Titre : Une décision difficile
Auteur : Love chocolat !!!
Dislcaimer : non ils sont pas à moi... c'est triste mais c'est comme ça... Même raphinou et kira ils sont pas à moi... le monde est injuste
Genre : romance...yaoi... Je sais pas exactement pour le reste...
Perso/ Couple : bouhahahahaha je dis rien sinon ça va gâcher l'histoire... Sacher juste que ça tourne autour de Gabriel, avec un miki, un raphi et un kira (paske lucifer comme nom, c'est pas réaliste...)
Chapitre un : Premiers regards, premières envies.
Une journée de plus qui s'est trouvée être plus qu'érintante... J'en peux plus... Il est vingt-deux heures passées, et je viens à peine de franchir le seuil de chez moi. La porte était déjà fermée à clé, je pense qu'elle dort déjà. Ah non, les lumières sont encore allumées. Enfin, seulement celle du bureau. Elle doit être encore en train de travailler elle-aussi, bien que ça me paraisse assez tard pour qu'elle finisse de faire ses devoirs. Je traverse l'appartement, et entre dans le local de travail après avoir frappé deux coups assez timides. Comme je le pensais, elle est bien là, mais ne travaille pas. Je sors une couverture et la lui passe sur les épaules, de peur qu'elle ne se réveille si je la porte jusqu'à son lit. Elle s'est assoupie sur sa copie de philosophie... Incorrigible. Elle ne changera jamais. Mais bon, elle est jeune encore, qu'elle en profite. Personne ne peut savoir de quoi la vie sera faite. Et certainement pas les pauvres humains que nous sommes.
Un réveil qui sonne. Une main qui émerge de dessous une couverture pour partir à la recherche dudit réveil à tâtons. Puis qui appuie frénétiquement dessus pour le faire taire. Une tête blonde émerge des draps. Un homme, les yeux verts, les cheveux mi-longs en bataille en raison du sommeil, une barbe naissante, sort doucement du sommeil pour trouver le contact avec la dure réalité. Et quelle réalité. Il était vrai que la perspective d'une nouvelle journée de travail ne l'enchantait pas plus que cela. Se réveiller à six heures trente le matin pour gagner sa vie avait toujours été une réelle torture. Mais bon, il fallait quand même y aller, ses jambes n'allaient pas se mettre en action toutes seules... Raphaël se tira donc hors de son lit avec toutes les difficultés possibles et imaginables, avant de rejoindre d'un pas trainant la cuisine de son appartement. Une fine odeur de patisserie parvint à ses narines, lui indiquant qu'il n'était pas le premier levé. Il regarda la jeune femme d'un oeil vitreux avant de se laisser tomber sur sa chaise.
"C'est à cette heure-ci que tu te lèves?"fit cette dernière avec un sourire narquois."J'croyais que tu ouvrais le cabinet à huit heures et que tu devais donc y être à sept heures et demie..."
"J'ai pas de leçon à recevoir de la part d'une gamine de dix-sept ans qui s'endort régulièrement sur ses dissertations de philo."
Gabriel vira au rouge cerise avant de se retourner face à son frère, semblant comme indignée. Elle passa une main sur sa nuque, puis son bras, soulevant ses cheveux aux reflets bleutés pour le rejeter tous autant qu'ils étaient derrière ses épaules. Ses yeux azurs se posèrent gravement sur Raphaël, lui reprochant silencieusement d'avoir fait allusion à ce détail. Mais elle ne pouvait pas lui en vouloir, ils pouvaient se battre des heures comme ça à coup de piques de langage, enchaînante les répliques cinglantes, répondant du tac au tac. Mais pas dès le matin à six heures et demie face à un morceau de fondant au chocolat, préalablement prépapré par les bons soins de Gabriel.
