Auteur : Evils-roses.

Titre : Jeux d'enfants.

Résumé : Ciel Phantomhive posséde la plus grande entreprise de jouer, seulement pour accroitre son essort, il doit marchander avec une entreprise française en plein essort... Tout pourrait se passer à merveille si sa directrice n'était pas... Spéciale.

Genre : Tragédie.

Note : Je voulais depuis longtemps écrire une fanfic sur Kuroshitsuji. J'espère que ça vous plaira. Reviews ?

Prologue.

Le ciel au dessus de Versailles était d'un bleu lumineux, de fins nuages s'effilochaient dans le firmament et le soleil hivernal éclairait les parcs d'un rayon froid, faisant miroiter les eaux scintillantes des étangs. Les jardins étaient, malgré la saison, resplendissant de vie. On avait fait pousser, des jasmins et des chèvrefeuilles d'hiver, les Hamamélis avaient fleuris, et leurs fleurs jaunes éxhalaient une douce odeur. Auraura regarda par la fenêtre le spectacle des jardins et soupira, une montagne de papier s'était entassé sur son bureau durant son moment d'absence volontaire. La jeune fille remit en ordre son imposante chevelure flamboyante, replaçant pour énième fois son peigne dans ses cheveux roux.

« - Mademoiselle ? Demanda la voix douce de l'intendante. C'était une grande femme aux traits fins, presque angélique, ses cheveux noirs étaient remontés en chignon sévère mais ses yeux limpides semblaient fait de deux saphirs pures.

« - Marie. Tout s'écroule en finance, si je ne fais pas un investissement maintenant toutes mes actions vont s'écrouler...

L'intendante jeta un coup d'oeil par dessus l'épaule de sa maîtresse et parcouru les complexes lignes de comptes et les différents actes notariés. Puis, elle resta silencieuse un moment.

« - Peut-être devriez vous, vous décider enfin, à signer des contrats avec la compagnie Phantom. Proposa-t-elle doucement.

La jeune fille se figea et ses doigts gantés de dentelles se crispèrent sur le livret de compte qu'elle tenait entre les mains.

« - Il en est hors de question ! Déclara-t-elle d'un ton catégorique. Je sais bien que dans l'absolu ça m'éviterais de perdre au moins 5millions de francs de bénéfices mais... Traiter avec les anglais ?! C'est vraiment....

« - Abominable.

« - C'est le mot que je chercher.

« - Je ne comprends vraiment pas votre réticente, mademoiselle. Finit par dire Marie en remettant de l'ordre dans les livres éparpillés dans le bureau. Aurora soupira et reposa le pauvre livret de compte, dont la couverture de cuire avait souffert du mauvais traitement que lui avait fait subir la jeune femme. Elle joignit ses mains sous son menton et regarda son Intendante.

« - Le fait est, que je ne supporte pas les anglais, les Phantomhives ont toujours été les chiens de garde de la reine, et il se trouve que les français et les anglais, sont des ennemis héréditaires, et même si tu ne me crois pas, malgré la révolution ma famille a réussi à garder sa noblesse, ses titres et sa fortune.

« - Cela risque de ne plus être le cas si vous refuser de faire affaire avec les anglais.

La jeune fille soupira.

« - Bien je suppose que je n'ai pas le choix...

L'intendante sourit.

« - Dois-je annuler votre dîner chez les Haussman ?

« - Inutile, nous ne partirons pas avant deux jours.

« - Comme vous le désirez mademoiselle.

Château des Phantomehive, prés de Londre.

Le manoir était plongeait dans une semi obscurité. De lourds nuages gris bouchaient le ciel et tout semblait plus sombre et plus sale, alors que le jardin était parfait et que tout dans le manoir brillait. La vaisselle et la porcelaine avaient été soigneusement exposé dans les vitrines des buffets. L'argenterie venait d'être faite et on pouvait s'admirer dedans comme dans un miroir.

Derrière son bureau, assis confortablement dans son fauteuil de velours vert, Ciel Phantomehive lisait la lettre qu'il venait de recevoir. Quand il eut finit de consulter les dernières lignes parfaitement calligraphiée il la reposa. Puis il réfléchit un instant. Le silence autour de lui était parfait et limpide, il aimait ce genre de silence, pour une fois que ses domestiques ne faisaient rien de bruiyant. Aprés quelques instants de réflexion il fit tinter la clochette d'appel. Sebastian ne tarda pas à arriver, il franchit le seuil de la porte en silence et s'inclina devant son jeune maître avec un respect presque ironique.

« - Sebastian nous allons recevoir des invités. Déclara seulement Ciel en se replongeant dans ses activités.

« - Bien, sir, je veillerais à ce que tout ce passe pour le mieux.

A suivre...

Voilà, donc j'espère que le premier chapitre vous a plu.