Jack avait décidé d'aller voir Carter. Voilà quelques jours qu'elle se comportait bizarrement. Elle n'avait pas sourit à sa dernière blague, qui était pourtant bonne. Elle parlait peu. Alors il était allé voir ce qui n'allait pas. Et quand elle lui avait tendu cette petite boite, il se maudit d'avoir voulu savoir.
S: Pete m'a donné ça...
Quand il reconnu tout de suite de quoi il s'agissait, il avait tout fait pour ne rien laisser paraitre. Et pourtant, il venait de se prendre une claque en pleine figure. Jusque là, même si le fait qu'elle sorte avec ce Pete de malheur ne l'atteignait pas, il avait encore cru qu'elle finirai par se débarrasser de lui en s'apercevant qu'il n'était pas celui qu'il lui fallait. Mais là... leur relation devenait concrète, et définitive. Cela signifiait qu'il devenait rien pour elle. Hop, relégué dans les vieux tiroirs, elle abandonnait leur histoire.
J: Normalement, les gens portent ça au doigt.
Faire un peu d'humour, histoire de cacher cette pointe au cœur qu'il avait. Elle, elle cherchait un signe sur son visage. Presque rien, mais elle avait quand même vu l'espace d'une seconde de la tristesse, vite effacée par de l'humour.
S: Je n'ai pas dit oui.
J: Et pourtant, vous n'avez pas dit non.
Mais elle n'avait pas encore dit oui. Pourquoi? Et surtout pourquoi fallait-il qu'elle ai besoin de le lui dire.
S: Je lui ai dit que je devais y réfléchir.
J: Et?
S: Ca va faire 2 semaines
J: Ah!
Elle avait envie qu'il se batte pour elle. Elle avais besoin de savoir, si jamais elle disait oui à Pete, qu'elle n'allait pas le regretter. Alors elle chercha d'abord à lui fournir des excuses classiques.
S: Vous savez, ces dernières années je me suis concentrée sur le travail. Je m'imaginais qu'un jour je pourrais...
J: Avoir une vie?
S: Oui...Aujourd'hui j'en ai l'occasion et, je ne sais pas. Je veux dire, à chaque fois que nous traversons la porte, on risque de ne pas revenir. Est-ce juste de partager le risque avec quelqu'un?
J: Pete est flic, je pense qu'il pourra le supporter.
Il ne savait pas pourquoi, mais il cherchait à la rassurer, alors que tout en lui, lui hurlé de dire qu'elle ne devait pas l'épouser.
S: Et pour les enfants?
Nouvelle attaque. Son cœur fit une embardé. Evidement, que si elle se mariait elle finirait par avoir des enfants. Sauf que ça, il ne l'avait pas encore imaginé. Et là, il venait de prendre un nouveau coup de poignard. Il essaya à nouveau de rester neutre.
J: Quoi les enfants?
S: Je prendrai mes congés de maternité et je reviendrai après? Alors, je dépose le bébé à la crèche en partant vers quelque planète inexplorée de la nébuleuse machin?
J: Carter, il y a des gens sur cette base qui ont une famille.
Bon sang, il ne dirai rien. Sam chercha par tout les moyens à le faire réagir. Elle voulait juste qu'il lui dise quelque chose avant qu'elle ne mette un terme à cette non relation de 7 ans. Un mot de lui et elle dirai non à Pete. Alors, voyant qu'il ne partirai pas sur le terrain glissant sur lequel elle voulait l'emmener, elle lui tendit la dernière main. Son cœur battant la chamade et s'arrêtant en attendant sa réponse:
S:... et vous?... Si les choses avaient été différentes...
Est-ce qu'elle avais prévu de l'abattre sur place? Il ne pensait pas qu'elle aurait finalement le cran de lui dire clairement ce qu'elle ressentait. Elle se sentait toute petite, elle avait tellement envie qu'il lui dise de refuser. Mais non, il avait encore fallut qu'il lui dise quelque chose qui... ne signifié rien, et en même temps tout.
J: Je ne serai pas là.
Ses tempes lui faisait mal, son cœur battait à cent mille à l'heure. Voilà, il venait de définitivement la pousser dans les bras de ce flic. Il avait envie de mourir juste là. Et elle aussi. Cette fois-ci, elle savais. Mais elle ne comprenais toujours pas. Elle l'avais lu dans ses yeux si sombres, si tristes et si résignés. Elle savait qu'il l'aimait mais pourquoi ne voulait-il pas faire quelque chose. Pourquoi il les abandonnés? Elle s'en voulut de lui avoir tout dit. Simplement parce que maintenant elle en avait le cœur net, et qu'elle pouvais prendre la décision... Elle aurai tellement aimé pouvoir dire oui, mais à lui. Ou, pouvoir dire oui à Pete le cœur léger et enthousiaste. Mais non. Rien n'y faisait.
