Traduction fic allemande
Echange de mots
Tu t'en vas. Remarque-t-il, alors que cela aurait dut être une question.
La nuit dernière la laissé avec un petit gout de pas assez, et le jour qui commence n'arrange pas vraiment les choses.
-Oui, confirme-t-elle, même si ce n'était pas vraiment nécessaire. Mais malgré tout ce qui s'est passé cette nuit, je m'attends quand même à te voir pour tes consultations aujourd'hui.
- Ah bon, moi pas. Bizarre. répond-il du tac au tac.
- Dans quelques heures, tu ne résisteras plus à venir m'embêter avec tes remarques et tes sarcasmes habituels, tu verras, dit –elle en l'embrassant tendrement une dernière fois en quittant la pièce.
II. Signature de contrat.
J'ai besoin d'un autographe de toi ! dit-elle en pénétrant dans son bureau et en posant devant lui, une simple feuille de papier, couvertes de quelques lignes.
-Waouh, rapide le contrat de mariage !
Mais il signe sans hésiter le document, sans même savoir de quoi il en retourne. Il plonge ses yeux azur dans les siens, et en levant un sourcil accompagné d'un sourcil inquisiteur, il ajoute :
Et qu'est-ce que tu voulais vraiment ?
Tout va bien ? demande-t-elle hésitante en retirant tout de même le document signé.
Ben je viens de signé, ou est le problème ?
Il n'y a pas de problème, tu viens juste de signé un accord dans le quel tu renonces au sexe ce soir ! Sur ce, elle recule pas à pas vers la sortie, un sourire narquois aux lèvres.
Génial, grogne-t-il, ça m'apprendra à te faire confiance .
III. Bon flair
Qu'est-ce que tu as dit à Wilson ? Crit-elle, presque hystérique au téléphone
Rien du tout Sunshine.
Il se souvenait simplement de la longue discussion qu'il avait eue avec son ami sur la mort de sa patiente, Hannah. Rien que d'y repenser était douloureux.
-Peut-être qu'il la sentit.
- Ca fait une heure qu'il me tourne autour, ça devient vraiment malsain ! J'ai l'impression qu'il m'espionne.
- Tu dégages une telle dose d'œstrogènes après ce que je t'ais fait cette nuit, c'est normal. S'il y a une personne qui sent ce genre de choses chez une femme, c'est bien Wilson.
-Merci House, fulmine-t-elle ironiquement au bout de fil, avant de raccrocher violement.
IV. Une bonne raison
-Qu'est-ce que tu fais ce soir ? Veut –t-elle savoir innocemment, perchée sur ses hauts talons sur le chemin de la sortie.
-Apparemment, pas de partie de jambe en l'air, il parait.
Le ton se voulait taquin, pourtant, il lut dans ses yeux, une certaine inquiétude. Il aurait dû être un peu moins blessant, elle croyait surement qu'il avait mal prit la blague.
-Peut être que tu pourrais trouver une autre raison de passer chez moi.
-Mouai je sais pas, si y'a pas de sexe, je vois pas trop l'intérêt …
-J'ai de la bière dans le frigo, lui dit-elle avec un petit sourire angélique.
-Ok !
V. Tchin !
-Je ne t'attendais plus dis donc ! dit-elle étonnée quand elle ouvre la porte et qu'il se penche au-dessus de sa canne pour passer la tête dans la porte entrebâillée.
-Bah tu m'a promis de la bière, et mon frigo est vide, donc voilà !
Il la suit dans l'appartement silencieux. Son regard inquisiteur ne met pas longtemps à découvrir la vielle paire de chaussures de Luca, oubliée dans un coin.
-Génial, grogne-t-il.
Lisa revient tout juste de la cuisine, deux bières à la main. Voyant la réaction de House, elle suit son regard.
-Oh, désolée. Elle semble vraiment confuse et gênée.
Il lui prend une bière, et la lève, faisant signe de porter un toast.
-Je peux trinquer avec elles à ma victoire ?
