Titre : A Cat Story !

Auteur : Kawai Mokusai

Pairing : HP/DM

Rating : T, la vie de Harry Potter n'ayant jamais été douce, dans le canon comme dans les fictions. Ma fic ne fait pas exception même s'il ne faut pas s'attendre à quoi que ce soit de très graphique.

Disclaimer : Quand bien même je serais le clone de JK Rolllings, je n'aurais en ma possession ni son œuvre si son compte en banque … Pas de bol !

Résumé : Draco Malfoy aime deux choses : son chat et avoir la paix. Mais à choisir, il préfère son chat. C'est tout de même bien arrangeant pour le félin car tout le monde sait bien que les chats ne prennent jamais en considération la tranquillité de leurs maîtres lorsqu'ils échafaudent leurs plans diaboliques...

Note de l'auteur : Voilà ma version revue et corrigée du chapitre 1 de A cat story. J'espère que cette nouvelle version vous plaira. N'hésitez pas à me laisser vos impressions par review. Cela me fera plaisir et ne pourra que m'encourager dans mon effort pour reprendre et finir mes fanfictions (cf mon profil). Un énorme MERCI à ma fabuleuse béta MEZ sans qui rien n'aurait été possible (et qui m'a foutue un bon coup de pied là où il fallait pour que je m'y remette )

Bonne lecture !

A cat story !

Première partie

Le salon était clair et chaleureux, les teintes chaudes et l'atmosphère même empestait le griffondor. Draco était assis sur un sofa de bonne facture mais dont la couleur rouge lui donnait la nausée. Assit en face de lui se trouvait un chat, SON chat. Celui-ci le fixait froidement dans les yeux sans une once de remords. La sale bête ! Il était fatigué et énervé. S'il avait su que cette journée serait aussi catastrophique, il serait resté bien au chaud sous sa couette à profiter des joies de la non productivité. Maudits soient les chats et les Potter.

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La journée avait débuté par un réveil difficile qui n'avait été motivé que par un seul et unique fait : un PDG s'abstenant de pointer aux réunions du conseil d'administration perd toute crédibilité. Ceux qui pensaient que la vie d'homme d'affaires était une sinécure, avaient tout faux ! Il y avait ces maudites assemblées générales ! Le fait qu'il soit un Malfoy et extrêmement riche n'y changeait rien, les réunions le rattrapaient toujours. Il avait donc passé la matinée à regarder des pains enfarinés se plier en quatre devant lui. Peur de se faire licencier ? Ambition et augmentation en vue ?… Allez savoir ? Il n'en avait cure, du moment qu'ils faisaient tourner la boite pour lui. Oui il n'avait pas besoin de se retrousser les manches pour gagner sa vie et il en était fier ! Les autres n'avaient pas cette chance ? Et ça le concernait parce que… ? Il avait assez donné de sa personne pour sauvegarder son héritage des griffes de Voldemort, il n'allait pas se priver d'en profiter.

Après être resté héroïquement éveillé jusqu'à la fin et avoir planifié la prochaine réunion du conseil, il rentra chez lui faire une bonne sieste. Eh bien oui, c'était fatigant les réunions de 2h ! Mais une fois arrivé, son programme avait changé. Un homme se trouvait lové sur son canapé, nu, et selon le propriétaire des lieux, complètement ridicule. Il s'agissait du dernier homme en date que sa mère lui avait présenté dans l'espoir qu'il se range et il va sans dire que cela avait été, une fois de plus, un échec des plus pathétiques. Néanmoins le jeune homme semblait ne pas avoir compris ce petit fait insignifiant et s'accrochait comme une moule à son rocher. Selon lui, le fait qu'il ne s'entende pas avec le chat de son 'amouuuur' était le seul obstacle à leur 'happily ever after'.