Ce silence était trop lourd. Jack regarda sa montre. Et lui dit, pratiquement dans un murmure:
J: J'ai un briefing dans 5 minutes...
Elle lui fit oui de la tête. Elle avait envie de pleurer. Pour la première fois, elle le voyais abattu. Il tapota du doigt la table, baissa la tête. Il avait envie de lui dire quelque chose.. Mais non, il lui fit un petit sourire et se retourna vers la porte.
J: (sans se retourner): Et n'oubliez pas de vous reposer.
Et il disparu, la laissant seule, avec cette maudite bague sur le bureau. Elle l'attrapa, l'ouvrit. Les larmes commencèrent à monter. Elle referma la boite et la rangea dans le tiroir. Elle tenta de se remettre au travail. Il fallait qu'elle oublie cette conversation..."je ne serai pas là".
Jack alla à son bureau, le cœur lourd et reprenant sa respiration. Il n'avais pas remarqué qu'il était pratiquement en apnée. Mais qu'est-ce qu'il venait de faire! 7 ans à toujours refouler cette relation, cette discussion et c'était devenu un reflexe. Et il se demanda si cette discussion n'en n'avais pas été un. Cette fois -ci c'était fini. Il venait de rayer définitivement Sam Carter de sa vie. Alors qu'il n'en n'avais pas envie, alors que ça le tuerai. Il rejoua la scène encore et encore dans sa tête "et vous?". Elle pensait encore à lui. Elle avait encore des sentiments pour lui. Elle lui avait offert cette dernière chance avant de le quitter. Mais pourquoi diable n'avait-il pas sauter sur l'occasion. Probablement parce qu'il n'avais pas planifier, qu'il venait d'être pris au dépourvu, et surtout qu'il n'aurai pas su comment gérer la situation. Mais quel con! Il finirai célibataire pour le restant de sa vie. Réalisant ce qu'il venait de faire, il se retourna et fonça dans le bureau de Daniel. Ce dernier était en train de rédiger une traduction. Il n'entendit pas Jack entrer:
J: Daniel, suivez- moi.
Jack allait ressortir.
D: Bonjour aussi Jack!
J: Bonjour Daniel, venez avec moi vite.
Voyant la mine déconfite de son ami, il s'inquiéta. Il se leva et le suivi.
D: Qu'est-ce qu'il se passe? Je n'ai pas entendu la sirène. Un problème?
Mais Jack ne lui répondit pas, et accéléra le pas vers l'ascenseur.
D: C'est grave?... On va ou? Jack bon sang, vous me faites peur là.
C'était la première fois qu'il observait Jack dans cet état. Il était tendu à l'extrême, les sourcils froncés, le regard noir. Quelque chose n'allait vraiment pas mais quoi? Il se sentit soudain mal à l'aise. Jack lui fit peur. Ils montèrent dans l'ascenseur et quand il vit qu'ils allaient à l'extérieur, cela le rendit encore plus perplexe.
D: Jack? L'extérieur?
J: C'est personnel Daniel.
D: Oh...
Alors là, ça ne présager rien de bon. Personnel? Jack et personnel, ça n'allait pas ensemble. Et vu l'ambiance qui régnait, c'était plutôt grave. Ils arrivèrent dehors. Et Jack s'enfonça dans une petite partie forestière du haut de Cheyenne Mountain. Daniel compris qu'il voulait qu'ils soient seul, sans caméra ni personne pour les déranger. Mais qu'est-ce qui pouvait rendre Jack aussi tendu?
D: Jack arrêtez vous un peu! Et dites-moi ce qu'il se passe! On ne risque plus rien là.
Jack s'arrêta, et commença à faire les cents pas de gauche à droite, en regardant ces pieds, mettant ses mains derrière sa tête.
D: Jack?
J: Pete l'a demandé en mariage!
Il venait de craché littéralement le morceau. Daniel fronça les sourcils et compris immédiatement.
D: Oh...
Jack s'arrêta et fixa Daniel avec un regard qui fit frissonné ce dernier.
J: Daniel, je vous dit que Pete lui a fait sa demande et "OH"? C'est tout ce que ça vous inspire.
Il relâcha ses mains.
D: Non bien sûr...mais... comment l'avez vous su?
J: Elle viens de me montrer la bague.
Daniel fit une nouvelle grimace. Jack devait être gravement atteins pour se confier à lui sans aucune retenu. Il était en fait, au bord de l'explosion. Il continuait à marcher.
D: Je n'était pas au courant... Et elle a dit oui?
Il avait fait un pas en arrière en disant ça, de peur que Jack ne pique une colère.
J: Pas encore oui.
D: Alors elle a dit non?
J: Non.
Daniel ferma les yeux. Elle avait dit oui, ou non?
D: Je ne comprend pas, elle a dit oui ou non?
J: Bon sang Daniel! Vous suivez ou quoi? Elle n'a pas encore dit oui.
