Bonjour, bonsoir, je reviens avec une nouvelle traduction! Je remercie la talentueuse Whirligigkat de m'autoriser à traduire son histoire! Je n'ai pas de correcteur du coup si il y a des erreurs dites le moi ;) Je vous laisse et bonne lecture.
Partie 1:
Londres, 1940
Les mains agitées, elle garnissait le linge dans le placard, profitant du silence des sirènes. Empilant les chiffons propres sur leurs étagères respectives, elle se tourna pour inspecter son travail: tout était en ordre, et elle tira sur la chaîne légère en fermant la porte derrière elle. Le bavardage des infirmières, des femmes, remplit le couloir, le martèlement des talons résonnaient en un rythme constant et rapide.
Il y a toujours des tâches à faire pendant ces brèves périodes, des aiguilles à stérilisées, des lits à épurer ou encore des bas à réparer. Elle se pencha sur son sac de couture , qu'elle avait oublié ce matin, accroché à la rampe de la cage d'escalier du dortoir. "I love you", murmurra une jeune fille au téléphone alors qu'elle passait devant la cabine téléphonie, la jeune femme glissa sa main sur le récepteur comme si c'était la joue de son amant.
De l'autre côté du dortoir se trouvait son lit, elle esquiva les affaires des autres femmes, suspendu à des cintres et des poteaux qui pouvait être réutilisé en cas de nécessité.
Molly Hooper était étendu sur son lit, depuis un petit moment, elle inspira et bloqua sa respiration, simplement pour l'amour, les yeux fermés sur l'horreur de la guerre. Ce qui était sensé être utile, la formation d'infirmière, avait conduit rapidement à une descente en enfer, qu'elle ne pensait pas possible. Mais elle restait focalisé sur ses tâches à accomplir, car ici avec sa trousse et ses mains elle pouvait faire la différence. Elle ne pourrait jamais ramener son père, son frère mais si elle pouvait sauver un homme ou lui donné du réconfort cela lui suffisait. Elle respira profondément par le nez, savourant l'absence de bruit, avec seulement comme bruit ambiant les murmures des potins par ses collègues de chambre, qui parvenait à ses oreilles.
C'était trop beau pour durer.
Il eut un cri, suivi de près par des pas pressés; Le claquement d'une porte contre un mur. Molly se redressa et tira sur son tablier pour le remet en place, comme pour crée un rempart pour l'aider à survivre à ce qui avait causer ce cri. "Quelque chose est arrivé" annonça la voix paniquée de Mary, elle courut jusqu'à Molly et lui attrapa la main. Elles ont gardés leurs mains soudées puissant dans la force de l'une et de l'autre pour se donner du courage comme seul les amis peuvent faire; avant que le brouhaha des voix atteint leurs apogée tapissant les murs de peur. Une dernière pression de paume de mains, un dernier coup d'oeil, lourd de sens. Une nuée d'infirmière courrait, traversait les couloirs et les escaliers en essayant d'avoir une attitude audacieuse gravé sur leurs jolis visages.
Puis des hommes rentrèrent par les portes, portant des brancards colorés de rouge ou des soldats gisés dans leurs sang. Molly passa les portes qui données sur une petite rue rempli de camions, eux-même rempli de soldat; des soldats se promenaient dans un coin,d'autre se baignaient dans des caisse ou encore des soldat drapant des lits de fortune un peu partout. Des cigarettes pendus au coins de leurs bouches maigres relâchant des bouffés de fumée pour tenter de réchauffer leurs visages ternes. Des bandages au bord sales ornés leurs têtes ou leurs membres mutilés.
En un instant, Molly et Mary se retrouva avec une civière dans les mains, elles la serrèrent comme si leurs vie en dépendait. Elles trouvèrent un lit dans la clameur ambiante et elles déposaient l'homme qui lutté silencieusement pour respirer. Quand Molly leva les yeux, la pièce nageait dans un lugubre décor, des pleures et cri d'homme souffrant lui agressa les oreilles, des hommes si rouge de sang qu'on ne pouvait distinguer leurs visages, des hommes avec des points de sutures rouges enflés par l'infections, des hommes a la peau fondu par la chaleurs du feu. Que pouvait-elle faire? Elle, Molly Hooper que pouvait-elle faire face à cette destruction, ce mépris absolu pour la vie? Une main se posa sur son épaule, celle de Mary stable, ferme et avec la force qu'elles allaient avoir besoin pour cette nuit avec un hochement de tête synchronisé, elles ont continué de lutter pour aider ces hommes.