L'heure passa rapidement. L'aîné des deux était parti travailler, alors que la jeune femme se prépaprait à aller en cours. Quoi de plus excitant? Et certainement que lorsqu'elle rentrerait ce soir, elle serait seule, et que son frère rentrerait quant à lui dans la nuit. Comme d'habitude. Ou alors accompagnée d'une nouvelle conquête, aux formes parfaites et généreuses. Sur cette pensée, Gabriel claqua rageusement la porte, direction l'arrêt de bus pour se rendre au lycée.
"Donc, on peut voir que la figure de l'ogre occupe une place plus qu'importante au sein de l'oeuvre de Charles Perrault..."
Que ce paysage peut paraître attrayant dans un cours pareil... Pourtant il faut bien avouer que quelques arbres au beau milieu d'une cour toute faite de bitume n'a rien de réellement excitant... Vivement la fin du cours... Cette déglinguée qui nous sert de prof commence à me taper sur le système...
"Monsieur Sakuya !"
L'intéressé tourna doucement son regard sur celle qui l'interpelait. La professeure de littérature paraissait passablement énervée, sa patience durement mise à l'épreuve avec cette classe...
"Oui Madame?"fit Michaël.
"Vous pourriez répondre à la question que je viens de poser s'il vous plait?"
Et là, gros silence aussi lourd que pesant (c'est la même chose en effet). Le jeune homme observait son interlocutrice avec un regard défiant, cherchant intérieurement ce que pouvait être la question dont elle voulait la réponse... Une dizaine de secondes s'écoulèrent, quand Michaël sentit un morceau de papier se glisser dans sa main. Il y jeta un rapide coup d'oeil, lisant ce qu'il y avait d'inscrit. "Exemple de cannibalisme sans les ogres le chat botté." Ah oui, il avait vaguement entendu le mot "ogre" quelques secondes plus tôt. Se souvenant vaguement de ce qu'ils avaient dit lors d'un cours précédent, il tenta le coup.
"Il me semble que dans le Chat Botté, on a, en dehors de la figure de l'ogre, un autre exemple de cannibalisme, mais je ne me souviens plus avec exactitude de cet exemple..."
Bingo, c'était bon, la professeure de littérature avait détourné le regard, frustrée de ne pas l'avoir piégé, et demanda des précisions sur la réponse donnée par Michaël. Ce fut la voisine de ce dernier, la même que celle qui avait glissé le papier dans sa main, qui leva la main pour répondre.
"On voit nettement que lors du mariage de Carabas avec la princesse, ils mangent le festin préalablement prévu pour les ogres, d'où l'idée de cannibalisme..."
Le jeune rouquin lança un regard complice à sa voisine, qui le lui rendit bien, alors que leur professeure continuait le cours, satisfaite de sa réponse...
"Merci pour tout à l'heure, Gaby."
"Si tu veux que je continue à t'aider dans ce genre de situation, tu va arrêter de m'appeler comme ça, Miki."
Le susnommé tiqua sous la colère montante, mais fut rapidement entraîné par Gabriel dans la cantine. Michaël dut ravaler sa rage et se résigner à trouver un surnom moins ridicule à son amie. Une fois à table, il se retrouva face à l'habituel sermont de cette dernière, et commençait à avoir mal à la tête sous son discours moralisateur...
"...Tu comprends Michaël?... Je peux pas venir à ton secours comme ça à chaque fois. Surtout qu'à force de ne pas écouter, tu vas avoir des lacunes insurmontables, et je ne pourrais pas te passer mes notes jusu'à la fin de tes jours, tu devrais sérieusement envisager de te reprendre, on est déjà en février, le bac c'est dans..."
Le jeune homme regardait Gabriel d'un air vitreux, n'enregistrant absolument rien de ce qu'elle pouvait bien débiter. Qu'est-ce qu'il pouvait bien en avoir à faire? Et elle aussi d'ailleurs? C'était sa vie, pas la sienne. Justement, elle réussit à inclure ce détail dans leur discussion.
"...Mikanou, t'es mon meilleur pote, ça me ferait mal d'avoir l'exam alors que toi tu le rates... Mikanou, tu m'écoutes?"
