TITRE: JE NE SUIS PAS AU PARADIS Fic terminée
CATEGORIE: Romance/ANGT/SUPERNATURAL
COUPLE (s): André/Oscar
REVIEWS:Avec plaisir, bonnes et mauvaises mais pour les mauvaises soyez construtifs, toutes reviews bêtement méchante et gratuite sera supprimée.
RATING: Tout public.
DISCLAIMER: Lady Oscar ( la rose de Versailles) appartient à son seul auteur Riyoko Ikeda et TMS .Je n'en ai pas les droits. Ceci est une fiction écrite par un fan pour les fans qui n'a aucune autre intention que de distraire et n'en retire aucun bénéfice. : .
NOTES DE L'AUTEUR : Ma première fic apres un long hiatus...
André était mort et Oscar les yeux noyés dans ses larmes s'enfuyait dans la nuit poursuivit par des soldats.
C'est la chaleur du soleil et le doux bruit de l'eau qui la reveillèrent.
Elle regarda autour d'elle. Elle n'était plus à Paris mais dans cet endroit qu'elle connaissait si bien. Ce lieu où elle et André avait l'habitude de venir se réfugier afin de discuter, de se battre ou de se détendre.
Une douce brise balayait son visage alors qu'elle se demandait comment elle avait pu arriver là. Elle devait être morte, les gardes avaient du la tuer et elle était au ciel. Elle se releva.
« Ah enfin, je commençais à m'inquiéter »
Cette voix, elle la reconnue aussitôt c'était celle d'André. Elle se tourna pour lui faire face et resta muette devant la vision qui s'offrait à elle. André son André était là face à elle, il était jeune, les cheveux longs, ses deux yeux la fixaient avec interrogation, il n'y avait plus de blessure.
Ses larmes coulèrent mais son visage s'illuminait transporté par la joie qu'elle ressentait de le revoir. Elle était morte, enfin, elle était au paradis et André était avec elle. Elle précipita vers lui et le jeune André surpris de son action la réceptionna dans ses bras maladroitement.
« Tu es vivant » dit t'elle en sanglotant de joie et le serrant très fort.
André ne comprenait pas. Il ne rendait pas l'étreinte à cet inconnu qui pleurait dans ses bras. Il était venu là pour une sieste lorsqu'il avait trouvé l'homme recroquevillé sur le sol près de son arbre. Il était pâle, et fiévreux avec un sommeil très agité. Mais ce qui l'avait fasciné c'est que cet homme ressemblait à s'y méprendre à son amie Oscar. Un sosie parfait, à quelques détails près: La longueur de ses cheveux et l'âge. Cet homme là avait facilement plus d'une dizaine d'années qu' Oscar et manifestement, il était très mal en point. Il avait veillé sur lui pendant son sommeil, intrigué par cette ressemblance.
Il s'était posé milles et une question. Peut être était t'il un parent de la famille de Jarjayes, cela pouvait expliquer l'incroyable ressemblance.
Oscar desserra son étreinte et contemplait le visage de son bien aimé qui avait retrouver sa jeunesse.
« Oh André comme tu es beau, tu as retrouvé ta jeunesse, tu as quoi ? 22 ans ? »
« 20 ans » répondit André de plus en plus intrigué. L'homme avait la même voix qu'Oscar, quoique celle-ci était plus étouffée, comme enrouée. Mais surtout il connaissait son prénom.
« Monsieur, je ne crois pas que nous nous connaissions. Seriez- vous un parent de la famille de Jarjayes ? »
« Je vois que le fait d'être au paradis ne t'as pas fait perdre le sens de l'humour » dit t'elle en souriant.
« Pardon ? » dit 'il
« Ne me regardes pas comme ça, vas-tu enfin me dire comment cela se passe ici ? »
« Monsieur, je crois que vous êtes encore fiévreux » s'inquiéta André. L'homme devait délirer, la fièvre n'avait pas du tomber.
« Tu veux bien arrêter, au bout d'un moment ce n'est plus drôle ! Tu sais ce dont quoi j'ai envie ? »
« Non » dit sincèrement André.
« Que tu m'embrasses, et qu'on fasse l'amour ici, après tout ne sommes nous pas au paradis ? »
« QUOI !!, mais enfin Monsieur ca ne va pas ! Je ne suis pas de ce bord là »
Oscar commençait à perdre patience. Elle avait de l'humour mais là elle ne le trouvait plus du tout amusant.
« Ecoutes André, tu pourrais me traiter avec un peu plus de délicatesse, tu ne te rends pas compte à quel point j'ai souffert quand tu m'as quitté » sa voix se mit à trembler à la fin de sa phrase.
« Monsieur, permettez- moi de dire que c'est moi qui n'apprécie pas votre humour . Je vous ai trouvé inanimé, je ne vous connais pas et vous me dites des choses qui n'ont aucun sens. Qui êtes vous ? Vous semblez me connaitre mais… Faites vous parti de la famille de Jarjayes ? »
Cette fois ci , Oscar était furieuse.
« Mais bien sur que j'en fais partie ! C'est moi Oscar, franchement André, ce n'est pas comme ça que j'imaginais nos retrouvailles dans l'au delà ! Pourquoi me fais tu cela? » La colère du début se transforma en peine puis en pleurs.
André ne savait que répondre. On devait lui faire une mauvaise blague et l'acteur qui avait été engagé était très bon.
Soudain, Oscar fut prise de violentes toux. André se rua vers elle mais ne savait pas trop comment réagir. Enfin, la crise passée, elle regarda sa main couverte de sang.
« Mon dieu, monsieur, il vous faut voir un médecin tout de suite » S'affola André.
Oscar fixait avec terreur le sang sur sa main. Elle était essoufflée et avait du mal à respirer.
« Je ne devrais plus être malade… » dit t'elle « Je ne comprend pas, la maladie ne devrait plus être en moi »
« Qu'avez –vous Monsieur ? Ecoutez-vous devez cesser de me parler en énigme. Je vais vous amener au Château. »
Oscar qui se sentait faible. Elle commençait à douter. André lui parlait comme à un étranger, elle portait son uniforme des gardes françaises, alors que lui était vêtu de ses habits de valet. Il était jeune et en pleine santé. Elle se sentait fatiguée et à l'agonie.
« Alors, je ne suis pas au paradis, mais en enfer » dit t'elle avant de s'évanouir. André la rattrapa avant que celle-ci ne tombe sur le sol. Il toucha son front et sentit la fièvre.
« Il faut que je l'amène au plus vite au château… »
A suivre
note de l'auteur :Voila, c'est un tout petit chapitre d'intro. Je pense que le sujet a du être traité milles fois maisJ'espère que ce petit chapitre va vous donner en vie d'en savoir plus.
A bientôt.