D: Ah, mais pourtant, elle n'a toujours pas dit non.
Exactement ce que lui, avait dit.
D: Jack arrêtez de marcher un peu vous me donné le tournis! Calmez-vous.
J: Comment voulez-vous que je me calme...
Le cerveau de Daniel se mit en mode stratégie. Il croisa ses bras et se mit à réfléchir en marchant lui aussi, alors que son ami venait de s'arrêter pour le regarder.
D: Ok, donc elle vous a parler de cette demande. Mais elle n'a toujours pas donné de réponse. (il s'arrêta et se retourna vers Jack), est-ce que vous savez de quand ça date?
J: Deux semaines.
D: Ah...ça commence à faire.
Jack se calmait un peu. Daniel, même si ils avaient l'habitude de se chamailler, avait toujours eu un effet anxiolytique sur lui. Et il le comprenait. Enfin pas toujours, mais souvent.
D: Mais... pardon Jack... pourquoi vous m'avez fait venir ici ? Ca ne me regarde pas...Et vous me l'avais suffisamment fait comprendre...
J: Je vous en prie, facilitez moi la tache... je ne vais pas le répéter plusieurs fois, alors ouvrez grand vos oreilles, et ce n'est pas la peine de fanfaronner après...
Daniel haussa les épaules.
J: Je n'arrive pas à croire ce que je vais dire! (il tendit lentement les mains vers Daniel et lui dit au ralenti en grimaçant) J'ai ...besoin de ...vous.
Bien qu'il eu envie de sourire, Daniel ne fit rien. La détresse et l'aveu de son ami, ne lui donna pas envie de le charrier. Il le ferai peut être mais plus tard...
J: Et j'avais besoin d'en parlé... Ca va me rendre dingue je vous jure...
D: Je ne vois pas trop comment je pourrai vous aider... Qu'est-ce qu'elle vous a dit?
J: Que ce flic l'avais demander en mariage et qu'elle n'avait toujours pas donner de réponse. Qu'elle réfléchissait, à cause de la vie qu'elle mène au SGC, que c'était dangereux...
D: Et qu'est-ce que vous lui avez dit?
J: Qu'elle ne serait pas la seule à avoir une vie de famille ici.
D: Jack, Jack, Jack... Vous n'avez pas compris?
J: Quoi?
D: Ce sont de fausses excuses.
J: (recommençant à marcher): Evidement que je le sais... Elle a finit par me dire la vérité...
D: Ah... et?
J: Elle m'a posé la question, si ça me faisait quelque chose et si tout avait été différent ...
Daniel ferma les yeux, il enleva ses lunettes et se frotta les paupières, d'un air ennuyé
D: J'ai peur de savoir ce que vous lui avez répondu...
Jack fit une grimace et haussa les épaules.
D: Quoi? Vous n'avez rien dit?
J: Qu'est-ce que vous vouliez que je lui dise!
D: Mais bon sang Jack, dites-moi que vous le faites exprès?!
J: De quoi?
D: D'être... un imbécile!
J: Oh ça va Daniel! (le ton monta). Elle était là avec sa bague... J'allais lui dire quoi? Elle voulait juste mon consentement et être rassurée c'est tout. En plus, il a fallut qu'elle me demande à moi! Elle ne pouvais pas venir vous voir?
D: (commençant à s'agiter) Non mais c'est pas possible! Evidement qu'elle vous en a parler en premier puisque VOUS êtes concerné... Je n'en reviens pas... vous venez de lui dire d'aller se marier.
J: (se radoucissant) Je n'ai pas pu faire autrement...
D: Mais bien sûr que si! Seulement vous avez eu la trouille... Je ne comprend pas bien ce que vous voulez que je fasse. Franchement là, vous me désolez.
Jack s'arrêta de marcher. Oh lui aussi, il se trouvait idiot. C'était bien pour ça qu'il avait appeler son ami Danny boy à la rescousse. Peut-être qu'il pourrait l'aider à rattraper le coup.
J: Je sais... Dites-moi que je peux récupérer ma connerie?!
Daniel leva les bras en l'air et les laissa retombé sur ces cuisses. Ben voyons.
D: A part aller tout de suite lui dire clairement que vous l'aimez je...
J: (le coupant) Daniel!
D: Quoi? Vous voulez la récupérer ou pas?
Il ne dit rien, et se contenta de faire une petite grimace.
D: Dans ce cas, il va bien falloir à un moment donné ou à un autre lui dire ce que vous ressentez. Parce qu'à l'heure actuelle, si vous voulez mon avis, elle doit croire que vous vous en fichez.
J: Je ne pourrai pas faire ça...
D: Alors laissez tombé.