-Surement pas, c'est avec moi que tu dois trinquer !
Ils trinquent ensemble, et Lisa place les chaussures de son ex dehors, devant la porte d'entrée.
VI. Orient express
-Je croyais que tu avais vendu la maison ? lui dit-il, en cherchant d'autres reliques de son prédécesseur dans la maison.
-Pas encore House, j'ai pas eu le temps.
-Huhm, on se demande pourquoi ? Peut-être parsque tu préfères nos rendez-vous torrides, à ces soirées interminables à écouter les histoires de notre Agatha Christie du New Jersey, sans pouvoir les rembarrer de peur qu'il se mette à pleurer.
-Arrêtes avec ça s'il te plait, dit-elle en secouant la tête.
Le ton est sans …, le message est clair, il a intérêt d'arrêter. Pour changer rapidement de sujet, il enchaine sur un sujet moins épineux. Quoi que…
-Et quand est-ce qu'on commence notre ''Orient Express''
-Rappelles toi de ce que tu as signé cet après-midi ! Pas ce soir, ajoute-elle avec un sourire sadique
VII. Nudité
- Laisses-moi jeter un œil à ta blessure.
-C'est bon, t'inquiètes, lui répond-il en grommelant.
Il ne veut plus aborder ce sujet, et donc surtout pas qu'elle trifouille cette blessure, autant physique que psychique.
-Oui, et bien je voudrais voir si c'est ''vraiment'' bon. Sur ce, elle attrape le bas du T-Shirt qu'elle commence à lui enlever.
-Tu veux juste me voir à poil, avoue, coquine va !
-Ca, c'est quelque chose que je peux obtenir beaucoup plus facilement, dit-elle en connaissance de cause, avec un petit clin d'œil.
-Pffff, facile, j'me déshabille pour n'importe qu'elle nana assez bien roulée.
-Mais bien sûr, soupire-t-elle, en souriant en lui passant son T-Shirt au-dessus de la tête.
VIII. Strip tease
Mais, si tu veux, je peux me déshabiller pour toi , dit-il, en faisant un regard enfantin.
-Non, merci, j'ai vu tout ce que j'avais à voir .
Pas les trucs les plus cools et les plus intéressants !
Ah bon ? Et ou faut –il que je cherche pour trouver toutes ces choses ?
En tout cas, pas là ou tu as cherché jusqu'à présent, ajoute-il avec un ton énigmatique.
Donc, si tu dis que tu aimerai bien te déshabiller pour moi, ça veut dire que je pourrai te demander un strip-tease ? Dans ce cas, ça m'intéresse !
Voyez-vous ça, petite coquine !
IX. Il suffit de demander
-Allez, demande moi, qu'on en finisse, après une heure passée devant la télévision, dans un lourd silence.
Sans avoir la moindre idée du quoi il parle, elle lèvre ses sourcils d'un air intérrogateur, et l'interroge du regard.
-L'inévitable question qui te taraude : ''est-ce que ça va ? '', j'en peux plus de te voir avec cette mine soucieuse.
-Désolée de me faire du souci a propos de toi par rapport à la nuit dernière, rétorque-elle, outrée.
-Vas-y, demandes !
-Est-ce que ça va ?
-Oui, ça va, ne t'inquiète pas. Tu vois, il suffisait de demander
X. Travail manuel
- Tu t'en vas ?, demande-t-elle, avec la même inquiétude dans la voie, que lui le matin même.
-Jap, confirme-t-il, en prenant sa veste sous laquelle, il trouve une vielle carte de visite de Lucas. Mais Lisa est trop occupée avec lui pour remarquer cette carte.
-C'est le célibat qui te rappelle ?
-On s'offre un petit voyage des sens ?
-NON ! répond-elle indignée.
-Donc je rentre me faire plaisir tout seul.
-Merci pour l'information !
-Merci pour l'invitation !
Avec un grand sourire, il lui colle un baiser sur les lèvres, lui offre son plus beau sourire, et quitte la maison.