Draco, lui, n'avait jamais pu supporter l'espèce de copie de Gilderoy Lockart qu'était ce poufsouffle et il se demandait si on pardonnerait à un ancien héros de guerre un petit Avada Kedavra antidaté. Le fait de le trouver sur son canapé nu comme un ver n'avait évidement pas eu l'effet escompté par le bellâtre. L'avoir accueilli par un « Chéri ! Je me suis débarrassé de ton chat ! Plus rien ne se mettra plus jamais entre nous, mon amouuuur ! » tonitruant n'avait sans doutes pas été l'entrée en matière la plus intelligente ...

Draco tenait énormément à son chat. C'était un angora magique, tigré beige et gris extrêmement rare que lui avait offert par son parrain et père de substitution Severus Snape. C'était un chat d'une intelligence certaine et il était tout pour le jeune homme dont il meublait la solitude. Aussi le serpentard était il entré dans une rage folle. Quand il finit par comprendre que l'abruti ne l'avait pas tué mais simplement déposé à la SPAM (société protectrice des animaux magiques), il avait eu pour la première fois de sa vie une pensée de reconnaissance pour Hermione Granger qui en était la fondatrice.

Il avait transplané immédiatement à la SPAM et avait couru de l'accueil au pavillon des félins sans un regard pour le personnel horrifié. Arrivé dans ledit pavillon il avait raconté son histoire rocambolesque (lui-même voulait bien l'admettre tant qu'on lui rendait son chat) à une employée qui bien que désolée pour lui, n'avait pu que lui donner le nom du nouveau propriétaire de la boule de poil. Celui-ci avait été adopté presque aussi tôt donc la requête de Draco allait être placée au bon vouloir de la « famille d'adoption » car désormais le tigre miniature leur appartenait légalement. Cela n'aurait posé aucun problème à l'actuel chef de famille des Malfoy si ladite famille d'adoption n'avait été celle d' Harry Potter…

En effet, bien que Draco ait été un membre à part entière de l'Ordre du Phénix durant la guerre, l'antipathie que les deux jeunes hommes se vouaient n'avait pas changée : ils se respectaient, tout au plus. Ils ne s'étaient pas revus depuis la fin de la guerre, à l'enterrement de Ginny Weasley… non Ginny Potter … le survivant l'avait épousée après tout. Draco n'avait aucune idée de ce que son ancien rival avait bien pu devenir et il aurait largement préféré ne pas avoir à le découvrir. D'autant qu'il n'y avait jamais eu que lui pour ne pas être impressionné par le nom des Malfoy et s'il voulait récupérer son chat il allait devoir faire preuve de diplomatie …

Une fois devant la porte du manoir Potter, il avait sonné et s'était retrouvé comme un idiot à débiter son histoire à son ex-rival qui étonnamment n'avait pas ri. Au contraire, il avait semblé partagé entre deux sentiments contradictoires que Draco ne s'expliquait pas. Comment Potter pourrait-il être à la fois soulagé et contrarié par le fait qu'un Malfoy veuille lui prendre son nouveau chat ? Mais l'attention de Draco fut attirée par l'intervention d'une tierce personne.

"Papa tu ne vas pas le laisser prendre mon chat ! Tu avais promis ! Papa, tu avais dit que je pourrais garder le cadeau de Tatie Hermione … "

Potter avait une petite fille ? Draco, plus que surpris, entreprit un rapide calcul. La gosse semblait avoir 6 ou 7 ans, la guerre était finie depuis 6 ans, ce devait être l'enfant de Ginny … Elle n'avait donc pas laissé le survivant seul après tout. Enfin ce n'était pas son problème ! Par contre, le fait que Potter n'ait visiblement cédé qu'à contrecœur pour le chat jouait plutôt en sa faveur ! Tatie Hermione, hein ? Un cadeau empoisonné sûrement... Le jeune père allait sans doute sauter sur l'occasion pour s'en débarrasser. Il avait souri à cette idée et l'avait regretté aussitôt. Malheureusement pour ses affaires, Potter les avait grillés lui et son sourire victorieux de serpentard malicieux…

" Malfoy, je compatis, je t'assure, mais tu vois, ce chat est le cadeau d'anniversaire de ma fille de la part de sa marraine. Je ne saurais en aucun cas la départir d'une chose aussi précieuse sans son accord. Donc si tu veux récupérer ton chat, tu vas devoir t'entendre avec elle. Sinon, je suis désolé mais tu ne l'auras pas. On fera comme elle voudra."