"Ouais... Mais mets-toi à ma place... Ca me barbe cette histoire... Mais alors, à un point que tu n'imagines même pas..."
"Et alors? Ca gonfle tout le monde, mais aujourd'hui on peut difficilement se passer d'un diplôme comme celui-là. C'est pas tes cheveux rouges et ton tatouage..." Elle passa le bout du doigt de la tête du dragon, suivant le dessin jusqu'à sa clavicule. "...qui te permettreont de t'en sortir. Tu veux tourner comme ton frère?..."
"..."
"On est dans le même bateau tous les deux. Parents morts, sous la responsabilité de notre frère aîné. La différence est dans le fait que le mien est médecin et le tien chef de gang des rues. Mikanou..."
"Je sais... Gab', tu me donnerais des cours toi? Pour m'aider?"
Le nommée 'Gab' sourit. C'était le surnom le moins ridicule qu'il lui avait donné jusqu'ici. Et en plus il semblait enfin comprendre la situation. Pas trop tôt.
"Bien sûr. Mon frère rentre toujours super tard, alors... Tu peux venir le soir chez moi, t'en penses quoi?"
"Ouais!!!"
Un peu plus loin dans la ville, dans une pièce tout de blanc revêtue...
"Docteur, dois-je faire entrer la consultation suivante?"
"Oui, faites donc Babiel."
"Je vous en prie Mademoiselle, entrez donc."
Raphaël regarda d'un air impassible sa nouvelle patiente entrer dans son cabinet. Elle n'était pas trop mal, de longs cheveux auburn, des yeux en amande couleur ambre, des formes assez généreuses. Un léger sourire apparut sur son visage alors qu'il l'accueillait chaleureusement et lui recommendait de prendre place. Décidément, la gynécologie était une branche du métier qui lui plaisait bien. Il voyait des femmes à longueur de journée, souvent des pas trop mal, et pouvait en passage en séduire une ou deux... Oui, gynécologue était vraiment un métier de rêve. Son regard connaisseur parcourut lentement la jeune femme, alors qu'il entreprenait de l'ausculter, puisqu'il était théoriquement là pour ça... Il établit ensuite un rapide diagnostic. C'était une visite de routine, histoire de vérifier que tout allait bien et en effet, il n'y avait là rien à signaler, la tuyauterie était en très bon état. Pour son plus grand plaisir.
"Donc, il n'y a rien à signaler, vous sembler être en parfaite santé, et cette partie de votre anatomie n'échappe pas à la règle. Revenez donc dans six mois refaire une visite de routine, et voyez avec mon assistante pour prendre rendez-vous dès maintenant."
Il lui fit un grand sourire plein de charme, qui fit naître de jolies teintes rosées sur les joues de la jeune femme, et continua.
"Mais je serais ravi de vous revoir avant... Vous emmener dîner ou quelque chose dans le genre... Vous en pensez quoi, ma chère demoiselle?"
"Oh, Docteur, je ne sais pas trop... Vous savez, je ne vous connais que dans des relations strictement professionelles..."
"...Je ne demande qu'à vous connaître un peu mieux. Vous avez un tel don pour attirer mon attention..."
Nouvelles rougeurs de la part de la jeune patiente.
"...Ce ne serait pas de refus dans ce cas, Docteur."
"Appelez moi Raphaël."
"Oh, dans ce cas, appelez moi Cristine."
Ils se fixèrent un rendez-vous le soir même, à sept heures, dans un des restaurants hupés de la ville. Puis le médecin laissa s'échapper sa proie, un sourire carnassier aux lèvres alors qu'il demandait à son assistante s'il en avait fini pour la matinée avec les rendez-vous. Après une réponse affirmative, il la salua et partit déjeuner en ville, songeant déjà à la merveilleuse soirée qu'il allait passer.
