(/: Voici donc ma première fic à vie. Pas tappey! Je ne suis pas celle qui à inventé Hetalia, ni ces personnages, ni l'univers Gakuen. Enjoy!
Berwald: Suède
Mathias: Danemark :/)
KAPITEL 1.
-C'que tu peux être con!
Voilà des paroles qui pourraient très bien s'appliquer à la personne même qui les a dites : un danois se nommant Mathias Andersen. Ce blond était en fait bien plus con que l'autre blond, suédois cette fois-ci, binoclard répondant au nom de Berwald. Ce dernier avait de ces airs sérieux et difficile à approcher, mais l'autre était tellement tête en l'air qu'il ne remarquait jamais rien, et l'avait abordé sans y mettre de deuxième pensée.
-C'toi qu'est con!
-Eh bas moi au moins j'ai pas fait d'erreur là!
-Moi 'moins j'passe tout m'cours!
Et ainsi ils continuèrent de se lancer des injures l'un l'autre, comme à l'habitude. Ça n'était pas une nouvelle scène à laquelle assistaient leurs camarades de classe, relativement habitué à ce que les deux s'engueules. Aux yeux de certains c'était des ennemis jurés, pour d'autres des meilleurs amis qui s'entendaient tellement bien qu'ils ne pouvaient pas cesser de s'obstiner surtout.
-Tu va voir Berwi, j'vais te planter encore une fois en course! Mais de 200m devant toi cette fois!
Oui, vous pouvez le dire, il se cherche des noises et se mérite tous les coups qu'il s'est déjà pris, ainsi que ceux à venir! Le suédois se contenta de grommeler en remontant ses lunettes, se plaçant à la ligne de départ. Mathias se plaça à son tour, trop décontracté aux goûts du binoclard, comme d'habitude. Le Danois était certes plus doué à la course, sinon il ne serait pas aussi insouciant en ce moment.
Le départ fut donné et les garçons de la classe s'élancèrent. Tout le monde savait très bien qu'Andersen se classerait premier, étant suivi d'un Allemand, puis ce serait Berwald. C'était toujours comme ça de toutes façons. Puis l'inévitable se produisit, Mathias, l'imbécile, à quelques mètres de la ligne d'arriver regarda derrière lui avec un grand sourire pour voir Berwald mettre tout pleins d'effort dans sa course et, oui, vous avez devinés, il se planta , et magistralement en plus! Vous avez raison, je suis tout à fait d'accord avec vous, il a ce qu'il mérite~
Il faisait pitié à voir, au sol comme ça. Le prof par contre, n'eut aucun remords lorsqu'il soupira et ordonna au Suédois de le trainer à l'infirmerie. Pourquoi lui? Parce que c'est la vie! Et vers l'infirmerie ils partirent. Aah Mathias, imbécile va.
Berwald tremblait et n'osait pas regarder son rival étendu sur le lit, une main couvrant sa bouche. Ne pas rire lui demandait beaucoup d'efforts. Il nous faut avouer que le spectacle qu'avait offert le danois dans sa magistrale tombée avait été bien plus que divertissante : elle fut d'une satisfaction sans égale, un régale des plus merveilleux aux yeux attentifs du suédois qui avait observé et enregistré toute la démarche de la chute exécutée sans aucune faute. Puisse Odin permettre plus de douceur de la sorte dans la vie de Berwald. Enfin, revenons à nos moutons, soit, notre Danois qui revenait peu à peu à lui.
-'tain...
Quels paroles notant un vocabulaire recherché de Mathias.
-'matin c'nard.
Blessé ou pas, un imbécile reste un imbécile et donc il n'aurait pas droit à la sympathie du binoclard, ça, jamais! Il le toisa un moment alors que Mathias geignait à la vue de ses blessures.
-T'pris 'n belle d'barque
Car il devait absolument lui préciser 8'D. Au même moment ou presque, on ouvrit brusquement la porte de l'infirmerie, laissant ainsi apparaitre un très grand homme et un blondinet avec une mèche rebelle de la gravité, du sang partout au visage accompagné d'une infirmière plus que furax derrière eux. Elle avait été appelée d'urgence pour venir les séparer et les ramener, car ils s'étaient battus. La dame administrant les soins étaient une sorte de mère pour ces délinquants qui se battaient toujours. Oui, incluant le danois et le suédois et l'américain et le russe, m'enfin, surtout eux. Elle demanda à Berwald de s'occuper des blessures de son rival alors qu'elle s'occuperait du massacre que s'étaient imposés chacun des deux autres jeunes hommes.
Non-pas sans un grognement désapprobateur, le plus grand blond rapporta les produits et instruments pour soigner Mathias qui lui, se retenait de rire de la tronche de son nouvel infirmier personnel.
-Te manque juste l'uniforme! Oh et un sourire en disant "Comment puis-je vous aider" ? Kehehe~
-T'gueul ou j't'explose l'crâne c'nard!
Berwald s'assit près de la tête à claques et se pencha pour observer ses jambes amoché. Les plaies n'était pas si horrible, sauf une qui était très large et ensanglanté. Ce n'était pas une hémorragie, mais la peau était retirée. L'infirmière avait apeine eu Le temps de nettoyer le tout avec de l'eau avant de devoir sortir et donc Berwald n'a qu'à désinfecter et penser.
Air toujours bête, Berwald se mit à la tâche et appliquât le peroxyde imbibé dans un coton sur les plus petites plaies. Mathias se crispa aussitôt et cela ne mit aucun mal à prendre un sourire en coin a Berwald. C'était douloureux? Tant mieux! Le blond d'habitude stoïque prit un malin plaisir à faire rouler le coton sur les petites plaies et finalement, s'attaqua à la plus grosse. Là, notre danois ne put se retenir de se laisser un couinement. Il se couvrit la bouche d'une main pour se retenir et mordit son index fortement. Berwald le laissa et prit une autre boule de coton et le trempa complètement dans le peroxyde, le plantant presque dans la plaies de son éternel rival. Ce dernier en eu les jurons au fond de la gorge, mais ne put qu'émettre un autre petit crie et eu les larmes aux yeux. Le suédois ne lâcha pas ses expressions faciales des yeux, forçant un peu plus sur son nouvel objet de torture.
-A-a-arrête P'tain Ber' ça fait maaal!
Cela fut accompagné par une inspiration coupée à plusieurs fois de la part du Danois et le grand blond lâcha tout objet. Il se leva brusquement et donna un grand coup de pied sur sa chaise avant de sortir, plus frustré que jamais. Mathias n'y compris rien, l'infirmière non plus, mais Berwald était partie, comme ça, sans rien dire pouvant expliquer la raison...