J: (s'énervant) Parfois je me demande si vous aussi vous ne faites pas exprès de jouer au con! (Il attrapa l'épaulette de sa veste militaire et la montra à Daniel) Vous voyez cette étoile là? Elle ne fait pas juste office de décoration! Nous avons encore des textes qui nous régissent, qu'on le veuille ou non, je ne peux rien faire, sans risquer qu'on nous foute en tôle. Et ça je ne me le pardonnerai pas si ça arrivait!
D: Mais arrêtez avec ça, nom d'un chien! Ne me dites pas que vous n'avez jamais pensé à une solution si jamais ça pouvais marcher entre vous?!
J: Bien sur que si! Mais maintenant les enjeux sont bien trop important. Si je démissionne maintenant, qui sais qui ils vont nommer à la tête du SGC! Vous imaginez, Kinsey se fera un plaisir de foutre son nez là dedans. Et on n'as pas besoin de ça.
D: Alors vous n'avez pas assez réfléchit parce qu'il faudrait qu'elle...
J: (le coupant net, voyant ce qu'il allait dire ensuite) Non!
D: Et si elle, elle en avait envie.
J: Non, jamais je ne lui demanderai de démissionner, ni ne l'accepterai.
D: Alors laissez là avec Pete!
J: (tout bas) Daniel...
D: Non mais c'est vrai! Vous voulez que je vous aide. Ok, mais si vous ne vous battez pas pour elle, je ne vais certainement pas le faire à votre place... Je crois qu'il y a une solution... encore faut-il que vous le vouliez vraiment.
J: Est-ce que je me serai ridiculisé devant vous si ce n'était pas le cas?
D: Vous n'êtes pas ridicule Jack. Juste stupide.
J: N'en profitez pas!
Daniel, se mit à nouveau à marcher.
D: Bien, alors... je pense qu'il va falloir agir vite. Parce que je pense qu'elle attendait de parler avec vous pour pouvoir prendre sa décision. Et vu ce que vous venez de lui dire...ou ce que vous ne lui avez pas dit plutôt... elle va en tirer très vite des conclusions.
Jack sentit son cœur s'accélérer. Et si c'était trop tard? Là, pour le coup, il se rendrai ridicule. Il se frotta le visage pour chasser ça de sa tête. Il avait confiance en Daniel. Soudain, il se rendit compte à quel point il était pathétique. Tel un adolescent, il avait couru voir son meilleur ami pour l'aider à récupérer la femme qu'il aimait... vraiment pathétique, enfin surtout à son âge. Mais vu les récentes discussion avec son second, il avait bien compris qu'il n'était pas très doué pour les déclarations.
D: Il va vous falloir appeler le président.
J: Pardon?
D: Oui. En y réfléchissant, si vous vous souvenez des réalités alternés qu'on...enfin que j'ai visité, chaque fois que Sam et vous étiez ensemble (Jack sourit) soit vous, soit elle étiez devenu civil. Mais vous faisiez toujours parti du SGC.
J: Je ne vois pas du tout où vous voulez en venir Daniel.
D: C'est pourtant simple. Vous allez appeler le président et lui dire que vous démissionnez.
J: Vous avez les oreilles bouchées ma parole ou quoi? Je vous ai dit que je ne voulais pas démissionner.
D: (ne l'écoutant pas) vous allez lui proposer de rester à la tête du SGC en tant que civil. Comme l'a fait le docteur Weir.
J: Et si il refuse?
D: (se frottant le menton) Et bien cela deviendra un peu plus compliqué. Peut-être que l'idéal, serai de lui dire clairement pourquoi.
J: Oui, comme ça, je me fait arrêter tout de suite. (il leva son pouce en l'air et grimaça) génial votre idée!
D: Si vous n'avez rien fait, il n'y a pas de raison. Au contraire, vous lui prouvez que vous respectez les ordres et les lois mais que là, vous avez besoin d'une solution.
J: (Se frottant la nuque) Mouai... je ne suis pas très convaincu.
D: Vous n'avez pas vraiment le choix... comme je vous l'ai dit, c'est soit ça, soit vous pouvez dire définitivement adieu à Sam. Imaginez-vous Jack, dans un ou deux ans, Sam viendra avec son ventre arrondie, vous parlera de Pe...
J: (le coupant et fermant les yeux en secouant la tête pour chasser ces images) Oh ça va... j'ai compris! Pitié taisez-vous.
D: De mon côté, je vais voir si je peux faire quelque chose.
J: Comme quoi? (s'inquiéta Jack)
D: Occupez vous de ce que je vous ai dit, et plutôt rapidement, et moi je m'occupe de Sam. Je vais essayé de la sonder, voir comment elle a pris...votre discussion.
J: Mouai.
D: Jack?!
J: Ca va, ça va, j'y vais...
Jack souffla. Bon sang, que ça n'allait pas être facile cette histoire. Finalement, il aurai mieux vallu qu'il empêche Sam de se marier tout de suite...
J: Et après?
