Donc voilà c'est la première fic que je poste alors un peu de compréhension les filles... ou les garçons, s'il y en a. Merci à toi, Pisha84 qui m'aide, qui me coache, qui a gentiment fait mon résumé et qui a bien voulu m'accompagner au festival du polar ;D
Je sais, je te dois beaucoup...
Disclaimer : Les personnages appartiennent à Stephanie Meyer, je ne fais que jouer avec les fruits de son génie.
~~ Prologue ~~
BPOV
Les bruits dans le couloir s'éloignèrent et je sortis de sous le lit. Je cherchais frénétiquement autour de moi en espèrant trouver une solution mais c'était peine perdue. La chambre d'hôpital était propre et rangée. Et les tiroirs étaient vides. Ils avaient parfaitement raison : je n'avais aucune issue. Et je ne pourrais pas me cacher dans cette clinique déserte très longtemps. Je jetais un énième regard à la fenêtre et rejetais totalement cette option. Cette piéce était au cinquième étage, pas sûre de mourir mais sûre de ne pas pouvoir m'échapper...
Je tendis l'oreille. Rien. Pourtant j'étais sûre d'avoir entendu quelque chose... Je m'assis sur le lit et fixais la porte lorsqu'elle s'ouvrit et qu'un géant aux allures de Frankeinstein fit irruption dans la pièce. Bordel. Je regardais, résignée, la pièce autour de moi mais rien ne vînt. Le géant marcha doucement vers moi et alors que je m'apprêtais à me rendre, je me rappellais que le lit était monté sur des roues. Je reculai de sorte à le placer entre moi et le géant. Une fois qu'il fût assez près, je poussai le lit de toutes mes forces contre Frankeinstein dégageant ainsi la voie vers la porte. Je courrais et me retrouvai dans le couloir, suivie de près par la respiration haletante de mon cher géant. Autant qu'il était imposant, l'endurance n'était pas son fort. Ainsi, la distance augmenta entre nous et je commencai à reprendre espoir.
Mais lorsque je tournai au couloir suivant, je m'arrêtai, choquée. En face de moi se tenait un autre sbire en blouse... Il était moins grand - et moins moche - mais tout aussi imposant que l'autre. J'étais coincée... Devinant la présence de l'autre derrière moi, les larmes se mirents à couler. Et une douleur atroce enflamma mon abdomen en pensant que je ne les reverrai plus jamais...
Je tendis le bras droit derrière moi et ne le rabaissai que lorsque la morsure d'une piqûre se fit ressentir...
Voilou, voilà ( comme dirait Ned Flanders XD ), maintenant il vous reste plus qu'à me dire ce que vous en pensez...
