais pris en compte. Une âme charitable pour m'expliquer ..?
Tony Stark est un personnage appartenant à l'univers Marvel -ici on dira que c'est d'avantage le Tony des comics que celui du MCU, mais seulement pour quelques détails mineurs. Donc ça marche avec le MCU, en fait.
Des avis ?
Tony avait toujours pensé que la vie était cyclique. Chacun aurait un cycle différent, qui varierait selon la personnalité, la perception du monde. Il s'amusait à identifier les périodes de chacun lorsque la vie sociale qu'on le poussait à avoir en dehors de son labo (comprendre hors de de ses robots) et des médias (comprendre hors des relations pour le business) lui faisant connaître des gens avec qui il s'entendait bien. Il savait que ce n'était pas correct de faire des expériences sociales sur son entourage, mais peu importait. Pepper, par exemple, avait des périodes durant un peu moins d'une semaine, et le cycle recommençait à chaque –rares- vacances qu'elle prenait. Certains des cycles de Rhodes pouvaient durer des années, mais les périodes duraient en général un semestre. Bruce était un cas particulier. Après chaque combat important, un cycle recommençait : d'abord trois jours de grande déprime, une semaine de remise en question, deux jours d'adaptation, une semaine de travail acharné –plus acharné que d'habitude- pour finir à ce que Tony appelait « phase final » ou « état stable ». Cet « état stable » était atteint lorsque vous êtes vous-même, sans altération de la pensée, sans facteurs assez important pour influencer votre bon jugement et votre manière d'agir.
Pour lui, chacune des périodes de ce cycle était une saison, un cycle entier étant une année. Tout recommence à l'été.
Ceci est l'histoire des saisons. L'histoire du cycle de Tony. Il est question d'errance, de nostalgie, de vents et vagues. Ils l'emportent.