Voilà la correction complète de Sorts d'amnésies (il peut subsister quelques fautes, j'espère qu'il n'en reste pas trop !). C'est la version bashing de la fic «L'initiation». Dans cette version, les parents d'Harry sont décédés la nuit du 31 Octobre 1981.
Je n'avais jamais pensé faire autant de chapitres en commençant cette fic, mais je suis heureuse qu'elle m'ait autant inspiré. J'espère que vous aimerez autant la lire que j'ai eue de plaisir à l'écrire !
Merci beaucoup à vous ! Et bonne lecture !
PS : Correction faite par RockRock8888 pour une très grande partie de la fic ! Merci à elle !
Chapitre 1 : Trahison
Je sortais du bureau de Dumbledore complètement sonné. Il venait de me dire qu'il voulait que j'initie Harry Potter. Ce crétin d'avorton de Potter ! Non mais quelle idée ? Quand il m'avait dit savoir que j'étais bisexuel, j'en étais tombé des nues. C'est exact mais c'est tout de même Potter, bordel ! Je ne supportais pas son père, rien que de le voir m'exécrait, le fils c'est tout comme… Mais je n'avais pas le choix. Je devais initier ce prétentieux !
D'où lui sortait cette idée d'ailleurs ? L'initiation ne se fait plus depuis, quoi… Mille ans ? À quelques années près bien sûr ! Un rituel d'accroissement de pouvoir par le sexe, non mais à se demander comment ils avaient pu inventer ça ! À partir du jour de ses 17 ans, j'allais devoir baiser ce morveux pendant une semaine avec au moins un rapport par jour ! C'est vrai que le gamin n'est pas mal foutu. Mais tout de même ! C'est vrai aussi que j'allais pouvoir me venger de Potter Senior, bien que mort depuis longtemps. Ce n'était pas à négliger.
Je me voyais en train de prendre Potter qui crierait comme une pucelle, oh, oui, ça serait bon… Peut-être, qu'il criera de douleur, la douleur que je lui provoquerai, ça me permettra de me venger de son père… Je m'arrêtai net à cette idée. Qu'est-ce qu'il me prend ? Jamais je n'aurais pensé avoir de telles idées. Ça avait beau être Harry Potter, le fils de mon ennemi d'enfance, il n'avait pas à payer ainsi les forfaits de son père. Soudainement, je me dégoûte, un haut-le-cœur me vint à l'image que je m'étais faite. Ce n'était pas une initiation mais carrément un viol, et l'idée m'avait rendu… Excité ? Je débloque. Je ne sais pas ce qui ne va pas, mais je débloque. Je hais Potter fils, mais jamais je ne ferais cela à qui que ce soit !
Merlin qu'est-ce qui me prend ! Je sais que quelque chose ne va pas, mais je ne comprends pas quoi. Je m'enferme dans mes appartements et prends un verre de Whisky-Pur-Feu. Demain, ça ira mieux, quoi que… C'est dès demain que je vais devoir commencer l'initiation. Oui, demain nous étions déjà le 31 juillet et Harry Potter aurait 17 ans. Albus m'avait dit que l'acte sexuel suffirait à enclencher l'initiation, j'ai l'impression que ce n'était pas totalement vrai. Ce vieux fou me cachait certainement encore quelque chose. La sensation de me faire manipuler une fois de plus ne me lâche pas. Je chercherai dans mes livres ce soir, mais avoir été prévenu si peu de temps à l'avance n'aide pas. Je ne sais même pas par où commencer ! Pourquoi ai-je accepté déjà ? À oui, pour que le si précieux fils de Lily ait plus de pouvoir, mais pourquoi moi et pas un autre ? Je ne comprends pas vraiment et ne cherche pas plus longtemps la réponse.
