Voilà le résumé complet :
Bella a été élevée en captivité dans le monde souterrain vampirique d'un créateur d'une marque de sang. Son sang est présenté dans la marque la plus populaire ''LaGuerra''. Quand elle s'échappe, son plus grand fan, Jasper Whitlock, pose un contrat d'acquisition sur sa boisson préférée et commence sa propre chasse personnelle, alors qu'elle tente de rester libre du monde des vampires et, en particulier, du Major Whitlock.
Slt,
Me voici avec une nouvelle traduction, c'est encore et toujours une Jasper/ Bella.
J'espère que vous l'aimerez autant que moi.
Cette histoire n'est pas la mienne, elle appartient à 4MeJasper. Sous le titre de ''Her Keeper''
Merci à kierraline pour sa correction ;)
Bonne lecture.
Twilight appartient à Stephanie Meyer. J'aime juste jouer avec les personnages.
C'est une fiction Jasper-Bella. Elle se déroule de nos jours. Les vampires se cachent mais ont une société plus structurée. Ils prennent des « animaux de compagnie » humains pour de la nourriture, et quelques humains sont retenus en captivité dans le but d'être saignés pour les vampires. Ils mettent le sang en bouteille tout comme les humains mettent la bière en bouteille, et ce produit est vendu dans les clubs et les bars souterrains vampiriques. Il y a un certain nombre de « créateur » d'étiquettes sanguines. Le sang de Bella a été présenté dans un mélange appelé « LaGuerra » et est la plus populaire bouteille de sang de créateur de ce marché noir vampirique.
Les humains qui ont été revendiqués par des vampires ont un petit tatouage sur leurs poignets pour les marquer comme étant la propriété du vampire. Les marques sont généralement une suite de points formant un petit triangle ou rectangle. Les couleurs et motif identifient à la fois le territoire du vampire et le propriétaire unique revendiquant la personne.
Chapitre 1 : Essaies de Sang, la Vie dans une Ferme Vampirique.
(POV de Bella)
Un autre jour à l'intérieur de ces quatre murs. J'ai grandi piégée dans cette pièce, ayant passé les quinze dernières années ici. Trois côtés de la pièce se composent de mur de béton, peints en blanc Navajo (*), avec de petites fenêtres fendues à environ un mètre cinquante du sol. Le quatrième mur est juste une ouverture recouverte de barreaux. Le sol est en bêton avec un égout au centre. Il y a une large salle de bain/douche sur le mur sud, qui est déverrouillée une fois le matin ainsi qu'une fois le soir. Si vous avez des besoins à un autre moment de la journée, il y a quelques seaux laissés dans la pièce. Pendant que nous sommes dans la salle de bain le matin, le sol est lavé. Il n'y a pas de meubles dans la pièce, bien que des lits soient amenés la nuit pour que l'on puisse dormir. Nous devons les plier, il en est de même pour les couvertures, et les mettre devant les barreaux chaque matin.
Il y a des chaises dans le couloir de l'autre côté des barreaux. Une de ces chaises est apportée dans notre chambre une semaine sur deux.
Il y a des gardes près du mur avec des barreaux tout le temps. Ils sont assis sur des chaises ou s'appuient sur le mur opposé pendant qu'ils travaillent, nous regardant. Leurs yeux rouges sang bougent rarement, et quelques fois eux-mêmes bougent mais c'est rare. Ils portent des aiguillons électriques, car ils sont apparemment si forts qu'ils pourraient nous tuer d'un simple contact. Toute tentative visant à leur parler se traduit par un petit coup de l'aiguillon.
Une semaine sur deux, le médecin entre avec un équipement de prélèvement sanguin : aiguilles, tubes, tuyau en caoutchouc. C'est quand nous arrivons à nous asseoir sur une chaise. Un par un, nous prenons place sur cette chaise, et il prélève du sang jusqu'à ce que nous commencions à nous évanouir. Par la suite, un des gardes nous passe une petite bouteille de jus d'orange, et c'est fini jusqu'aux deux prochaines semaines. C'est pour cela qu'ils nous gardent : pour le sang qu'ils prélèvent.
Les gardes portent des uniformes beige ou gris nous portons des blouses et des pantalons colorés. La couleur de nos tenues semble varier chaque semaine. Aujourd'hui ils sont roses, mais à d'autres moments ils ont été verts ou bleus. Mère dit que c'est des uniformes médicaux. Les vampires peuvent probablement les acheter pas cher, et ça nous identifie à leurs yeux rapidement.