Après le repas, pour les deux jeunes, il y avait cours de philosophie. Deux heures sur les huit qu'ils avaient chaque semaine. Et tous tombaient d'accord sur un point : la barbe ! Le professeur déblatérait pendant deux loooooooooooooongues heures des inepties au sujet d'une âme survolant le monde des Idées, théorie fantaisiste d'un certain Platon, qui décidément avait un don pour endormir les studieux élèves de terminales prenant des notes sur leurs chaises de lycéens.
A la fin dudit cours, le philosophe qui essayait désespérément d'enseigner son art aux masses inertes d'élèves passa dans les rangs pour obtenir les dissertations qu'il avait demander à récupérer le jour même. Gabriel lui tendit la sienne, impeccable, d'une belle écriture soignée, fine et légèrement penchée. Michaël lui rendit un tas de feuilles avec une écriture illisible en pattes de mouches. Le professeur regarda ce qui était censé représenter une 'copie' pour le rouquin avec un air de dégoût puis continua son avancée dans les rangs, réclamant les feuilles de chacun.
Puis, enfin, ce fut la liberation. Chaque élève sortit de la salle en courant presque, heureux de savourer cette liberté retrouvée. D'ailleurs, certains d'entre eux se risquaient à dire qu'on leur enseignait mieux la liberté en les laissant sortir de ces salles au bout de deux heures, plutôt qu'en en étudiant la théorie en se penchant sur un texte de Kant. Gabriel et Michaël étaient dans les premiers à sortir, soufflant enfin de cette délivrance. Seize heures, fin des cours pour aujourd'hui. Ils convinrent tous les deux de se retrouver chez la demoiselle le soir-même à sept heures précises. La jeune fille insista même pour préparer le repas, ils mangeraient sur place, ce ne serait pas plus mal.
Un peu plus tard, dans la soirée, disons... vingt et une heures? (et non, vous n'aurez pas droit à la petite scéance de charme du ce cher médecin pervers...)
"Bon, on reprend, okay? Si tu regardes bien, tu vois que ce texte est assez pauvre au point de vue des figures de style, mais le contenu en lui-même et la façon dont Perrault traite les thèmes sont suffisament riches pour..."
Gabriel et Michaël furent coupés dans cette intéressante leçon de littérature par une porte qui claqua violemment, suivit d'un bruit étrange, comme si on plaquait quelqu'un contre un mur. Intriguée, mais pas tant que ça en fait, la jeune fille se leva, et déboula discrètement dans le hall d'entrée, voyant son frère aîné embrasser à pleine bouche une jeune femme à la chevelure auburn qu'il avait préalablement coincée entre lui et le mur.
"On vous dérange pas trop j'espère?...Hm? Grand frère?"
Le susnommé se décolla vivement de sa récente conquête, passant rapidement une main dans ses cheveux et essayant de garder contenance face à l'air lassé de sa soeur et celui intrigué de Cristine.
"Euh... Cristine chérie, je te présente ma soeur Gabriel. Gabriel..."
"Ouais, ouais, j'ai compris. J'vous demande juste de pas faire pas trop de bruit y'en a qui bossent."
Son air et son regard indiquait très bien de quels bruits elle parlait, ce qui rendit Michaël (qui se tenait derrière elle) et Cristine plus rouge que deux tomates mûres. Raphaël quant à lui avait bugué sur le jeune homme. Pas très grand, le cheveu rougissant, un tatouage de dragon parcourant son visage, et certainement son torse, le gamin n'était pas laid... Il s'administra une claque mentale d'avoir eu une telle pensée. Qu'est-ce qui lui passait par la tête? Ce gosse était un mec, et avait certainement l'âge de sa soeur, donc il valait mieux qu'il évite d'avoir ce genre de pensées douteuses à son sujet... Il prit sa conquête par la main et l'entraîna à sa suite, direction la chambre à coucher, saluant les deux jeunes de la main.
"Ouais, j'ferais c'que j'pourrais... Tu sais que j'ai du mal à me retenir sur ce point!"