La voix de Potter avait eu quelque chose de jouissif qui ne plut définitivement pas à Draco. Mais il ne s'en inquiéta pas davantage. Il avait raison, le gryffondor voulait se débarrasser du chat, sinon il ne l'aurait jamais laissé régler ça avec la gamine. Il allait récupérer son chat en un rien de temps, il suffirait d'employer les bonnes vieilles méthodes : charmer et acheter le bambin ! De plus, si la rouquine tenait autre chose de sa mère que ses mèches rousses, l'affaire serait vite réglée. Les Weasley étaient si facilement manipulables ! Il s'accroupit pour se mettre au niveau de la petite.

"Salut ma princesse ! Moi c'est Draco et comm…"

"Mon nom à moi c'est May et je suis pas ta princesse ! "

Finalement peut-être que Potter avait tout de même transmis quelques uns de ses gènes à sa fille. Le dialogue commençait bien ! Mais Draco ne se départirai pas de son calme ! Le charme n'avait pas marché? Il allait juste devoir lui faire une proposition qu'elle ne pourrait pas refuser ! Tant pis pour Potter si le résultat ne lui plaisait pas, il n'avait qu'à lui rendre son chat tout de suite.

"D'accord... May … Tu sais que Xeres n'est pas très intéressant comme chat ? Je le connais bien, il est paresseux, pas câlin pour deux sous et en plus il n'a pas de pouvoirs spéciaux. Alors voilà ce que je te propose : je t'offre l'animal de tes rêves et en échange, je récupère Xeres. Qu'en penses-tu ? "

"Basile ! "

"Tu veux un Basile ? C'est quoi ? Un animal moldu ? " Il tenta de se tourner vers un Potter hilare pour en avoir la confirmation quand la petite le reprit tout de suite.

"Basile, il s'appelle Basile ! Pas Xeres ! Et c'est mon chat ! J'en veux pas d'autre, c'est lui que j'ai choisi ! Et tu m'achèteras pas !"

La petite May serra le chat dans ses bras et son visage prit l'expression la plus déterminée que Draco ait jamais vue ! Bon le mini pouce avait vu clair dans son jeu ! La honte... Mais il était un Malfoy que diable, il n'avait pas dit son dernier mot ! Il allait la prendre par les sentiments !

"Ecoute May, ce chat est mon seul ami. Je l'aime énormément et je serais vraiment très malheureux si je le perdais. Je sais que tu es une grande fille qui ne veut pas faire du mal aux autres … et puis pense à Xer…à Basile ! Il va se sentir perdu sans moi et moi sans lui, je serai inconsolable. Tu ne veux pas ça, dit ? " Finit un Draco presque en pleurs avec des petits trémolos dans la voix.

"Et toi ? Tu as pensé à moi ? Je vais être super triste si tu me reprends Basile ! En plus tu l'as abandonné !"

"Comment ça j'ai abandonné mon chat ?" s'écria-t-il outré.

"Bah oui ! Sinon pourquoi il était à la SPAM ? Hein ?"

Bon, c'était clair, il détestait cette gamine ! Et son père avec ! Il avait compris à cet instant qu'il n'arriverait à rien avec la petite fille. Il s'était fait roulé, Potter ne l'avait laissé se débrouiller avec sa gamine que pour le voir galérer et s'humilier, sachant pertinemment qu'il n'en tirerait rien. Mais cela ne se passerait pas comme ça ! Il allait se venger. Il se mis à pleurer silencieusement et fit mine de dire adieu à son chat. La petite May qui culpabilisait, l'arrêta.

