Bon voilà. Déjà bonjour à tous. Je souhaite publié une fiction sur left 4 dead et je voulais savoir si des gens seraient intéressés de la lire. Ce petit paragraphe n'est que le tout début de l'histoire. Si cela vous plait, dites le et je publierais la suite.
Merci de votre attention.
Même après le grand évènement, la banlieue du compté de Macon, en Géorgie, n'avait pas changé, les maisons étaient toujours aussi petites et serrées les unes contre les autres, construites sur le même modèle créant l'impression que chaque rue est une parfaite répliques de l'autre. Les portillons laiteux battaient paresseusement au grès du vent qui soufflait mollement aujourd'hui, créant de légers courants d'airs dans les habitations. Toutes vides. Des années après le jour funeste, la petite banlieue n'avait pas évolué d'un pouce, continuant de vivre même sans ses habitants, l'une des dernières petites banlieue à ne pas encore être délabrée. C'était un miracle, comme quoi, il y a toujours des obstacles aux changements radicaux. Dehors, sur le bitume fissuré, un adolescent courait, sa main droite tenant ses côtes pour lutter contre un point de côté lancinant. Sa tête se tournaient fréquemment vers l'arrière, observants quatre silhouettes qui se détachaient au début de la rue et se rapprochaient avec une vitesse détonnante. Zigzaguant entre des hideux flamants roses en plastiques qui formaient désormais la seule peuplade des jardins abandonnés, le jeune homme suivait son chemin habituel, connut par coeur, de sorte à ne même plus calculer d'où il devait sauter pour franchir le muret de pierre de son ancienne résidence pour aller vers une habitation plus sûre. Au loin, le soleil se reflétait sur les cheveux blond sale de l'un de ses poursuivants qui avait prit de l'avance sur les autres, sa démarche, entre la position bipède et quadrupède lui procurant une étonnante rapidité. L'autre lui jeta un coup d'oeil, retenant un frisson tandis qu'il effectuait un dernier slalome entre des voitures poussiéreuses garées dans un petit parking pour, dans un ultime sprint, rejoindre une maison hissée sur une petite colline, aux grande barrière électrifiées l'entourant de toute part. Il s'arrêta, essayant de garder le peu de souffle qui lui restait, cherchant les clés dans sa poche, ses yeux bleus effectuant des allées-retours entre la serrure et l'être qui venait de sauter le précédent muret. Saisissant de ses doigts le bout métal froid, il l'enfonça dans la serrure, ouvrant avec précipitation, faisant grincer l'immense portail de métal opaque, avant de tirer de toute ses forces pour le bloquer puis le fermer à double tours. La lumière du soleil était découpée au dessus de sa tête en des milliers de petits carrés, la cause en étant d'immenses grillages allants des murs hauts comme ceux d'une prison jusqu'à un mat situé sur le toit de la bâtisse. Un forteresse, cet endroit était une forteresse et l'avait toujours était. Oui, malgré ce jour funeste, le cours des choses n'avait pas vraiment changer, les maisons étaient toujours aussi bien alignées, les voitures toujours aussi impeccablement garées et lui, Damien O'Bryan, était toujours confiné dans son rôle de victime.
Et il le serait probablement toujours.