Comme s'ils avaient besoin d'une identification visuelle. Ils peuvent nous sentir. Et apparemment ils peuvent entendre nos cœurs battre.
Je n'ai pas le droit de sortir, mais Mère si.
La plus part des adultes sortent pour travailler chaque jour. Nous sommes vingt dans le bloc de cellules, et douze sont adultes. Ceux qui travaillent sont conduits en petits groupes le matin et rentrent le soir. Soit ils travaillent dans les champs, faisant pousser la nourriture qu'on mange, soit dans les maisons des vampires, nettoyant. Même si les femmes me disent que le travail est très dur, je suis sûre que c'est mieux que de rester ici tout le temps, à regarder ces murs. Peut-être que quand je grandirais, j'irai travailler et trouver un certain soulagement à cet ennui.
Quelques fois d'autres vampires viennent aux barreaux et nous regardent, faisant signe à une femme de se présenter. S'ils aiment ce qu'ils voient, ils lui demandent de faire un tout sur elle-même, puis ils ouvrent la porte d'entrée et l'emmènent dehors. Ces filles ne reviennent jamais.
Ces filles sont vites remplacées par d'autres. Certaines sont de jeunes femmes qui portent des enfants. D'autres fois, les vampires entrent avec un enfant, le tendent à une femme, et partent. Mère dit que les vampires encouragent les enfants car ça leur donne un moyen de pression sur les parents. Ils savent que les mères ne s'enfuiront pas en laissant leur enfant derrière.
Et si vous vous enfuyez et êtes attrapés … c'est fini. Si vous êtes chanceux, la mort est instantanée. Si vous êtes malchanceux, ils peuvent la faire durer un moment. Nous avons entendu des cris provenant de la maison principale et vu les yeux des vampires s'assombrirent, ils léchaient leurs lèvres alors qu'ils écoutaient. Comme leur ouïe est plus développée, ils entendent mieux que nous.
Mère dit que quand elle était jeune elle vivait comme la plupart des humains le font, dans son monde normal, ensoleillé, ignorant ce monde vampirique où nous existons en tant qu'esclave. Elle est allée à l'école, avait des animaux de compagnie, avait des fêtes d'anniversaires, et s'était mariée.
Et c'est là que les ennuis commencèrent pour elle : quand elle s'était mariée. Il s'avérait qu'elle avait une rivale. Cette fille avait été changée en vampire et était revenue pour le mari de Mère. Et à la demande de sa nouvelle compagne, il vendit Mère. Il aurait pu simplement demander le divorce, mais sa compagne vampirique voulait la blesser. Alors il l'a vendue à un des propriétaires d'une ferme de vampires, et nous sommes là. Peu importe l'endroit où nous sommes.
Il y a beaucoup de bruit dehors aujourd'hui. J'entends des camionnettes et des voitures aller et venir sur l'allée principale, et beaucoup de cris. Selon ce que nous avons été capables de récolter du personnels de maison, il y a une sorte de grande fête prévue pour la soirée. Il y aura de nouveaux humains ici. Et nous pourrons voir certains d'entre eux ici demain. Ceux qui survivent ce soir ne seront jamais autorisés à partir.
C'est déjà arrivé. Bien que nous n'ayons pas de journaux, ces publications qui m'ont été décrites en termes mélancoliques par tous ceux qui viennent du monde extérieur, les nouveaux humains qui arrivent chaque mois environ nous apportent des nouvelles du monde humain « normal ». Quant au pourquoi ils sont là, ils ne le savent jamais. Quelqu'un a dû voir quelque chose qu'il n'était pas censé voir, et les vampires les envoient ici où que nous soyons. Personne n'est exactement sûr de notre localisation. Ça semble désert à l'extérieur et froid. Mère dit que un des hommes pensent que nous sommes au Montana, parce qu'il a vu de nombreuses plaque d'immatriculation du Montana.