"Si tu es vraiment si triste que ça … Tu peux venir le voir quand tu te sens vraiment tout seul …"

"Et je pourrai rester jusqu'à ce que je me sente mieux ?" Demanda Draco avant que Potter n'ait le temps d'intervenir.

"Oui tu peux …"

Draco se releva et regarda d'un air goguenard le propriétaire des lieux.

"Bon alors je vais m'installer tout de suite, n'est-ce pas Potter ?"

"Ne crois pas t'en tirer comme ça Malfoy ! Tu ne resteras pas ici une minute de plus !"

"Mais tu as bien dit tout à l'heure que l'on ferait comme ta fille voulait, non ? Et bien elle m'a invité et je me sens d'humeur à accepter cette invitation. Je ne partirai pas d'ici sans mon chat Potter !"

" T'es qu'un méchant ! " S'écria May indignée et fort fâchée de s'être faite avoir.

Ils savaient tous les deux que le serpentard avait gagné la partie et Draco s'installa chez eux dans la demie heure. Mais aucun des protagonistes n'était réellement satisfait par le tour qu'avaient pris les évènements. Draco voulait rendre la monnaie de sa pièce à Potter, mais passer les jours qui allaient suivre chez le gryffondor allait être une vraie torture. Au moins le manoir était grand. Et il allait récupérer son chat ! Il les aurait à l'usure. Il décida d'ailleurs de commencer un nouveau jeu le soir-même : dégoûter May Potter de son Basile !

Tout d'abord, il essayerait d'accaparer l'attention de Xeres, afin de bien montrer à tous à qui ce chat appartenait. Ensuite il tournerait en dérision la nourriture que la petite fille lui donnerait et finalement tenterait de l'avoir avec lui pour la nuit. Malheureusement pour le dernier des Malfoy, ce maudit chat fit tout pour réduire son merveilleux plan de bataille en charpie. Tout d'abord, Xeres ne lui prêta aucune attention de toute la soirée, préférant jouer avec la peste. Puis quand Draco insinua qu'il préférait le saumon fumé au yaourt, le chat décida de finir toute la substance crémeuse et snoba le poisson. Et enfin, lorsqu'il l'appela en même temps que la peste pour aller dormir, son chat le fixa droit dans les yeux … avant de prendre la direction opposée.

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Draco Malfoy se retrouvait donc assis sur le sofa des Potter, droit comme la justice, face à son chat… Si les regards pouvaient tuer, le mammifère miaulant aurait déjà péri une bonne centaine de fois dans d'atroces souffrances.

"Tu m'en veux parce que je t'ai laissé seul aux prises avec l'autre débile ? Si ça peut te réconforter, je l'ai laissé ligoté et nu en plein Londres moldu pour ce qu'il t'a fait …"

Xeres se redressa et vint se frotter aux jambes de son maître avant de sauter sur ses genoux et de s'y installer.

"Tu l'aimes tant que ça la petite Potter ?"

Xeres le regarda de manière fourbe et conspiratrice avant de se mettre à ronronner à plein régime, comme si de rien n'était. Draco savait pertinemment que l'une des capacités magiques de son chat était d'apporter du réconfort à ceux qui en avaient besoin. Ce n'était pas pour rien que lui-même l'aimait tellement. On pouvait très bien être un Malfoy plein aux as et manquer d'affection, l'argent n'avait jamais fait le bonheur à ce qu'il sache. Malheureusement, il savait aussi que tant que son chat n'avait pas achevé la « mission » qu'il s'était assignée avec la petite May, il serait bloqué ici.

"Je n'ai plus qu'à attendre alors … c'est vrai qu'être orpheline de mère, ça ne doit pas être facile … Mais fais vite s'il te plait. Je ne peux pas la sentir cette peste et puis … moi aussi j'ai besoin de toi et je ne pourrais pas rester ici très longtemps."

