Voilà la première histoire que j'ose poster et la seule que je pense avoir finie, dites moi se que vous en pensez s'il vous plait.

La fin d'une vie.

J'ai toujours lu que, pour les suicidaires, sentir la mort arriver était un moment fantastique, où l'on se sentait enfin libre et léger. Alors pourquoi moi qui le suis (suicidaire), alors que je sens la mort à mes côtés, je me sens comme emprisonnée, attachée par des chaînes au sol et plus lourde que jamais ? J'ai toujours cru que la mort m'apporterait la sérénité, un bien être intense et le calme absolu, mais au lieu de ça, c'est tout à fait le contraire.

J'ai eu enfin le courage de passer à l'acte et voilà que je le regrette déjà, alors que je sens la mort m'envelopper. Pourtant rien ne me retient ici, je suis laide, bonne à rien, nulle en tout. On m'oubliera très vite vu que je fais partie des meubles, je fais souffrir tous ceux qui m'entourent et les ennuis plus qu'autre chose, donc qu'est-ce qui peux bien me retenir et me faire peur ainsi ?

Mon corps est frigorifier la seule chose qui me paraît avoir de la chaleur est ma peluche, qui m'a été offerte par ma grand-mère il y a longtemps, que je ne quitte que quand il faut bien, donc que quand je sors de mon "chez moi". je sens le vent devenir de plus en plus froid et refroidir le plus profond de mon âme et la pluie n'arrange rien à cela.

Mais à travers de tout ça, j'entends plus que je ne sens mon gsm vibrer, hihihi (rire jaune) il y en a au moins un qui a résisté à la chute.

Mes yeux, que j'avais réussis à garder ouverts jusqu'à présent, se ferment doucement, me faisant tomber dans les ténèbres et laissent échapper une unique larme.

je sens la mort m'emporter loin de ce monde que j'ais tant haï et de tous ceux que j'aime. Et c'est au tout dernier moment, alors que j'entends les cris persans de ma mère, que tout mes souvenirs de bonheur refont surface.

Mais qu'elle idiote j'ai été de mettre fin à mes jours.


Je ne sais pas si je dois faire une suite ou pas.