Titre : J'ai besoin de toi

Résumé : Lorsque Neville rencontre une jeune fille à l'hôpital et qu'ils se découvrent beaucoup de points communs. . . et parce qu'on a toujours besoin de quelqu'un qui a besoin de nous. . .

Genre : Romance/Drama

Couple : ? (Je ne vais quand même pas tout vous dire avant de commencer !)

Disclaimer : Harry potter, les autres personnages, l'univers, tout appartient à notre chère J.K.Rowling… seule ma petit histoire et ce couple purement fanon m'appartient.

Note de l'auteur : Oui oui! C'est moi ça ! J'ai écrit ce petit prologue cet été (oui c'était il y a déjà très longtemps) ce qui veut dire que je n'avais pas encore lu le tome 6 donc il n'y aura pas de spoilers ! Et si jamais je change d'avis et que j'en met je vous avertirai promis ! De toute façon, depuis le temps, tout le monde doit avoir lu le tome 6.

Note de l'auteur 2 : Comment cette idée de fic m'est venu ? Dans un rêve ! Oui! Je vous le jure! J'ai rêvé que Neville rencontrait une jeune fille à l'hôpital et paf! j'ai écrit ce texte qui était au commencement un one-shot . . . mais j'aimerais bien écrire une fic à chapitre finalement ! Mes rêves sont bizarre, je le sais !


J'ai besoin de toi

Une rencontre des plus inattendues (Prologue)

La vie est étrange. Parfois elle nous sourit; d'autres fois elle est injuste. On ne peut rien y changer. Nous sommes que de simples pions. Des pions que la vie on bouge sans avertir. On ne peut qu'espérer qu'elle nous sourira souvent. Je ne peux pas dire que la vie ne m'a jamais sourit. Bien sûr, j'ai des amis et j'arrive à me débrouiller à l'école (sauf en potions évidemment), mais je l'avoue, souvent, je la déteste la vie. Pour ce qu'elle a fait à mes parents. Pour m'avoir fait comme je suis : peureux et maladroit. Mais ce qui me fait la détester autant, c'est quand elle sourit aux autres. Malfoy et ses copains, par exemple, ont toujours eu la belle vie. Toujours parfaits… ils n'ont jamais de problèmes. La vie me fait vivre de vraies souffrances et eux n'ont jamais rien subit de mal.

Enfin, c'est ce que je pensais. Jusqu'à ce soir où je l'ai vu à l'hôpital. J'étais venu passer la soirée avec mes parents quand j'ai entendu une vois que je connaissais. Je n'ai pas réalisé sur le coup à qui appartenait cette voix, mais je la connaissais. J'avais beaucoup de mal à l'identifier. Cette voix qui était habituellement criarde et agaçante semblait trop douce et belle pour être celle que je pensais. Pourtant, en sortant dans le corridor, je découvris la propriétaire de la jolie vois. Dès qu'elle m'aperçut, sa voix changea pour redevenir la voix agaçante et déplaisante que je connaissais.

- Tu veux ma photo, Londubat ? M'a-t-elle dit.

- N…n…non, balbutiais-je comme un parfait idiot.

Je l'ai regardé et on aurait dit quelqu'un d'autres. Ce n'était pas la méchante Serpentarde que je côtoyais à l'école, non. Premièrement, elle était couverte d'ecchymoses et elle souffrait. Elle avait pleurer il y a quelques temps car ses yeux étaient rougis. Un guérisseur soignait ses plaies. Elle était effondrée au milieu du corridor, trop faible pour marcher. Si faible qu'elle avait à peine la force de me regarder durement.

- Miss Parkinson, dit un Guérisseur interrompant mes pensées, nous devons vous reconduire à une chambre. Vous y serez plus tranquille et nous pourrons ainsi mieux vous examinez.

Son regard ne m'avait pas quitté une seconde. Elle me scrutait me la tête aux pieds, se demandant sûrement si j'allais répéter cette histoire à tous ceux que je connaissais. Ce n'est pas ce que j'allais faire. De toute façon, à qui pourrai-je la raconter. Comme je l'ai dit plus tôt, c'est vrai, j'ai quelques amis, mais je me voyais mal leur écrire seulement pour leur dire que j'avais rencontré Parkinson.

Après quelques secondes qui me parurent une éternité, elle daigna enfin lever les yeux vers le guérisseur, puis acquiesça. Il l'aida à se lever et l'a remit entre les mains d'un autre guérisseur. C'est alors qu'il se tourna vers moi :

- Vous la connaissez ? me demanda-t-il.

- Un peu, lui avouai-je. On va tous les deux à Poudlard.

- Alors, prenez bien soin d'elle, me dit-il. On peut la guérir physiquement, c'est bien vrai, mais dans des moments comme celui-ci c'est de ses amis qu'elle aura surtout de besoin ! Ne la laisser pas tomber.

Après m'avoir adressé un sourire compatissant, le guérisseur tourna les talons et s'en alla dans le corridor. C'est à ce moment que j'ai réalisé ce qu'il venait de me dire . . .

- Euh . . . on n'est pas ami ! lui criais-je

Mais il était déjà partit et il ne se retourna pas. Je me retournai vers la porte de la chambre qui venait de se fermé. . . .dans des moments comme celui-ci, c'est de ses amis qu'elle aura surtout de besoin . . . Mais que lui était-il arriver de si terrible pour qu'elle soit dans un état si lamentable ?


Bon, alors pour l'instant voici le prologue. C'est très court, je sais, mais ce n'est qu'un prologue ! Donnez-moi votre avis ! Vous voulez que je continue ou de toute façon, c'est tellement nul que ça ne vaut pas la peine ? Je veux savoir ! Babye !

Micy

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