Disclaimers : Chris Marker. Puis aussi un autre réalisateur, mais qui lui aussi s'est inspiré de Chris Marker.
Avant tout : J'espère que ça vous plaira. Je me suis inspiré de "La Jetée" de Chris Marker et de "L'armée des 12 singes". UN peu trop inspirée, vrai, mais tout de même, je doute que ce soit mauvais. Ce premier chapitre n'ets qu'un eintroduction. Merci à vous. Vous êtes libres de laisser eds reviews...
Ce n'était alors qu'une petite fille. Calme et docile. Qui ne faisait pas de problèmes, qui aimait les violettes – celles aromatisées au citron étaient ses préférées, très difficiles à trouver, on ne pouvait se les procurer qu'à Lourdes – , qui voulait devenir véterinaire, qui aimait ses poupées. Un cliché de petite fille de sept ans, naïve et innocente.
Quelques fois, ses parents partaient en balade avec elle. Bien que ce soit une petite fille, et non un garçonnet, elle adorait regarder les avions décoller sur La Jetée. Elle les admirait, bien qu'étant légèrement effrayant pour une âme fragile comme elle.
Chaque mois, au moins une fois, elle les suppliait – et les faisait craquer – avec ses grands yeux de biches, déjà si expressifs pour son âge. Ils étaient d'un vert profond et ses cils auraient pu faire tomber amoureux n'importe qui. C'était la seule chose qui la distinguait des autres. A part ces yeux – Oh ! combien magnifiques – la petite n'avait rien de spécial. Si ce n'est une très bonne mémoire visuelle, mais rien que cela, et encore… !
Pour son anniversaire de huit ans – et pour fêter quatre ans de visite à l'aéroport – ses parents lui firent la promesse de s'approcher un peu plus des avions. Dans un secteur qui n'était réservé qu'aux passagers. Ils eurent du mal à convaincre la sécurité. Ils réussirent pourtant. Il n'auraient jamais dû. Enfin… qui sait ce qui se serait passé dans ce cas-là ? Si ils avaient réussit à défier le destin, l'infini, le temps, la répétition temporelle définitive de cet évènement.
La petite fille s'était penchée en avant sur la barrière. Un avion était censé décoller, mais il ne le faisait point. IL avait du retard, pourtant il était là. Elle tourna sa tête fragile vers la droite et aperçu un petit garçon avec ses parents entrain de courir. Il avait l'air de mauvaise humeur. On pouvait facilement deviner qu'ils allaient rater leur avion.
Ensuite, tout se passa très vite. Des hommes de la sécurité leurs crièrent de se baisser à terre, et l'on vit un homme et une femme courir versn l'avion. Puis tomber petit à petit à terre. Du sang entourait les deux corps. Les quatres parents étaient choqués, au point de ne même pas – qui pourtant devrait être un réflexe – cacher les yeux de leurs enfants. Les deux gamins regardaient les cadavres à terre, où s'agitaient des gardiens, la police et autres personnes.
La petite fille sentit les larmes lui monter aux yeux – ces yeux ! – et à ce spectacle, ses parents, comprenant enfin ce qui se passait, tirèerent leur fille par les bas, et l'emmenairent à la voiture. Mais Elisabethe ne regardait plus les corps. Juste le petit garçon en face d'elle. Une pensée lui traversa l'esprit, et l'exprimant dans la voiture de ses parents, ils furent choqués. Il lui dirent de ne pas dire de bêtises, et lui sortirent cette idée de la tête. Pourtant, elle avait raison. Sa remarque était très…bien remarquée. Elle avait dit « La papa du garçon il ressemble au monsieur qui s'est fait tué. »