D: Et bien, en fonction de ce que vous aura accordé ou pas, le président, vous n'aurez qu'à agir. Et je vais pas vous faire un dessin! Vous n'êtes effectivement pas doué avec les mots mais pour le reste... Enfin, je ne veux pas savoir en fait...
Mais dans quoi c'était-il fourré?
Daniel et lui repartirent dans le complexe. Avant qu'ils ne se séparent, Jack fini par lancer un timide "merci" à Daniel.
D: Vous me remercierai si vous la récupéré, avec une bonne caisse de champagne!
Et ils partirent chacun à leur mission. Daniel se dirigea dans le bureau de Sam. Elle était penché sur son réacteur. Il l'observa quelques secondes pour voir si il pouvait décrypter une quelquonque attitude. Ouep, elle avait l'air ailleurs.
D: Salut Sam.
S: Oh Daniel. Je ne vous ai pas entendu.
Elle redressa la tête et lui fit un petit sourire. Elle était contente de le voir. Ca allait lui faire du bien.
D: Je suis venu vous faire une petit coucou, je ne vous ai pas vu depuis hier. Tout vas bien?
Il avait toujours le don de mettre les pieds dans le plat, ce dit-elle. Il avait un sixième sens. Elle lui fit un pauvre sourire.
S: J'ai connu mieux.
D: oh? Qu'est-ce qu'il se passe? Des problèmes avec Pete?
Mais comment faisait-il? Il l'avait espionné ou quoi? Ou alors... le général lui avait parlé...
S: Vous avez vu le général?
D: Jack? Non, pourquoi? Il est ronchon depuis qu'il se plonge dans les dossiers, alors je l'évite pour l'instant...(tout bas) mais ne lui dites pas hein?!
Cela la fit rire. Evidement que Jack ne serai pas aller tout raconter à Daniel. Son visage redevint sérieux. Elle regarda Daniel
S: Pete m'a demandé en mariage.
Parfait! Ce disait Daniel. Exactement là où il voulait l'emmener. Il s'en voulait un peu de la manipuler ainsi, mais c'était pour la bonne cause. Probablement que par la suite elle le remercierai.
D: Vous avez l'air... (il lui fit une mimique) je ne sais pas...(il grimaça) Félicitation?
S: Je n'ai pas dit oui encore.
D: C'est bien de prendre son temps aussi.
S: En principe, les gens sont plutôt heureux et ne réfléchissent pas tant que ça.
D: Vous n'êtes pas "les gens" Sam. C'est bien aussi de prendre le temps de la réflexion, c'est un engagement important.
Elle acquiesça.
D: Vous en avez parlé à Jack?
Il avait peur qu'elle se renferme en prononçant ce prénom.
S: Oui.
D: Et?
S: Et quoi?
D: Qu'est-ce qu'il vous a dit?
Elle eu un léger sourire ironique. Avait-elle vraiment besoin de lui dire ce qu'il avait dit.
S: Que vouliez-vous qu'il me dise?
D: Bah je ne sais pas, félicitation peut-être?
S: Je n'ai pas dit oui encore!
Très bien. Sur la défensive. Alors elle n'était pas encore prête à l'épouser mais il était sur qu'elle n'allait pas tarder vu le ton amer qu'elle venait d'employer. Il fallait que Jack fasse vite.
Justement, de son côté, Jack venez de traverser en long en large et en travers sont bureau, en regardant ce téléphone rouge. Il fallait qu'il le fasse. Mais il ne savait pas comment il allait pouvoir demander ça.
J: Oh et puis merde!
Il pris le combiné.
J: O'Neill. Passez-moi le président s'il vous plait... Non ce n'est pas très urgent...enfin si... j'en ai pour 5 minutes...Très bien, dites-lui de me rappeler le plus rapidement possible...oui, je reste là de toute façon.
Pas de bol. Le président était en meeting toute la matinée. Ca n'allait pas arrangé ses affaires.
S: Mais je pense, que je vais dire oui.
Ouille! Pas bon ça, se dit Daniel.
D: Qu'est-ce qui vous retiens de le faire?
S: Je ne sais pas... enfin si...
D: Sam?
S: Daniel... ne faites pas l'innocent. Vous savez très bien... (Daniel fit la moue) Vous savez, je pensais qu'il dirai quelque chose...
il la laissa parler voyant qu'elle en avait besoin.
S: Enfin, tout mais pas ça.
Daniel fronça les sourcils. Jack lui aurai menti?
D: Qu'est-ce qu'il vous a dit?
S: Je lui ai demandé si tout avait été différent, si il y aura eu quelque chose entre nous. Et il m'a répondu qu'il ne serai pas là.
D: Quoi? Mais ça veux dire quoi ça?
Sam sourit. Elle n'était pas la seule à ne pas avoir compris le sens de cette phrase. De son côté Daniel fulminait. Jack ne lui avait pas tout dit. Bon ceci dit, ce n'était pas grand chose. Il tenta le tout pour le tout, au cas où son ami n'arriverai pas à obtenir quelque chose du président.