Plus tard quand les salles ont été néttoyer de l'odeur de pisse et de sang, étant remplacé par l'anesthésie recouvrant à peine l'odeur de la mort. Molly se tenait sur l'acier froid d'un puit industriel, elle frottait ses paumes, ses doigts et ses ongles. La brosse était courbée et hérissée, elle frottait jusqu'à ce que ses mains soit vierge de tout sang. L'odeur du savon lui piquée les narines mais elle frottait et frottait plus vite, plus fort comme pour enlever toute l'horreur de la guerre. La brosse se brisa et tomba dans le fond du bassin. Molly s'accrocha aux bords froid et métallique du puit, son corps se pencha en avant et la bile lui monta à la gorge. Le contenu, mince, de son estomac se déversa sur le bitume. Elle haleta pendant qu'une sensation de brûlure acide prit place dans sa gorge. La pique de ses larmes passa la barrière de ses yeux, son corps eut un soubresaut.
"infirmière Hooper" interrompit une voix sévère. Soeur Clarence se tenait dans l'encadrure de la porte nullement affecté par les événement de la nuit, droit et rigoureuse comme toujours. Elle donnait à Molly, toute son attention, le visage légèrement adoucis, alors qu'elle prenait en coupe le visage tacheté de Molly dans ses mains tremblantes.
Molly essuya bruyamment la salive de ses lèvres. "Oui, Soeur Clarance" Soeur Clarence frôla de ses pouces les lèvres de son infirmière, qui lutté pour garder bonne figure alors qu'elle souffrait comme elle ne lui avait jamais montrer. "Infirmière Hooper, un patient dans votre section à besoin de vous". Elle hésita. "Vous pourriez lui donner un peu de morphine pour ses nerfs, il est un peu gauche. J'ai peur qu'il tient éveillé toute la salle"
"Oui, Soeur Clarence" Répondit Molly, raidissement sa résolution. Elle tira sur son tablier et redressa son bonnet avec un soupire déterminé elle partit la tête haute, laissant Soeur Clarence dans son sillage.
Le patient en question était en train de se jeter de son lit, pour partir, alors qu'elle s'approchait. On lui avait fait sa toilette, aussi bien que possible aux vues des circonstances, son visage, éclairé par un faisceau lumineux venant de la grande fenêtre, était pâle et brillant de sueur. Au fur et à mesure de son ascension vers le patient Molly vit ce qui avait causé tant d'agitation à son patient: un bandage épais était enroulé autour de sa tête débordant sur ses yeux empêchant le sujet de voir. Il lançait sa tête d'un côté et d'un autre, marmonna dans un souffle, ses mains se convulsaient autour d'une prise invisible. Elle attrapa une de mains du patient, pour le calmer. Elle regretta son geste quand il hurla à grand cri et se débattait fortement, qu'elle me pensait pas capable dans son état. Molly ressaisit la main du soldat, il l'a repoussa un nouvelle fois et se débattit comme si le diable avait pris possession de son corps. "C'est bon" murmura-t-elle " Calmez-vous". C'était loin d'être bien, les genissemant du soldat avaient réveillé d'autre homme qui gémissaient eux aussi, le bruit devenait infernale. Elle posa sa main sur le front du soldat, dégage les boucles noirs de cheveux toujours collant de sang du bandage qui couvrait ses yeux. Il était brûlant de fièvre, elle se demanda si il passerait la nuit. Cette pensée refit monter la bile dans sa gorge, qu'elle se força à ravaler. Elle continua de caresser le front du soldat jusqu'à ce qu'il soit apaisé. "Tout va bien"murmura-t-elle derechef en essayant de rassuré l'homme et au fond elle aussi. "Je suis là...Je suis là".
"John?" demanda le soldat d'un coup, avec une voix rauque. "John" prononça de nouveau le soldat. Molly posa la main du soldat le long du corps et caressa avec son pouce la main sale de ce dernier. "Je suis là". Le soldat se détendit sur son matelas et les traits de son visage se décontractèrent. Elle profita de l'opportunité pour mettre le garrot autour du bras du patient, et elle enfonça délicatement la seringue dans sa chair. La respiration du soldat se fit plus lente, étant debout elle en profita pour examiner cet homme. Il aurait pu être beau, dans un moment différent, à un endroit différent si ses yeux n'était pas cachés par ses bande déchirées colorée par la saleté de la guerre.
"Rester tranquille" murmura-t-elle avec de le couvrir avec la couverture jusqu'au menton. Puis elle rassembla ses affaires et partie.