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C'est avec une bouffée de haine que je pars vers la salle sur demande. Je dois y passer une semaine complète avec cet infect gamin Potter ! Ce vieux fou de Dumbledore vient de m'y envoyer le sourire aux lèvres, parfois j'ai l'impression qu'il ne fait qu'attiser la haine que j'ai pour ce gosse. Me rappelant sans cesse mes erreurs et le fait qu'Harry soit le fils de Lily et James, et que ce gamin a reçu tout ce que je n'ai jamais eu, l'amour. Un élan de rage me prend, rien qu'à l'idée de la vie si parfaite de ce cher Potter, j'ai presque envie de lui faire passer le pire moment de sa vie !
J'ai soudainement mal à la tête, terriblement mal, un étourdissement me prend alors que j'arrive au bout du couloir du septième étage. Je me reprends rapidement, sors une fiole pour la douleur qui ne me fait, malheureusement, rien.
Je marche le long du couloir en demandant « L'appartement d'initiation », Potter doit déjà s'y trouver. J'ai ordre de ne pas en sortir pendant une semaine entière, une bien longue semaine en perspective. Les sentiments de rancœur, de haine et de colère font encore rage en moi quand je passe le pas de la porte qui vient d'apparaître.
Mais quand je le vois, assis sur le canapé de ce salon, tout disparu de mon esprit, la haine, la colère et la rancœur partent avec le mal de tête. L'idée qu'aujourd'hui Harry a 17 ans et que j'allais devoir faire l'amour avec lui s'imposa dans mon esprit, comme si c'était le plus beau cadeau que l'on pouvait m'offrir.
Le regard inquiet qu'arborait Harry se changea en même temps que mon humeur, par un sourire timide. Je m'approche de lui, attiré irrésistiblement par ses lèvres.
- Bonjour Professeur. Me dit-il tout bas, intimidé.
- Harry. Dis-je à quelques centimètres de lui. Appelle-moi Severus, après tout… Nous allons devenir… Intimes. Dis-je d'une voix emplie de désir avant de l'embrasser.
Ses lèvres me manquaient. C'est la première pensée que j'eus en les touchant, mais je ne savais pas pourquoi, je ne l'avais jamais embrassé avant aujourd'hui. J'étais avide, je voulais l'embrasser encore et encore. Des bouffées de chaleur m'emplirent, j'ai la sensation de retrouver une part essentielle de ma vie, de mon existence. Je le pousse doucement vers la seule porte que je pus voir, la chambre. Je m'arrête quelques secondes de l'embrasser, reprenant mon souffle et ouvrant la porte sans lâcher Harry des yeux, lui aussi à bout de souffle et les yeux brillants.
- Que sais-tu sur l'initiation ? Demandai-je doucement.
- Je sais juste que nous devons avoir des rapports… Sexuels… Dit-il gêné pendant que le rouge lui montait délicieusement aux joues.
- C'est exact. Dis-je en l'attirant une nouvelle fois à moi pour l'amener jusqu'au bord du lit. Tu vas passer une semaine de pur plaisir. Lui promis-je en embrassant son cou.
Doucement mes mains glissèrent sur sa taille, rapprochant son corps du mien. Je pus sentir une érection contre la mienne, un sourire fleurit pendant que j'embrassais de nouveau Harry. Je glisse mes doigts sur son torse puis les descends jusqu'à sa ceinture pour prendre le bas de son t-shirt et le lui enlève. Je m'aperçois que ma chemise est ouverte que quand je sens les doigts d'Harry effleurer un de mes tétons.
Je le pousse sur le lit, puis sans tarder touche la bosse de son pantalon, il se mord la lèvre inférieure, me regardant avec désir. Il me rend fou et j'ai en même temps l'impression de retrouver ma lucidité. J'ouvre sa ceinture ainsi que le bouton de son jean et descends la fermeture éclair en finissant par caresser son sexe à travers le jean. Je mets mes mains de chaque côté de son corps attrapant son jean et son boxer en même temps et le glisse jusqu'à ses pieds pour les lui ôter complètement.
La vue d'Harry nu sur le lit m'électrise. J'enlève ma chemise ouverte mais garde mon pantalon, et je m'allonge sur lui pour l'embrasser de nouveau. Avec ma main libre, je caresse son corps autant que je peux et descends jusqu'à son entrejambe. Je caresse ses cuisses pour le faire languir et prends son sexe en main. J'avale son gémissement de plaisir qui me gonfle de bonheur. Je commence à le masturber tout en descendant le long de son corps, déposant des baisers brûlants tout le long du chemin.