D: Ecoutez, je ne suis pas dans la tête de Jack...Dieu merci d'ailleurs, (Sam sourit) mais je suis sûr que ce n'est pas ce qu'il aurai souhaité vous dire.
S: Au contraire Daniel, je crois que si.
Daniel se mis à marcher dans le labo de Sam.
D: Vous le connaissez aussi bien que moi, si ce n'est plus. Il est incapable de communiquer quand il s'agit de ses sentiments.
Il avait raison. Chaque fois qu'elle et lui avait eu un semblant de conversation sur eux deux, il avait toujours coupé court les discussions, par des "je sais" ou fait de l'humour pour empêcher que ça n'aille plus loin et encore aujourd'hui il avait fait la même chose avec son "je ne serai pas là".
D: Mais au fond, je suis persuadé d'une chose, c'est qu'il vous aime.
S: Daniel, s'il vous plait...
Non, il ne fallait pas qu'elle saches ça. Non pas qu'elle ne le savait pas, mais c'était trop dur. De ce dire qu'il l'aimait encore et pourtant qu'il n'avais même pas essayé de l'empêcher d'aller avec Peter.
D: Sam écoutez-moi... Si vous décidez de dire oui, je serai ravi pour vous, croyez-moi. Mais... peut-être qu'avant, vous devriez avoir une autre discussion avec Jack. Peut-être qu'il aura réfléchit...
S: Si vraiment il avait ces sentiments pour moi ,comme vous dites, il m'aurai dors et déjà dit de tout arrêter. Mais il ne l'a pas fait! Daniel, j'en ai marre de sans arrêt lui tendre des perches qu'il n'attrape jamais. Cela fait 7ans que ça dure, vous vous rendez compte? Maintenant il faut que je pense à l'avenir. Je n'ai plus 20 ans et lui non plus. J'ai envie d'avoir des enfants, d'avoir un foyer...
D: Je comprend bien. Je vous dis juste de réfléchir encore un peu et de laisser le temps à Jack d'ingurgité la nouvelle. Peut-être qu'il fera marche arrière.
S: (elle lui sourit) C'est gentil Daniel, mais je pense qu'il a déjà fait son choix. Et je vais faire le mien.
D: Vous savez au moins pourquoi il ne vous as rien dit, j'espère.
Elle leva les épaules, sachant que quoi qu'elle dise, Daniel lui dirai donnerai quand même le fond de sa pensée.
D: La seule chose qui fait qu'il ne vous retiens pas, c'est qu'il veux votre bonheur, quoi qui lui en coute.
S: Vous plaisantez j'espère! (elle commençait à voire rouge.) Comment peut-il vouloir mon bonheur quand je lui pose clairement la question sur nous deux, lui laissant l'opportunité d'être ce bonheur?
D: Vous savez comment il est, il pense que si vous avez choisit quelqu'un d'autre, c'est que c'était mieux pour vous.
S: Mais comment peut-il penser ça?
D: Facile; Pete... est plus jeune, une situation un peu plus stable que celle de Jack, un passé moins lourd...
S: Non mais je rêve! (elle se leva) comment peut-il décider à ma place! Qu'en sait-il de ce que je veux finalement! Non mais franchement je crois que...
Daniel n'entendit pas la fin de sa phrase. Elle venait de sortir.
D: Sam? Où allez-vous?
Oups, ce dit-il. Il en avait peut-être un peu trop dit.
Jack lui, tournait tel un lion en cage dans son bureau. Quiconque entré en prit pour son grade. Aussi, plus personne n'osa le déranger. Ce fichu téléphone ne sonnait pas. Il se demanda si la secrétaire avait bien passer le message au président. Il vérifia que la ligne fonctionnait toujours quand il entendit la porte de son bureau s'ouvrir violement, laissant entrer Carter sans qu'elle y soit invité, le visage furieux. Elle claqua la porte derrière lui. Cela ne présagé rien de bon:
J: Carter? On ne vous a jamais appris à frapper avant d'entrer?
Elle commença à faire les cent pas, et elle ne daigna même pas lui adresser un regard.
S: Et c'est vous qui me dites ça? ... Vous êtes un imbécile!
Jack, n'y comprenais rien. Qu'est-ce qu'il avait bien pu faire, hors mis leur discussion de toute à l'heure, pour la rendre aussi furieuse. Cependant, il ne devais pas accepter qu'on lui parle sur ce ton, même si c'était elle.
J: Colonel Carter, qu'est-ce qu'il vous prend! Dois-je vous rappeler où vous êtes et surtout à qui vous vous adressez?
S: Ah non Monsieur! Pas ça! (Je ne le sais que trop bien, mais ce n'est pas la peine de me servir de tout ça pour me calmer! )Vous voulez m'envoyer en court martiale? Très bien, faites le. Au moins, je n'irai pas pour rien et si je peux vous dire tout ce que je pense avant, je ne vais pas me gêner!
