Chapitre réécrit, car à la relecture je me suis rendu compte que ce n'était pas terrible entre temps j'ai eu le temps de grandir un peu dans le style d'écriture, mais malheureusement il y a certaines choses que je ne peux plus changer... Pour information le deuxième chapitre aussi est en cours de réécriture.
Je vous ai laissé la présentation du début, bonne lecture!
Hey ! Ça va ? Aujourd'hui en écoutant la radio, je suis tombée sur la chanson Criminal de Britney Spears. Et là j'ai eu une idée, pourquoi pas faire une fanfiction qui reprendrait à peu près l'histoire ?
C'est donc ce que j'ai fais =). Tout d'abord aucun personnage de bleach ne m'appartient, ils sont tous au grand et talentueux Tite KUBO. Par la suite je m'excuse en avance pour les nombreuses fautes d'orthographe qu'il risque d'y avoir, mais en dictée je n'ai jamais dépassée le 0.25/20 - -' donc bon il ne faut pas m'en vouloir XD. Sur ce, bonne lecture, et tous les commentaires sont les bien venu. La critique nous aide à nous améliorer. -)
Chapitre 1 : rencontre au clair de lune.
Dans une des maisons les plus grandes et luxueuses de Karakura, une grande fête bat son plein. Dans cette réception on y trouve une centaine de gens de noblesses, habillés de Gucci, Chanel, Dior, Yves Saint Laurent, et qui semblent fort s'amuser, ils étaient tous dans la salle de réception de la demeure, elle devait faire au moins soixante-dix mètres carrés à elle toute seule avec une hauteur sous plafond de deux mètres cinquante. Des tables étaient disposées un peu partout pour pouvoir déguster le festin qui était servi par les employés, seul au milieu de la salle il n'y avait pas de table pour que les invités puissent danser et profiter de leur soirée. Le sol était recouvert de bois précieux assez clair avec sur un des quatre murs une reproduction en géant de La nuit étoilée sur le Rhône du célèbre peintre Vincent van Gogh entièrement faite à la main par un jeune apprenti aux beaux-arts, les autres murs étaient ornés d'une peinture d'un blanc éclatant. Il n'y avait qu'un seul homme pour faire une soirée mondaine à laquelle on y buvait du champagne hors de prix et manger du caviar,cethomme n'est nul autre que le beau et talentueux Kuchiki Byakuya, le plus célèbre fabricant de katana au monde. Chacune de ces petites merveilles valait minimum un million d'euros. Il faut dire que chaque katana était fait sur commande avec des matériaux très rares comme des diamants ou des pierres précieuses et tous était fabriqué à la main bien évidemment. De loin on pouvait entendre les rires qui sonnent faux de ces personnes qui se prennent pour le centre de la Terre parce que chaque mois ils voient passer un chèque avec plus de six zéros. Cet argent ils se le faisaient de la pire manière qu'il soit, en acceptant des pots-de-vin, en écrasant des petites boîtes, ou alors avec des magouilles aussi grosse qu'un train. Mais malgré tout cela ils trouvaient encore le moyen de se mettre en avant avec des femmes qui pourraient être leur fille ou en annonçant le prix exorbitant qu'ils avaient dépensé pour leur nouveau club de golf à leurs « amis » bourgeois. Seul, une petite jeune femme brune avec des grands yeux bleus nuits semblait s'ennuyer à mourir. Elle portait une robe de style empire voilette foncée qui possède un dos nu vertigineux avec une paire d'escarpin noir. Elles passaient d'un groupe d'individus à un autre en faisant parfois un petit commentaire sur la bourse ou des choses comme ça. Elle avait beau être la petite sœur adoptive de Byakuya, elle ne se ferait jamais à ce genre de fête. Elle se sentait comme extérieure à ce monde. Il faut dire qu'avant son adoption elle était habituée à un mode de vie complètement inversé, démunit d'argent et de famille elle vivait dans la rue et subvenait à ses besoins en volant. C'est pour ça qu'elle avait tant de dégoût pour les personnes qui pétaient plus haut que leur cul. Heureusement son frère n'était pas comme eux, lui était comme le nougat, tellement dur à manger mais tellement bon. S'il l'avait adoptée c'est car sa défunte épouse était la sœur aînée de la brunette, et il avait promis à Hisana de prendre soin de sa petite sœur.
Tout cela se bousculer dans sa tête, pour se changer les idées,Rukia décida de sortir se promener dans le sentier qui menait à la sortie du manoir. Une fois dehors le vent vint caresser les joues légèrement rougies par le froid de cette dernière. Elle s'avança jusqu'à la limite du terrain et regarda au loin en s'imaginant cinq minutes la vie qu'elle aurait pu mener si elle était de l'autre côté de cette route. Même si elle aimait sa vie actuelle elle aurait préféréune vie plus simple, sans autant de convention. Elle profita de cetinstant sans bruit, seule pour souffler un peu, mais son moment de tranquillité fut vite gâché quand un homme d'une cinquantained'années, dans un costume gris avec sa cravate desserrée ainsi qu'un crâne dégarnit vient se poser à côté d'elle. Il ne fallut pas beaucoup de temps à Rukia pour se rendre compte que l'homme était complètement saoul, il avait du mal à rester en place et arrêter pas de hoqueter. L'homme se reprocha de plus en plus deRukia jusqu'à ne laisser que cinq centimètres entre eux puis lui dit avec son haleine de fétide :
-Alors, ma belle, hic, on prend, l'air frais ?
-Heu, oui mais je ne vais pas tarder à rentrer. Dit-elle en se reculant.
-T'inquiète pas chérie, hic, je ne vais pas, hic, te manger.
-Très drôle, mais je commence à avoir froid je vais rentrer maintenant.
En disant cette phrase elle se tourna pour pouvoir rentrer, mais une main rappeuse s'accrocha à son poignet délicat. L'homme lui avait attrapé son poignet avec une telle force qu'il lui brisa le bracelet qu'elle portait.
-Aller bébé, hic, fait pas ta, hic, chieuse, hic, viens faire un petit câlin à tonton.
-Lâchez-moi tout de suite !
On pouvait entendre dans sa voix la peur que cet homme nourrissait en elle. Elle tenta de se délivrer mais en vain, il avait beaucoup plus de force qu'elle, même en étant ivre. Le quinquagénaire la vit basculer dans ses bras en lui mettant la main devant la bouche et lui dit avec un sourire carnivore :
-On joue moins, hic, maintenant, hic aller vient par là.
Rukia essayais de se défaire de son emprise ou même de crier, mais elle n'y arrivée pas. Des larmes perlées sur sa peau si blanche. Elle était complètement prise au piège.
Par miracle les phares d'une voiture noire vinrent les éclairer, surprit le vieux mit une de ses mains devant ses yeux par réflexe pour ne pas être ébloui, sans pour autant lâcher Rukia. Un jeune homme roux sortit et se dirigea vivement vers eux d'un pas décidé.
TO BE CONTINUED …
Mais que va-t-il se passer le roux serait-t-il l'amant du poivrot ? Va-t-il demander le divorce pour avoir vu son amoureux avec une fille ? Playmobil en avant les histoires ^^