- Oh Severus ! Crie-t-il quand ma langue lèche son gland. Merlin ! Rajouta-t-il quand j'entame ma première fellation.
Je prends un plaisir incroyable à lui procurer cette caresse buccale, et je m'aperçois à ce même instant que tout cela est une première pour moi. Il est rare d'avoir un rapport avant sa majorité, et m'étant engagé en tant que Mangemort peu de temps après, tout cela était passé aux oubliettes. Pourquoi n'y avais-je pas pensé plus tôt ? Personne ne m'avait vraiment attiré jusque-là, je savais juste que j'aimais et aime toujours Lily, bien que le joli cul de Potter m'ait de nombreuses fois tenté.
Je cesse d'essayer de réfléchir, cela me redonne mal au crâne. Les cris d'Harry me firent revenir sur terre, pris d'une nouvelle vague de plaisir je le pompe encore plus rapidement.
- Arr… Arrête Severus… Je vais… Dit-il ne pouvant finir sa phrase tout en attrapant le drap de chaque côté de son corps pour le serrer dans ses poings.
Je fis abstraction de son avertissement et glissai même un doigt dans l'antre chaud que je me languissais déjà d'investir. Ce fut quand je glissai un deuxième doigt tout en tapant la prostate qu'Harry se tendit et éjacula sa si délicieuse semence que je m'empressai d'avaler. Profitant de son orgasme, je fis des mouvements de ciseaux avec mes doigts pour pouvoir mettre le troisième et dernier qui ne provoqua qu'une légère gêne pour Harry.
- Tu es prêt ? Demandai-je presque… amoureusement, après plusieurs minutes de ce traitement.
- Oui. Dit-il simplement en me regardant.
- Caresse-toi ! Ordonnai-je doucement en enlevant mes doigts.
Je me lève du lit tout en ne le quittant pas des yeux, regardant Harry se masturber sous mes yeux. J'ouvris ma ceinture et enlevai mon pantalon et mon boxer, laissant apparaître mon érection douloureuse. Je me caresse aussi tout en le regardant, quelques gouttes de spermes perlaient déjà sur mon gland. Cet apollon va réellement me rendre dingue.
Je me mets à genou entre ses cuisses, cherchant dans ses yeux la moindre hésitation ou peur, mais il n'y avait rien. Je lance un rapide sort de lubrification et me glisse avec une lenteur douloureuse dans mon amant, tout en prenant sa verge en main pour qu'il oublie sa douleur. Tout comme Harry, je ne pus m'empêcher un gémissement quand je fus entièrement entré. J'attends pour qu'il s'habitue, moi aussi d'ailleurs. Je savoure la sensation d'être dans un fourreau chaud et étroit qui presse mon sexe, je sais que je pourrai vite venir, après tout c'est ma première fois à moi aussi.
N'y pouvant plus, j'entame un mouvement de va-et-vient, bougeant peu pour ne pas faire de mal à Harry, fraîchement dépucelé. Un élan d'amour me frappa en plein visage à ce moment-là, je ne sus d'où il vint mais mon être entier fut rempli d'un amour d'une telle intensité que je n'avais jamais pensé cela possible. Sous les doux gémissements de mon amour, j'augmente la cadence et donne de plus amples coups de reins. En quelques minutes, Harry gémit comme un possédé sous mes coups de reins puissants, moi-même ne suis pas avare de gémissement que je n'ai absolument aucune envie de retenir.
Sentant ma délivrance venir, je m'allonge sur le corps d'Harry, il passe ses bras autour de moi pour me coller encore plus à lui, nous nous embrassons à perdre haleine. J'arrive à passer ma main entre nos deux corps pour pouvoir finir de rendre fou Harry. Il suffit à mon pouce de passer quelques secondes sur son gland sensible pour qu'il éjacule dans un cri rauque. Son orgasme provoqua une aura rouge qui sortit directement de son corps pour emplir la pièce, cela me fit rejoindre instantanément Harry dans son orgasme foudroyant. Je ne sais comment j'ai réussi à me mettre à côté d'Harry avant de m'endormir, épuisé.