J: Ne dépassez pas les lim...
S: Comment avez-vous pu!
Le ton venait de monter. Elle s'était arrêté de marché et à présent elle le fixait. Il n'avais jamais vu ce regard. Jamais une telle violence dans ses yeux. Il se leva de sa chaise et jeta rapidement un regard sur la vitre qui donnait sur la salle de briefing pour être sur que personne n'assisterai à leur...dispute? Il se mit face à elle.
J: Calmez-vous, je ne comprends pas de quoi vous me parler! Qu'est-ce que j'ai bien pu encore faire?
S: Comment pouvez-vous prendre des décisions à ma place!
Quelles décisions? Son cerveau fonctionnait à plein régime. Parlait-elle de travail, de leur discussion, de leur...non-relation? Il fallait qu'il la calme rapidement avant que cela devienne une bombe atomique et que tout espoir pour la reconquérir soit anéanti.
J: Sam, soyez plus claire, je ne sais pas de quoi vous voulez parler.
Elle s'approcha de lui. Il devait l'avoué, il se demandait si elle n'allais pas finir par le frapper. Mais il ne bougea pas.
S: J'ai une question. Etes-vous dans ma tête? Lisez-vous mes pensées? Suis-je inapte à prendre mes propres décisions?
J: Ca fait 3 questions Carter. (Lui dit-il essayant de la calmer mais cela ne fit qu'augmenter sa colère.)
S: Ce n'est pas le moment de faire de l'humour je vous préviens! J'en ai assez de vous voir tourner autour du pot, et de ne pas vous comprendre. Où de comprendre quelque chose, qui finalement n'est pas ce que vous essayez de me dire. Alors soyez clair!
Il se gratta la nuque. Elle parlait vraisemblablement de leur discussion dans son labo. Mais il n'avais toujours pas eu le président, toujours aucuns droits... Il fallait qu'il la calme, mais il ne pouvais pas lui donner d'espoir tant qu'il n'avais pas d'issue. Il ne voulait pas qu'elle en souffre si il n'obtenait rien, et il ne voulait pas en souffrir aussi. La peine serai bien plus grande.
J: Pour vous répondre, non je ne suis pas dans votre tête. Et vous êtes de loin capable de prendre vos décision. Mais si vous me disiez de quoi nous parlons, je pourrai peut-être m'expliquer. Enfin, si j'en ai le droit parce que vu le ton que vous prenez avec m...
Bang. Une violente chaleur venait de se propager sur sa joue. Elle venait de le gifler. Il n'avais rien vu venir. Et jamais de sa vie, il ne l'aurai cru capable de faire ça et encore moins dans son propre bureau. Il regarda la vitre rapidement, toujours personne en salle de briefing. Il valait mieux pour elle. Il passa sa langue à l'intérieur de sa joue. Il ouvrit la bouche pour la réprimander, mais elle recula d'un pas et ne lui laissa pas le temps.
S: Cette fois-ci vous aurez de quoi m'inculper! Je n'arrive pas à croire, que vous avez cru qu'IL était mieux que vous, qu'IL valait la peine plus que vous! Et croire qu'en vous effaçant vous contribueriez à mon bonheur... Alors que tout ce que je voulais... je me demande parfois comment je peux avoir des sentiments pour vous, quand je vois ce que vous êtes capable de m'infliger...de nous infliger... Cette gifle c'est tout ce que vous méritez de moi... Vous n'êtes qu'un égoïste! Vous pourrez rajouter ça à votre rapport MONSIEUR!
Et elle sorti en claquant la porte. Il ouvrit et ferma la bouche, incapable de réagir face à cette tornade qui venait de s'abattre sur lui. Tout dans sa tête se mélangé. La tristesse qu'elle puisse penser qu'il était égoïste alors qu'il ne pensait qu'à son bonheur à elle, au risque de connaitre le vide sentimental dans son cœur pour le restant de ses jours. La colère qu'elle ne le comprenne pas et qu'elle en vienne à le gifler. La joie de savoir qu'elle l'aimais encore malgré tout. Mais les choses allaient être compliqué après ça.
Il se rassit à son bureau, le visage dans ses mains. Soudain le téléphone rouge sonna. il se jeta dessus et fit tombé le combiné
J: Pour l'amour du ciel!... Allo?
P: (un sourire dans la voix) Jack?
J: (il se raidit) Monsieur le Président!
P: Maggie viens de me dire que vous cherchiez à me joindre. Qu'est-ce qu'il se passe? Rien de grave j'espère?
Jack souffla. A part, qu'il venait de se faire gifler par son second, dans son propre bureau... qu'il voulait mourir... il commença à se sentir mal à l'aise. Comment allait-il lui dire...