Il entra dans sa chambre, claquant la porte derrière lui, et reprenant ce qu'il avait entreprit dans l'entrée, embrassant fougueusement la jeune femme, pressant ses lèvres contre les siennes, caressant sa langue de la sienne, collant son corps contre le sien... Mais, malgré cela, il avait du mal à chasser l'image de Michaël de son esprit. Que lui arrivait-il? Il n'arrivait plus à se défaire de son visage, son corps pourtant caché par les tissus... Et s'imaginait en train de le déshabiller comme il déshabillait Cristine... Non c'était impensable... Il ne pouvait s'enticher d'un homme... Ce genre de relation le rebutait au possible...
Et dès qu'il fut hors de sa vue, Gabriel quant à elle ne put retenir une réflexion à l'égard de son ami.
"Tu lui plait, copain."
"Hein!!! Oo qu'est-ce que tu racontes?!!!"Michaël, qui avait déjà pris des couleurs en sentant le regard de l'homme sur lui, vira plus franchement à l'écarlate.
"Il a eu le même regard pour toi que celui qu'il a lorsqu'une femme lui plait tout particulièrement et qu'elle sort du lot de celles qu'il ramène chaque soir..."
Au grand soulagement de Michaël son portable sonna et il n'eut pas à répondre à la réplique de Gabriel. Mais ce fut de courte durée lorsqu'il entendit une voix menaçante se faire entendre à l'autre bout du fil.
"MICHAEL !!!! T'es où bon sang !!! T'as intérêt à ramener dare-dare ton cul à la maison avant que j'y colle mon pied!!!"
"Oui, j'arrive..."
"Y'a intérêt... Tu vas m'entendre !!!"
"Je sa..."
Michaël n'acheva pas sa phrase. Son frère n'attendait visiblement pas de réponse à sa dernière pique, puisqu'il lui avait littéralement réccroché au nez. Il s'excusa platement auprès de Gabriel avant de quitter sa demeure si chaleureuse, pour se mettre à courir jusque chez lui... Où une magnifique engueulade l'attendait. Après avoir fui son frère, Michaël s'enferma à double-tour dans sa chambre, cherchant à penser à autre chose qu'à la douleur qui le lançait par moment à l'abdomen, là où son frère avait frappé pour lui faire comprendre qu'il n'avait plus intérêt à rentrer aussi tard. Et la première chose qui lui vint à l'esprit fut une douce et rassurante étreinte dans les bras d'un homme aux cheveux blonds... Il secoua la tête. Le frère de Gabriel? Impensable. Il avait une copine, et, si éphémère cette relation soit-elle - son amie lui avait plus d'une fois relaté le tempérament libertin de son frère - il n'avait pas la moindre chance avec lui... Mais, plus il essayait de se faire une raison, et plus il voyait ces scènes dans le détail, plus il sentait les sensations imaginaires parcourir son corps...
Il maudit son trop plein d'hormones dû à son adolescence et partit se glisser dans ses draps. Mais, malgré tout, il ne pouvait se défaire de ce visage encadré de cheveux blonds qui s'imposait dans son esprit, alors qu'il tentait de dormir après les coups donnés par son frère qu'il avait du encaissés...
Pourquoi agissent-ils comme ça tous les deux? Raphaël je comprends, mais toi mon p'tit Mikanou... Je connais mon frère, et, malgré que je sache que tu lui a tapé dans l'oeil dès le premier regard, je sais aussi qu'il n'acceptera pas ses sentiments s'ils venaient à s'affirmer... Il préférera oublier tout cela dans les bras d'une femme... Mais toi? Se pourrait-il que dès le premier regard tu ais également succombé à son charme, comme toutes ces femmes qui sont à ses pieds?...Michaël...
Une larme tomba sur le sol. Une main vint se serrer contre le tissu recouvrant sa poitrine.
J'ai mal...
A suivre...
Alors, dites moi ce que vous en pensez (chibi eyes)... une petite review, juste une toute petite pour me prouver que quelqu'un a lu... Siouplait