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Ce sommeil post-orgasmique m'a apporté un lot de sentiment que j'avais pensé ne jamais avoir connu : l'amitié, l'amour, la confiance, la joie et même le bonheur. Je me réveille doucement en ayant tous ces sentiments qui font rage en moi. Je suis tiraillé, entre deux vies. J'ai des sentiments que j'ai la sensation d'avoir vécus mais dont je ne me souviens pas. Est-ce Harry qui provoque tout cela en moi ? Je crois que oui, il n'y a que lui qui peut me rendre aussi heureux.
L'image de Lily s'impose dans mon esprit, ma meilleure amie. Je me fige à cette pensée, j'ai pensé à elle en tant que… Meilleure amie ? Je suis pourtant amoureux d'elle, non ? Non, je ne suis pas amoureux d'elle, cette terrible vérité me frappe de plein fouet, non, je ne l'ai jamais été. Je suis perdu, terriblement perdu, j'ai l'impression d'être deux personnes radicalement différentes dans un seul et même corps.
Je sers le corps chaud que je tiens dans mes bras, soudainement, je le sens se tendre. Que se passe-t-il ? Je suis encore bien trop inconscient pour comprendre tout de suite, les brumes d'un bonheur que je pense avoir connu sont encore dans mon esprit. Puis cette fois-ci, c'est à mon tour de me tendre en ouvrant les yeux, parfaitement et pleinement réveillé, le sentiment de bonheur en moins.
Mon torse touche le dos d'Harry, et je sens sur son dos, quelque chose qui ne devrait pas y être. Je m'éloigne légèrement de son corps, et regarde ce qui, je le sais, me hantera longtemps. Des cicatrices zèbrent toute la surface de son dos. Certaines ont l'air d'avoir été incrustées dans sa peau, comme si elles y avaient toujours été. D'autres sont beaucoup plus récente, sûrement reçu d'à peine quelques jours. Un vague souvenir revient, comme si j'avais déjà vu ça. Pourtant je pourrai jurer que non, je m'en souviendrais, enfin, je crois… Je suis un peu trop confus avec ma mémoire, je mets ce sentiment désagréable de côté pour en avoir le cœur net.
- Po… Harry ? Dis-je anxieux, ne pouvant rester impassible.
- Oui ? Me dit-il tendu avec une voix si basse que je dois tendre l'oreille.
- Qui ? Demandai-je dans un souffle presque douloureux en survolant les cicatrices d'une main tremblante.
Un silence lourd plane pendant quelques minutes. Je regardais les cicatrices plus ou moins anciennes quand quelque chose se brisa en moi, mon cœur ou mon esprit, ou peut-être même les deux.
- Mon oncle. Répondit-il sans bouger d'un pouce.
- Depuis quand ? Demandai-je comme lui dans un murmure.
Un rire amer sortit de sa bouche. Un rire froid et triste comme je n'en avais jamais entendu de sa part.
- D'aussi loin que je me souvienne.
Le ciel me tombe sur la tête. Je suis à court de mots. L'image d'un homme ressemblant plus à un cachalot frappant un Harry Potter de huit ans avec sa ceinture s'importe à moi. Je balaye l'image pour le moment, je dois savoir.
- Personne ne sait ? Demandai-je pendant qu'un poids se pose dans mon estomac, comme si je connaissais déjà la réponse.
Un autre rire encore plus froid sonna à mes oreilles.
- Tout le monde l'a été à un moment donné. Dit-il tristement sans une once de reproche.
- Personne n'a rien fait ? Dis-je en me relevant soudainement à cette nouvelle.
- Personne n'en a eu le temps. Leurs mémoires ont toutes été modifiées.