J: Non, non bien sûr que non. Tout va bien. Vous savez comment c'est, la porte s'ouvre, elle se ferme, les gens rentrent, sortent... la routine quoi!
Le président se mit à rire franchement. Il avait rarement entendu Jack aussi nerveux. Si peut-être la toute première fois où il avait du l'appeler.
P: Mon dieu fiston, respirez! Vous avez l'air bien nerveux.
J: Ah...ça s'entend tant que ça.
P: Qu'est-ce que vous voulez me demander Jack?
J: (se passant la main dans les cheveux) et bien c'est à dire... Monsieur, excusez-moi, c'est personnel en fait.
Il commença à se demander si cela valait le coup. Si après ce que venait de lui dire Sam, elle accepterai de vivre une histoire avec lui, si il obtenait quelque chose du président. Mais il était trop tard pour reculer.
P: Je vous écoute.
J: Bon, je ne vais pas y aller par quatre chemin, sinon l'année prochaine vous serez encore pendu à se maudit téléphone rouge. Tiens pourquoi rouge au fait? Non parce que le jaune c'est pas mal aussi et...
P: General!
J: Pardon... voilà... Si jamais, j'avais envie de prendre ma retraite militaire, non pas que je n'aime pas mon travail et mon poste hein... est-ce que vous me proposeriez, par hasard, une alternative afin que je puisse garder un pied au SGC?
Fiou, il lui avait dit. Il y eu un silence, beaucoup trop long pour Jack.
J: Vous êtes là Monsieur?
P: Et pourquoi voudriez vous faire ça? Vous perdriez pas mal d'avantage vous savez?
J: Je sais... Mais j'en gagnerai un beaucoup plus précieux.
Sentant que cela avait l'air de tenir à cœur au général O'neill, le président pris un ton plus paternel
P: Fiston, si vous avez quelque chose derrière la tête, il vaudrai mieux me dire clairement de quoi il s'agit. Peut être que, du coup, je verrai les choses différemment. Parce que là, je ne voit aucun intérêt à votre requête. Si ce n'est, à me mettre dans une position délicate vis à vis de Kinsey.
Jack grimaça à se nom. Ce qu'il pouvait le détester! Il aurai du le shooter quand il en avait eu l'occasion.
J: (il pris une profonde inspiration, ferma les yeux) Carter. (il se frotta la joue encore rougit par la main qui s'était attaqué à elle quelques instants plutôt).
Il ne réussit pas à dire autre chose, espérant que le Président comprendrais.
P: Le colonel Carter?
J: Oui
P: Qu'est-ce qu'elle viens faire là dedans?
Bon ok, il n'avait rien compris.
P: (réfléchissant) Ohhhhh... Je vois. (il se mit à rire franchement)
J: Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle...sauf votre respect Monsieur.
P: (se mit à tousser) Pardon général, je suis désolé. Croyez-moi, il n'y avait rien de risible la dedans. Juste que je ne m'attendais pas à ça, venant de vous.
Jack fronça les sourcils. Comment ça venant de lui? Non mais, y avait-il quelqu'un dans cette base, sur cette planète au moins, qui le comprenait?
J: Monsieur?
P: Ecoutez... (jack s'arrêta de respirer) techniquement, je ne vois pas d'inconvénient à votre...éventuelle, demande.
Il ferma les yeux, il allait y avoir un "mais"...
P: Mais...
Et voilà! Ce fichu "mais" qui allait foutre sa vie en l'air.
P: J'ai besoin de m'assurer que Kinsey ne viendra pas nous mettre des bâtons dans les roues vous comprenez?
J: Parfaitement Monsieur.
P: J'ai une chose à vous demander, et j'espère que vous serai le plus honnête possible avec moi.
J: Je suis monsieur honnête, Monsieur!
P: (souriant) Est-ce qu'il s'est déjà passer quelque chose entre vous deux?
J: Non Monsieur. Jamais.
P: Ecoutez, c'est un peu compliqué... De vous à moi Jack, notre meilleure option, c'est que ce soit elle qui démissionne. (il entendit Jack soupirer) J'imagine que cela ne vous enchante pas, mais je n'aurai aucun mal à la faire rester dans le programme, ni même à la garder avec SG1. En revanche, vous concernant c'est un peu plus compliqué, il ya beaucoup d'enjeu, cela met beaucoup de chose en péril.
J: (Fermant les yeux): Je comprends Monsieur...
P: Je suis désolé général, je vais y réfléchir, mais je crains que ce ne soit votre seule option.
Son cœur cherchait sans doute à sortir de sa poitrine. Etait-il en train de rêver ou le président allait lui refuser sa retraite? Il eu chaud tout d'un coup.
J: Merci Monsieur.
P: Ecoutez, je me penche sur votre dossier dès cette après-midi. Maggie vous faxera les documents dès que tout sera officiel. Vous n'aurez qu'à faire un choix et voir ça avec le Colonel Carter.
TBC...