Ce soir-là, cependant, il y a eu un changement dans nos habitudes. Quand il est l'heure d'aller au lit, Mère me signale de ne pas changer d'habits. Nous nous mettions sous les couvertures de nos lits complètement habillées, y compris nos chaussures. Je sais que quelque chose ne va pas. Je remarque que les gardes quittent leurs places habituelles dans le couloir. Mère me mima, qu'ils allaient dans l'allée aider pour la fête, que ce serait donc notre chance de partir. J'essaie de rester éveiller mais je finis par m'endormir.
Plus tard cette nuit, quelqu'un tapota mon épaule, et une main se met sur ma bouche alors que je commençais à m'asseoir. Cette main est chaude, signifiant que c'est une main humaine, alors je me suis détendue. Il y avait assez de vampires qui attaquaient les femmes dans ma baraque la nuit pour que je m'inquiète à chaque fois que je m'endorme. Mais cette main appartient à Mère.
C'est le noir complet dans cette pièce, mais il y avait beaucoup de bruits provenant de la maison principale.
Je me lève rapidement quand elle me le signale, et je commence à marcher près d'elle dans l'obscurité. Devant, une porte doit être ouverte, car je peux voir un filet de lumière. J'essaie d'empêcher mon cœur de battre trop fort. Les gardes dans l'allée pourraient l'entendre, et nous sommes supposées dormir.
La lumière provient d'une porte ouverte dans la salle de bain. Cette porte donne sur un des murs extérieurs, et je ne l'ai jamais vu entrouverte avant. En quelques minutes, nous sommes dehors, ce qui est un endroit où je ne suis jamais allée avant. Regardant autour, je nous compte au nombre de cinq. Le ciel est éclairé par la lune au-dessus de nous. Le sol est dur, sec, et plat, et recouvert de petites plantes, déformées qui ont des racines qui menacent de nous faire trébucher dans la pénombre. L'homme nous demanda de nous diviser en deux groupes avec ses gestes. Mère et moi nous dirigeons vers quelques arbres, alors que les trois autres se dirigent vers un ravin.
Je sens plus que je ne vois nos poursuivants. J'entends un horrible cri de l'autre groupe, suivi par un faible rire de vampire. Pas de doute sur ce son. Après avoir entendu quelques cris de plus, je me lance dans une course. Plus de raisons de se cacher maintenant. Mère essaie de me faire taire et cours aussi.
Devant nous nous voyons un visage éclairé par la lune. Est-il humain, ou est-ce l'un d'entre eux ? Nous ralentissons, attendant de voir. Aucun mouvement, puis le clair de lune étincela sur des yeux rouges. C'est l'un d'entre eux.
Quand nous nous arrêtons complètement, il vient devant nous en quelques secondes. Mère semble le reconnaître et baisse sa tête. Il l'attrape et enfonce ses dents dans son cou. La mort, bien sûr, c'est la punition pour une tentative de fuite. Je commence à le frapper, mais il attrape mes deux mains dans une des siennes, me tenant d'une poignée brutale, me forçant à regarder alors qu'il la draine.
Il laisse tomber son corps puis me prend dans ses bras et m'emporte.
J'ai arrêté de me soucier de ce qui allait m'arriver. Alors qu'il m'emmène rapidement vers une destination inconnue, je vois la lune dans le ciel. En fait je n'ai jamais vu la lune au centre du ciel avant ce soir, me dis-je abattue. Je l'ai seulement vue à travers la petite fente dans la fenêtre.
Bientôt nous entrons dans un petit immeuble, un comme j'en ai vu à travers la fenêtre mais je n'y suis jamais entrée. C'est clairement une maison, même si, je le reconnais uniquement grâce aux descriptions de Mère. Les vampires m'installent sur une chaise dans le couloir d'entrée.
J'ai vraiment trop de difficultés à bouger, alors je me contente de regarder. La douleur d'avoir vu cette terrible mort me submerge. Je peux à peine respirer.
Je l'entends parler à deux autres vampires qui sont déjà dans la maison d'une manière détachée, comme s'il s'agissait de quelqu'un d'autre. Je ne peux pas comprendre ce qu'ils se disent, et je lutte pour simplement arrêter de respirer. La douleur me submerge, et bientôt je glisse de la chaise et tombe vers un sommeil sans rêve.
Voilà, que pensez-vous de ce premier chapitre ?
Et comme l'auteur le faisait, je vais envoyer également un extrait du prochain chapitre à tous ceux qui laissent un commentaire.
N'oubliez pas de me dire ce que vous en avez pensé.
Lyylla.