Comme il avait fermé les yeux en disant ces mots, il ne vit pas son chat s'installer d'un air possessif sur les genoux de son humain, l'œil bien trop brillant pour être honnête. C'était peut-être mieux comme ça, la tâche du chat n'en serait que plus facile…

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Une semaine s'était écoulée depuis ce jour fatidique et notre joyeuse compagnie ne comptait toujours pas de mort. Une sorte de routine s'était établie dans la maisonnée. Harry ignorait Draco, Draco ignorait Harry et seuls les repas faisaient exception. Pourquoi mangeaient-ils ensemble ? Mais parce que Potter père avait décrété qu'ils se devaient de donner le bon exemple à May en adultes responsables. Evidemment, Draco était persuadé que le Gryffondor l'avait fait exprès pour lui pourrir encore un peu plus la vie. Quand Harry Potter avait il été responsable dans sa vie ? Jamais ! Enfin sauf peut être quand il avait débarrassé le monde de Voldemort … Mais là n'était pas la question !

D'ailleurs, ce n'était pas la présence de Potter qui dérangeait Draco. Le supporter, il avait l'habitude ! Sa gamine, c'était une autre paire de manches ! Il n'avait jamais eu l'instinct paternel, alors supporter une telle chipie, c'était un véritable enfer ! Surtout quand on n'était pas disposé à dépenser les trésors de patience qu'on n'avait jamais possédé. Et comme en plus Potter était obligé d'intervenir, pour Draco s'était le coup de grâce. Parce que oui, Draco Malfoy n'arrivait pas à prendre le dessus sur une gosse de 6 ans et trois quart s'il vous plait !

Mais il ne pouvait s'en prendre qu'à lui-même, il avait fait une erreur de jugement monumentale et l'avait sous estimée. D' après Potter, May ne tenait pas de sa mère, comme l'avait cru Draco, mais de sa grand-mère paternelle. Par un coup du sort, ou un saut de génération dans l'hérédité de la famille, la petite était un vrai sosie de Lily Evans Potter. Elle avait son intelligence, son tempérament, son caractère, sa chevelure auburn (attention, traiter May de poil de carotte, c'était déterrer la hache de guerre !) et donc sa susceptibilité. De plus son père lui avait transmit l'amour des niches, qu'il tenait d'après lui de son propre père, James Potter maraudeur extraordinaire… Pour Draco tout cela était un véritable calvaire.

Il faut dire qu'il avait mis les pieds dans le plat à chaque fois que cela avait été possible et de ce fait la petite fille, froissée, se vengeait de tout son petit cœur. Mais comment répondre, en conservant sa dignité, à une ritournelle pareille ?

"C'est la mère Malfoy qui a perdu son chat,

Qui crie sur l'pas des portes à qui le lui rendra.

C'est Mademoiselle Potter qui lui a répondu,

Désolée madame votre mari la vendu !"

Impossible ! Donc ils se chamaillaient sans cesse, sous le regard mi-amusé mi-énervé d'Harry, qui avait refusé d'interdire à sa fille de chanter sa petite chanson. Par contre il était las de les voir se crêper le chignon au sujet du chat. Tous les soirs c'était la même chose, ils passaient tout le temps du repas à se disputer pour savoir qui Xéres/Basile préférait et lorsque la petite montait dans sa chambre, c'était la crise pour savoir avec qui le chat allait partir.

Ce train-train quotidien fut brisé un soir par le félin lui-même. Ne supportant plus d'être ballotté entre ses deux propriétaires, il demanda le droit d'asile au maître de maison en lui sautant sur les épaules et en s'y installant. Harry n'avait jamais autant ri qu'en voyant leurs têtes à cet instant précis ! Ils étaient partis chacun de leur côté, boudant tous les deux. Parfois la vie était vraiment trop injuste ! Enfin pour certains ...

Fin de la première partie

Note de l'auteur : Une petite review pour me dire ce que vous en pensez ?