- Par qui ? Dis-je surpris pendant que des souvenirs lointains essayaient de revenir à mon esprit.
- Personne d'autre que le grand Albus Dumbledore ! Dit-il à la fois moqueur et triste.
Bien qu'une part de moi s'en doutait, ce fut dur à entendre. J'avais quitté un maître pour un autre, je le savais. C'était pour ma rédemption, je l'avais mérité, je savais que d'un côté je me faisais manipuler. Je l'avais choisi, pour protéger Lily… Une voix me souffle que cela n'était pas vrai, je ne l'écoute pas, pour le moment en tout cas. Une question me saute au visage avec une telle violence que j'en eus encore plus mal au cœur, si cela est possible.
- Est-ce que… J'ai déjà été au courant ? Demandai-je dans un souffle douloureux.
- Oui. Plusieurs fois.
- Comment… ? Dis-je sans pouvoir finir cette phrase si douloureuse.
- Dumbledore lance des sorts d'amnésies et de faux souvenirs à tour de bras. Je pense que tout Poudlard y est passé. Ron, Hermione, Macgo, toi et tant d'autres. Dit-il fataliste.
Ses mots me font l'effet d'un poignard dans le cœur. Je me suis fait manipuler, de la pire des façons… Sans avoir compris que c'était encore pire que ce à quoi je pouvais penser.
- Je m'en suis rendu compte en occlumencie ? Demandai-je d'une voix lointaine fouillant dans des souvenirs que je savais oubliés.
- Oui. Dit-il tristement.
- Pourquoi… Pourquoi n'avoir rien dit pour les sorts d'amnésies ? Quelqu'un aurait pu… J'aurai fait quelque chose ! Dis-je en colère contre moi en m'asseyant dans le lit.
- Je ne voulais pas que tu meures ! Me crie-t-il, emporté par la colère en s'asseyant au bord du lit, me tournant le dos.
Je pus voir les coups de ceinture encore plus nettement, mon cœur saigna à cette image. On avait touché à Harry. Et je n'avais rien pu faire. Pire, celui qui était censé veiller sur lui avait volontairement fermé les yeux et je n'avais rien vu.
- Je ne voulais pas te perdre toi aussi. Dit-il tristement dans un murmure parfaitement audible.
- Moi aussi ? Fis-je étonné et étrangement heureux de l'entendre dire cela.
- Sirius. Dit-il en se levant, pâle comme la mort. Il voulait que j'habite avec lui… Qu'il m'élève comme le fils qu'il n'avait jamais eu, il me l'a dit plusieurs fois. Mais peu avant sa mort, il est allé voir les Dursley pour savoir comment j'étais traité. Il a compris tout seul. Le lendemain, Dumbledore est venu et m'a lancé le sort d'amnésie pour que j'oublie que Sirius savait.
- Comment as-tu appris tout ça ? Demandai-je sachant que je n'allais pas apprécier la réponse.
- Quand Voldemort a pris possession de mon corps, tous les sorts ont été comme annulés, et il m'a laissé un cadeau sans le vouloir.
- Lequel ?
- L'Occlumencie naturelle.
J'étais déjà ébahi, mais à ce moment je le fus encore plus. L'Occlumencie naturelle est encore plus puissante que celle apprise. Le Legilimen ne pourra jamais passer les barrières, et si l'occlumen met en avant des souvenirs, même faux, il n'y a aucun moyen de savoir qu'il y a des barrières.
J'ai atteint un stade très élevé d'occlumencie, arrivant moi aussi à faire cela, mais la concentration qu'il faut est énorme, alors que pour l'Occlumen naturel tout cela est d'une simplicité enfantine. Il peut protéger son esprit de bien des sorts, dont ceux d'amnésies et de faux souvenirs, sans même que celui qui le lance s'en aperçoive. Ils ont un don naturel, un don précieux pour un Legilimen et Occlumen comme moi.
- J'imagine que tu n'as plus fait confiance à Dumbledore après ça ?
- Je ne lui ai jamais vraiment fait confiance… Dit-il si bas que je crus l'avoir imaginé.
