Titre : Petit con pour toujours et à jamais
Auteur :
Alicya Potter-Black
Fandom :
The Tudors
Pairing :
Henri VIII/Charles Brandon
Rating :
M
Disclaimer : Les personnages appartiennent à eux-mêmes, puisqu'ils ont vraiment existés. L'histoire de Charles avec la fille de Buckingham appartient à l'Histoire ou bien à Showtime. The Tudors est une série Showtime.
Spoiler :
Juste le premier épisode de la série
Note : Oulà, ça fait bien longtemps que je n'ai pas posté de fics sur , il faut dire que je n'écris presque plus que du RPS et comme c'est interdit ici ... j'essaye de renouer avec HP mais c'est dur et je n'ai pas d'idée (et mes fics ne me plaisent plus vraiment)

Fin, aller, j'vous laisse lire.

Petit con !

Il pensait peut-être que ça n'allait pas remonter jusqu'à moi ? Aller fricoter avec la fille du duc de Buckingham … Heureusement j'ai réussis à lui sauver sa peau. Le bannir ? Et puis quoi encore ? Une fois l'audience avec le duc terminée je me dirige vers les quartiers du duc de Sulfok. Mon très cher Thomas More me suit en essayant de me dissuader, d'aller parler à Charles plus tard lorsque je serai calmé. Il ne peut rien arriver de bon lorsque l'on est énervé me dit-il. Sait-il seulement ce que je vais faire ? Redoute-il un geste malencontreux de ma part ? Non ! Henri VIII n'a pas de sang sur les mains, du moins pas directement en temps de paix. Je n'exécute pas, je fais exécuter et je n'ai pas ce projet pour Brandon. Arrivé devant les appartement de Charles je congédie More. Puritain comme il est mieux vaut qu'il ne sache pas ce qu'il va se dérouler. Je n'ai pas besoin de frapper à la porte, le roi ne frappe pas. Et puis les gardes et servant sont là pour le faire. Ils s'inclinent devant moi alors que je passe, n'oubliant pas un « votre majesté ».

Les quartiers de mon ami sont plus petits que les miens mais pourtant je les préfère. Ils sont plus intimistes que ceux réservés à la famille régnante, mais après tout, cela est normal. Entendant du bruit Charles sort de son cabinet. Il parait surprit de me voir mais pourtant il aurait dû s'y attendre. Il me demande si je viens en tant qu'ami ou en tant que roi. Oui, c'est vraiment qu'un petit con. Je lui réponds que je suis les deux et commence à le sermonner. Comment a-t-il pu coucher avec Miss Stafford ? Non, en fait, comment a-t-il pu me faire cela ? Oui, je suis égoïste, oui, il m'appartient. Non, il ne peut pas coucher avec qui bon lui semble comme je le fais. Il s'excuse, ce n'était pas de sa faute, il n'est qu'un homme après tout. Et puis la demoiselle lui a fait du charme, il n'avait fait que succomber. Tout en disant cela il se rapproche de moi et m'ôte mes hauts. Et comme un imbécile je me laisse faire. Non, pas comme un imbécile, j'en serai un de refuser ses tendresses. Nos bouches se retrouvent.

Bientôt nous sommes allongés sur son lit, moi au dessus de lui. Comme je le fais avec mes nombreuses maîtresses je passe ma langue sur ses jambes. Je souris contre sa peau alors que des gémissements s'échappent de ses lèvres. Je remonte doucement vers la peau tendre de son cou. Je la lèche en prenant garde de ne pas laisser de traces suspectes. J'ai beau être le roi ça ne me protégera pas contre tous les bigots qui m'entourent. Après l'avoir préparé je le pénètre. Charles est bien plus entêtant que tous les parfums que j'ai respirés. Nos gémissements font rapidement place à des cris. Mes dents crissent sur sa peau. Ne pas le marquer, ne pas le marquer. Le sentant près de son orgasme je lui ordonne de se retenir, on ne jouit pas avant le roi. Bientôt je suis entraîné vers le septième ciel et Charles m'imite en se déversant sur ses draps.

Je me retire de mon amant et sors de son lit. Je ne peux rester ici et puis j'ai d'autres tâches à accomplir. Avant de le quitter je lui répète qu'il m'appartient, pour toujours et à jamais.